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david MIEGE
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20 mars 2020 23:08

Congés payés, 35 heures, repos hebdomadaire...

L'Assemblée nationale s'apprête à détricoter le code du travail provisoirement.

La gauche se scandalise d'un projet de loi visant à casser certains droits, au nom de l'union nationale face à l'épidémie.

Le gouvernement profite-t-il de la crise sanitaire du Covid-19 pour faire passer une nouvelle réforme, visant à briser de nouveaux des acquis inscrits dans le code du travail ?

L'Assemblée s'apprête en effet le 20 mars à valider le projet de loi d'urgence proposé par le gouvernement, qui pourra lui permettre d'agir ensuite par ordonnances pour apporter des modifications majeures dans le droit du travail, notamment sur le temps de travail ou la prise de congés payés.

Dans les trois mois suivant la publication du projet de loi, le gouvernement pourra ainsi prendre des mesures rapidement pour chambouler provisoirement le code du travail. La gauche est logiquement vent debout : le sénateur socialiste Patrick Kanner, a déploré pour Le Monde des «modifications lourdes au code du travail». Sur Twitter, la syndicaliste CGT Sophie Binet s'alarme aussi de l'ensemble des ordonnances que le gouvernement souhaite prendre au détriment du code du travail.

Le magazine Marianne a d'ailleurs révélé ces modifications majeures du droit du travail. Parmi les ordonnances, le gouvernement pourra ainsi «modifier les conditions d’acquisition de congés payés et permettre à tout employeur d’imposer ou de modifier unilatéralement les dates de prise d’une partie des congés payés, des jours de réduction du temps de travail».

Par voie de conséquence, l'employeur pourra imposer la prise de congés payés pendant la période de confinement, dans la limite d'une semaine, selon un amendement adopté au Sénat.

Or, actuellement, le code du travail oblige l'employeur à ne pas «modifier l'ordre et les dates de départ moins d'un mois avant la date prévue».

Marianne constate une autre conséquence de cette ordonnance : «Les 2,5 jours de congés payés acquis par mois appartiendront peut-être bientôt au passé... Quant aux RTT, un régime plus restrictif pourra également être mis en place.»

Une autre ordonnance, que le gouvernement pourrait prendre, concerne les «entreprises de secteurs particulièrement nécessaires à la sécurité de nation ou à la continuité de la vie économique et sociale».

Quelles sont-elles ? Pour l'instant c'est l'inconnu. Quand cette ordonnance sera adoptée, ces entreprises pourront remettre en cause le droit concernant la durée du travail, le repos hebdomadaire et le repos dominical.

Si le projet de loi assure en outre que toutes les mesures devront être conformes au droit de l’Union européenne («Les mesures prises seront articulées dans le respect des normes de droit international et du droit de l’Union européenne»),

Marianne note que, pour le temps de travail hebdomadaire maximum par exemple, l'UE l'a «fixé à 48 heures par semaine».Enfin, si les mesures par ordonnances sont censées être «provisoires», aucune indication ne permet de savoir si ce provisoire ne pourrait en fait se prolonger des mois, voire des années.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/72861-covid-19-gouvernement-desosse-code-du-travail?fbclid=IwAR0ovFSaubBW_zf14vtnd-jspIvi6B1uyGDCQfu7Ju2sF2UDtwFD_T5iFVE

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans CORONAVIRUS
14 mars 2020 17:41

Donald Trump a déclaré vendredi 13 mars l’état d’urgence aux Etats-Unis « pour déclencher la pleine puissance des ressources du gouvernement fédéral ». […]

Le Danemark a annoncé la fermeture de ses frontières aux étrangers à partir de samedi midi. La Pologne a pris une mesure similaire, ainsi que Chypre, la Slovaquie et la République tchèque, qui va fermer à partir de lundi ses frontières tant aux étrangers voulant entrer dans le pays qu’aux Tchèques voulant le quitter.

[…] Hors UE, l’Ukraine a annoncé suspendre tous ses vols réguliers, et la Russie réduira à partir de lundi le nombre de ses liaisons aériennes avec l’UE. Singapour va interdire l’entrée et le transit aux voyageurs qui sont passés au cours des quatorze derniers jours par l’Italie, la France, l’Espagne et l’Allemagne. […]

Les vols en provenance et vers l’Europe ont été suspendus dans de nombreux pays d’Amérique latine. La Colombie va fermer sa frontière avec le Venezuela et restreindre les entrées d’étrangers ayant voyagé en Europe ou en Asie au cours des quatorze derniers jours […]

En Nouvelle-Zélande, la première ministre a annoncé qu’à partir de lundi tous les nouveaux arrivants à la frontière, même les citoyens néo-zélandais, devraient être confinés durant quatorze jours. […]

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a rappelé vendredi que « les interdictions de voyage générales [n’étaient] pas considérées comme très efficaces par l’OMS ».

De son côté, Emmanuel Macron a proposé à l’Union européenne (UE) de mettre en place dans les prochains jours des mesures de contrôles renforcés des frontières autour de l’espace Schengen et même de les fermer, afin d’« éviter les mesures non coordonnées », a fait savoir l’Elysée.

Le Monde

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans CORONAVIRUS
13 mars 2020 11:29

La préfète de la région Grand-Est n’apprécie pas. « Le virus circule et ne connaît pas les frontières », lance Josiane Chevalier

« Avez-vous de la fièvre ? Êtes-vous souffrants ? », interrogent des policiers porteurs de gilets fluorescents barrés de l’inscription « Polizei », à Kehl, la ville qui fait face à Strasbourg sur l’autre rive du Rhin. Porteurs de masques et de gants de protection, les policiers sont postés sous une petite tente blanche et interrogent les automobilistes qui viennent de traverser le Pont de l’Europe en provenance de l’ Alsace. Dans la soirée, la Sécurité civile allemande a installé des projecteurs et des plots sur la zone de contrôle.

(…) « Cette mesure n’a pas été prise en concertation », a regretté la préfète de la région Grand Est, Josiane Chevalier. « J’ai été alertée par mes propres policiers, mais la méthode est un peu étonnante. Le virus circule et ne connaît pas les frontières… »

Selon un policier allemand, ces contrôles sont effectués tout au long de la frontière avec la France. Ils se poursuivront « un certain temps » et sont valables pour l’ensemble de la frontière franco-allemande, a confirmé la police d’Offenburg (sud-ouest de l’Allemagne).

Le ministre allemand de l’Intérieur Horst Seehofer (CSU) a demandé jeudi à la police fédérale « d’intensifier de manière significative les contrôles à toutes les frontières », selon un porte-parole du ministère.

20minutes.fr


Emmanuel Macron a expliqué au soir du jeudi 12 mars qu’il voulait « éviter un repli ». Plus l’épidémie progresse, plus les pays se referment sur eux-mêmes. Plus tôt dans la journée, l’Allemagne avait installé des contrôles à la frontière avec la France.

Pour rentrer en Allemagne, il faut désormais montrer patte blanche. Ou plutôt, aucun symptôme du coronavirus. À la frontière avec l’Alsace, la police allemande interroge chaque conducteur, et prend systématiquement la température. Résultat à Strasbourg dans le Bas-Rhin : les bouchons s’accumulent. La mesure rend certains dubitatifs. « Pour moi il y a un manque, et selon moi une absence de coordination entre ces deux villes frontalières », déplore un automobiliste coincé dans les embouteillages.

Impossible de passer la frontière italienne

Décision encore plus drastique entre la France et l’Italie. À Menton (Alpes-Maritimes), deux postes frontière sont totalement fermés. Impossible de passer, à moins d’avoir une adresse italienne ou une nécessité de travail dûment justifiée. Les mêmes règles que pour tout déplacement sur le territoire italien.

Francetvinfo

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans CORONAVIRUS
8 mars 2020 23:08

C’est vraiment effrayant.

Quand j’entends nos chers journalistes (non spécialisés) qui parlent du Coronavirus, je ne peux m’empêcher de frissonner… Du grand spectacle, vraiment !

Pourtant, permettez-moi de douter de la potentielle gravité de cette épidémie en France.

Un très gros rhume monté en épingle

La santé, il n’y a rien de plus grave.

Cela fait donc partie des « urgences » que peut brandir un gouvernement aux abois pour recadrer le flux des informations et faire croire qu’il a la main sur le cours des choses.

C’est ce qu’on appelle « la politique spectacle ».
En réalité, le Coronavirus n’est rien d’autre qu’un cousin du SRAS déclaré en 2003, une « épidémie » qui n’a pas été bien méchante.

Le Coronavirus a fait 1 mort (à la date 28 Février) du en France, quand la variété de grippe de l’hiver dernier a fait 8100 morts. 

En Chine, on en est aujourd’hui à 77 000 cas et environ 2 600 morts pour un pays d’1,3 MILLIARD d’habitants.
L’Empire du Milieu, dont la gestion du SRAS au début des années 2000 avait été pour le moins opaque, a d’abord commencé par nier les faits avant de réagir en urgence.
D’où la construction de ce fameux hôpital en 10 jours, bien nécessaire puisqu’aucune structure ne permettait de gérer cette « épidémie » dans une province aussi peuplée que l’Île de France (11 millions de personnes dans l’agglomération de Wuhan).
Mais ça ne change pas la réalité : le Coronavirus est un très gros rhume.

Et malgré les coupes sombres dans les budgets de la santé et le mépris envers le personnel soignant, la France garde tout de même une bonne résistance à ce genre de maladies.

Le grain de sable dans la machine mondiale


La mondialisation des échanges n’a cessé de s’accélérer depuis 50 ans, avec le premier traité entre les Etats-Unis et la Chine.
Mais cette mondialisation a un revers sanitaire, qui révèle les faiblesses de certains pays.
La modernité, c’est aussi un soin apporté à tout un chacun, pas seulement l’ultra-connexion.
La crise est contenue en Chine, et même si à Wuhan l’hôpital monté en 10 jours n’a pas suffi, je ne pense pas que le « coronavirus-2019 » va atteindre une part cataclysmique de la population d’Extrême-Orient, dans les proportions bibliques qu’eurent les épidémies d’autrefois (peste, grippe espagnole).
L’Iran, l’Italie, les pays voisins de la Chine ?
S’ils sont touchés, c’est qu’ils ne sont pas dans un état sanitaire optimal – et c’est un euphémisme.


De plus, on y compte des ressortissants chinois (comme partout dans le monde), et aussi, comme partout sauf en Afrique, des populations vieillissantes, plus susceptibles d’être contaminées.
Toutefois, le coronavirus est au pire « déstabilisateur » de cette économie mondialisée qui tient sur un fil.

Cette maladie encore bien moins nocive que la grippe annuelle, ne doit pas nous faire oublier les vrais enjeux de santé contemporains.


Les vraies épidémies sont ailleurs

La santé, ce n’est pas que les « épidémies » dont on nous rebat les oreilles.
La santé, c’est du soin et de la nutrition au quotidien.

C’est résister à tous les éléments toxiques qui nous assaillent et à l’appauvrissement de notre nourriture…
Notre résistance au coronavirus se fait malgré nos gouvernants.
Ils s’inquiètent moins du nombre ahurissant de cancers, d’Alzheimer et autres maladies de civilisation – à moins qu’ils soient en campagne électorale.
Pourtant ce sont là les vraies épidémies, celles qui frappent toutes les familles, sauf qu’elles se développent sur le long terme.

Or pour nos gouvernements, comme pour nos médias, le long terme ne veut plus rien dire.
Pour le coronavirus, il suffit de prendre des vitamines, et particulièrement de la vitamine C (si possible liposomale).

Avec des défenses immunitaires simplement correctes, vous n’avez rien à craindre.

Portez-vous bien,

Dr. Thierry Schmitz

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans CORONAVIRUS
2 mars 2020 22:16

Semaine noire pour la Bourse le 24 février 2020 : le coronavirus a contaminé de plein fouet les marchés financiers du monde entier. S’il n’y a pas de foyer de contamination actif à Wall Street, à la Bourse de Paris ou à celle de Tokyo, l’économie, elle, tousse.

Très fort… au point de brûler quasiment trois fois le PIB de la France en une semaine. Et ça ne va pas s’arrêter…

Le coronavirus « corrige » les Bourses mondiales

Ce fut une semaine noire, du jamais vu depuis… la crise économique mondiale de 2008 de laquelle nous sortons à peine : les marchés sont entrés, jeudi 27 février 2020, en phase de « correction » à cause du coronavirus qui inquiète fortement. On parle de phase de « correction » lorsque les indices boursiers perdent plus de 10%... ce qui fut le cas à peu près partout.

Quelques exemples ? Paris chutait de 11,94%, Francfort de 12,44%, Londres de 11,12%... et même aux États-Unis, où le virus commence seulement à sévir, les pertes sur la semaine étaient supérieures à 10% pour les trois indices principaux : le Dow Jones, le S&P 500 et le Nasdaq. Personne n’est à l’abri : l’action d’Alphabet, par exemple, est passée de 1.524 dollars à 1.339 dollars en une semaine.

Au total, en une semaine, près de 6.000 milliards de dollars de capitalisation boursière ont été brûlés par les traders pris de panique : la croissance mondiale pourrait chuter à cause du coronavirus et déjà les grandes entreprises annoncent des résultats pour 2020 bien inférieurs à ceux anticipés fin 2019…

Mais que va-t-il se passer ?

L’impact de la crise du coronavirus sur la croissance mondiale sera réel : une chute de 0,5%, voire plus, sur l’année 2020 selon le FMI, certains cabinets estimant même que les pays industrialisés pourraient rentrer en récession si la pandémie devait contaminer le monde entier sur le long terme.

Mais la panique pourrait bien laisser place à une phase de redressement : les entreprises en Chine ont repris leur activité, bien qu’elle soit ralentie. Si l’épidémie passe naturellement, notamment car le virus pourrait n’être que saisonnier, alors tout ira bien. Les premiers vaccins expérimentaux sont attendus vers la fin de l’été et l’ensemble de la recherche mondiale se concentre sur ce point, ce qui laisse un bon espoir de trouver un traitement, d’autant plus que la famille des coronavirus est déjà connue.

Ce qui est sûr, c'est que certains secteurs devraient souffrir : le tourisme et le transport notamment. Les gouvernements pourraient alors prendre des mesures pour éviter une hécatombe d’entreprises, ce qui toutefois risque de leur coûter cher.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans CORONAVIRUS