Face aux préjugés servis par les médias sur les violences conjugales (des hommes, beaufs, alcooliques, de droite donc racistes, battent leurs femmes en regardant un match de foot à la télé), deux articles permettent d’avoir une image plus contrastée de ce fléau.
Dans un article paru sur Agoravox, un internaute dénonce la méthodologie idéologisée des sociologues français qui étudient les violences conjugales sous l’unique angle des femmes battues, biaisant de ce fait l’ensemble des études statistiques établies en France, tant dans la méthodologie que dans le traitement des données.
Des sociologues féministes qui pondent des études où la femme est l’unique victime et que les médias reprennent à volonté sans vérifier quoi que ce soit (comme d’habitude).
Ainsi, l’auteur reprend une étude canadienne selon laquelle les hommes seraient bien plus victimes de violences conjugales que ne le disent les études françaises. Il cite les chiffres de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), français pour qui 71% des victimes de violence physique ou sexuelle au sein du ménage sont des femmes, alors que selon les données québécoises, elles ne représentent que 56% des victimes. Un écart qui s’explique par la méthodologie biaisée des études françaises.
En outre, une autre étude canadienne, publiée par Statistique Canada, nous apprend que « le taux de violence conjugale chez les homosexuelles est le double de celui déclaré par les hétérosexuelles (15 % contre 7 %) ». Ça ne va pas plaire à Caroline Fourest et aux autres défenseurs du mariage pour tous qui nous expliquent que les hétérosexuels sont de mauvais parents.
Bien sûr, les auteurs de l’étude nous expliquent que cette violence vient de l’homophobie qui met les homosexuels dans un état de stress permanent et qui explique les disputes dans les couples homos… En même temps, depuis 30 ans, le PS nous explique bien que les tournantes et agressions commises par les jeunes des quartiers sont dues au racisme de la société française…
Mais rassurez-vous, personne ne vous parlera jamais de ces études en France…
La violence faite à la réalité, c’est maintenant !