Le vaccin Gardasil fait la une des journaux TV, nous sommes au début d’un nouveau scandale sanitaire de grande ampleur. Conseillé à toutes les jeunes filles, le Gardasil contient du borate de sodium, utilisé dans la mort aux rats, et du polysorbate, un produit destiné à stériliser les souris.
Ne laissez pas votre médecin vous injecter n’importe quoi
30 000 accidents, 130 décès et le Gardasil est toujours recommandé par les autorités sanitaires. Chaque jour à travers le monde entier, de nouvelles jeunes femmes se laissent vacciner au Gardasil sans savoir les dangers. Comme le cas deMarie-Océane 17 ans qui à déclarée une SEP (sclérose en plaques) suite à l’injection du soit disant vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Rappelons au passage que le Gardasil n’est pas un vaccin contre le cancer, c’est la première arnaque, c’est un vaccin ciblant le papillomavirus (Human Papilloma Virus), c’est donc un énorme mensonge car il n’existe aucun vaccin contre les cancers. Dans certains cas (un très faible %) le HPV peut déboucher sur un cancer, mais plus de 90 % des infections sont asymptomatiques et guérissent spontanément sans aucun traitement. Sylvie Simon dénoncait déjà cette arnaque au Gardasil en 2011
Tous les vaccins sont dangereux
800 effets secondaires, de la narcolepsie à l’augmentation de risque de SEP de 300 %. Le vaccin pour les bébés Infanrix Hexa contient du mercure, qui est encore bien plus toxique que l’aluminium ce vaccin est associé à plus de 800 effets secondaires, comme la mort subite du nourrisson, le diabète, l’autisme, l’épilepsie, etc…
Le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix contenait du squalène. Le vaccin contre l’hépatite B indique, sur sa notice, qu’il peut provoquer la sclérose en plaques.
Une étude de 2004 menée un épidémiologiste américain a démontré qu’il existait un risque 3 fois supérieur de déclarer une sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent une vaccination contre l’hépatite B.
Il existe en outre quantité d’études qui lient le vaccin contre l’hépatite B au diabète, au lupus, à la névrite optique, à la myofasciite à macrophages, la polyarthrite rhumatoïde, à la thyroïdite, et bien d’autres maladies…
Demain, on risque de vous injecter des vaccins de force, alors réagissez vite !
Mais même si ce n’est pas le cas, et que vous êtes conscient du danger des adjuvants dans les vaccins, vous n’êtes pas à l’abri pour autant. On sait en effet qu’en cas de pandémie, les gouvernements du monde entier pourront, avec l’appui de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), décider de vacciner de force toutes les populations.
Cela signifie pour vous que vous pourriez malgré tout vous faire injecter un jour, sous la contrainte, un vaccin dangereux, qui vous déclencherait une grave maladie comme la sclérose en plaque ou la maladie d’Alzheimer.
Mais ce risque peut-être considérablement réduit si, aujourd’hui, vous et moi parvenons à faire interdire les adjuvants dangereux comme le mercure, l’aluminium, le borate de sodium (mort aux rats) ou le formaldéhyde.
C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition et de partager cet article à tous vos contacts.
Rendez un immense service à des millions d’enfants
En trente ans, le nombre de vaccins administrés aux tout-petits a plus que doublé. Pire, on leur injecte aujourd’hui des vaccins combinant des germes de huit maladies différentes, ceci alors que leur système immunitaire n’est pas préparé.
Tous les ans des milliers d’enfant se font vacciner et déclenchent, dans les heures qui suivent de graves réactions pouvant aller des maux de tête aux vomissements, en passant par l’eczéma, l’hyperactivité, les perturbations du sommeil et plus tard une maladie auto-immune incurable ou pire, la mort.
Les instances de santé nient la toxicité des vaccins, se taisent et ne font rien
Dans la grosse majorité des cas, les professionnels de santé nient le lien avec le vaccin, mais ils ne déclarent même pas l’accident aux autorités de pharmacovigilance.
Les autorités sanitaires conservent au sujet des vaccins un silence coupable
Elles savent qu’elles n’ont pas joué leur rôle : Aujourd’hui encore, ses même instances renoncent à imposer pour les vaccins des tests destinés à évaluer leur potentiel cancérigène, mutagène et tératogène.
Alors partagez cet article le plus largement possible.
Source : ipsn.eu