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david MIEGE
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18 novembre 2021 11:31

Le changement climatique est un sujet qui prend beaucoup de place dans nos vies, dans des lieux aussi triviaux que la pompe à essence. Il serait donc capital de confier son étude à des scientifiques aussi honnêtes que sérieux. Malheureusement, le GIEC ne mérite pas ces deux adjectifs.

Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) rassemble des scientifiques bénévoles mandatés par ses 195 Etats-membres. Ils ont pour charge de synthétiser des milliers d’études climatiques pour rédiger des rapports dont les Etats-membres valideront le résumé. Ce dernier n’est pas prescriptif mais sa validation sous-entend un accord, non seulement avec ses conclusions, mais aussi avec les solutions proposées.

Le GIEC a déjà fait preuve de son imprécision scientifique

A travers le monde, les rapports du GIEC sont parole d’Evangile. Pourtant, leurs conclusions ne sont pas d’une rigueur scientifique irréprochable. Ainsi, le GIEC se base sur des modèles informatiques censés prédire les évolutions climatiques sur plusieurs décennies. Or, les scientifiques savent et répètent que le climat est par nature chaotique, et ne peut donc être prédit sur une très longue durée.
Cela peut expliquer les multiples erreurs du GIEC. Les modèles utilisés sont en réalité des algorithmes gérés par des ordinateurs et programmés par l’homme, qui a donc appliqué au climat les caractéristiques qui lui ont semblé pertinentes.
En d’autres termes, les scientifiques estiment qu’un critère, comme le gaz à effet de serre, a des effets importants sur le climat. Ils construisent donc un modèle informatique basé sur ce critère, et prédisent ensuite les changements climatiques.

Cependant, il peut arriver que ces critères soient surestimés. En 2007, le GIEC et Al Gore, vice-président des Etats-Unis sous Bill Clinton, ont reçu le prix Nobel de la Paix pour leur apport à la lutte contre le changement climatique. Celui d’Al Gore consistait principalement en un film montrant avec une certitude éclatante que le CO2 était responsable du réchauffement. La preuve principale : une double courbe exponentielle liant l’évolution de la température de la planète et l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère. Or, on sait maintenant qu’au Moyen-Âge, il faisait plus chaud sur Terre qu’aujourd’hui, alors qu’il n’y avait que peu de CO2 à déplorer. Il ne s’agit là que d’un exemple parmi d’autres.

Les rapports du GIEC alertent sur les risques du changement climatique en montrant les phénomènes actuels, sans préciser que ces phénomènes ne sont pas nouveaux et qu’on observait les mêmes à une époque où l’influence de l’homme sur son environnement était bien moindre.

Le GIEC compense la rigueur scientifique par le militantisme

Le GIEC doit recenser objectivement les données allant ou non dans le sens d’un changement climatique négatif et anthropique. Ainsi, le ministère français de la Transition écologique explique que « le GIEC a pour mandat d’évaluer, sans parti pris et de manière méthodique et objective, l’information scientifique, technique et socio-économique disponible en rapport avec la question du changement du climat. » On se demande pourtant où est l’objectivité lorsque le GIEC ne prend pas en compte les données de Stephen Koonin ou de Pascal Richet, qui montrent que le changement climatique est bien loin d’être un consensus parmi les scientifiques.

La France gère ses relations avec le GIEC via l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique, aussi nommé ONERC. Celui-ci a trois missions principales : collecter et diffuser des informations sur les « risques liés au réchauffement climatique », proposer des recommandations sur les mesures qui pourraient limiter ces risques et assurer la liaison avec le GIEC. Sa mission est donc d’être catastrophiste. Belle objectivité !

D’ailleurs, le parti pris du GIEC apparaît déjà dans la structure même de ses rapports, qui contiennent une partie sur la stratégie d’atténuation des impacts du changement climatique. La possibilité que le changement climatique ne soit pas négatif, ou que l’homme ne puisse rien y changer, n’est donc même pas envisagée.

Rappelons que ces rapports de plusieurs milliers de pages sont rédigés par des scientifiques bénévoles, qui ont donc de fortes chances d’être aussi des militants. Ils ont surtout besoin de cette collaboration au GIEC pour obtenir des crédits pour leurs laboratoires et leurs recherches. Résultat : si les rapports sont parfois mesurés, on ne peut pas en dire autant des résumés, la seule chose que lisent les décideurs politiques.

 

SOURCE

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- dans CLIMAT
30 avril 2020 14:39

L’information vient du NSIDC (National Snow & Ice Data Center).

L’étendue de la banquise en Antarctique a fortement augmenté en mars 2020 et se trouve être à la fin de ce mois, proche de la moyenne de 1981-2010.

Source : National Snow & Ice Data Center (NSIDC)

La croissance des glaces s’est produite tout le long de la côte antarctique, mais plus particulièrement dans les régions de la mer de Ross et de l’est de la mer de Weddell. Les températures de l’air sur la plupart des zones côtières pour le mois étaient proches de la moyenne de 1981-2010, légèrement au-dessus de la moyenne près de la zone sud de la péninsule, et très en dessous de la moyenne 5 à 7 degrés Celsius dans la région de Wilkes Land.

Les schémas de circulation atmosphérique étaient quelque peu inhabituels, dominés par une dépression importante dans la région de la mer d’Amundsen et de la mer de Ross, une autre zone de basse pression au nord de Dronning Maud Land. Les vents du large créés par ces zones de basse pression coïncident avec les deux zones de croissance rapide des glaces.

Cela met fin à une période de 41 mois de déficit par rapport à la moyenne de la période de référence. Le diagramme ci-dessous montre la décrochage de la banquise entre 2015 et 2019 (en relation avec l’événement El Nino ?).

Evolution de l’étendue de la banquise antarctique 1979-2019 (millions de Km2). Source Agence météorologique du Japon (JMA)

En arctique aussi, la situation évolue favorablement

Récemment nous indiquions que l’extension de la banquise arctique a été cet hiver la plus élevée depuis 2013, et que celle-ci avait en fait cessé de régresser depuis 2007.

Cette évolution favorable se voit confirmer par la situation toute récente (29 avril 2020) de la banquise dans l”archipel du Svalbard, au cœur de l’océan Arctique.

Source : Norwegian Ice Service
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans CLIMAT
8 juillet 2019 13:26

Avec la canicule, la machine médiatique s’est emballée et frôle… la surchauffe !

Bien sûr, on n’a plus le droit de s’interroger sur la réalité du réchauffement climatique ni, le cas échéant, sur son origine anthropique. Toute communication en ce sens est automatiquement taxée de « fake news ».

Aymeric Caron, porte-étendard des végans, a récemment sévi en quittant le plateau de Sud Radio sous prétexte qu’il était inadmissible qu’une radio puisse oser mettre en question l’existence de ce réchauffement, qualifiant même l’émission de « débat complètement arriéré ».

Il ne fait que suivre la trace de Claire Nouvian qui, à la suite d’un débat télévisé où elle avait été copieusement ridiculisée, avait déclaré : « À ces gens-là, je vais leur répondre que oui, je suis folle de rage, qu’ils aient une tribune médiatique rétrograde, révisionniste, que ce soient des négationnistes qui aient accès à la télé pour transformer les cerveaux de nos concitoyens. » »

Révisionniste ? Négationniste ? Diantre, elle n’y va pas avec le dos de la cuiller, la petite dame…

Le fait que 31.000 scientifiques, et non des moindres, aient signé une pétition (Global Warming Petition Project) dénonçant la fable du réchauffement climatique est de nulle conséquence. Que le GIEC ait été pris la main dans le sac pour avoir trafiqué des données accréditant la thèse du réchauffement global est oublié (cf. « Le réchauffement climatique anthropique : un mensonge qui arrange ! » d’Antoine Calandra, publié le 10 janvier 2016 sur Mediapart).

Non, toute la presse s’acharne à vous expliquer que toute remise en cause de la religion réchauffiste ne peut être qu’une hérésie.

Bien au-delà, le catastrophisme est de mise : le réchauffement va provoquer des migrations sans précédent ! Entre nous, je ne vois pas vraiment où est le problème, car les écolos-gauchos sont en faveur d’une immigration massive. Il est vrai qu’ils n’en sont pas à une contradiction près…

La dernière trouvaille absolument géniale : le réchauffement va provoquer un chômage mondial !

Accrochez vos ceintures, car la démonstration vaut son pesant de carbone, diffusée ces jours-ci dans toute la presse. Ainsi, dans Le Figaro : « Le réchauffement climatique pourrait coûter 80 millions d’emplois d’ici 2030, selon l’ONU. » L’auteur du rapport pour l’Organisation internationale du travail en apporte une démonstration limpide : « Comment avez-vous calculé ?
– Pour tous les travailleurs, on connaît le secteur d’activité, mais aussi le niveau de température de la localité du travailleur. […] On peut donc agréger les pertes de productivité pour tous les travailleurs. Par exemple, pour un travailleur agricole, la productivité baisse de 50 % vers une température de 35 °C. Il perd donc une demi-heure de travail toutes les heures. C’est comme cela qu’on arrive à cette estimation mondiale de 2,2 % d’heures travaillées en moins en 2030. »

Donc, si je comprends bien, si la productivité du travailleur baisse de 50 %, ça crée du chômage ? Naïvement, j’aurais cru qu’il aurait fallu, au contraire, deux fois plus de travailleurs pour effectuer la même tâche.

S’il fallait en apporter la preuve, ce n’est désormais plus nécessaire : nous sommes en permanence manipulés et les diseurs de bobards ne sont pas ceux que l’on croit.

 

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans climat