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28 septembre 2020 16:38

Alors qu'il s'était présenté sous le nom d'Hassan A., l'assaillant s'appellerait en réalité Zaheer Hassan Mehmood et aurait revendiqué son geste dans une vidéo précédant l'attaque.

Les enquêteurs en charge de l'attaque au hachoir vendredi 25 septembre à Paris devant les anciens locaux de Charlie Hebdo s'interrogent sur l'identité réelle du principal suspect, qui s'est présenté jusqu'à présent comme un Pakistanais de 18 ans.

Des recherches dans le téléphone portable de celui qui se fait appeler Hassan A. ont permis aux enquêteurs d'y découvrir la photo d'une pièce d'identité, selon laquelle ce dernier s'appellerait en réalité Zaheer Hassan Mehmood et aurait 25 ans, ont indiqué ces sources à l'AFP, confirmant une information du Monde

Comme nous l'écrivons dans nos éditions de ce 28 septembre, c'est sous cette identité que s'est présenté cet homme dans une vidéo de revendication enregistrée avant l'attaque et authentifiée par les enquêteurs. L'attaque au hachoir a fait deux blessés graves, employés d'une agence de presse télé.

Dans ce document de deux minutes, qui a circulé durant le week-end sur des réseaux sociaux, l'assaillant qui se présente comme Zaheer Hassan Mehmood revendique son geste à venir, sans faire allégeance à une quelconque organisation, et l'explique par «les caricatures du prophète Mohammed qui ont été faites». «Aujourd'hui, vendredi 25 septembre, je vais les condamner», ajoute-t-il, revendiquant avoir pour «guide» le mollah Ilyas Qadri, chef de file de Dawat-e-Islami, un groupe religieux apolitique et non-violent d'inspiration soufie, basé au Pakistan.

La garde à vue de l'assaillant, qui a assumé son acte et reconnu avoir voulu s'en prendre à Charlie Hebdo, ignorant que la rédaction avait déménagé dans un lieu secret depuis les attentats de 2015, a été prolongée de 48h dimanche. Cinq autres gardes à vue sont encore en cours lundi : trois anciens colocataires du principal suspect dans son appartement de Pantin, son petit frère et une connaissance.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Attentat
28 avril 2020 01:47

L’homme qui a percuté ce lundi 27 avril à Colombes deux motards de la police en blessant grièvement l’un d’entre eux a été interpellé sur place. Que sait-on de cet homme qui, à en croire une source policière consultée par Sputnik, a agi volontairement?

Vers 17h40 ce lundi 27 avril, un homme au volant d’une voiture de marque BMW a percuté deux policiers à moto et un véhicule de la police municipale à Colombes (Hauts-de-Seine), après quoi il a été arrêté sur place. Les deux agents ont été transportés à l’hôpital, dont un en urgence absolue, a appris Sputnik auprès d’une source policière.

Mourir en martyr

D’après les informations communiquées par cette source, l’individu, âgé de 29 ans, s’appelle Youssef T. Il aurait voulu mourir en martyr et aurait regardé des vidéos de Gaza avant de passer à l’acte. Il a avoué avoir agi avec la volonté de tuer. Pour le moment, aucune déclaration officielle sur le caractère délibéré des faits n'a pourtant été faite.

 

​En outre, un message et un couteau ont été trouvés dans la voiture de l’assaillant, rapporte la même source. À son tour, Actu 17, évoquant un informateur proche de l’enquête, indique que dans ses premières déclarations, l’homme a évoqué Daech*, mais souligne que les enquêteurs restent prudents.

 

Selon les informations du Parisien, l’homme est né à Luneville (Meurthe-et-Moselle) et habitait Colombes.

Des motivations à éclaircir

Alors que les services antiterroristes, la DGSI et le parquet national antiterroriste ont été avisés et sont en train d'évaluer les faits, une source au parquet a indiqué à l’AFP que le suspect n'avait pas d'antécédents judiciaires récents mais était connu pour des «faits de droit commun anciens». Ses motivations «restent à éclaircir», a ajouté cette source à l’agence de presse.

 

D’après Actu 17, l’homme est connu des services de police uniquement pour des faits d’outrage, en 2014, et il ne ferait pas l’objet d’une fiche S (sûreté de l’État), ni ne serait visé par une fiche de recherche.

Réaction de Christophe Castaner

Après Didier Lallement, préfet de police de Paris, le ministre de l’Intérieur a également exprimé son soutien aux policiers blessés.

Tout en rendant hommage «au sang-froid des policiers municipaux qui leur ont porté secours et ont interpellé le mis en cause», Christophe Castaner a ajouté que l’enquête ferait toute la lumière sur les motivations de l’individu.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Attentat
27 avril 2020 23:35
 

Deux policiers ont été délibérément percutés par un automobiliste à Colombes (Hauts-de-Seine) ce lundi 27 avril. L’individu assure avoir “agi pour l'Etat islamique”, après avoir visionné une vidéo sur la Palestine, rapporte Le Parisien. La piste terroriste est fortement envisagée. 

Vers 17h30 ce lundi 27 avril, un homme en scooter refuse d’obtempérer face à un contrôle de police à motos à Colombes, dans les Hauts-de-Seine, relate Le Parisien. Après une course-poursuite, l’individu abandonne son deux-roues et prend la fuite à bord d’une voiture de marque Peugeot. L’équipage de police se trouve alors sur le bas du boulevard de Valmy, quand un second véhicule les percute de plein fouet. 

Le suspect a dans le même temps percuté une voiture de police municipale, alors qu’il arrivait à pleine vitesse à bord d’un véhicule de marque BMW noir. Après l'incident, il a été arrêté par des policiers municipaux qui se trouvaient dans les alentours.

Il s’agit d’un homme de 29 ans nommé Youssef T., domicilié à Colombes et né à Luneville (Meurthe-et-Moselle), rapporte encore le quotidien de la capitale. Ces collisions et les propos de l'assaillant arrêté font clairement allusion à un possible mobile terroriste. Il a affirmé aux autorités : « Je l'ai fait pour l'Etat islamique. »

Des allusions possiblement terroristes

Selon les informations du Parisien, le suspect venait de voir une vidéo sur la Palestine. Youssef T., a avoué avoir agi volontairement selon les premiers éléments. Un couteau et une lettre ont été retrouvés dans le pare-soleil de son véhicule. La lettre fait des allusions possiblement terroristes. 

Elle y expliquerait ses motivations, affirme Le Parsien. Plusieurs pistes sont étudiées. L'hypothèse terroriste n'est pour l'heure pas écartée. La DGSI et le parquet antiterroriste sont en train d’étudier les faits. L’individu a été placé en garde à vue au poste de police judiciaire des Hauts-de-Seine. 

Les deux policiers à moto ont été pris en charge par le SAMU, selon la préfecture de police de Paris, comme le révèle franceinfo. Le premier est en état d’urgence absolue. Il souffre en effet de plusieurs fractures, a été intubé et placé dans un coma artificiel. 

L’agent a été transporté à l’hôpital Beaujon à Clichy et va y être opéré, explique une source policière à franceinfo. Le deuxième a été conduit à l’hôpital Percy à Clamart, en urgence relative. La maire LR de Colombes, Nicole Goueta, s’est rapidement rendue sur les lieux : « Mes pensées vont à leur famille. Je n'ai jamais vu cela. C'est horrible, effroyable… », évoque-t-elle avec effroi.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Attentat
29 mai 2019 18:31

Deux ans après l'attentat du London Bridge, qui a coûté la vie à huit personnes, l'enquête a mis au jour des détails sur le profil des assaillants. Khuram Butt, le meneur du groupe terroriste, a un temps été employé du métro de Londres.

Le 3 juin 2017, un attentat frappait le cœur de Londres : trois assaillants à bord d'une camionnette fonçaient dans la foule sur le London Bridge, avant d'attaquer des passants au couteau.

Les terroristes tuaient huit personnes avant d'être abattus par les forces de l'ordre. Deux ans plus tard, l'enquête de la justice britannique révèle que Khuram Butt, le meneur du groupe terroriste, était employé du métro de Londres, le célèbre Tube, depuis mai 2015. L'homme avait pourtant fait l'objet d'un reportage télévisé – «The Jihadis Next Door» – dans lequel il ne cachait pas son inclinaison pour l'islam radical, rapporte The Guardian.

Une inclinaison de notoriété publique qui ne l'a pas empêché de passer les contrôles de sécurité nécessaires à l'embauche au sein du métro. Pis, il a été déployé dans des stations sensibles telles que celle Westminster, station sise dans le quartier où s'est déroulé l'attaque.

Au sein de celle-ci, il avait notamment des fonctions de sécurité. Khuram Butt a finalement quitté son emploi après un arrêt de travail, arguant que ses chaussures de travail lui faisaient mal aux pieds.

Quelques jours après l'attentat, la police britannique avait révélé que les auteurs de l'attentat du 3 juin avaient tenté de se procurer un camion de 7,5 tonnes en location pour commettre leur acte. S'ils y étaient parvenus, les conséquences de l'attentat «auraient pu être pires» estimait la section antiterroriste de la police de Londres.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Attentat
1 mai 2019 19:49

La responsable de l’accueil de la caisse d’allocations familiales a été blessée au couteau, lundi 29 avril 2019, à Quimper. Les accueils de Quimper, Brest et Morlaix sont fermés jusqu’au 3 mai inclus.

Une chargée d’accueil de la Caisse d’allocations familiales (Caf) a été agressée, lundi 29 avril 2019, à Quimper (Finistère), vers 14 h.

Une allocataire s’est présentée à l’accueil de la caisse. Malgré la réponse apportée par l’agent d’accueil, cette allocataire s’est emportée verbalement et a été reçue en bureau individuel par la responsable de l’accueil. L’allocataire l’a alors agressée avec un couteau qu’elle avait en sa possession. La responsable a été blessée à la main et a été choquée.

La femme a également pris à partie deux autres allocataires qui se trouvaient dans l’accueil. Interpellée par les agents de police de Quimper, la femme, âgée de 46 ans, a été placée en garde à vue, présentée au parquet puis placée sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès.

[…]

Ouest France

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Attentat
22 avril 2019 14:06

Les attaques contre des églises et hôtels qui ont fait au moins 290 morts le dimanche de Pâques au Sri Lanka auraient été menées par un mouvement islamiste local, en coordination avec un «réseau international», selon les autorités.

«Nous ne croyons pas que ces attaques ont été conduites par un groupe de personnes confinées à ce pays. Il y avait un réseau international, sans lequel ces attaques n’auraient pu être menées à bien», a déclaré le porte-parole du gouvernement sri-lankais Rajitha Senaratne, cité par Reuters, au lendemain des attaques menées le 21 avril au Sri Lanka. Il a attribué l’origine des attentats au groupe islamiste National Thowheeth Jama’ath (NTJ).

Dans un communiqué, le président Maithripala Sirisena a appelé à la coopération avec l’étranger, en vue de mettre en lumière les connexions internationales dont bénéficierait le mouvement terroriste.

Le 21 avril, dimanche de Pâques, plusieurs attentats menés par des kamikazes contre des églises catholiques et des hôtels, dans différentes parties de l’île, ont fait au moins 290 morts et des centaines de blessés au Sri Lanka. Une bombe a également été retrouvée et désamorcée à proximité de l’aéroport international de Colombo.

24 personnes ont été arrêtées en lien avec les attaques, mais aucun groupe n’a revendiqué les attentats dans l’immédiat. L’état d’urgence devrait être décrété dans tout le pays le 22 avril, selon Reuters.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans attentat
17 avril 2019 20:41

La jeune femme de 22 ans sera jugée à l’automne 2019 pour son implication dans l’attentat raté contre la cathédrale Notre-Dame de Paris.

Six mois avant d’être jugée pour l’attentat raté de Notre-Dame en 2016, Inès Madani a été condamnée, ce vendredi 12 avril 2019, par le tribunal correctionnel de Paris à une peine de huit ans de prison avec une période de sûreté des deux tiers pour des faits plus anciens, qui avaient révélé son rôle de mentor auprès d’aspirants djihadistes.

Les cheveux attachés en chignon, la jeune femme de 22 ans a accueilli ce jugement avec le sourire, après un procès de trois jours qui lui a permis d’expliquer ses agissements. Elle encourait dix ans de prison. « Le tribunal vous a écoutée avec attention. Cette attention et cette reconnaissance vous l’aviez recherchée », a déclaré la présidente Isabelle Prévost-Desprez.

Elle incitait à commettre des attentats

Dans ce dossier, il lui était notamment reproché d’avoir animé un groupe franco-belge sur la messagerie cryptée Telegram dans lequel elle a incité des hommes comme des femmes à partir pour la Syrie et à commettre des attentats en France, entre mars 2015 et juin 2016.

Dans une lettre, elle exhortait à commettre un attentat contre « les koufars (mécréants) dégueulasses ». Dans un deuxième courrier, elle listait les ingrédients nécessaires pour réaliser des explosifs.

Une « décision acceptable » pour la défense

Le parquet avait requis une peine de neuf ans d’emprisonnement assortie d’une période de sûreté des deux tiers. Inès Madani, jeune femme fragile, a « une personnalité déroutante », a souligné le procureur au début de ses réquisitions.

Elle a été « recrutée » par Oumar Diaw, surnommé Abou Barrou, un djihadiste influent du groupe État islamique (EI) en Syrie, a rappelé Isabelle Prévost-Desprez à la lecture du jugement. Sur les réseaux sociaux, elle utilisait des pseudonymes de combattants pour avoir plus de poids.

Elle s’est ainsi faite passer pour Abou Souleymane, un djihadiste revenu de Raqa pour réaliser des attentats en France. « Vous aviez une certaine autonomie dans la gestion de votre personnage. […] Votre détermination marque votre dangerosité », a déclaré la présidente du tribunal.

De retour au tribunal en septembre 2019

Inès Madani sera de retour devant la justice à l’automne, mais cette fois aux assises. Elle sera jugée du 23 septembre au 11 octobre pour avoir tenté d’enflammer une Peugeot 607 remplie de six bonbonnes de gaz devant la cathédrale Notre-Dame à Paris en septembre 2016.

Le tribunal jugeait deux hommes aux côtés d’Inès Madani. Cüneyt Kolankaya, qui jouait le rôle d'« émir » dans la cellule jihadiste franco-belge, a été condamné à la peine maximale de dix ans d’emprisonnement assortie d’une période de sûreté des deux tiers.

Il se faisait appeler Abou Oussama, en hommage à Ben Laden. Après avoir été refoulé de Turquie alors qu’il voulait se rendre en Syrie, il avait conservé le « rêve » de « mourir en martyr ».

Mehdi Boury, qui était lui chargé de trouver de faux documents d’identité et des armes, a été condamné à six ans de prison, avec une période de sûreté des deux tiers. Il avait prêté allégeance au groupe État islamique. « Mon rêve, c’est de revenir avant cette affaire », a-t-il dit au tribunal. « J’ai fait des bons choix dans ma vie et des mauvais. Celui-là, c’était un mauvais ».

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Notre-Dame Attentat
20 mars 2019 19:44

« C’est un miracle, cela aurait pu être un carnage. Les carabiniers ont été exceptionnels pour bloquer le bus et faire sortir tous les enfants », a déclaré à la presse le procureur de Milan, Francesco Greco, précisant ne pas exclure « l’hypothèse du terrorisme ».

(…) Le Figaro

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D’après le média italien TGcom24, le chauffeur de bus sénégalais Ousseynou Sy, qui a voulu tuer des dizaines d’enfants, serait né en France.


«C’est un miracle, cela aurait pu être un carnage. Les carabiniers ont été exceptionnels pour bloquer le bus et faire sortir tous les enfants», a déclaré à la presse le procureur de Milan, Francesco Greco, précisant ne pas exclure «l’hypothèse du terrorisme».

Les 51 élèves de deuxième année de collège revenaient d’une sortie sportive avec trois accompagnateurs quand le chauffeur a subitement changé de trajectoire à San Donato Milanese et pris ses passagers en otage. «Personne ne sortira d’ici vivant», a-t-il lancé, selon le témoignage de plusieurs enfants.

(…) Le Figaro


Il s’appelle Ousseynou Sy, a 47 ans et est italien d’origine sénégalaise. Ce mercredi, ce chauffeur d’une ligne de bus de Milan a voulu perpétrer un massacre pour « venger les morts en mer ».

Alors qu’il conduisait son bus, dans lequel avaient pris place de nombreux enfants, l’homme a détourné celui-ci de son itinéraire, a attaché les enfants avec des câbles aux poignets et les a menacés d’un couteau. Heureusement, l’un d’eux a pu conserver son téléphone et former le numéro des urgences.

Plus de 100 carabiniers ont alors rapidement identifié et intercepté le bus et l’ont forcé à s’arrêter. Mais le chauffeur, qui avait caché des bidons d’essence, a répandu ceux-ci et a crié à l’attention des policiers qu’il faisait ce geste « pour venger les morts en mer« . Une référence aux migrants venu d’Afrique qui meurent en Méditerranée dans des embarcations de fortune en tenant de rejoindre l’Europe, alors que l’Italie leur refuse l’accès à son territoire.

Puis il a bouté le feu au bus avec les enfants toujours à l’intérieur. Les carabiniers ont alors cassé des vitres pour faire sortir ceux-ci. Ils s’en sortent finalement tous indemnes, mis à part quelques intoxications dues aux fumées. 12 enfants et 2 adultes ont été transportés à l’hôpital par mesure de précaution.

L’homme a des antécédents de conduite et état d’ivresse et de violences sexuelles. Ce qui a conduit le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini à se demander « pourquoi quelqu’un avec des antécédents pareils a-t-il pu devenir chauffeur de bus ».

Senego.com / RTL

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Attentat
23 juillet 2016 18:13

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