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14 août 2012 01:15

libya_syria_iran.gifDes signaux inquiétants pour la liberté d'expression, qui s'ajoutent au Processus d'Istanbul auquel participent l'Administration Obama et l'OCI pour la mise en oeuvre des résolutions de l'ONU qui, sous prétexte de combattre «l'intolérance religieuse», menacent de conduire à la répression de toute critique de l'islam.

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[   ] La semaine dernière, Thomas Perez, assistant Procureur général de la Section des droits civils du ministère de la Justice, s’est fait demander par Trent Franks (R-AZ), membre du sous-comité sur la constitution de la Commission judiciaire de la Chambre des représentants : « Pouvez-vous affirmer aujourd’hui que le ministère de la Justice de cette administration ne nourrira jamais le projet, et ne proposera jamais de criminaliser la critique d’une religion ? »

Thomas Perez a refusé de répondre. Quatre fois !


 

Pourquoi Franks a-t-il ciblé Perez ? Voici l’explication :

En octobre dernier, une rencontre a eu lieu à l’Université George Washington entre des fonctionnaires du ministère de la Justice, dont Perez, et des islamistes opposés à la liberté d’expression. La délégation des lobbyistes islamistes comprenait Mohamed Magid, président de l’ISNA (Islamic Society of North America). L’ISNA est une façade des Frères musulmans et a été désignée en 2008 comme un conspirateur non inculpé dans un procès pour financement du groupe terroriste Hamas. Au cours de la réunion, les islamistes ont formulé les demandes suivantes, par l’intermédiaire du leader du groupe, Sahar Aziz, avocat américain d'origine égyptienne et professeur à l’Institute for Social Policy and Understanding, un groupe de défense des musulmans basé au Michigan :   

  1. réduction de la formation pour lutter contre le terrorisme ;
  2. limitation des pouvoirs de ceux qui enquêtent sur le terrorisme ;
  3. modification des manuels de formation des enquêteurs ;
  4. une déclaration juridique affirmant que la critique de l’islam aux USA doit être considérée comme de la discrimination raciale.

Sahar Aziz a fait valoir que le mot « musulman » était devenu « racialisé » et que lorsque les critiques de l’islam aux USA seront réduits au silence, « la police locale et les centres de fusion du renseignement qui nous espionnent tous ne recevront plus de fonds fédéraux ».

Et quelle fut la réponse de Perez et des fonctionnaires de ministère de la Justice ? Rien. Pas d’objection. Pas de défense de notre droit à la liberté d’expression en vertu du Prermier amendement.

 

Source : Obama Administration Paves the Way for Sharia Law, Breitbart, 6 août 2012. Extrait traduit par Poste de veille

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Religions