L’islam est incompatible avec le développement humain
5200 mosquées en Tunisie, soit une mosquée pour 2000 habitants. L’amour de l’islam est au prix du sacrifice de la Tunisie. Tout pour Allah et son bien-être et la misère et le désoeuvrement pour les hommes. On investit jamais pour améliorer leurs conditions de vie, on doit investir pour le repos de son âme et le confort terrestre d’Allah, le vrai propriétaire des croyants, de leurs biens et de leurs personnes.
Construire une mosquée est l’assurance d’une maison au paradis. Mais construire un orphelinat ou un refuge pour les animaux risque fort de fort de compromettre les chances d’accès au lupanar divin. Le musulman est dépositaire d’un prêt qu’Allah lui a alloué, il doit tout dépenser pour les seuls besoins de son Créancier.
Le bonheur d’Allah est la contrepartie du malheur des hommes. Plus les hommes sont en souffrance psychique, en manque de tout plus cela est jugé comme un attachement inconditionnel aux valeurs de l’islam. L’allégeance à Allah se mesure à l’aune de l’état de dégradation sociale, sanitaire, culturelle, économique, intellectuelle, technologique, éducative, sécuritaire, humaine, du pays.
Les musulmans ont une seule feuille de route à suivre et une seule politique à appliquer qui doit être conformes aux prescrits coraniques et aux hadiths. Allah aime trop les mosquées, et les musulmans doivent y contribuer sus peine de tout perdre dans l’au-delà.
Renouant avec le bigotisme, les tunisiens se mettent aujourd’hui à dépenser sans compter pour rattraper leur déficit en matière de lieux de culte. A chaque fois qu’on ouvre une mosquée, ce sont des milliers d’enfants déscolarisés qui deviendront un jour les produits recyclés par ces nouvelles manufactures de manipulation mentale en bombes humaines.
Le développement humain et l’épanouissement personnel sont un sacrilège dans le contexte culturel musulman. La Tunisie qui passait pour être la première de la classe à l’indice du bonheur brut des pays musulmans est devenue le plus mauvais élève se classant juste derrière la Somalie. Un résultat qui est le reflet de son état de réislamisation à marche forcée.
Aujourd’hui on veut un pays tout dédié à l’islam au mépris de l’humain. En l’espace de trois ans d’un pays modèle, la Tunisie est devenue la risée des nations. Elle marque le pas dans tous les domaines aussi bien en qualité qu’en quantité. Ses universités brillent par leur nullité.
Il ne suffit pas de construire des mosquées pour plaire à Allah et répondre à la demande se son prophète pour se dédouaner de son devoir national. Chaque dinar investi dans le domaine de la foi est contre-productif pour la Tunisie. On ne construit pas l’avenir d’un pays avec des tapis de prières et des édifices religieux imposants pour satisfaire l’ego d’Allah.
On ne soigne pas le cancer avec la pisse de chameau alors que ceux qui le recommandent viennent se faire soigner chez les mécréants comme ils les appellent.
Ni l’islam ni aucune autre religion ne sont un facteur de développement. Il faut repenser les mentalités, briser les chaînes des traditions culturelles scélérates et de réorienter les dépenses publiques vers des domaines porteurs pour le pays.
Un pays sain est jugé sur ses programmes et infrastructures au profit des hommes. La Banque Mondiale n’évalue pas un pays sur le nombre de places dans ses lieux de culte par habitant et le taux de religiosité mais sur sur des indicateurs objectifs tels : Combien de lits d’hôpitaux par habitant ? Combien d’élèves par classe ? ...
Des questions qui resteront sans réponses car y répondre reviendrait à remettre en question la toute puissance de l’islam, et impliquerait la nécessité de son éradication en tant que virus mortel pour les sociétés humaines.
Aucun avenir pour la Tunisie dans un environnement mortifère musulman.