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18 avril 2019 15:00
EUROSCEPTIQUE - Le Parti du Brexit, mené par l'eurosceptique Nigel Farage, est donné favori au Royaume-Uni pour les élections européennes en principe prévues le 23 mai, selon un sondage publié mercredi.

Le Parti du Brexit, mené par l'eurosceptique Nigel Farage, est donné favori au Royaume-Uni pour les élections européennes en principe prévues le 23 mai, selon un sondage publié mercredi.

 

Nigel Farage fait la course en tête. Selon un sondage, son parti eurosceptique en faveur du Brexit tient la corde avec 27 % des intentions de vote, devant les partis travailliste (22 %) et conservateur (15 %), selon le sondage de l'institut YouGov réalisé les 15 et 16 avril auprès de 1855 Britanniques.

Il y a une semaine, le parti de Nigel Farage, député européen, se situait pourtant à la troisième place, avec 15 %. Mais c'était avant le lancement de la campagne officielle du parti, vendredi à Coventry, dans le centre de l'Angleterre, a expliqué l'institut de sondage dans un communiqué.

La formation politique a depuis bénéficié d'un "coup de projecteur". Le parti se présente comme le sauveur du Brexit, capable de mener à bien le divorce entre le Royaume-Uni et l'Union européenne, alors que le gouvernement conservateur de Theresa May a demandé son report à deux reprises.

Le Brexit plusieurs fois repoussé

Initialement prévu le 29 mars, à l'issue du référendum de juin 2016, le Brexit a été une première fois repoussé au 12 avril, puis au 31 octobre. Ce délai peut à tout moment être raccourci si les députés britanniques adoptent l'accord de divorce conclu par Theresa May avec Bruxelles. Mais s'ils ne l'ont pas fait avant le 23 mai, les Britanniques devront élire des représentants au Parlement européen.

 

Selon le sondage, la percée du Parti du Brexit a fait chuter, en une semaine, de 14 % à 7 % les intentions de vote pour le parti europhobe et anti-immigration Ukip, pourtant grand vainqueur du scrutin européen de 2014 avec plus de 26 % des voix, et dont Nigel Farage est l'ancien dirigeant.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans brexit
19 mars 2019 22:24

A l'approche de la date officielle du Brexit, la scène politique britannique est rythmée par d'incessants rebondissements, eux-mêmes liés au bras de fer entre Londres et Bruxelles. Malgré ce chaos, l'économie britannique affiche de beaux chiffres.

A l'approche de la date théorique de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE), l'imbroglio politique autour de sa mise en place se poursuit : le Premier ministre britannique Theresa May doit adresser d'ici mercredi 20 mars une lettre à l'UE pour demander un report du Brexit au-delà de l'échéance du 29 mars.

Sur le plan économique, en revanche, la situation se montre avantageuse pour le Royaume-Uni : l'Office national des statistiques britannique rapporte que le taux de chômage du pays a atteint son plus bas niveau depuis 1975, reculant à 3,9% lors des trois mois achevés à fin janvier 2019. Malgré, donc, toutes les incertitudes économiques que fait peser le Brexit.

En outre, selon le même organisme, le taux d'emploi a atteint un nouveau record historique à 76,1%, son plus haut niveau depuis le début de la compilation de ses statistiques en 1971.

Enfin, les salaires, primes comprises, ont nettement progressé de 3,4% sur un an, renforçant le pouvoir d'achat des ménages qui avait souffert en 2017 d'une forte hausse des prix.

Si le Brexit n'a pas encore été mis en place, ces chiffres démentent, tout du moins, certaines prédictions pessimistes sur l'impact immédiat du vote en faveur du Brexit sur l'économie britannique.

Dans un climat anxiogène lié aux négociations tendues, tant entre le gouvernement britannique et les députés qu'entre Londres et Bruxelles, nombre d'anti-Brexit défendent l'idée d'un nouveau référendum sur le sujet, estimant que les électeurs n'avaient pas voté en connaissance de cause pour la situation confuse actuelle.

A l'inverse, des Brexiters s'estiment trahis par leurs dirigeants, à qui ils reprochent une trop lente mise en place du Brexit ou un Brexit trop «soft» (c'est-à-dire accordant trop de concessions à l'UE). Une centaine d'entre eux ont entamé le 16 mars une longue marche vers Londres depuis le nord-est de l’Angleterre.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans brexit