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david MIEGE
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20 novembre 2013 03:05

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Les attaques racistes dont Christiane Taubira est victime sont scandaleuses. Dernière en date, la une de Minute est sans doute la plus répugnante d’entre toutes. Aussi légitimes soient-elles, les protestations outragées de ces derniers jours ne sont cependant pas exemptes d’arrière-pensées : la démarche de la Gauche, qui tente de ressusciter le vieux fantasme de la France raciste, procède avant tout d’une basse manœuvre politicienne dont le dessein est d’apeurer les électeurs en agitant le spectre de l’extrême droite.

Comme à l’accoutumée dans ce type de campagne médiatique dénonçant la résurgence du racisme, une seule fraction de la population est mise en accusation ; cette habitude d’accabler l’homme blanc de tous les maux relève de la manipulation. La France qui accueille généreusement tant d’étrangers venus de tous les horizons n’est certainement pas un pays raciste ; les propos mis en cause ne doivent donc pas être généralisés.

De surcroît, l’orchestration de cette campagne occulte complètement le racisme antiblanc : toujours bourreaux mais jamais victimes, les Blancs sont d’éternels coupables. Pourtant, eux aussi sont fréquemment les cibles d’insultes racistes, notamment sur les réseaux sociaux qui se transforment parfois en un grand défouloir de haine et de bêtise.

Déversé sur la Toile ou en couverture d’un journal, le racisme est toujours traumatisant. Il le devient davantage encore lorsque les agressions verbales se transforment en violences physiques. Or, la focalisation du débat sur des allégations ordurières détourne la discussion des formes de racisme les plus dures ; lesquelles existent pourtant bel et bien. Les populations blanches de certaines banlieues en sont d’ailleurs les premières victimes.

Aujourd’hui en effet, l’expression raciste la plus violente et décomplexée se développe là où les populations issues de l’immigration africaine sont devenues majoritaires. Les Français d’origine européenne quittent ces villes et ces quartiers, non seulement en raison de leur isolement culturel, mais également à cause des violences dont ils sont les cibles. Esseulés face à des groupes soudés par des appartenances communautaires, les jeunes gens d’origine européenne se trouvent souvent en position de faiblesse.

Ce phénomène concerne tout particulièrement les jeunes filles blanches. Considérées comme des proies faciles, elles font souvent l’objet d’intimidations ou d’agressions ; pour preuve, plusieurs viols à caractère raciste ont été recensés dans les banlieues ces dernières années. À tel point que plusieurs jeunes filles ont déclaré s’être converties à l’islam pour échapper à ces violences, dans une invraisemblable assimilation à contresens.

Malgré l’abondance des témoignages, l’existence du racisme antiblanc est bien souvent niée par notre classe dirigeante. En dépit de sa brutalité, la réalité est ainsi sèchement rejetée : tout ce qui n’est pas conforme à l’idéologie, vantant les bienfaits de l’immigration et du multiculturalisme, n’a pas droit de cité.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société