Je n’irai pas jusqu’à dire que je fais office de « prophète », comme le suggère Coco, une des lectrices de Résistance républicaine, dans les commentaires sous mon article, mais
j’avertis mon entourage des dangers de l’islam pour sauver la France de la peste verte. Ca peut paraître ambitieux comme projet, mais aujourd’hui je sais que c’est faisable. Je ne me sens plus seule comme avant. La prise de conscience que j’ai toujours souhaitée est en train d’avoir lieu. C’est le moment de s’accrocher.
Les musulmans voient les Occidentaux comme des mous, alors que les Occidentaux leur ont déjà fichu quelques raclées magistrales par le passé.
Il suffirait que cet instinct de survie et de légitime défense coule à nouveau dans les veines des Français élevés dans la repentance éternelle et le mépris de soi. Halte au romantisme de la tolérance à sens unique !
Souvenons-nous des sacrifices des ancêtres des Français, et aussi de leur fermeté face à l’envahisseur musulman.
Bon sang ne saurait mentir, dit le proverbe.
L’autre problème est que les musulmans pensent que les chrétiens sont des crétins, ce qui n’est pas faux pour les chrétiens de gauche et autres misérables « dialogueux », qui vont à la mosquée boire du thé à la menthe accompagné d’étouffes-chrétiens dégoulinant d’un infâme sirop que les Maghrébins appellent du « miel ».
Les prélats chrétiens font des risettes serviles aux enturbannés musulmans, pensant les amadouer, pendant que les imams rient sous le burnous, et ils ont raison.
Combien de fois faut-il expliquer à notre clergé que la gentillesse, en islam, est prise pour de la faiblesse ? Mahomet a ordonné aux musulmans de ne pas signer la paix quand ils sont en position de force.
Donc quand des musulmans négocient, cherchent un arrangement, geignent, se victimisent, tentent de culpabiliser les non-musulmans, c’est parce-qu’ils sont encore minoritaires.
Dès qu’ils deviennent majoritaires, plus question de négocier, ni de s’arranger, ni de « vivre-ensemble ». On peut le vérifier dans 57 pays où l’islam est devenu majoritaire.
Pas un pays, pas cinq pays. CINQUANTE SEPT PAYS !
Quand les Occidentaux croient avoir signé la paix avec l’islam, ils ont en fait signé pour une trêve. L’islam reviendra à la charge dès que les circonstances seront en sa faveur.
Comme dit le Père Henri Boulad, le travail de sape de l’islam, c’est un travail de termites. Il se fait par en-dessous. En apparence, le bois reste intact, mais un jour, vous ouvrez la porte de l’armoire et elle tombe en poussière.
Des musulmans pensent qu’ils nous terrorisent et paralysent notre envie de résister en nous disant qu’ils « aiment la mort comme nous aimons la vie ». C’est ce que Mohamed Merah a dit aux policiers du GIPN qui l’assiégeaient chez lui.
Ce que ces musulmans doivent comprendre, c’est que nous tenons à la vie parce-que nous vivons libres. La vie n’est pas belle quand on est écrasé sous la chape de plomb de l’islam.
Ces musulmans doivent savoir que nous n’aimons pas la vie à n’importe quel prix. Nous n’aimons pas la vie jusqu’à accepter de vivre sous le joug de l’islam. Des non-musulmans meurent tous les jours pour avoir refusé de vivre en musulmans.
C’est vrai que nous n’aimons pas nous faire exploser au milieu d’une foule de civils innocents, ça ne fait pas partie de nos moeurs et nous ne voyons pas ce crime comme un acte glorieux.
Mais s’il faut mourir pour défendre la France et la liberté chèrement acquise par les ancêtres des Français, alors les musulmans verront que sans aimer la mort, nous la préfèrerons à la vie sous la charia islamique.
Eva
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