Une manifestation de « mal-logés » en région parisienne
La DRIHL (Direction Régionale et Interdépartementale de l’Hébergement et du Logement), en association avec la FNARS, l’AORIF, a commandité une étude menée par une doctorante au Lab’Urba de l’université Paris-est, sur le relogement des personnes anciennement hébergées en Ile-de-France. Interrogées sur leur situation actuelle et passée, 279 personnes logées en Ile-de-France, à l’exception de Paris, ont été sollicitées par téléphone. Toutes ont connu l’hébergement avant de retrouver le chemin du logement et 156 ont accepté de répondre aux questions de cette chercheuse sur leur itinéraire particulier. (…)
19,6% des personnes interrogées sont nées en France métropole ou dans les départements et territoires d’outre-mer. Elles sont 79,7% à être nées dans un pays autre que la France. (…) 77,9% d’entre elles sont nées en Afrique sub-saharienne (13,9% en Afrique du Nord). 1,6% des personnes nées dans un pays étranger sont nées en Europe.
Etude de la Drihl (p.38)
Source : Drihl,
mots clefs : mal logés, squatteurs, DRIHL