Violences LGBT à Science-Po
Communiqué du Printemps français :
"A SciencesPo, la « Queer week » s’est traduite cette semaine par la diffusion de films pornographiques « queer » dans les amphithéâtres de cette prestigieuse école, par des ateliers de travestissement dans les salles de classes, par des photos de partouzes dans les halls d’entrée, et par des nombreuses conférences de militants LGBTIQ extrémistes.
Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français, a été invitée au colloque « Alliances émancipatrices : au-delà du Queer » du vendredi 28 mars, par un groupe d’étudiants de SciencesPo choqués par les dérives des gender studies dans le milieu universitaire.
En effet, selon les mots de l’équipe organisatrice, « tout le monde est invité à participer, tous les événements sont gratuits et ouverts à tous ». En pratique, Béatrice Bourges, bien que simple spectatrice de la conférence, a été très violemment rejetée. Une partie de l'audience et un(e) des intervenants du colloque se sont précipités sur la porte-parole du Printemps français et l'ont bousculé violemment au point de la faire tomber au sol. L'intervention des services de sécurité de SciencesPo a heureusement permis à Béatrice Bourges de repartir indemne.
Le Printemps français accuse SciencesPo d’utiliser scandaleusement les impôts de tous les Français pour subventionner des conférences de militants LGBTIQ violents, sectaires et incontrôlables. Le Printemps français demande au ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche de rendre des comptes sur le financement de la « Queer week » et s'inquiète du manque de pluralisme dans le milieu universitaire français.
Cet événement permet une nouvelle fois au peuple français de constater l’indécence des mensonges du gouvernement, qui continue d’affirmer « à la Cahuzac » que les théories du « gender » n’existent pas…"
source