Comprenez bien : l’islam pousse ses pions partout et constamment. Nous soufflons d’un coté, il attaque notre culture de l’autre.
La burqa, les mosquées, les cantines halal, les piscines séparées, les minarets, les prières de rue, l’islamophobie, les écoles coraniques, sans oublier l’interdiction de critiquer leur religion, cela n’arrête pas. Cela n’arrêtera pas.
L’association islamique «al Huda» avait affirmé en dépot de sa demande qu’elle n’entretenait «aucun lien avec des organisations qui prônent une idéologie».
Elle mentait.
Le tribunal a découvert qu’elle avait des liens idéologiques étroit avec le Conseil central islamique suisse (CCIS).
Al Huda avait juré qu’elle respecterait les prescriptions légales.
Elle mentait.
Le gouvernement a considéré qu’un tel jardin d’enfants ne respectera pas le plan d’étude de l’Office zurichois de l’école obligatoire, car la religion et l’arabe sont les points forts de l’enseignement.
L’organisation souhaitait, avec la création de ce jardin d’enfants pour une vingtaine d’élèves, de renforcer la cohésion de la communauté islamique.
Elle mentait.
En enseignant le coran, l’arabe, et l’islam, elle voulait au contraire séparer les musulmans des non musulmans, renforcer le communautarisme et l’auto exclusion, et marquer son rejet de la culture suisse.
Al Huda affirmait que la « connaissance de la religion constitue la base de tout ce que les enfants apprennent et vivent plus tard ».
Elle disait vrai, et c’est le cœur du problème.
L’Occident, l’Europe, vivent sur un héritage judéo-chrétien en totale opposition avec l’islam. Tout musulman sait que s’il applique les préceptes de sa religion, il va droit en prison.
Répondant aux question d’Olivier Brégeard, le 23 janvier dans l’Alsace, Michel Onfray confirmait :
« l’islam non républicain croit à la loi du Coran, à la charia, à la théocratie. Ce sont deux visions du monde radicalement différentes. Si cette religion est pratiquée intégralement, elle est incompatible avec la République, puisqu’il y a dans le Coran des propos antisémites, bellicistes, misogynes, phallocrates, homophobes, des invitations à égorger les gens, à les massacrer… À un moment donné, il faut donc se demander ce que l’on fait avec ce texte ».
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