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31 août 2012 02:46

Alors que des pans entiers de notre histoire disparaissent des manuels scolaires, le rappeur islamiste Médine fait son entrée dans les livres des éditions Nathan. C’est bien évidemment une action de propagande dont la gauche post-moderne est coutumière. L’objectif est multiple:

- Se donner bonne conscience en matière de diversité.

- Affirmer un relativisme culturel de bon aloi en ces temps de décivilisation galopante

- Lutter idéologique contre le caractère patriotique et gaulois de l’enseignement en Histoire.
- Manipuler des faits historiques afin d’imposer ou simplement accompagner une vision culpabilisante de la mémoire et de l’Histoire française.

Comme dans d’autres secteurs de la société française, la gauche bénéficie d’un pouvoir quasi dictatorial au sein de l’éducation nationale. Et elle s’en sert depuis trente ans pour mener une véritable bataille orwellienne contre la vérité politique, sociale, et scientifique de ce pays.
On peut regretter que Sarkosy n’ait pas eu le courage de mettre fin à l’omnipotence anesthésiante de de tous ces idéologues qui gangrènent les corps intermédiaires, et fragilisent la démocratie.

Caroline Alamachère de riposte laïque nous présente le pédigrée du « Jacques Prévert » musulman de la gauche islamophile.
Et elle s’inquiète de voir comment les manuels scolaires de nos enfants font l’objet d’une véritable opération de propagande.


Les manuels d’Histoire de France se vident des illustres personnages qui, populaires ou détestés, n’en ont pas moins fait de notre pays un phare pour le monde. Exit Napoléon, Louis XIV et autre Charles Martel, grâce aux éditions Nathan nos riches racines communes connaissent aujourd’hui un nouvel anti désherbant aussi puissant et efficace que le mortel Roundup sur vos courges : le rappeur Médine.

Barbu islamiste qui appose des minarets sur ses pochettes de disques, admirateur assumé du Frère Tariq Ramadan, fervent fidèle du rassemblement annuel de l’UOIF (mais dans un but purement commercial, bien sûr), et accessoirement promoteur des idées de Mohamed Merah, Médine Zaouiche n’est pas peu fier de voir désormais sa tête et son nom entrer dans les manuels scolaires pour avoir fait une chanson intitulée « 17 octobre 1961 » : « Je m’inspire des livres pour écrire… désormais c’est l’inverse, ce sont les livres qui s’inspirent de nous… content de faire du rap qualifié de « trop scolaire » ! ».

En mars dernier il avait été invité pour faire du prosélytisme islamique dans un collège de Châtellerault où les élèves s’étaient plaints de ses diatribes ouvertement favorables au tueur de Toulouse. Bien entendu, sa venue avait été soigneusement parrainée par les inébranlables promoteurs de la charia, les trucideurs de la Nation, de l’Occident et finalement de la démocratie, à savoir le Secours Islamique, Salam News et Terra Eco, mais également par les nettoyeurs de jeunes cerveaux formatés au plus tôt à la pensée unique plutôt qu’à l’apprentissage de leurs propres réflexions, à savoir la FSU et le Ministère de l’Education Nationale.

Devenu musulman pratiquant à 14 ans, Médine justifie son intérêt pour le dogme mahométan par une quête « d’identité » (tiens donc…), mais aussi par le désir de retrouver « ses racines ». Racines ?! Oh le vilain mot !

Or, maintenant que le rappeur au mono-sourcil a trouvé son identité et ses racines intouchables et bobos-compatibles en raison de leur exotisme, il a pour mission divino-mondialiste de détruire les nôtres avec l’encouragement très appuyé de nos instances orwello-éducatives. Car il est bien entendu et établi que nos racines stupidement françaises n’ont pas la même valeur aux yeux des bien-pensants que les racines tellement plus précieuses, puisque plus lointaines, des autres peuples.

Ainsi donc, les éditions Nathan ont ouvert leurs pages éducatives à un rappeur islamiste au seul prétexte qu’il a écrit une chanson sur les évènements dramatiques du 17 octobre 1961, évènements qui faisaient suite à la mort de 22 policiers tombés sous les balles du FLN, lequel multipliait les attentats en métropole, ce qui donna lieu à un couvre-feu.

Ce jour-là quelques dizaines de personnes tout au plus ont été tuées dans des manifestations. Or, si certains décès restent certes imputables à la police, les morts sont majoritairement des victimes du FLN (1). Pour preuve les malheureux égorgés abandonnés dans les rues, une méthode d’assassinat réputée pour être traditionnellement utilisée de l’autre côté de la Méditerranée.

En octobre dernier, à l’occasion de la commémoration de ces tueries, le site du parti de l’In-nocence apportait deux témoignages détonants dans le paysage politiquement correct (2) :

 

« Le déferlement de falsifications à laquelle nous assistons à l’occasion de ce sinistre anniversaire est incroyable. Du Monde à Mediapart en passant par Télérama et Le Nouvel Observateur, on se surpasse dans le mensonge. Pas un mot sur le travail scientifique de Jean-Paul Brunet, 

  Police contre FLN, réalisé grâce à Jean-Pierre Chevènement, paru il y a quelques années chez Flammarion, qui évoque une vingtaine de morts suite à la répression policière ;

pas un mot sur le contexte qui voyait à l’époque des dizaines de gardiens de la paix tomber sous les balles du FLN à Paris ;

pas un mot sur les milliers d’Algériens assassinés dans la région parisienne par l’organisation spéciale (OS) du FLN soit parce qu’ils appartenaient au MNA ; qu’ils refusaient de payer l’impôt révolutionnaire ; qu’ils soutenaient la France ; qu’ils buvaient de l’alcool ou vivaient avec des Françaises.

Pas un mot sur ces dizaines de cadavres poignardés, égorgés, torturés, retrouvés dans la Seine tout au long de l’année 1961 et jetés au fil du courant par les hommes demain de la Wilaya 1. Oui ici on noie les Algériens mais en la matière les plus zélés n’étaient pas ceux qu’on croie.

Pas un mot sur les menaces de mort du FLN pour obliger une partie des Algériens à manifester ; pas un mot sur le fait que pendant que leurs congénères tombaient sous les matraques de la police, les chefs étaient bien planqués à l’arrière et négociaient cyniquement avec le gouvernement les modalités de l’indépendance ».

« la mort de ces trente et un Algériens a été automatiquement attribuée à la police sans qu’il y ait aucune certitude absolue qu’ils aient tous été tués par elle, loin de là. Certains cadavres portaient la blessure de l’égorgement ! De plus, il ne s’agissait  pas  de meurtres prémédités avec chasse à l’homme, autrement dit de « ratonnades ». Ces hommes ont été vraisemblablement tués quand la manifestation « pacifique » a dégénéré en échauffourées qui ont obligé les policiers à faire usage de leurs armes pour se dégager.

Qu’ils l’aient fait sans modération, peut-être. Il est à noter toutefois qu’aucune femme ni enfant n’ont été tués. Pourtant, selon l’habitude bien connue des Arabes musulmans et de leur sens très particulier de l’honneur, ils avaient été placés en tête du cortège dans l’espoir qu’il y aurait des morts parmi eux. Les Algériens auraient pu ainsi jouer, comme ils savent si bien le faire, les victimes  et prendre le monde à témoin de la répression coloniale aveugle qu’ils subissaient ».

Malgré les voix remettant un peu d’ordre dans les faits, comme par exemple encore sur ce site de Pieds-Noirs, le mensonge d’Etat, cette propagande bien rôdée et bien apprise sur ces tristes évènements, continue d’avoir l’aval institutionnel jusqu’à l’indigestion.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société