• : PRESSE INTERNATIONALE
  • PRESSE INTERNATIONALE
  • : #Presse #Géopolitique #Géostratégie - International PRESS Review - ОБЗОР МЕЖДУНАРОДНОЙ ПРЕССЫ - 国际新闻评论
  • Contact

suivez-nous aussi sur :

Rechercher

 

 

 

david MIEGE
EN VENTE CHEZ VOTRE LIBRAIRE PRÉFÉRÉ. PLUS DE 200 DESSINS SULFUREUX

 

 

17 mars 2021 21:44

Un second mandat en 2022? Toujours en penser, ne jamais en parler. Face au Covid, le Président français envisage un plan multiétapes pour les six prochains mois, avant de se projeter sur la campagne présidentielle, rapporte Europe 1.

Si Emmanuel Macron n'a officiellement rien annoncé, il penserait déjà à la présidentielle 2022, affirme Europe 1 se référant à l’entourage du chef de l’État. Ce dernier serait en train de préparer l’organisation de sa future campagne présidentielle.

Le tout pas avant le retour à la normale, sur un plan de sortie de crise du pays face à l’épidémie de coronavirus qui serait déjà en préparation.

À en croire Europe 1, le Président estime que ce retour s’opérera d’ici l’automne prochain s’il n’y a pas de nouvelles souches du virus.

Un plan en plusieurs étapes

Le plan devrait s’étaler sur les six prochains mois. La première étape est fixée pour les vacances d’été, quand la mise en place d'un passeport sanitaire permettrait de rendre les voyages aussi fluides que possible, indique Europe 1.

S’en suivra une reprise «plus classique» à l’automne lorsque, selon des propos du Président relayés par le média, la plupart de la population sera vaccinée et la politique reprendra ses droits.

Il compte ainsi montrer «qu’il a continué de diriger le pays sur d’autres sujets importants à ses yeux, comme l’économie, le régalien, l’écologie ou encore l’école», poursuit le média.

Macron pense à 2022

Mi-février, le média avait déjà affirmé que le Président préparait l’organisation de sa future campagne, sollicitant son entourage. Ainsi, une action discrète serait en cours pour mener une enquête auprès de différents partis politiques et convaincre des élus de rejoindre la deuxième aventure d'Emmanuel Macron.

Cette fois, nuance Europe 1, il pense opter pour «un discours sur l'apaisement et la projection dans l'avenir», mais aussi «la réparation du pays sur le plan économique et social».

Enfin, son parti, La République en marche, est sur le point d’emménager à côté de la gare Saint-Lazare où il installera son futur QG de campagne, avance la radio. Des locaux plus grands, plus pratiques et plus proches de l’Élysée, souligne pour sa part Franceinfo.

 

source

Repost0
14 juin 2020 23:38

Alors que les plaintes se multiplient contre le gouvernement, le président a ardemment défendu la gestion de la crise sanitaire par l'exécutif. Il estime que grâce à ses choix et ses actions des «dizaines de milliers de vies» avaient été sauvées.

Si le président de République a présenté, ce 14 juin, les mesures du gouvernement pour la seconde phase du déconfinement. Il a également eu à cœur de défendre l'action de l'exécutif pendant la crise sanitaire.

«Nous n'avons pas à rougir, mes chers compatriotes, de notre bilan. Des dizaines de milliers de vies ont été sauvées par nos choix, par nos actions», a-t-il ainsi jugé, répondant implicitement au déluge de critiques qui s'abattent sur le gouvernement quant à sa gestion de la crise.

«Nous avons su doubler en quelques jours nos capacités de réanimation, organiser des transferts de centaines de patients, entre régions et avec les pays voisins, approvisionner nos commerces, réorienter notre production industrielle, inventer des nouvelles solidarités», a listé le chef d'Etat, assurant que le Premier ministre et le gouvernement avaient «travaillé d'arrache-pied».

«Nous pouvons être fiers de ce qui a été fait» «La période a montré que nous avions du ressort et de la ressource, que face à un virus qui nous a frappés plus tôt et plus fort que beaucoup d'autres, nous étions capables d'être inventifs, réactifs, solides», a poursuivi le président, avant de lancer : «Nous pouvons être fiers de ce qui a été fait et de notre pays.»

Tout juste a-t-il concédé que «cette épreuve [avait] révélé des failles, des fragilités», assurant qu'il souhaitait «comprendre ce que nous avons mieux ou moins bien réussi que nos voisins».

A ce propos, le chef de l'Etat a glissé un mot pour saluer l'action de l'Europe durant la crise, qui s'est, selon lui, «hissée à la hauteur du moment» en dépit de «débuts difficiles».

Un euphémisme quand on se rappelle que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen avait été contrainte de présenter ses excuses à Rome en avril, reconnaissant le manque d'aide apporté par l'UE à l'Italie.

Ce discours résolument défensif vis-à-vis du gouvernement intervient quelques jours seulement après l'ouverture d'une vaste enquête préliminaire portant sur la gestion de la crise sanitaire du coronavirus en France.

Cette enquête préliminaire vise notamment les chefs d'«homicides involontaires» ou de «mise en danger de la vie d'autrui», et constitue, la «réponse judiciaire à l'essentiel des plaintes reçues par le parquet de Paris pendant le confinement».

 RT France 

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans FRANCE Politique
2 avril 2019 19:30

Après les propos de Sibeth Ndiaye, relayés par L'Express en juillet 2017, qui assumait «parfaitement de mentir pour protéger le Président», c’est maintenant au tour d’un député LREM de faire une déclaration plutôt polémique. Invité de CNews, ce dernier a expliqué que dire la vérité aux Français «veut dire 10 ans de sang et de larmes».

Lors d'un débat sur le plateau de CNews consacré aux propos tenus par le passé par la nouvelle porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye, le député LREM de la 9e circonscription de l'Hérault, Patrick Vignal, a indiqué qu'aujourd'hui l'important était de «donner une vision d'espérance» au peuple français et que leur «dire la vérité», «ça veut dire 10 ans de sang et de larmes».

 

​«On va être très clair: s'il faut dire la vérité aux Français, ça veut dire 10 ans de sang et de larmes», a lancé Patrick Vignal alors qu'il disputait avec le politologue Clément Viktorovitch.

«Vous voulez que je vous parle de dossiers importants? Vous voulez que je vous parle des dossiers de terrorisme? Vous voulez dire la vérité aux gens sur ça? Vous voulez dire sur le chômage aux gens?», poursuit encore le député.

Il ajoute que l'important aujourd'hui est de «donner une vision d'espérance aussi aux Français».

«Le problème de la politique c'est pas de mentir, c'est de faire des choses», conclut Patrick Vignal.

En 2017, L'Express a diffusé des propos de Sibeth Ndiaye, qui occupait le poste de conseillère presse à l'Élysée. Cette dernière a déjà contesté ses dires disant qu'ils étaient, d'après elle, sortis de leur contexte.

source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans FRANCE Politique
4 novembre 2015 20:01

Cet article est reposté depuis VICTOR ASSOCIATION.

Repost0
jp echavidre - dans FRANCE Politique
30 septembre 2015 19:50

Cet article est reposté depuis VICTOR ASSOCIATION.

Repost0
jp echavidre - dans FRANCE Politique