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2 avril 2014 01:00

Grande-Bretagne : Une école enseigne l’anglais en langue étrangère

27/03/2014- LEEDS (NOVOpress)
Une école de la ville de Leeds, dans le Yorshire, a pris la décision radicale de proposer l’anglais en tant que seconde langue à ses 350 élèves, y compris ceux nés en Angleterre. La direction de l’école a justifié cette démarche en soulignant que leur maîtrise du langage était très mauvaise, même ses élèves originaires d’Angleterre.

La responsable de l’établissement, Mme Georgiana Sale, a indiqué qu’il fallait remettre en question nos habitudes d’enseignement si nous voulions améliorer le niveau général. Elle ajoute qu’un quart seulement des enfants présents ont l’anglais comme langue maternelle et que la moitié de ses élèves sont arrivés il y a moins de 4 ans. L’année dernière seul 25% de ces élèves âgés de 11 à 16 ans ont été capable de répondre au GCSE, un test d’évaluation nationale. C’est la plus mauvaise performance de toutes les écoles de la ville.

Cette école comporte 55 nationalités différentes venant du monde entier avec une prédominance de Roms. « L’autre problème, précise Mme Sale, est que la plupart des enfants sont illettrés en anglais mais aussi dans leur propre langue maternelle et qu’ils ne savent même pas tenir un stylo ». Quant aux enfants anglais, la directrice se rassure en disant que cela leur donnera l’opportunité de travailler leur grammaire et leur orthographe.

 

Cette école n’est pas un cas unique au Royaume-Uni. En effet 240 autres établissements ont chacun 90% de leurs élèves parlant une langue maternelle autre que l’anglais.

Source

Crédit photo : Leeds City Council via Wikiédia (cc).

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
31 mars 2014 16:26
Logo des Frères musulmans

Logo des Frères musulmans

Une chaîne d’établissements d’enseignement privé musulmans vient d’être créé en France par l’UOIF, la branche française des Frères musulmans, classés organisation terroriste par l’Egypte leur pays d’origine, la Russie, la Syrie, l’Arabie saoudite et les Emirats.

L’objectif déclaré des Frères musulmans est de « retrouver le destin manifeste de l’islam : un empire qui va de l’Espagne à l’Indonésie », et il faut une infinie dose de nihilisme d’Etat, de haine de soi et de désir de suicide collectif pour que la France, visée par cet objectif de conquête, autorise leur implantation sur son sol.

Mais elle l’a fait, et sauf à être atteint de dédoublement de la personnalité, on imaginera mal la France les empêcher d’atteindre leur but.

Le principe des Frères musulmans est d’instaurer la sharia islamique comme « la base pour contrôler les affaires de l’Etat et de la société ». C’est ce qui expliqué sur leur site internet Ikhwanweb.

Forts de ces principes, son antenne en France vient de créer la Fédération nationale de l’enseignement musulman (Fnem).

Les médias relativisent, et décrivent cela comme la réparation d’une anomalie, du fait qu’il existe un enseignement catholique, juif et protestant.

«L’enseignement musulman de France va prouver qu’il peut former dans l’espace public des citoyens éclairés et responsables, des femmes et des hommes qui ont réussi leurs vies sociale et professionnelle et, dans la sphère privée, de bons musulmans», déclare Makhlouf Mamèche, président de la fédération, vice-président de l’UOIF, en se cachant bien de rappeler les objectifs de l’organisation mère.

Quoi que…

La nouvelle fédération joue légèrement avec les mots pour ne pas effrayer l’idiot utile et déclare vouloir «se rassembler pour peser, se structurer et s’entraider» : une façon light de rappeler les principes fondateurs.

Mais après tout, les Français ont décidé de s’islamiser, c’est leur droit, et je le respecte.

Ce qui inquiète en revanche, c’est le programme d’enseignement : «instruire et éduquer les enfants dans des établissements mêlant excellence scolaire et valeurs fondamentales de l’islam», explique Mamèche.

Le jihad guerrier est une des valeurs fondamentales de l’islam ; la Fnem dépend d’une organisation terroriste ; un rapport de la DGSI (direction générale de la sécurité intérieure) remis au premier ministre Ayrault en octobre 2013 concluait qu’une certaine jeunesse musulmane française se radicalise : les Français auraient également choisi leur mode de suicide ?


Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/03/28/01016-20140328ARTFIG00404-education-les-musulmans-se-federent.php?pagination=1#nbcomments

Branche armée des Frères musulmans
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
29 mars 2014 23:02

 

 

ECOLE MATERNELLE DE JOUE LES TOURS EN INDRE ET LOIRE, FRANCE : UN ENFANT DE TROIS ANS TRAUMATISE.

Témoignage d'une maman de l'école maternelle La Blotterie : " mon fils de trois ans et une petite fille du même âge ont été invités par la maîtresse à baisser leurs pantalons, à se toucher mutuellement le sexe, et à se faire "des bisous."

En début d'après-midi, Farida Belghoul est demandée de toute urgence à Joué les Tours. Elle est reçue à 19h30 devant l'école élémentaire la Blotterie où une centaine de mamans l'attendent depuis 16h30.

Dalila Hassan, responsable JRE de Joué les Tours, a participé à la rencontre entre la maman de nationalité tchéchène (mère du petit garçon) et la directrice de l'école maternelle La Blotterie.

Dans quelques heures le témoignage vidéo de Dalila Hassan. Grave affaire à suivre..

 

SOURCE

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
21 mars 2014 17:49

Hebergeur d'image

Partout en France, des collectifs demandent l’abrogation de la circulaire Chatel de 2012 sur les sorties scolaires.

Les mères voilées repartent à l’offensive. Estimant que la circulaire Chatel de 2012 interdisant les sorties scolaires aux accompagnatrices voilées les «exclut de la vie scolaire de (leurs) enfants», que la charte de la laïcité de la rentrée 2013 n’a fait «qu’ajouter à la confusion» et que l’avis du Conseil d’État, rendu en décembre dernier, n’a rien réglé, ces mamans musulmanes, soutenues par le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), se mobilisent contre une réglementation générale qu’elles considèrent comme «discriminatoire».

Regroupées en collectifs, elles «marquent des points», disent-elles, et font peu à peu «plier» les chefs d’établissement. [...]

Au CCIF, on affirme avoir reçu, «depuis la rentrée 2013, des centaines de demandes de mamans voilées exclues de sorties scolaires». «Des dizaines de cas se sont réglés après un travail de médiation, ajoute-t-on. Et, pour d’autres, on met en place une stratégie juridique.» Les mamans de «Sorties scolaires: avec nous !» ont, elles aussi, été contactées par d’autres mères de famille. «On leur explique qu’il faut se regrouper et réclamer un écrit des inspecteurs d’académie, raconte Ferouz Benamar, l’une des signataires de la lettre à Vincent Peillon. À Lyon et à Bordeaux, elles ont réussi.»

Dans la banlieue de Lyon, Ayche acquiesce : «Après une réunion avec l’inspecteur, il a accepté de faire passer un mot à toutes les écoles», précise cette mère voilée. Même succès dans le Nord, à Noyelles-sous-Lens. Sauf que les «ateliers lecture», qui ont lieu à l’intérieur des établissements, sont toujours interdits aux porteuses de foulard.

«On a juste droit aux sorties et on ne peut pas rentrer dans les classes !, s’énerve Naima Maalou. Moi, j’en resterai pas là !» [...]

Le Figaro

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
17 mars 2014 01:35

MARIAGE FORCE : QU’ON NE SE TROMPE PAS DE CIBLE !

Le clip réalisé par la cinéaste Lisa Azuelos va connaitre un énorme succès et cela pour deux raisons :

1/ Il est interprété par Julie Gayet, la seconde femme de France et peut-être la prochaine, seul François le sait.

2/ Il est très émouvant et concerne un crime dont nous avons tous connaissance mais sur lequel nous fermons nos yeux horrifiés.

**Dans ce clip Emma, une petite fille d’environ onze ans (Adèle Gasparov) est habillée en mariée, maquillée par sa mère (Julie Gayet) et conduite également par son père (Alexandre Astier) devant madame le maire où elle fait la connaissance de celui qui va devenir son mari, un homme de 70 ans.

La scène se termine par le viol de cet enfant et sur son cri déchirant.

**Ce cri est l’un des 14 millions de cris (Titre du clip) poussés par des petites filles que l’on force à se marier avec des hommes, des adultes, des monstres.

Jusque-là tout est parfait dans ce film de quatre minutes, tourné en noir et blanc, il informe sur les 14 millions de cas de mariages forcés d’enfants mineurs qui se produisent, d’après la réalisatrice, en Afrique Sub-Saharienne et en Asie du sud. (Dommage pour le noir et blanc car l’on voudrait bien voir les trois couleurs de l’écharpe de madame le maire ainsi que le tableau représentant « l’ascension » en toile de fond)

 Mais rajoutons les pays du golfe persique et du Moyen-Orient, en une phrase la plupart des pays de religion musulmane (Le prophète Mahomet n’a-t-il pas consommé la petite Aïsha, âgée de 9 ans !) D’après Lisa Azuelos 70.000 petites filles seraient concernées en France…vous avez bien lu : dans notre pays, en France !

Et cela est confirmé par la ministre du droit des femmes et porte-parole du gouvernement, Najat Belkacem, qui, lors d’une interview sur Canal + au cours de l’émission Dimanche + du 17 mars 2012, répondait à une question d’Anna-Sophie Kapix par : « Cela se pratique également dans les sociétés catholiques »

Elle a perdu une fois de plus l’occasion de se taire, ou alors qu’elle prenne soin de préciser qu’il s’agit de petites filles appartenant à la même religion que la sienne, car la loi l’interdit fort justement dans nos « sociétés catholiques ».

En France, Il ne faut pas confondre « mariage de raison » ou « mariage d’intérêt » qui ont leurs propres règles et qui nécessitent une dispense légale.

Ces jeunes femmes sont libres de refuser sans pour cela être lapidées jusqu’à la mort, pratique quotidienne dans des pays islamiques.

*Si cela arrivait chez nous il s’agirait d’un crime et l’assassin serait jugé et condamné !

Mais était-il nécessaire de réaliser ce clip ?

Il en existe des dizaines bien plus horribles sur le net concernant ces mariages-pédophiles.

Que madame Najat Belkacem, suite à ses affirmations, nous donne un seul exemple dans notre « société catholique » du XXIème siècle !

 

merci à Tiaré

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
12 mars 2014 02:08

Très bon commentaire vu sur le site du Renouveau français :

gayet

« Pour la « Journée de la femme », des féministes ont produit une brève vidéo dénonçant les mariages forcés de fillettes.
Pourquoi pas.

 
Mais dans notre pays, ce phénomène ne concerne pas les Français, contrairement à une partie de la population immigrée.
Dans le monde, il est quasi-uniquement le fait de non-catholiques et de non-Blancs.

Or dans ce clip au contenu indigent (où la mère de famille est interprétée par Julie Gayet, la nouvelle première maîtresse de François Hollande, qui apparaît pour une fois habillée), on ne voit que des Blancs !
Les quotas ethniques en usage aujourd’hui devant la caméra ne doivent-ils être employés que pour montrer les étrangers sous un jour aimable ?

Il est ici présenté une famille française bourgeoise et catholique (avec une grande image du Christ dans son appartement, mais qui célèbre le mariage à la mairie : pas très crédible) qui livre une fillette à un vieil homme.

Un tel décalage (cette inversion même) par rapport à la réalité constitue une odieuse offense aux Français, qui sont encore une fois stigmatisés pour des comportements dont ils ne sont nullement coupables, si ce n’est d’avoir laissé entrer chez eux quinze millions d’immigrés.

Qui est la cible de ce court-métrage surréaliste ? Qui veut-on convaincre ?

Il faut rappeler que l’Occident fut pionnier dans le domaine de la liberté du mariage, l’Eglise ayant imposé la nécessité du consentement des époux pour qu’un mariage soit valide.

On notera aussi l’incohérence de ces donneurs de leçons de l’oligarchie politico-médiatique qui affirment (comme en fin du clip) que « les petites filles ne sont pas des femmes », alors que notre société de vulgarité et de pornographie s’évertue à tuer l’innocence des jeunes et à vêtir (ou plutôt « dévêtir ») les fillettes comme des femmes, en sexualisant leur apparence et leur comportement dès le plus jeune âge.

Stéphane Jarret »

 

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
27 février 2014 20:26

Ce n'est plus une liberté, il faut désormais avoir une bonne raison :

C

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
26 février 2014 01:25
Mise à jour de la vidéo avec Anne Hidalgo.


Vincent Peillon, Anne Hidalgo et Najat Vallaud-Belkacem sont officiellement des menteurs. La preuve.


Cette vidéo n’est plus disponible ? Merci de nous le signaler.

Assemblée Nationale
Commission des affaires culturelles et de l’éducation
Jeudi 28 février 2013 Séance de 14 heures 30

Examen de l’amendement AC 421 de Mme Martine Faure (PS). Intervention de Julie Sommaruga (PS).

_
Cet amendement a pour objet l’intégration dans la formation dispensée dans les écoles élémentaires d’une éducation à l’égalité entre les femmes et les hommes et à la déconstruction des stéréotypes sexués. Il s’agit de substituer à des catégories telles que le « sexe » ou la « différence sexuelle », qui renvoient à la biologie, le concept de « genre », qui montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites.
Julie Sommaruga

Lucette Lousteau, PS :

_
Il faut éduquer les enfants le plus tôt possible à cette réalité de genre.
Lucette Lousteau
_
La Commission adopte l’amendement.

Cliquer pour agrandir.

Source : Assemblée nationale

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
25 février 2014 02:17

La dernière Manif pour tous, à laquelle on peut ajouter le mouvement des bonnets rouges et le Jour de colère, ont vu défiler ensemble des gens qui n’avaient pas forcément vocation à se côtoyer. Que nous dit ce voisinage inattendu ?

Il y a beaucoup de mécontents en France, et il est bon que ce mécontentement s’exprime.

Je ne vois rien de choquant, bien au contraire, à ce que les manifestations auxquelles vous faites allusion regroupent des gens qui ont des motivations ou des opinions différentes, parfois même opposées. C’est la règle dans toutes les manifestations de masse dirigées contre un pouvoir en place.
Voyez ce qui se passe en Tunisie, en Égypte, en Syrie ou en Ukraine. Le prix à payer pour ce caractère hétéroclite, c’est qu’il ne peut y avoir, derrière, aucun projet politique cohérent. Cela dit, il ne faut pas tout mélanger.
Les bonnets rouges sont une jacquerie des temps modernes, tandis que les « défenseurs de la famille » veulent empêcher la loi civile de contredire ce qu’ils considèrent comme la « loi naturelle ».
Quant au Jour de colère, il exprimait surtout la voix de la « France périphérique », aujourd’hui dévalorisée et marginalisée par la « France métropolitaine », pour reprendre la distinction capitale faite par Christophe Guilluy (Fractures françaises) entre les « minoritaires intégrés »(dans les nouvelles logiques économiques) et les laissés-pour-compte de la mondialisation.

François Hollande a décidé de remettre sa loi sur la famille aux calendes grecques. Cela peut-il apaiser la situation ?

C’est très peu probable, dans la mesure où le gouvernement ne vise pas à imposer une politique, mais une anthropologie. Nos dirigeants veulent créer un« homme nouveau », vieille idée théorisée par saint Paul (Col. 3,10 ; Eph. 4,24) à laquelle ils donnent une portée inédite. De L’Internationale, qui est un beau chant, ils n’ont retenu qu’une phrase : « Du passé faisons table rase ! » Ce ne sont pas là des paroles en l’air.


Il s’agit de persuader que les millénaires qui nous précèdent n’ont été qu’une suite d’erreurs ou de crimes, que le passé n’a rien à nous dire, qu’on ne doit jamais tenir compte de ce qui est en amont de nous, d’un déjà-là qui nous permette de prolonger ce qui nous a précédés. La philosophie des Lumières considérait déjà l’homme à la naissance comme unetabula rasa, une cire vierge exclusivement façonnée par l’éducation et le milieu. La tradition n’était perçue que comme contrainte irrationnelle et superstition.

Les théoriciens du progrès, qui prétendaient créer les conditions de l’autonomie humaine, ont simplement substitué l’hétéronomie* par le futur à l’hétéronomie* par le passé. Pour les idéologues au pouvoir, il s’agit plus que jamais de faire croire qu’il est possible de se créer soi-même à partir de rien. Le rupturalisme va de pair avec le fantasme d’auto-engendrement.

Prenons l’exemple de Vincent Peillon. Il faut lire le livre qu’il a consacré à la Révolution française. À une époque où il n’y a plus grand monde pour la regarder comme un « bloc », il écrit : « La Révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu […] 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau […] La révolution implique l’oubli total de ce qui précède la Révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines. » (La Révolution française n’est pas terminée, Seuil, 2008).
C’est à ce « rôle fondamental » que se référait le même Peillon, devenu ministre, lorsqu’il déclarait se fixer pour but « d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel, pour après faire un choix » (Journal du Dimanche, 2 septembre 2012).

Le grand bond en avant devrait donc se faire au détriment du passé ?

C’est pour cela que ce passé doit être rendu muet : pour qu’on puisse « faire un choix » à partir de rien. Certains parents s’étonnent que leurs enfants n’apprennent plus l’histoire à l’école. Je les trouve bien naïfs. Ils n’ont pas encore compris que l’objectif n’est plus d’apprendre, mais de désapprendre. Et du même coup de délégitimer des siècles de littérature, d’art ou de philosophie désormais considérés comme un immense réservoir de « stéréotypes ».« L’enseignement de l’ignorance », disait très justement Jean-Claude Michéa.

Dans le même temps, nos dirigeants clament à qui mieux mieux que « la théorie du genre n’existe pas », et qu’il n’est donc pas question de l’introduire à l’école. Vous prenez cela au sérieux ?
Si la théorie du genre n’était qu’un mythe, on ne voit pas pourquoi tous les documents officiels publiés depuis quinze ans par les organisations internationales ne parlent plus jamais de « sexe », mais seulement de « genre ». Vincent Peillon assure qu’il n’est pas question d’enseigner la théorie du genre, mais seulement de « lutter contre les stéréotypes ». Le problème est que ces stéréotypes ne peuvent être considérés comme tels que si l’on a déjà fait sien le principal postulat de la théorie du genre, à savoir que les comportements masculins ou féminins sont sans rapport avec le sexe biologique.

Les directeurs d’établissements scolaires ont ainsi récemment reçu des « outils pédagogiques » liés à un dispositif dit « ABCD de l’égalité ». Ils méritent eux aussi d’être lus. L’un de ces « outils » explique doctement, à propos de la« danse scolaire du Petit Chaperon rouge » (sic), que les filles devront être incitées à jouer le loup, tandis que le rôle du Petit Chaperon rouge sera attribué aux garçons, « la lutte contre les stéréotypes passant d’abord par la mixité des rôles loup-Chaperon ». Ces mots sont révélateurs. Avec l’ambition affichée de« mixer les rôles », on est en pleine théorie du genre.

*L'hétéronomie est la capacité d'un être vivant à subir la règle du milieu environnant. Chez l'homme, l'hétéronomie représente l'incapacité à se donner ses propres lois et à se régir d'après elles. L'hétéronomie est l'inverse de l'autonomie.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
25 février 2014 01:17

Jugez-en! Etaient présents ce mercredi 19 janvier, et se sont exprimés à l'unisson de la loi naturelle:

Farida Belghoul,Alain Escada, Jean-Pierre Dickès, Christine Boutin, l'abbé de Tanouarn, Béatrice Bourges, que tous nos lecteurs connaissent et plusieurs musulmans représentatifs de leurs communautés: Nabil Ennasri, président du Collectif des musulmans de France; Ahmed Miktar, président de l’Association des imams de France; Albert Ali, écrivain, membre du « Rassemblement des musulmans souverainistes » ; Mourad Salah, conseiller municipal à Melun et Ahmed Miktar, président de l’Association des imams de France.

Voici l'intégralité de la conférence de presse.


Conférence de presse du mouvement JRE par ERTV 

Escada à partir de 1h 32' 40'' très instructif ! (merci à AF)

Media Presse Info nous propose une série de vidéos sur chaque intervention, mais pas encore exhaustive à ce jour. Ci-dessous la brève intervention de Béatrice Bourges.

 

Paula Corbulon

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
24 février 2014 01:29

2500 communes contre la réforme des rythmes scolaires

s'informerC’est ce qu’affirme le maire de Janvry dans l’Essonne qui s’apprête à déposer un recours devant le Conseil d’Etat pour obtenir l’annulation du décret sur les nouveaux rythmes scolaires. M. Christian Schoetti, qui avait été le premier maire à faire adopter par son conseil municipal une délibération pour ne pas appliquer la réforme à la rentrée 2014, indique qu’il reçoit quotidiennement 10 à 15 lettres de maires, toutes étiquettes politiques confondues, qui le soutiennent dans sa démarche. 10 000 communes pourraient d’après lui refuser d’appliquer la réforme à la prochaine rentrée, alors que le ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, assurait le 4 février devant les députés que 88 % des communes s’étaient prononcées en faveur de son application.

 
Pour M. Schoetti, « le décret actuel contraint à obérer substantiellement le budget communal et bafoue de fait le principe constitutionnel de libre administration des communes ». La réforme est « inapplicable dans le cadre de l’égalité républicaine de l’enseignement », avait-t-il déjà affirmé dans la lettre qu’il avait envoyée au Premier ministre il y a deux mois pour l’informer de la décision de son conseil municipal.

D’autre part, le SNUIPP(FSU) a fait savoir que, d’après l’enquête qu’il a menée auprès des enseignants contraints d’appliquer la réforme en septembre dernier, 75 % d’entre eux avaient constaté une dégradation de leurs conditions de travail. Le syndicat a demandé à ne pas être associé au rapport du comité de suivi de la réforme rendu public le 12 février, comité dont il continue cependant à faire partie.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
23 février 2014 01:56

Un lecteur fidèle a pris ce cliché sur les murs d'une école où le British Council propose des cours d'anglais.

Il nous précise:

"Le British Council est l'équivalent de l'Alliance Française, la représentation culturelle officielle du Royaume-Uni dans le monde entier."

"On se demande si le British Council enseigne la langue anglaise ou principalement les valeurs post-modernes !  Il ne faut pas oublier que, pendant la dernière Gay Pride à Paris, l'ambassade britannique rue du Faubourg Saint Honoré a remplacé pendant un jour l'enseigne des ambassades britanniques par le drapeau arc en ciel des LGBT."

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
22 février 2014 01:14

Emile Combes, le père spirituel de la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat (1905) n’en cachait pas l’objectif : «déchristianiser la France». Le bon peuple de France doit être A-thée.

Lionel Jospin en 1989 fut moins bavard sur sa réforme constructiviste de la «pédagogie du savoir». Mais en 2014, c’est à dire 25 ans après, nous en mesurons les effets désastreux : l’analphabétisme atteint des taux records en France. C’était l’objectif, car le bon peuple de France doit être A-nalphabète.

Vincent Peillon ambitionne donc de parachever l’oeuvre salutaire de ses augustes prédécesseurs et ainsi gagner le «triple A» de l’éducation populaire : le bon peuple de France doit devenir A-sexuel, à ne pas confondre avec A-sexué, même si cela y ressemble.

L’école laïque aura en définitive entrainé les peuples de France dans une plongée vertigineuse vers l’ignorance : ignorance de toute transcendance, que nous autres terriens rétrogrades appelons «Dieu», dont l’étymologie (Dios est le génitif de Zeus) nous ancre dans une culture plus de quatre fois millénaire ; ignorance de l’écriture et du calcul, disciplines qui ouvrent la voie à la connaissance spéculative et à une authentique liberté de choix, la liberté républicaine que nous choyons, pas la pseudo-liberté libertaire et liberticide des travestis du timbre-poste présidentiel.

Vincent Peillon ambitionne donc maintenant pour nos enfants «l’ignorance de soi», qu’il prétend garantir dès avant l’âge de 3 ans par la réprimande omniprésente à l’école contre un quelconque comportement spontané, potentiellement sexiste.

La continuité de cette progression fut donc assurée par «la dictature de l’ignorance». L’oppression de l’Etat est devenue telle avec l’avènement du gouvernement de François Hollande, qu’il déclenche tout à coup un regard rétrospectif sur cette progression alarmante, qui menace maintenant nos libertés les plus élémentaires, singulièrement celle d’éduquer nos enfants.

Et c’est bien à ce niveau que la dérive fut engagée, dès 1883, avec une étape symbolique en 1932, lorsque «le ministère de l’instruction publique» devint «le ministère de l’éducation nationale». Il ne s’agit pas là d’une simple querelle de mots, mais bien d’une opposition frontale entre deux niveaux de responsabilités qui déterminent fondamentalement la liberté des citoyens : aux familles l’éducation, et à l’Etat l’instruction, comme soutien au familles, et certainement pas comme viol du droit inaliénable des familles à éduquer leurs enfants.

Et soudain, il y eut mai 2013 : la révolte de la France libre, qui comprit la descente aux enfers dans laquelle les libres penseurs de la république des loges voulait l’entraîner.

Or, dans la stratégie des idéologues du genre, le mariage homo n’est que la première étape d’une subversion sociétale globale. Qu’ils se rassurent, La Manif Pour Tous aussi, n’est que la première étape du mouvement de libération qui s’est levé contre cette dictature rampante.

Mais dès lors que les prometteurs de la théorie du genre, Vincent Peillon le premier, mentent effrontément à la représentation nationale comme le fit Jérôme Cahuzac en son temps, ils doivent s’attendre à un durcissement des réaction populaires.

Le JRE (jour mensuel de retrait scolaire des enfants à l’initiative des parents solidaires) n’est plus seulement un germe, mais une nouvelle expression florissante de la résistance à l’oppression des libertaires liberticides de la théorie du genre.

La gauche française et probablement une partie de la droite-caméléon, en se laissant acheter par électoralisme, ont signé leur divorce avec la France réelle. Le re-mariage en sera d’autant plus difficile. ONLR.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
20 février 2014 01:52

L'enfant n'est pas un adulte : voilà le type de réalité qu'il faut rappeler aujourd'hui. De même que dans les bibliothèques publiques, il faut distinguer ce qui est accessible aux adultes, normalement capables de critique, de ce qui est proposé aux enfants. Voici la tribune du pédopsychiatre Christian Flavigny dans Le Monde :

"Un matériel pédagogique fait débat en ce moment, mis à la disposition d'enseignants d'écoles primaires. Deux livres sont contestés : Papa porte une robe, et Tous à poil ! Faut-il s'en émouvoir ? Oui, car de jeunes enfants ne peuvent les ressentir comme le font des adultes, quand bien même les notions en seraient présentées de bonne foi et avec nuance par des enseignants attentionnés. L'enfant n'est pas un adulte en miniature. 

Ainsi, à propos du premier ouvrage : la réflexion d'adultes peut interroger la manière vestimentaire et sourire du questionnement des coutumes qui était d'ailleurs la fonction rituelle qu'avait jadis le carnaval, bousculant les stéréotypes sexués ; car leurs repères intérieurs sont établis, leur ayant permis, pour bien d'entre eux, de devenir des parents.

L'enfant est en cours d'édification de ces repères, et il ne peut le faire que depuis leur présentation cohérente ; l'idée que les brouiller favoriserait son ouverture à la diversité est une méconnaissance de son développement affectif : au contraire, cela l'entrave. Il ne reçoit pas Papa porte une robe comme un message faisant évoluer les représentations habituelles de la répartition des tâches sociales entre les adultes, comme serait « Papa porte un tablier quand il fait la vaisselle ».

Il y reçoit des fonctions paternelle et maternelle floutées, comme si celles-ci, dont le partage porte la venue au monde des enfants, étaient substituables et n'impliquaient pas l'enjeu de leur différence. Si père et mère peuvent être indifférenciés dans les tâches familiales, et à ce moment-là dans leur vêtement, ils ne le sont pas dans leur fonction paternelle et maternelle, dont leur vêtement sexué est la vêture.

L'usage du livre Tous à poil ! pose des questions similaires. On aura remarqué que si tout un chacun adulte peut se « mettre à poil », ce n'est pas le cas des enfants, dont les poils pubiens n'ont pas encore poussé ; d'ailleurs, en langage d'enfant, on se « met tout nu ». La remarque est loin d'être anecdotique, pour peu qu'on accepte de la considérer depuis le regard de l'enfant ; car la toison pileuse des adultes condense pour lui tout le mystère de leur vie sexuelle, qui l'intrigue à la condition d'en demeurer à prudente distance.

La séance de déshabillage mise en scène par le livre peut prendre pour les adultes la saveur vaguement impudique d'un strip-tease généralisé. Pour la plupart des enfants, elle risque fort de constituer une scène inquiétante, chargée d'une crainte d'intrusion. La nudité adulte ainsi exhibée fait effraction dans sa vie psychique. L'enfant n'y savoure pas la découverte des corps sexués, il se méfie de l'intention ainsi manifestée et en redoute la menace pour son intimité.

Certes, induire ce trouble n'est l'intention ni des auteurs ni du Centre national de documentation pédagogique, qui a agréé ce livre dans la panoplie des bibliothèques ; mieux vaut pourtant qu'ils le mesurent : l'enfant reçoit l'image à l'état brut. Il y a eu récemment à la télévision une fort juste campagne de sensibilisation à la fragilité propre de l'enfant, soulignant l'impact sur lui desscènes de violence ; on y voyait un père captivé et un enfant dégommé : il en va de même pour les images de dénudation.

Les ministères du droit des femmes et de l'éducation nationale arguent que ces livres ne font pas partie des recommandations du plan qu'ils promeuvent en faveur de l'égalité entre les sexes (ABCD), mais ils ne peuvent ignorer qu'ils participent de leur mouvance. Loin de n'aborder que les fameux stéréotypes de tâches sociales, ces livres malmènent les repères fondateurs pour l'enfant que sont ceux entre les sexes (pour lui, père et mère) et les générations (adultes/enfants). D'où il résulte que la confusion est ressentie comme une ambiguïté.

Une propension de notre société actuelle veut aimer et éduquer l'enfant en l'immergeant dans le monde adulte. C'est négliger que la famille seule est en mesure d'y amener l'enfant, tout en assurant sa protection. Une connivence affectée mêlant le monde de l'enfance et celui des adultes, animée des meilleures intentions, perturbe la vie psychique et affective de l'enfant."

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
19 février 2014 01:19

« L’enseignement de l’arabe était abandonné […] depuis des années, nous allons mettre les moyens nécessaires » à son renforcement, a déclaré à l’AFP le ministre français de l’Education, Vincent Peillon.

Cette orientation « est culturelle, mais elle est aussi, et ça chacun doit le comprendre, l’avenir de l’Europe et l’avenir de la France », a-t-il ajouté.

Yabiladi

merci Backterix

Voir : Il faut enseigner l’arabe, «deuxième langue de France», dans le service public

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
19 février 2014 01:17

PL'équipe Manif Pour Tous du Vaucluse a pu avoir un entretien avec M. Benjamin Marteau, directeur de cabinet de Vincent Peillon, Ministre de l’éducation nationale :

"Le jeudi 13 février M. Peillon s’est rendu au collège Anselme Mathieu à Avignon pour parler des ZPE devant des chefs d’établissements, des enseignants et autres personnes invitées.


Dans le cadre de ses actions d’opposition  à la diffusion de la théorie du genre, La Manif Pour Tous de Vaucluse a organisé un « accueil » du Ministre, avec drapeaux et sifflets, sous les slogans « Vincent réforme, et nous Peillon » ou « Non à l’ABCD de l’égalité ».

A notre arrivée, il y avait un groupe d’une cinquantaine de personnes venues manifester, il s’agissait essentiellement de femmes de confession musulmane. Ce groupe venait également signifier de façon bruyante son opposition au Ministre sur le thème du genre, ou de la ligne azur, elles étaient très remontées sur le fait que l’école prenne la place des familles dans l’éducation ,notamment affective et sexuelle, de leurs enfants.

10 mn après le passage du Ministre Peillon et de la délégation, une personne des services de la Préfecture est venue nous dire que 4 personnes seraient reçues par le Directeur de Cabinet du Ministre, M. Benjamin Marteau.

L’entretien a duré un peu moins d’une heure. Il a porté sur les 3 sujets principaux suivant :  la théorie du genre, l’ABCD de l’égalité et les manuels ou livres scolaires.

Les parents ont exprimé leurs inquiétudes,  le Ministère est resté dans la justification. Ainsi, il nous a été asséné que la théorie du genre n’existait pas, et que, par conséquent, elle ne pouvait être appliquée. Il serait intéressant que le Ministère consulte le site internet de l’éducation nationale pour constater que ces termes y figurent. Répondre « les études de genres existent et la théorie n’existe pas » n’a pas suffi à apaiser les craintes des parents.

Sur l’ABCD de l’égalité, le Ministère assure qu’il ne s’agit que de déconstruire les stéréotypes. Il a été fait la remarque que l’école n’était pas là pour déconstruire mais pour instruire, une des mamans disant « oui à l’instruction, non à l’éducation qui revient à nous parents »

Derrière ces questions sur l’ABCD, ont été posées les questions sur l’éducation sexuelle. M. Marteau a assuré que l’école et le collège devaient remplir cette fonction éducative, autant dire que les réactions ont été vives. Une des mamans a précisé qu’elle n’avait pas retiré ses enfants de l’école  à l’appel du « Jour De Retrait », préférant le dialogue avec le chef d’établissement.

Maintenant  si on imposait à ses enfants certains livres, films ou présence d’intervenants de l’Inter LGBT elle retirerait ses enfants et assumerait les conséquences. M. Marteau a répondu que les intervenants extérieurs étaient du ressort des seuls chefs d’établissements, nous savons donc à qui nous adresser.

L’ABCD a été présenté comme une expérimentation dans 10 académies et 600 écoles. M. Marteau a précisé que les experts rendraient leur rapport, mais que le Ministère avait la ferme intention de généraliser le programme à la rentrée prochaine.

Nous lui avons tendu la perche « puisqu’il s’agit d’une expérimentation et que visiblement le programme suscite des inquiétudes, alors pourquoi ne pas le remettre à plat et attendre ». Il a répondu que ce n’était pas la vision politique du gouvernement que de répondre à la rue.

Pour les livres scolaires, les désormais célèbres « tous à poil », « papa porte une robe » ou « Tango a 2 papas » ne font pas partie du programme scolaire, ce sont juste des livres proposés, ce sont les chefs d’établissements et les enseignants qui les utilisent,… ou pas.

Autant dire que nous ne sommes pas sortis entièrement rassurés de l’entretien, je vous citerai une phrase d’une maman dans la manifestation « le gouvernement à la ligne azur, moi ma ligne rouge : pas touche à mes enfants ! »"

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
18 février 2014 20:23

Lu sur Libération :

"A Strasbourg, au siège d’Arte, les téléphones du standard n’arrêtent pas de sonner. Des appels qui n’en finissent pas pour se plaindre. En cause, la diffusion prévue mercredi soir de l’excellent Tomboy, de Céline Sciamma, dont la chaîne franco-allemande est coproductrice. (...)"

Civitas, à l'origine de cette action, précise :

"La réalisatrice de Tomboy se nomme Céline Sciamma. Née en 1980. En 2009, elle réalise Pauline, histoire d’une jeune lesbienne. Ce court-métrage s’inscrivait dans le cadre du concours « Jeune et homo sous le regard des autres » lancé par le Ministère de la Santé et des Sports. En 2011, elle réalise Tomboy. Cela lui vaudra notamment d’être élue « lesbienne de l’année 2011 » par les internautes de Yagg, site communautaire LGBT.

Céline Sciamma a accordé un entretien à TV5 Monde publié le 13 septembre 2011. Ci-dessous, quelques extraits révélateurs :

TV5 : Comment est née l’histoire de Tomboy ?

Céline Sciamma La genèse du film, c’est avant tout cette idée d’une petite fille qui a envie de se faire passer pour un petit garçon. (…) Les questions de genre me passionnent, dans la vie de tous les jours et même de façon assez intime. (…)

Je voulais pouvoir faire un film qui milite à un endroit où ça allait fonctionner, où je n’allais pas m’adresser à des gens déjà convaincus, parce qu’il y a une promesse de cinéma derrière. J’ai le souci de ces équilibres : il faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et politiques. (…)

TV5 : La sortie de Tomboy en DVD se fait dans un contexte un peu particulier en France, avec une polémique autour de l’enseignement de la théorie des genres et l’identité sexuelle, sujet que le film aborde largement. Quelle est votre position par rapport à cette question ?

Céline Sciamma : Je suis bien évidemment tout à fait en faveur de ces enseignements. Je trouve même ça fou qu’il y ait une polémique ! C’est complètement dingue ! En France, on est tellement en retard sur ces questions… (…)

Il y avait urgence à légiférer sur le sujet. Et c’est important que ça soit à l’école que ça se passe : le plus tôt le mieux. Lors de l’accompagnement lors des séances scolaires, j’ai vu que les enfants ont une parole assez libre sur ces questions, mais sont aussi dans des schémas très forts de rapport à leur genre. (…)"

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
16 février 2014 00:10

Sur Boulevard Voltaire, Gabrielle Cluzel revient sur l'intervention d'un travesti dans une classe de CM1 à Versailles, dont nous vous avions parlé ici. Extrait :

"Mais certains parents ont préféré se taire : « On ne veut pas être traités d’homophobes… » Car que peuvent-ils dire, au juste, avec ce flingue « homophobie » sur la tempe, dont le moindre mot malheureux peut d’un coup actionner la gâchette ?

Ils peuvent au moins réclamer la vérité. La transparence. À aucun moment, les parents n’ont été prévenus de l’intervention dans la classe d’un tiers appelé David Dumortier. Ce sont les enfants, le soir, qui ont vendu la mèche.

Comme dans d’autres écoles primaires, d’autres parents n’ont jamais été prévenus, ainsi qu’en témoigne une mère de famille sur le site de Famille Chrétienne, de la projection du film Tomboy sur le « transgenre ».

Les parents seraient donc tenus à l’écart ? On leur demanderait une autorisation pour prendre en photo leurs enfants, mais pas pour les prendre en otage ? N’auraient pas le droit de savoir ?

Savoir si cette Éducation nationale qu’ils soupçonnaient déjà, au vu de ses performances, de ne rien transmettre, ne transmet pas en réalité pire que rien ?

Si, en plus de ne pas apprendre, elle ne« désapprend » pas aux enfants les quelques certitudes objectives acquises à la naissance, comme le fait qu’ils sont fille ou garçon ? Si plutôt que les faire grandir, elle ne les fait pas régresser au stade anal ?"

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
15 février 2014 01:32

La ministre de la Culture Aurélie Filippetti a dénoncé aujourd’hui les pressions exercées contre «une trentaine de bibliothèques publiques» par «des mouvements extrémistes» qui «exigent le retrait de la consultation de tout ouvrage ne correspondant pas à la morale qu’ils prétendent incarner».

«Il est temps d’en appeler à Voltaire, à l’esprit des Lumières, pour dénoncer ces atteintes scandaleuses à la démocratie et à la liberté», écrit la ministre de la Culture.

Ces groupes, a indiqué une source proche du ministère, sont liés au «Printemps français» hostile au mariage gay et qui dénonce une supposée «théorie du genre» qui serait enseignée dans les écoles, notamment à travers les ouvrages fournis aux enfants.

Selon Filippetti, ces groupes «se rendent dans les bibliothèques de lecture publique, exercent des pressions sur les personnels, les somment de se justifier sur leur politique d’acquisition, fouillent dans les rayonnages avec une obsession particulière pour les sections jeunesse, et exigent le retrait de la consultation de tout ouvrage ne correspondant pas à la morale qu’ils prétendent incarner».

Le Figaro

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
15 février 2014 00:21

Najat Vallaud-Belkacem a demandé secrètement à des responsables syndicaux et patronaux de signer un texte

qui devait être publié dans la presse, pour défendre la théorie du genre

Théorie du genre. Après avoir menti aux Français sur la théorie du genre à l’école, Najat Vallaud-Belkacem, ministre déléguée des Droits des femmes, tente désespérément de se raccrocher aux branches en faisant signer aux partenaires sociaux, une tribune rédigée…par son propre cabinet !

Valeurs actuelles révèle aujourd'hui les méthodes utilisées par Najat Vallaud-Belkacem et son cabinet. Loin de vouloir mettre un terme à la polémique sur la théorie du genre, le gouvernement tente coûte que coûte de l’imposer. Et cette fois en mouillant les partenaires sociaux, pourtant étrangers à ce débat.

La teneur du document

Il est proposé à des organisations de plusieurs sensibilités (CFDT, FO, CGT, CFTC, Medef entre autres), de cosigner un texte, défendant les ABCD de l'égalité. Les ABCD, très critiqués depuis le succès de La Manif Pour Tous du dimanche 2 février, ont pour but d'inculquer aux enfants la théorie du genre, de manière déguisée.

Intitulé « Nous ne ferons pas l’égalité dans l’emploi sans un apprentissage de l’égalité à l’école ! » le texte explique que « la transmission d’une culture de l’égalité ne peut se faire, aujourd’hui comme hier, sans aborder la question de l’égalité entre les filles et les garçons, l’égalité entre les femmes et les hommes ». En d’autres termes, en expliquant la théorie du genre à des enfants de CP.

Transformer la société

Le but de Belkacem : que le Gender devienne réalité.  « Ce n’est évidemment pas une question de théorie. C’est une nécessité démocratique mais c’est aussi un impératif pour lutter et annuler des inégalités professionnelles ».

Le dernier paragraphe rédigé par les services de la ministre est clair : « nous soutenons l’esprit et la démarche des ABCD de l’égalité » !

Une tribune signée par...le directeur adjoint de cabinet de Belkacem

Valeurs actuelles a pu consulter ce document. Il ressort de son étude que ce texte n’est pas l’œuvre des partenaires sociaux, mais qu’il a été rédigé par un proche conseiller de la ministre : Thierry Breton, chargé de l'égalité professionnelle à son cabinet. En outre, la dernière relecture du texte a été supervisée par Jérôme Teillard, directeur adjoint du cabinet de Najat Vallaud-Belkacem !

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
14 février 2014 01:38

Extraits du document pris sur un site du gouvernement français : « Collectif éducation contre les LGBTphobies en milieu scolaire. Plateforme revendicative. » Soutenu par :

Ce document est à mettre en parallèle avec celui mis en ligne par Fdesouche concernant l’éducation à la sexualité en école primaire, thème prioritaire.(Document retiré depuis par l’académie de Grenoble).

[collage d'extraits][PDF complet en fin d'article] Le Collectif éducation LGBT réaffirme que le service public d’éducation ne peut pas se cantonner aux simples savoirs disciplinaires.

Le service public doit aborder (…) l’apprentissage du vivre ensemble et de la découverte de la diversité des formes d’attirances affectives ou amoureuses, des revendications d’être et de genre par les élèves, et ce de l’école primaire à l’université.

L’éducation à la sexualité doit être ouverte sur (…) les sentiments, le genre, les orientations sexuelles ou l’identité de genre, et étendue à l’éducation à l’identité, sortant des schémas binaires stricts de genre.

[Il y a] la nécessité d’actions éducatives régulières dans le cadre scolaire dès l’école maternelle.

Le Collectif demande que les ministères se dotent d’outils (…) pour la mise en oeuvre d’une lutte efficace contre les discriminations LGBT, sans occulter la question de l’identité de genre.

Le Collectif demande que ces campagnes se mettent en place dès le premier niveau du collège et dès le 1er trimestre de l’année scolaire.

Le Collectif demande la distribution à l’ensemble des élèves d’un outil de sensibilisation visant à combattre les discriminations lesbophobes, homophobes, transphobes, biphobes …) et demande que les ministères développent et facilitent les interventions des associations habilitées en milieu scolaire.

La formation des jeunes ne doit pas se limiter à des apprentissages disciplinaires. L’ensemble de la communauté éducative doit s’impliquer dans l’éducation à la citoyenneté des élèves. Tous les personnels doivent y contribuer, dans tous les lieux, pour les activités scolaires et péri-scolaires. Aucun établissement, public ou privé sous contrat, ne peut promouvoir unevision réductrice, voire régressive, de l’éducation à la sexualité.

Les contenus des programmes et des manuels scolaires doivent évoluer pour mieux représenter lasociété réelle et mieux prendre en compte la diversité des orientations et des identités sexuelles,et non plus en référence à l’hétérosexualité.

Il est nécessaire de promouvoir une éducation aux questions de genre qui prenne en compte la diversité : notions de masculin/féminin, de femmes/hommes, relations filles/garçons et égalité des sexes, respect de l’autre et de sa volonté, droit des femmes à disposer de leur corps, la déconstruction des stéréotypes de genre et des rôles sexués, identité et transgressions des normes de genre.

Il est impératif de déconnecter les questions d’identité et celles de l’orientation sexuelle.

L’école primaire a un rôle déterminant à jouer pour éduquer contre les LGBTphobies :
[par le] questionnement des stéréotypes et des rôles sexués, la déconstruction des
représentations, [et]l’éducation à la sexualité et à la notion de genre

Il est important de lutter contre les stéréotypes le plus tôt possible, c’est-àdire dès l’école maternelle.

Les « années collège » sont celles pendant lesquelles les adolescent-es affirment ou consolident leur identité genrée. L’éducation à la sexualité doit être dispensée durant ces quatre années et aborder les différents types de relations amoureuses et d’attirances affectives, sans se restreindre à la vision unique de l’hétérocentrisme (hétérosexualité) qui ne peut plus être la seule référence dans notre société.

[Au collège] des interventions doivent être réalisées par les équipes éducatives, éventuellement en partenariat avec des associations, pour aborder et expliquer les différentes façons de vivre sa sexualité (homosexualité, bisexualité, hétérosexualité et asexualité), sans hiérarchiser et sans qu’aucune ne soit stigmatisée.

Le Collectif demande la mise en place et le réapprovisionnement régulier de distributeurs de matériel complet de prévention (préservatifs masculins et féminins, gel, digue dentaire…) dans l’ensemble des lycées.

L’éducation à la sexualité, aux théories du genre et la promotion de l’égalité doivent être l’objet de sensibilisations et de formations spécifiques pour tous les personnels.

Il faut promouvoir une éducation à la sexualité qui prenne en compte la diversité, qui ne se limite pas à l’aspect sanitaire de prévention des risques, et qui n’envisage pas la sexualité à travers la seule visée reproductive, mais également en termes de relation affective, de désir et de plaisir.

Il est important de lutter contre les stéréotypes le plus tôt possible,c’est-à-dire dès l’école maternelle. Une aide intéressante peut être apportée par la littérature de
jeunesse qui propose des supports variés, notamment pour aborder les questions d’égalité/d’inégalité, les relations amoureuses, les rapports au genre, ainsi que les différentes formes de parentalité.

2 – Contribution Du Collectif Education Contre Les Lgbtphobies

[Autres sources : voir ici][Télécharger le PDF]

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
11 février 2014 20:00

 

Argument non contestable, le Gender existe bien au sein de l'Union Européenne...

Ce que vous allez lire ci-dessous date du 8 janvier 2014. La volonté politique est donc bien présente, nos garçons peuvent devenir des filles...

Monsieur Peillon, Madame Belkacem, de quel droit vous continuez à mentir aux parents ?

Pour faire simple, la destruction de la cellule familiale est planifiée, l'objectif est d'en ressortir un fanatisme religieux pour mieux vous manipuler ou comment diviser pour régner.

L'analyse ci-dessous est assez pertinente même si nous ne défendons pas cette personne. Tout jugement est bon à prendre.

Source parlement européen:

http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?type=REPORT&reference=A7-2014-0009&language=FR

merci à Claude 

 

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
10 février 2014 01:19

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[ Un long article du Monde qui — sans jamais le dire clairement — met en évidence  le lien entre immigration et baisse du niveau scolaire en France.]

[Quelques courts extraits]

Dans cet immense quartier sensible de Tourcoing de plus de 9 000 habitants, le concept de chômage n’ a même plus de sens, les indemnités ayant été remplacées de longue date par les minima sociaux.

Une mosquée salafiste s’est implantée, et l’an dernier des enfants de 6e ont troqué les cours du vendredi contre la prière.

« Le niveau de nos élèves à l’entrée en 6e est très faible. Depuis des années, l’accent est pourtant mis sur la maîtrise de la langue. On oublie parfois un peu les maths, en primaire, face à l’urgence de la langue, et les élèves entrent au collège avec de graves lacunes dans cette discipline. »

« Moi j’aime bien être là, mais ma petite soeur ne viendra pas. Ma mère dit qu’il y a trop de racaille », susurre Mériem. « Cette réputation date du temps où les chaises volaient en cours », regrette une enseignante.

Le collège est fui par 40 % des élèves de son secteur, surtout ceux de l’espace pavillonnaire.

Lire l’article intégral : Le Monde

——- Complément : l’intervention extrêmement marquante de Jacques Marseille en 2009.

« La ghettoïsation de la société française est en marche : les gens se fuient mutuellement. Toute famille française qui veut un avenir pour ses enfants et qui veut un bon voisinage, elle se sauve ! Tous les gens des classes moyennes de Sarcelles et de Montfermeil, ils n’ont qu’une envie, c’est de se tirer. » Jacques Marseille [1945-2010]

______________

**Noter l’emploi du mot « Français » par J. Marseille : il désigne sans équivoque le Français de souche européenne. Il procède ainsi à une distinction de fait entre population française indigène et populations immigrées ou d’origine immigrée.
D’ordinaire, un gardien de l’idéologie est toujours présent sur les plateaux pour rappeler à l’ordre le fautif d’un cinglant  « Mais ils sont Français ! ». A ce sujet, cherchez les vidéos de Malika Sorel.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
9 février 2014 12:47

Capture d’écran aujourd’hui du site de l’académie de Grenoble :

Capture d’écran du site de l’académie de Grenoble lors de la réalisation de l’article :

                                                                                      

[Pour des raisons pratiques, le PDF a été transformé en document SCRIBD. Le lien amenant sur le site de l'académie de Grenoble est juste en dessous du dit document. A noter que le titre est "Education à la sexualité"]

Obj Cycles

Cycle 1, grande section (CE1) :

Nommer les parties du corps et notamment
les OGE (organes génitaux extérieurs)
Découvrir les 5 sens et le plaisir qu’ils
suscitent

AC Grenoble, merci à Clem

Académie de Grenoble

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
8 février 2014 00:06

La lecture du titre de première page sur 4 colonnes : «Le réveil de la France réactionnaire! » (Le Monde daté 2-3 février) a fait réagir des lecteurs du Monde.

Natalie Nougayrède, directrice du Monde : «La ‘réaction’ s’entend ici au sens de protestation contre une avancée, une réforme. C’est le refus de certaines évolutions, assorti d’une demande de retour à l’état antérieur.»

«Vous savez ce qu’elle vous dit, la France réactionnaire ?» écrit Denis Monod-Broca (Paris). Il n’est pas le seul, cette semaine, à se demander s’il «n’est plus possible d’exprimer son désaccord sans risquer les anathèmes du journal de référence». […]

«Le terme ‘réactionnaire’ a pour moi un sens péjoratif qui ne peut avoir sa place ici», dit Philippe Boinot (Niort). «Il est un peu facile de rejeter d’un revers de manche, à l’aide d’amalgames douteux et de généralisations abusives, les inquiétudes réelles, sincères et respectables de centaines de milliers de personnes face à certaines réformes sociétales», estime Maxime Daubenton (Cambrai, Nord).

«Depuis quand des poussettes, des familles chrétiennes, athées ou musulmanes représentent-elles un danger pour la République ? Par cette posture, vous ne faites que renforcer les clivages», s’agace David Cotard, de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). […]

Le Monde

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
4 février 2014 01:02
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
3 février 2014 02:11

Notre orientation sexuelle peut-elle être déterminée dès notre naissance ? Responsable du Groupe de Recherches en Neuroendocrinologie du Comportement à l’Université de Liège, Jacques Balthazart nous donne son avis.


Est-ce qu'on naît homosexuel ? par Universite_de_Liege

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
3 février 2014 02:10


La page Facebook du site Enseignons.be suscite la polémique à cause d’une carte de géographie publiée hier. Une carte d’Europe réalisée il y a deux ans par un artiste montois et qui fait la part belle aux clichés et aux stéréotypes parfois extrêmement racistes.

Le site Enseignons.be a mis en ligne une carte géographique bourrée de clichés sur les pays et les peuples, à but pédagogique, mais la polémique fait rage.

« Ce serait dramatique si ce genre de carte devait se retrouver dans les couloirs d’une école ou à la salle des profs. Nous avons proposé en complément de cette carte des outils pédagogiques. »

La carte a fait réagir de nombreux internautes et notamment le Mouvement contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie (MRAX), qui estime que « cette reproduction et banalisation de tous les préjugés et stéréotypes habituels, ne relèvent en rien de l’humour » et a menacé d’entreprendre des poursuites en justice si la carte n’est pas retirée.

RTL.be 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
3 février 2014 01:18


[Mise à jour n°3 - 23h28]

L’Observatoire de la théorie du genre réplique [extraits]:

« Najat Vallaud Belkacem, Christiane Taubira et Vincent Peillon ont commandé des études et des rapports à des « militants » qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre.

Dans la diffusion de cette « théorie », l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs :

  • Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.
  • La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
  • La promotion par Vincent Peillon de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et l’identité de genre en affirmant sur ses supports pédagogiques : « que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic !
  • La diffusion du film militant « TOMBOY », où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçons.
  • Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres « non-genrés » comme « Papa porte une robe ».

Le ministère semble d’ailleurs loin d’être à l’aise sur cette question puisqu’il entretient le plus grand secret sur ces dispositifs. (…)

via Salon Beige

—————–

[Mise à jour n°2 - 21h00] 

Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale, a tenu à rassurer les parents de France en contestant cette rumeur de « théorie du genre ». En rappelant les valeurs de la République, il a mis en garde ceux qui sèment la haine dans les écoles.

———————

De mystérieux SMS invitent les parents à boycotter les écoles, de peur qu’on apprenne à leurs enfants la théorie du genre.

Des SMS, échangés entre parents, font circuler l’idée que la théorie du genre serait enseignée à l’école, le tout grâce à des cours enseignés par des homosexuels déguisés et des formations à la masturbation.

(…) Derrière cette manipulation, un collectif, “Journée de Retrait de l’Ecole”, entend protester contre les idées inculquées aux enfants. A sa tête, Farida Belghoul, une figure des mouvements anti-racistes des années 80, également proche du polémiste Alain Soral, qui inspire Dieudonné.

(…) Le collectif appelle les parents à retirer leurs enfants de l’école une fois par mois. Il dispose déjà d’un très bon maillage territorial, en témoigne le nombre de correspondants indiqués sur leur site.

A Meaux, 20% des enfants étaient absents lundi, tous des musulmans, rapporte le Parisien.

Europe 1

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
2 février 2014 01:23

 

Inquiet de l'écho reçu par l'initiative de Farida Belghoul invitant les parents à retirer leurs enfants de l'école un jour par mois pour protester contre l'enseignement de la théorie du genre, Vincent Peillon a lancé aujourd'hui une contre-offensive médiatique, pour stopper ce qu'il appelle une "rumeur mensongère".

 

L'Observatoire de la théorie du genre réplique :

"On ne peut que constater que Najat Vallaud Belkacem, ministre déléguée aux droits des femmes, Christiane Taubira, ministre de la justice et Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, ont commandé des études et des rapports à des « militants » qui s’inspirent des théoriciens les plus radicaux de la théorie du genre.

Dans la diffusion de cette « théorie », l’Education nationale joue un rôle moteur avec plusieurs dispositifs, comme :

  • Le dispositif « ABCD égalité » qui de façon insidieuse s’inspire des théories de « l’éducation neutre » telle qu’elle se pratique en Suède.

  • L’expérimentation, soutenue par Najat Vallaud Belkacem, de crèches neutres s’inspirant de la crèche Egalia à Stockolhm.
  • La généralisation de l’éducation sexuelle à l’école pour tous les élèves à partir de 6 ans. Le ministère allant jusqu’à recommander la participation en classe d’intervenants issus d’associations clairement militantes.
  • La promotion faite par Vincent Peillon, dans une circulaire adressée à l’ensemble des recteurs le 4 janvier dernier, de l’association « Ligne Azur » qui intervient auprès des enfants notamment sur la question de l’identité sexuelle et l’identité de genre en affirmant sur ses supports pédagogiques : «  que l’identité de genre c’est le sentiment d’être un homme ou une femme. Pour certains, le sexe biologique coïncide avec ce ressenti ». Sic !
  • La diffusion dans le cadre du programme « Ecole et cinéma » du film militant « TOMBOY », où l’on invite des enfants de CE2, CM1, CM2 à s’identifier à une petite fille qui se fait passer pour un petit garçons.
  • Les recommandations du principal syndicat d’enseignants du primaire d’utiliser en classe des livres "non-genrés" comme "Papa porte une robe".

Voilà quelques uns des motifs pour lesquels, les parents ont des raisons de s’inquiéter.

Le ministère semble d’ailleurs loin d’être à l’aise sur cette question puisqu’il entretient le plus grand secret sur ces dispositifs. Il refuse, par exemple, de communiquer la liste des établissements expérimentant le programme « ABCD égalité » ; il exclut les parents des évaluations de ce dispositif et dans certaines académies, il interdit aux enseignants et aux directeurs d’établissement de répondre aux légitimes questions des parents, les renvoyant vers les inspecteurs académiques."

Deux moyens d'action :

  • Continuer de signerla pétition de l'Observatoire de la théorie du genre demandant la fin du programme ABCD de l'égalité.

  • Vous joindre à l'initiative de Farida Belghoul en retirant votre enfant de l'école un jour par mois Tous les renseignementssur ce siteou surFacebook. 


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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
1 février 2014 01:55

peillon attaches pré républicaines

 

On en parle, un peu, sur les réseaux sociaux ; l’information n’a pas été évoquée dans la presse « grand public » et il y a peu de chances qu’elle l’intéresse jamais mais les faits sont là : un octet de sénateurs vient de déposer une proposition de loi visant, je cite le titre, « à limiter la possibilité d’instruction obligatoire donnée par la famille à domicile aux seuls cas d’incapacité ». Oui, vous avez bien lu, ça se passe en France et en 2014.

Comme vous le savez, le législateur (du XIXème siècle) a, dans sa grande clairvoyance, estimé qu’en France, l’instruction est obligatoire jusqu’à 13 ans. Par la suite, l’instruction obligatoire s’est étendue jusqu’à 14 puis 16 ans. Notez qu’on parle ici d’instruire et non d’éduquer les enfants, même si les deux termes ont été habilement confondus ces dernières décennies dans un mouvement qui n’a rien de fortuit, comme on va le voir.

>>> Jusqu’à présent cependant, les parents ont toujours conservé la possibilité de placer leurs enfants auprès d’un précepteur ou de s’occuper eux-mêmes de la charge que représente cette obligatoire instruction. Ainsi, en 2013, on comptait environ 40.000 enfants dont l’instruction se déroulait hors du cadre scolaire, soit par des cours particuliers, soit par l’enseignement par correspondance.

Les raisons qui expliquent les choix des parents sont multiples ; il peut s’agir d’une obligation technique (cas des enfants malades, handicapés, …), de contraintes familiales (mobilité trop grande des parents, …) ou d’un simple choix réfléchi de leur part de ne pas confronter leurs enfants aux enseignements prodigués par l’Éducation Nationale, soit parce que cette dernière est inadaptée (cas typique des enfants surdoués) ou parce que les parents ont jugé que l’orientation prise par les cours ne leur convient pas.

Peu importe, finalement, les raisons qui entraînent ces situations : la France impose l’instruction, elle n’impose pas la méthode.

Le but du Sénat  est simple : mettre fin à cette situation scandaleuse où des parents, conscients du gâchis de plus en plus catastrophique que constitue l’enseignement industriel bas de gamme fourni par l’État, décident de s’occuper eux-mêmes de l’instruction de leurs enfants.

De plus en plus de parents commencent à comprendre que le but de l’école républicaine n’est absolument pas d’instruire leurs enfants, mais de les élever, comme on élève des animaux domestiques,

....pour qu’ils sachent ensuite répéter des tours et se tenir tranquilles. Et ce n’est pas moi qui le dis, c’est Vincent Peillon, l’actuel patron de l’Éducation Nationale : pour lui, l’école doit même jouer le rôle d’éduquer les bambins, et de les détacher de toutes ces niaiseries que forment le cocon familial, à commencer bien sûr par la religion, la morale et les valeurs traditionnelles, mais sans s’y limiter : « il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel »

peillon attaches pré républicaines

mini najatNe l’oubliez pas : pour nos petits socialistes en culotte courte, l’enfant est un excellent terrain d’expériences. Pour certains, ce seront les expériences éducationnelles pédagogogiques, pour d’autres, tout est à base desynaptogénétique qui crache bien, pour d’autres encore, la question de la sexualité occupera un champ d’autant plus large que toute la société leur semble structurée sur cette question qui les taraude au plus profond d’eux-mêmes.

Dès lors, c’est la porte ouverte à la propagande, qu’elle soit politique, ou sexuelle. D’ailleurs, comme le disait Laurence Rossignol, une sénatrice socialiste surtout connue pour ses médiocres capacités d’auto-défense, l’enfant n’appartient pas à ses parents, mais bien à l’État.

e n’est même pas caché dans l’exposé des motifs :

L’un des buts de la scolarisation de l’enfant est sa socialisation. Celle-ci nécessite une éducation qui ait une dimension collective, qui lui permette de découvrir la diversité des conditions et des cultures des enfants de son âge et de rendre son développement plus harmonieux. (…) L’éducation à domicile ne peut être le prétexte d’une désocialisation volontaire, destinée à soumettre l’enfant, particulièrement vulnérable, à un conditionnement psychique, idéologique ou religieux.

Conclusion : ce que des parents sont susceptibles de faire pour leurs enfants, jamais un État ne tremperait là-dedans - au parent l'éducation de leurs enfants - à l'école le rôle de l'instruction des enfants que les parents leurs confient.

cette proposition de Loi est une véritable course au plus-disant collectiviste et liberticide qui s’est engagée entre les deux factions qui se disputent les rênes du pouvoir en France. La différence entre l’UMP et le PS est maintenant si fine qu’elle est purement symbolique et ne sert plus qu’à occuper le peuple dans des élections qui sont, de facto, truquées non par mécanisme, mais par l’absence totale de choix.

 Il est effrayant de voir avec quelle rapidité ce pays sombre dans un régime global d’interdiction, de restriction et d’encadrement d’absolument tout.

En un siècle, la France aura perdu chacune de ses grandes libertés, rongées petit à petit par ce types d’interventions lamentables, qui auront lentement mais inexorablement dissout la cohésion sociale du pays en dépossédant chaque citoyen de ses responsabilités pour n’en faire qu’un animal mal domestiqué.

Ce pays est foutu.

 

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
29 janvier 2014 01:40

AVANT (le 31 août 2011 – le PS est alors dans l’opposition) :

Théorie du genre : «Il est essentiel d’enseigner aux enfants le respect des différentes formes d’identité sexuelle, afin de bâtir une société du respect».

Selon Najat Vallaud-Belkacem, secrétaire nationale du PS aux questions de société et porte-parole de Ségolène Royal, les parlementaires n’ont pas à faire d’incursion dans le contenu des manuels scolaires…

Le Parti socialiste [alors dans l'opposition] a fait savoir mardi que «cette tentative de députés [de la majorité UMP] est inacceptable sur la forme comme sur le fond». Najat Vallaud-Belkacem, secrétaire nationale du PS aux questions de société et porte-parole de Ségolène Royal, explique à 20Minutes pourquoi les parlementaires ne doivent pas se mêler du contenu des manuels scolaires. (…)

« Parce que les députés n’ont pas à écrire les programmes, sauf s’il s’agit de théories qui touchent aux valeurs de la nation, telles que la condamnation du négationnisme ou a contrario les lois mémorielles. » (…)

En quoi la «théorie du genre» peut-elle aider à changer la société ?

« La théorie du genre, qui explique «l’identité sexuelle» des individus autant par le contexte socio-culturel que par la biologie, a pour vertu d’aborder la question des inadmissibles inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ou encore de l’homosexualité, et de faire œuvre de pédagogie sur ces sujets. »(…)

20 minutes

———————

APRES :

Le site de Najat Vallaud Belkacem

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
27 janvier 2014 23:29

La théorie du genre avance masquée, au nom de l’égalité notamment. Le pouvoir est habile et vicieux. Il sait comment imposer ses vues sans alarmer l’opinion publique.

En ce moment, en France, Farida Belghoul chez les musulmans et Alain Escada chez les catholiques tentent de faire prendre conscience des enjeux et enchaînent les conférences de ville en ville.

gender-MPI

Mais le pouvoir pratique le déni –« non, la théorie du genre n’existe pas », répète Najat Vallaud-Belkacem – et peut compter sur quelques officines complices comme la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) chargée d’apaiser les inquiets : circulez, il n’y rien à voir.

Ainsi, l’antenne départementale du Val d’Oise de la FCPE vient de publier un communiqué hallucinant. Soit l’auteur de ce communiqué ne sait pas de quoi il parle et ferait donc mieux de se taire, soit il ment effrontément. Dans les deux cas, c’est scandaleux et les parents feraient bien de s’en aviser et de remettre les représentants de cet organisme à leur place.

Dans son communiqué, la FCPE écrit notamment : « Si cette théorie pourrait être abordée, dans le cadre de l’éducation sexuelle aux collèges et aux lycées, elle ne sera pas abordée en primaire où sont uniquement prévues des informations sur l’égalité des sexes. ».


Or, c’est bien dès l’école maternelle que la théorie du genre se propage avec la lecture hebdomadaire d’ouvrages comme « Jean a deux mamans », « Papa porte une robe » ou « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille ». C’est bien la théorie du genre qu’on inculque à nos enfants sous couvert d’un programme consacré à l’égalité.

 

« La lutte contre l’homophobie et pour l’égalité fille/garçon a toujours été une priorité de notre fédération. », poursuit le communiqué, permettant de mieux comprendre l’origine des œuillères de cette fédération qui voit dans ceux qui dénoncent la théorie du genre une «inspiration pétainiste et réactionnaire ».

 

Dans la droite ligne de Manuel Valls, « La FCPE appelle tous les parents, responsables d’associations, politiques et citoyens à dénoncer ces agissements. » Vraiment le monde à l’envers !

 

Parents, n’ayez donc aucune illusion à l’égard de la FCPE. Libérez-vous des usurpateurs qui prétendent vous représenter et créez vos propres associations de vigilance pour protéger vos enfants de cette entreprise de subversion.

Source : Mediapresseinfo

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
27 janvier 2014 01:00

Tribune de Claude Meunier-Berthelot

♦ Les derniers résultats de l’étude internationale PISA ont souligné la situation 
catastrophique del’éducation nationale française : moins de connaissances chez 
les élèves et de plus grandes inégalitésentre eux. C’est logique : un système en 
décomposition génère forcément des inégalités croissantes.

Or le gouvernement français, loin de s’inspirer des exemples qui marchent
 (pays d’Asie, Canada,Australie, Finlande), fait exactement l’inverse : bourses sur 
critères sociaux et non intellectuels, absence d’efforts réalistes pour améliorer 
le recrutement des enseignants, poursuite des réformes tendant à remplacer
 l’enseignement structuré des disciplines de base par des activités plus ou moins
ludiques. 

Claude Meunier-Berthelot fait le point pour Polémia.


Placée sous l’égide de l’OCDE, l’étude PISA (Programme international de suivi des acquis), réalisée tous les trois ans, consiste à faire une évaluation des acquis scolaires des élèves de 15 ans appartenant à 65 pays membres de l’OCDE. En 2012, 510.000 élèves ont participé à cette évaluation, dont 5700 en France, sélectionnés et évalués en fonction de critères de représentativité que nous ignorons… l’OCDE, très discrète sur le sujet, ne répondant pas à notre demande.

Cette étude porte sur l’évaluation d’acquis très basiques : elle n’apprécie pas la maîtrise d’un programme déterminé, donc d’une culture mais seulement l’aptitude des élèves à appliquer les connaissances acquises à l’école dans des situations de la vie courante dans les trois domaines : mathématique, scientifique et… compréhension de l’écrit ; 

Cette année, l’accent était mis sur les mathématiques… dit l’OCDE...

... Notons d’ailleurs au passage que les pays de l’OCDE ne lésinent pas sur les moyens, investissant plus de 230 milliards d’USD par an dans l’enseignement des mathématiques à l’école. Investissement colossal qui… rapporterait beaucoup plus que ce qu’il ne coûterait… paraît-il. Ah bon ? Que ne ferait-on pas pour la mondialisation !

Shanghai, Singapour, Hong-kong, Corée du Sud, Japon, Canada, Finlande 
et Australie sur le podium

Quoi qu’il en soit, sur 65 nations, ce sont cinq pays asiatiques qui arrivent en tête : Shanghai, Singapour, Hong-Kong, Corée du Sud et Japon, mais également le Canada, la Finlande, l’Australie… établissant un score équivalant à une avance de près de 3 années par rapport aux autres pays, alliant performance élevée et égalité des possibilités d’apprentissage, ...

Pourquoi les pays performants réussissent-ils ?

Ils misent sur les enseignants : l’accent est mis sur la sélection et la formation des enseignants ; ils investissent en priorité dans l’amélioration de leur qualité.

Le Brésil, la Colombie, l’Estonie, Israël, le Japon et la Pologne ont tous entrepris d’améliorer la qualité du personnel enseignant.

Certains pays, dont le Danemark et l’Allemagne, ont réagi aux évaluations de l’étude PISA 2000 en soumettant leur système d’éducation et leurs programmes de cours à de grandes réformes.

La France continue de chuter

La France continue de dégringoler, se situant en dessous de la moyenne européenne, perdant 16 points en maths de 2003 à 2012 pendant que l’Allemagne se redresse. Le nombre d’élèves en grande difficulté s’accroît pendant que le nombre d’élèves excellents augmente.

Un système en décomposition génère forcément des inégalités

Nous avons déjà eu l’occasion de le dire : un système éducatif performant profite forcément à tous les élèves, quand un système éducatif est en voie de décomposition, tel celui de la France il génère forcément des inégalités.

 

« L’Ecole est malade, le traitement ne lui convient pas, doublons les doses »

Insistant sur l’accroissement des inégalités entre les enfants de France, sans dire pourquoi – bien entendu ! –, Vincent Peillon en profite pour renforcer les dispositions prises en faveur de l’éducation dite prioritaire, c’est-à-dire en faveur des enfants des ZEP qui vont de plus en plus bénéficier d’un réel enseignement refusé à tous les autres, de la maternelle à l’université incluse.

Par ailleurs, dans son communiqué de presse du 3 décembre 2013, V. Peillon dit : « …les résultats ne sont pas bons, on s’y attendait, il y a depuis des années une difficulté scolaire en France … aggravée parce que des mauvais choix ont été faits… » – sous-entendu « mais on va y remédier » – alors qu’il confirme la politique de « refondation » de l’Ecole de ses prédécesseurs : « …il faut mener à bien la “refondation républicaine” de l’Ecole… », dit-il.

« L’Ecole est malade, le traitement ne lui convient pas ; doublons les doses. » Nous savions déjà que si le communisme n’avait pas réussi, ce n’est pas qu’il y en avait trop, mais pas assez !

Sur quoi repose la « refondation » de l’Ecole ?

Sur la suppression des cours et leur remplacement par des activités au cours desquelles l’enfant, l’adolescent, construisent leur savoir et ce, du primaire à l’université incluse.

Est-il prévu, comme d’autres pays l’ont fait, l’amélioration de la qualité des « enseignants » qui n’enseignent plus ? Evidemment, dans ce cadre-là, cela ne
 
s’impose pas, même si le ministre de l’Education le prétend !

Les créations de poste se font essentiellement sur la base d’ « emplois-avenir-professeurs », avec des conditions de recrutement qui ne laissent planer aucun doute sur les intentions. Entre autres dispositions :

  • • ils s’adressent à des étudiants boursiers sur la base de critères sociaux et non intellectuels !
  • • sans condition de nationalité ;
  • • priorité étant donnée aux étudiants ayant résidé au moins 2 ans dans une zone urbaine sensible ou dans un DOM ou ayant effectué au moins deux années d’études secondaires dans un établissement situé dans une de ces zones ou dans un établissement relevant de l’éducation prioritaire… pour ensuite être pris en charge encore plus longtemps par les IUFM rebaptisés Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation, ce qui ne change ni le programme ni les méthodes de cette machine à décérébrer !

Conclusion

Ces dispositions vont à l’encontre de celles prises par les pays arrivés en tête du classement, ce qui conduira forcément la France, déjà mal en point dans les résultats de l’étude PISA 2012, tout droit dans le peloton de queue des 65 pays de l’OCDE ayant concouru, avec le risque aussi grand d’être récupérée par la « voiture-balai »…

Mais qu’à cela ne tienne ! Nos ministres ont de la ressource : ce sont les évaluations qui seront mauvaises !

 Claude Meunier-Berthelot
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Voir aussi :

Projet de loi Peillon : dans la continuité de la destruction de l’École
Le gros bobard de France-Info sur les méthodes de lecture

Correspondance Polémia – 20/01/2014

Image : Pisa 2012

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
26 janvier 2014 15:21

Le gouvernement socialiste s'attaque à l'école à la maison - Par Marie Vermande

PARIS (NOVOpress) - La grande faucheuse continue sa marche inexorable, je veux parler de l’Education nationale, et de sa course aux enfants, sans qu’aucune famille ne puisse lui résister.

Ainsi donc, l’Etat cherche une nouvelle fois à tuer la liberté des parents de choisir pour l’éducation de leurs propres enfants, de choisir comment leur donner l’instruction nécessaire, comment les socialiser et les préparer au monde de demain.

L’Etat en souhaitant promulguer cette loi liberticide contre l’école à la maison met d’ailleurs en avant que l’un des buts de l’école serait de socialiser l’enfant, omettant que si des parents souhaitent retirer leur enfant du système éducatif publique c’est qu’ils considèrent que l’école a depuis longtemps abandonné sa fonction principale : celui d’instruire. “L’un des buts de la scolarisation de l’enfant est sa socialisation. Celle-ci nécessite une éducation qui ait une dimension collective, qui lui permette de découvrir la diversité des conditions et des cultures des enfants de son âge et de rendre son développement plus harmonieux.” 

Le principal but de l’école serait donc d’obliger chaque enfant à découvrir la diversité des conditions et des cultures, et d’empêcher que la déscolarisation soit “le prétexte d’une désocialisation volontaire, destinée à soumettre l’enfant, particulièrement vulnérable, à un conditionnement psychique, idéologique ou religieux.”

 

Quelle d’hypocrisie dans ce texte qui omet de dire que notre ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon parle de mettre en place une religion républicaine, et que nulle part il n’est question du niveau de l’enfant, de son apprentissage, de ses savoirs…

Où donc se trouve le “conditionnement psychique, idéologique ou religieux” ? Certainement pas chez les parents qui recherchent ce qu’il y a de mieux pour leur enfant. D’autant plus qu’actuellement un grand nombre de raisons peuvent pousser les parents à retirer leurs enfants du système : >>>> en premier lieu, l’échec scolaire de l’enfant, en raison de méthodes qui ne lui conviendraient pas, et qui plutôt que de l’épanouir, lui donnerait une énorme peur de franchir le seuil de l’école accompagné d’un profond mal-être, ce que l’on appelle la phobie scolaire.

Parfois l’échec scolaire est joint également de violences ou moqueries, et dans ce cas, la socialisation promue par l’Education nationale est plus qu’un échec.

Enfin à voir le magnifique programme sur l’éducation sexuelle que nous réserve l’OMS, ne serait-ce pas la petite goutte d’eau nous poussant à ne plus confier l’éducation des enfants à l’Etat, mais plutôt à nous en charger nous-mêmes ?

Marie Vermande

Image : La classe d’une école de village en Suisse, en 1848 (peinture d’Albert Anker, 1896) via Wikipédia 

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