BREIZATAO – NEVEZINTIOU (13/01/2015) Le journal Le Télégramme découvre, médusé, les joies de l’immigration extra-européenne et musulmane à la faveur des récents événements. Mais prend soin d’embellir un tableau d’ensemble désastreux. Extraits :
“À la suite de ce rassemblement, de très nombreux élèves ont marché vers le centre-ville pour manifester pacifiquement. Seuls quelques élèves de confession musulmane ont refusé de s’associer à ce mouvement, comme l’explique une terminale de l’établissement. « J’ai entendu une fille expliquer à une autre qu’il y avait eu blasphème, que le prophète était vengé et que c’était bien.
Des paroles très dures ». Cette forme de crispation, les enseignants du collège Max-Jacob situé non loin de là, et où sont représentées vingt nationalités différentes, ont déclaré également l’avoir ressentie. « Ils n’étaient pas tous Charlie.
Loin de là, souligne un professeur d’EPS. Certains ont un rapport au blasphème qui est loin du nôtre ».”
Vous avez bien lu, pour le journal Le Télégramme, la satisfaction bruyante d’élèves musulmans sur ce qui s’est passé en France relève d’une “forme de crispation”. Ou de mauvaise humeur serait-on tenté de dire.
On a ses pudeurs dans les rédactions immigrationnistes quimpéroises.