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david MIEGE
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1 mai 2020 18:13

La Commission européenne a annoncé ce 28 avril avoir conclu avec le plus grand pays d'Amérique centrale un accord qui lèvera la quasi-totalité des droits de douane sur les produits échangés avec l'UE. Les agriculteurs français et les défenseurs de l'environnement s'inquiètent des conséquences de cet énième traité de libre-échange.

Peut-être y aura-t-il un "monde d'avant" et un "monde d'après" le coronavirus, mais l'Union européenne semble elle bien décidée à ne pas changer. Alors que l'attention de tous se porte sur la meilleure manière de gérer la pandémie qui frappe la planète, l'UE vient d'annoncer ce 28 avril avoir conclu "les derniers points en suspens" d'un accord de libre-échange avec le Mexique.

Le commissaire chargé du Commerce, l'Irlandais Phil Hogan, plastronne : "Ces derniers temps, la lutte que nous menons dans la crise du coronavirus mobilise toute notre énergie, mais nous avons aussi fait progresser notre programme en faveur d'un commerce ouvert et équitable, qui n'a rien perdu en importance."

L'UE et le Mexique avaient déjà conclu un deal au début des années 2000, mais les bases du nouvel accord sont bien plus ambitieuses : la quasi-totalité des échanges de biens entre les membres de l'organisation supranationale et le pays d'Amérique centrale seront exemptés de droits de douane, et notamment les produits agricoles, une nouveauté.

L'UE exhibe tout son enthousiasme dans la présentation de l'accord négocié par la Commission européenne, louant "l'immense potentiel du Mexique pour que les entreprises de l'UE augmentent leurs exportations", prédisant une baisse du prix des produits mexicains en Europe et l'arrivée massive de denrées du Vieux Continent dans le sens inverse, grâce à l'abaissement des barrières, tarifaires ou non.

Au-delà des objectifs commerciaux, l'accord poursuit des objectifs purement idéologiques : "Conclure un accord neuf et modernisé enverrait au monde le message puissant que le Mexique et l'UE rejettent tous deux le protectionnisme", avance la Commission européenne.

Inquiétude des agriculteurs français

En parallèle de cette rhétorique triomphaliste, l'UE apparaît également attachée à répondre aux inquiétudes déclenchées par sa politique, qu'elle balaie méthodiquement dans son document de présentation. "L'accord n'aura aucun effet sur les services publics comme la santé ou l'éducation", peut-on ainsi lire, tout comme la promesse que les normes européennes pour les produits alimentaires ne seront pas affectées.

"L'accord n'exigera pas des gouvernements européens qu'ils privatisent toute entreprise possédée par l'Etat ou baisse la qualité des services publics", insiste l'UE ; des exigences certes probablement absentes du texte avec le Mexique, mais qui entrent toutefois dans la logique des traités européens.

Face aux critiques sur l'opacité des négociations des accords de libre-échange, enfin, la Commission indique qu'elle a opéré "au nom de l'UE, en conformité avec les recommandations données par les gouvernements des Etats-membres" et en contact permanent avec eux.

L'UE est en revanche beaucoup moins bavarde au sujet des avantages obtenus par le Mexique dans l'accord. A lire le document fourni par la Commission de Bruxelles, on peut en effet penser que seuls les pays européens retireront des bénéfices du futur traité. Ainsi, il est indiqué que l'UE exige du Mexique qu'il "abolisse ses tarifs douaniers sur les biens importés d'Europe" et rende la tâche des entreprises de l'UE plus aisée. Mais rien, ou presque, n'est écrit concernant les avantages obtenus par le Mexique en échange de telles concessions.

Pourtant, du côté des agriculteurs français, instruits par les conséquences désastreuses des précédents accords de libre-échange sur leurs conditions de vie, l'inquiétude est déjà vive : Interbev, l'association nationale interprofessionnelle du bétail et des viandes, a publié un communiqué alertant sur "l'ouverture du marché européen à 20.000 tonnes de viandes bovines mexicaines à droits de douane très réduits", une décision qualifiée de "scandale" puisque d'après le syndicat "ces viandes étaient jusqu'à aujourd'hui interdites sur le sol européen en raison de leur non-conformité aux normes sanitaires de l'UE.

" De son côté, la Coordination rurale prévoit que "l’importation de plusieurs milliers de tonnes de produits issus de l’élevage" ait pour conséquence de "détruire l’équilibre économique des éleveurs français". Emmanuel Maurel, député européen membre de la Gauche républicaine et socialiste (GRS), soupire : "Comme on le craignait, la Commission européenne semble n’avoir tiré aucune leçon des graves crises que nous traversons. Déjà très frappés par les accords de libre-échange précédant, les paysans des deux bords vont être mis encore davantage en concurrence avec les produits de l’agrobusiness."

Une occasion pour Emmanuel Macron ?

L'accord de libre-échange ne met pas seulement en danger les agriculteurs. Les risques sur l'environnement sont également élevés, puisque le libre-échange accroît l'intensité des flux de marchandises, le cas échéant d'un continent à l'autre.

L'intensification des activités productives a également des conséquences négatives sur la biodiversité : le Mexique en est un exemple particulièrement illustratif, puisque le pays a vu fleurir des "maquiladoras", usines de montage exemptées de droits de douane assemblant des biens importés avant de les exporter. L'installation d'usines polluantes, notamment par des multinationales, a aussi eu des effets calamiteux, sur la pollution et la distribution de l'eau.

La Commission européenne se fait très timide sur le volet environnemental de l'accord de libre-échange avec le Mexique : même si elle indique que le futur traité ne doit pas instituer "une course au moins-disant" en matière d'écologie, et que les deux parties se sont engagées à "promouvoir le développement durable" et "conserver la biodiversité", aucun élément de contrainte obligatoire n'est mentionné s'agissant de l'environnement.

L'accord est toutefois loin d'être entré en vigueur. A la fin des négociations, il sera publié sur le site de la Commission européenne et devra être approuvé par les gouvernements des Etats membres de l'UE, le Parlement européen, le Sénat mexicain… et les parlements de chaque pays de l'UE.

Voilà peut-être une occasion pour Emmanuel Macron de prouver que ses prises de position en faveur d'une reconquête de la souveraineté française ne relèvent pas que de la pure rhétorique ; "Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner, notre cadre de vie au fond, à d'autres, est une folie", a récemment déclaré le président français au Financial Times.

Dans le même journal, le commissaire européen au Commerce Phil Hogan a affirmé le 23 avril : "L’autonomie stratégique ne signifie pas que nous devons faire de l’auto-suffisance notre objectif." Les visions de la France et de la Commission européenne sur ce sujet apparaissent aux antipodes, reste à savoir si cette opposition théorique se traduira en actes.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International Europe
21 avril 2020 17:06

Les dirigeants de la Silicon Valley ont désormais l’habitude d’être reçus comme des chefs d’État de par le monde, attestant non seulement d’un poids économique vertigineux, mais aussi de leur capacité à faire et défaire les rois par la maîtrise des données captées. Les démocraties vont-elles s’effacer devant les datacraties?

Les souverains numériques, plus puissants que les dirigeants élus? Le Président Jair Bolsonaro a récemment fait les frais de ce basculement le 29 mars 2020. Ce jour-là, deux tweets (des messages courts limités à 280 caractères) émanant du compte officiel du chef de l’État brésilien ont purement et simplement été supprimés, non de sa propre main, mais par décision de Twitter.

Le service de messagerie américain les a déclarés contraires à sa politique et aux consignes de santé publique. Le Président de ce pays avait en effet publié des vidéos de sa personne à la rencontre de la foule, et ce alors que le gouvernement, à commencer par son ministre de la Santé, préconisait le confinement généralisé.

L’histoire ne s’arrête pas là, puisque Facebook et Instagram décidèrent à leur tour de retirer toute publication contraire à leurs conditions d’utilisation (pour précision, Instagram appartient au groupe Facebook).

Que l’on compare rapidement le PIB du Brésil à la capitalisation de ces trois géants d’Internet: 1.868 milliards de dollars américains contre 21 milliards et 510 milliards pour Twitter et Facebook/Instagram, respectivement.

Conclusion: ces trois sociétés représentent à elles seules 28% du PIB du Brésil, première puissance économique et démographique du continent sud-américain. Pour rester dans la même zone géographique, leur capitalisation cumulée serait même supérieure au PIB du Chili ou de l’Uruguay.

Comparaison n’est pas raison, mais celle-ci permet d’expliquer que les recettes des GAFAM (Google-Amazon-Facebook-Apple-Microsoft) et autres NATU (Netflix-AirBnb-Twitter-Uber) générées par leur cœur de métier –fondé sur l’agrégation, le traitement et la revente des données– les imposent comme des acteurs économiques de premier plan.

En outre, leur place incontournable dans le secteur de l’information leur attribue un rôle stratégique, au point de convertir de nombreuses personnalités influentes du monde des affaires, de la politique, de la mode ou de la science à s’exprimer plus largement et facilement grâce à leurs outils.

Or, l’installation et l’utilisation de ces outils doit préalablement s’effectuer par l’acquiescement des conditions générales d’utilisation –rarement lues– et par le risque –rarement explicite– d’être profilé par des officines du renseignement.

Un canal jugé indispensable pour se faire entendre et/ou voir

Le cas Bolsonaro est en ce sens symptomatique: ce personnage élu par le peuple d’une démocratie de 211 millions d’habitants a été censuré comme un utilisateur ordinaire. La controverse n’est pas de déterminer si les propos de cet homme politique étaient justifiés ou non –ce point incombe aux chercheurs, aux experts, aux élus ou encore aux électeurs–, mais de définir si un réseau social peut censurer un représentant politique sur la base de ses propres clauses d’utilisation du service ?

Rappelons qu’il s’agissait du compte officiel du Président du Brésil. Un compte qu’il est possible de suivre, de masquer et même de bloquer dans sa liste de diffusion, mais un compte officiel malgré tout. On peut citer une mésaventure identique survenue à Nicolas Maduro, Président du Venezuela, lui aussi censuré sur le site de microblogging le 25 mars 2020.

Il n’y a d’ailleurs pas que des personnalités qui sont victimes de ces décisions des réseaux sociaux: des groupes sont supprimés –modérés est le terme souvent usité– de manière identique. L’émoi qui s’ensuit généralement est la démonstration du rôle central occupé par ces firmes sur un canal jugé indispensable pour se faire entendre et/ou voir.

La procédure de «modération» s’effectue généralement par des algorithmes (même si les algorithmes peuvent aussi «dérailler» et censurer des contenus a priori légitimes) suppléés par des petites mains accrochées à leur souris et les yeux rivés sur l’écran. Ces nettoyeurs du Net appliquent une charte de retrait des publications selon des critères stricts et américanocentrés, selon lesquels, par exemple, la violence est plus facilement tolérée que la nudité.

Signe des temps et du rapport de force, les États sont contraints d’adresser des demandes aux sociétés en question, généralement placées sous droit californien. Requêtes que ces dernières sont libres de valider ou de refuser en fonction de leur bon vouloir.

Et même si très majoritairement, ces requêtes sont acceptées, il n’en demeure pas moins que les États sont démunis et en sont réduits à adresser, comme des vassaux, leurs listes de suppliques à ces entreprises conscientes de leur statut incontournable dans la guerre de l’information. Le pouvoir du peuple, la démocratie, serait-il donc assujetti à celui des données numériques, la datacratie?

L’acceptation d’une soumission technique

C’est si vrai que cette vassalisation est non seulement acceptée, mais parfois renforcée par les mesures législatives de certains pays qui, loin de s’atteler à recouvrer une souveraineté numérique, préfèrent opter pour une censure toujours plus extensive et intensive.

Ainsi en Allemagne, la Netzwerkdurchsetzungsgesetz de 2017 –surnommée Facebook Act– ou en France, la Loi contre les contenus haineux sur Internet –dite loi Avia, du nom de la députée de la majorité présidentielle qui l’a portée–, proposée, mais non encore votée en raison de l’épidémie de SARS-CoV2, donnent la possibilité aux sociétés propriétaires des réseaux sociaux de s’ériger en juge au nom de la puissance publique.

Un constat alarmant dressé par de nombreuses personnalités et organisations, comme le Conseil national du numérique, qui s’inquiètent de l’absence de garanties d’indépendance des plates-formes ainsi adoubées.

Ces lois sont à la fois l’acceptation d’une soumission technique à des tiers sous le paravent d’une législation nationale et l’effacement de la liberté d’expression au prétexte d’abus de celle-ci.

Ce genre d’attitude est généralement révélateur de pays malhabiles, s’évertuant à punir leur population pour masquer leurs propres turpitudes. Et pendant ce temps, les nouvelles puissances numériques progressent en adeptes et en crédibilité au détriment des puissances étatiques: l’activisme en pleine pandémie de leurs plates-formes ne saurait être assimilé à de la philanthropie. La nature a horreur du vide.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International Politique internationale
17 février 2019 21:00

Des hélicoptères de l’armée américaine ont évacué de «larges boîtes» remplies de l’or pillé par Daech* en Irak comme en Syrie, à en croire l’agence officielle syrienne SANA.

Les forces américaines toujours présentes en Syrie ont utilisé des hélicoptères pour transporter «les butins» accumulés par les terroristes de Daech*, affirme l’agence de presse officielle syrienne SANA.

L’agence se réfère à des «sources locales» qui racontent que de «larges boîtes» contenant les richesses pillées par les djihadistes ont été chargées dans des hélicoptères états-uniens dans la zone d’al-Dachicha située dans la province de Hassaké (nord-est).

Selon ces sources, les boîtes en question renfermaient d’importantes quantités d’or convoyées par les terroristes à al-Dachicha depuis Mossoul ainsi que «d’autres régions syriennes».

Toujours d’après SANA, des hélicoptères de l’armée américaine ont atterri à al-Dachicha ainsi qu’à Hadjin dans la région de Deir ez-Zor (sud-est) avec à leur bord plusieurs chefs de guerre de Daech* qui s’étaient rendus aux Américains. Pour l’agence, Washington a conclu avec les djihadistes une entente qui a permis de «sauver les vies de centaines de chefs de guerre et experts de l’organisation terroriste».

 

* Organisation terroriste interdite en Russie

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
16 février 2019 12:44

Affirmant qu'aucun des Etats membres de l'Union européenne n'osait s'opposer aux volontés de Washington de déployer des missiles sur son territoire, le président russe a comparé le mode de fonctionnement de l'UE à celui de l'URSS

A l'occasion d'une conférence de presse tenue le 15 février à Sotchi, le président russe Vladimir Poutine s'est exprimé sur la question des missiles américains en Europe, sujet selon lui étroitement lié à celui de la souveraineté des Etats de l'Union européenne.

«Croyez-vous qu'un des pays européens veuille voir des missiles balistiques à moyenne portée américains déployés en Europe ? Aucun d'eux n'en veut, mais ils préfèrent se taire», a-t-il assuré, avant de s'interroger : «Où est leur souveraineté ?»

Selon le président russe, c'est cela qui expliquerait que l'Union européenne contraigne des Etats, y compris contre leur intérêt, à se plier aux volontés américaines. Comparant Bruxelles au politburo de l'URSS, il a estimé que, de la même manière que ce dernier décidait du sort des  Républiques soviétiques, l'UE imposait sa politique à ses Etats membres. 

Toutefois, l'analyse de Vladimir Poutine ne concernait pas exclusivement les Etats européens, mais l'ensemble des Etats du monde. «Les pays totalement indépendants n'existent pas», a-t-il estimé, soulignant que «le monde moderne est un monde d'interdépendance». 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
17 octobre 2016 02:13

Tandis que le premier ministre Manuel Valls est présentement en visite au Canada, de nombreux Québécois ignorent qu'a déjà débuté la course à la présidentielle française de 2017.

Pour ceux qui ne suivent pas de près la politique française, rappelons que le présent gouvernement socialiste de François Hollande bat des records d'impopularité. De nombreux commentateurs de la vie politique française prévoient une débandade monumentale pour le Parti socialiste auquel appartient M. Valls.

(...)  Remarquons par ailleurs que M. Valls entreprend sa visite au Canada par une rencontre bien sentie à Ottawa où il rencontrera le premier ministre Justin Trudeau, coqueluche de tout le gratin mondialiste actuel. ET POUR DISCUTER DU CETA ????

C'est dans un second temps seulement qu'il daignera rencontrer Philippe Couillard, pourtant premier ministre du seul État francophone d'Amérique du Nord. On est effectivement bien loin de la grandeur du Général de Gaulle qui avait saisi tout l'intérêt qu'avait la France de voir émerger un État québécois souverain. Une raison supplémentaire pour le Parti québécois de remettre en question son indéfectible amitié avec le Parti socialiste français.

Gageons sans trop prendre de risque que Manuel Valls sera reçu avec beaucoup plus d'égard que Marine Le Pen qui avait visité le Québec en mars dernier.

Et pourtant, contrairement à ce que laisse penser l'hystérie médiatique, les propositions de Mme Le Pen n'ont rien de radicales comparées à celles du gouvernement socialiste de M. Valls. En fait, ce qui est radical, c'est le désastre de la politique du gouvernement français actuel.

  • Ce qui est radical c'est l'incapacité du gouvernement socialiste à fermer la jungle de Calais, un bidonville à ciel ouvert où ne règne plus l'État de droit.
  • Ce qui est radical c'est la destruction de la Libye et la Côte d'Ivoire, approuvée par le parti socialiste, causant ainsi une déstabilisation de l'Afrique et accélérant le désastre migratoire.
  • Ce qui est radical, c'est le financement par l'État français du Jabhat Al-Nusra syrien, groupe ayant prêté allégeance à Al-Qaïda et commettant des attentats islamistes en Syrie.
  • Ce qui est radical, c'est le soutien fanatique à l'Union européenne par le Parti socialiste qui refuse de rétablir les frontières nationales alors que le pays connaît une vague d'attentats islamistes organisés de l'extérieur du pays.

Marine Le Pen tient des propos pleins de bon sens sur les questions de souveraineté monétaire, de lutte à l'islamisme, de réduction de l'immigration massive et de patriotisme économique. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle elle caracole en tête des plus récents sondages. Son élection à la tête de la France représente une chance pour ce pays de se sortir du cercle infernal de l'alternance entre une droite et une gauche qui, au fond, appliquent les mêmes politiques décidées par les non-élus de la Banque centrale européenne.

Mais, l'élection de Mme Le Pen à la présidentielle de 2017 ne représente pas qu'une chance pour la France. C'est aussi une chance pour le Québec.

En tant que souverainiste française souhaitant en finir avec le fédéralisme de l'Union européenne, elle comprend tout à fait le combat que mènent les Québécois afin d'atteindre leur souveraineté nationale. Lors de son appel de Québec, évidemment étouffé par les médias de masse terrifiés par sa simple présence, Marine Le Pen a appelé les pays francophones à cesser de « subir la mondialisation ultralibérale et ses dogmes, qui déstabilisent les identités nationales, les équilibres économiques et sociaux ».

Elle a également démontré sa volonté d'assurer « le renforcement des législations linguistiques nationales, la publication en français des travaux issus de la recherche médicale et scientifique publique, la traduction systématique en français des publications scientifiques internationales, le respect strict de la langue française dans les institutions internationales ».

Grâce à la diplomatie patriote menée par le Collectif Mer et Francophonie (COMEF), Marine Le Pen tisse des liens avec tous les souverainistes de la francophonie. Elle veut mettre en place un Fonds Francophone d'Investissement, une « institution multilatérale au service d'un développement coprofitable au sein du monde francophone (financement de projets d'intérêt général dans les infrastructures, l'énergie et les prises de participation au capital de petites entreprises) ».

Bien loin des clichés qui entourent sa candidature, la présidente du FN a une vision internationale très lucide du rôle que doit jouer la France comme contre-modèle à l'hégémonie américaine. C'est une des raisons pour lesquelles un nombre grandissant de Français souhaite la voir accéder au plus haut poste de l'État.

Face au désastre que représente le gouvernement socialiste français, souhaitons aux Français qu'ils fassent le bon choix lors des prochaines présidentielles. Nul besoin d'être un expert en géopolitique pour comprendre que les Québécois auraient tout à gagner de l'élection de Marine Le Pen comme première présidente de la République française.

Pour ceux qui souhaitent participer au comité de soutien de Marine Le Pen en Amérique du Nord, vous pouvez me contacter via horizonquebecactuel.com.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
22 juin 2016 02:27

Depuis trois mois, la Russie envoie aux Etats-Unis les coordonnées de l’Etat islamique (EI, Daech) et du Front al-Nosra. Toutefois, Washington reste inactif, rapporte l’état-major de l’armée russe.

Les terroristes récupèrent activement en Syrie, la situation se réchauffe, a déclaré le chef d'état-major des forces armées russes Valeri Guerassimov.

"Depuis trois mois, nous envoyons aux Américains les coordonnées de l'EI et du Front al-Nosra, mais nos partenaires américains ne peuvent pas encore décider où se trouvent les membres de l'opposition et où sont les loups garous d'organisations terroristes internationales", a déclaré M.Guerassimov.

 

"En conséquence, les terroristes reconstituent activement leurs forces en Syrie et les choses s'enveniment à nouveau. Mais cette situation ne saurait s'éterniser", a souligné le chef de l'état-major russe.

 

La Russie et les États-Unis ont convenu d'un cessez-le-feu en Syrie à compter du 27 février à minuit. Les frappes contre Daech, le Front al-Nosra et d'autres groupes reconnus comme terroristes par le Conseil de sécurité de l'Onu se poursuivent néanmoins.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
6 juin 2016 23:10

L'Europe doit trouver elle-même le moyen de ramener les réfugiés dans leurs pays d'origine, estime le premier ministre libyen.

Le gouvernement libyen a refusé de signer un accord autorisant l'Union européenne à renvoyer les réfugiés selon les mêmes modalités que celles appliquées à l'égard de la Turquie.

"Nous n'accepterons pas de voir l'UE nous renvoyer des migrants", a déclaré le premier ministre libyen Faïz Serradj dans une interview à l'hebdomadaire allemand Welt am Sonntag. "L'Europe doit trouver elle-même le moyen de rapatrier les réfugiés", a ajouté le premier ministre.

 

L'année dernière, plus de 150.000 réfugiés sont arrivés en Europe via la Libye dévastée par une guerre civile. Depuis la fermeture de la "route des Balkans", le nombre de migrants clandestins utilisant ce pays pour gagner l'Europe via la Méditerranée ne cesse de grandir.

 

Selon différentes estimations, près d'un million de migrants et de réfugiés se trouvent actuellement en Libye, souligne la radio Deutsche Welle.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
21 mai 2016 00:26
Les BRICS vont lancer une agence de notation dédiée aux marchés émergents en octobre 2016

Les pays membres du groupe des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) prévoient de lancer une agence de notation financière dédiée aux marchés émergents dans le cadre de leurs efforts visant à contrer l'hégémonie occidentale dans le domaine de la finance, rapporte le quotidien Economic Times of India le 16 mai, citant des sources officielles proches du dossier. 

La nouvelle agence de notation, qui fournira également des évaluations du risque de crédit à d'autres pays émergents ou en voie de développement, devrait être officiellement lancée lors du prochain sommet des BRICS prévue en octobre prochain à New Delhi, a-t-on ajouté de même source. 

La création de cette agence a fait l'objet de discussions approfondies lors de tous les sommets des BRICS tenus ces dernières années. Ces cinq pays émergents sont souvent très critiques envers les critères utilisés par les trois plus grandes agences de notation internationales (Moody's, Fitch Ratings et Standard & Poor 's) pour évaluer leurs économies. 

Les grands émergents affirment souvent que les évaluations des trois grandes agences de notation occidentales sont biaisées et partiales. Ils estiment dans ce cadre que les «Big three», qui représentent 90% du marché mondial de la notation financière sont généralement optimistes sur les pays développés et pessimistes en ce qui concerne les pays en développement. 

Les BRICS, qui s'estiment sous-représentées au sein du FMI et de la Banque mondiale, avaient lancé en juillet 2015 leur banque commune de développement et un fonds de réserve, espérant poser la première pierre d'une alternative à l'architecture financière mondiale née des accords de Bretton Woods. Les BRICS représentent 46% de la population de la planète et 19,8% du PIB mondial.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
20 mai 2016 01:43

Le sommet de l'Asean à Kuala-Lumpur n'a pas abouti à la signature d'une déclaration. Les Etats-Unis ont cherché à formuler des critiques sur la position de Pékin en Mer de Chine méridionale dans le document mais la Chine a réussi à faire prévaloir sa position.

Ashton Carter en visite sur le porte-avions Theodore Roosevelt

Ashton Carter, secrétaire américain à la Défense, s'est rendu jeudi sur le porte-avions Theodore Roosevelt en mer de Chine méridionale. Cette visite officielle pourrait être considérée comme une tentative pour les Etats-Unis de prendre leur revanche sur la Chine après l'échec de Washington dans les négociations à Kuala-Lumpur sur la présence chinoise dans les eaux contestées.

"Ma présence ici, à bord du Theodore Roosevelt en mer de Chine méridionale, est symbolique et montre l'effet stabilisateur de la présence que les Etats-Unis entretiennent depuis des décennies dans cette région du monde", a déclaré M. Carter, qui était accompagné du ministre malaisien de la Défense.

"Si cette présence est tellement remarquée aujourd'hui, c'est à cause des tensions (…) dues essentiellement au contentieux territorial en mer de Chine méridionale et à l'activité de la Chine au cours de l'année écoulée", cite Reuters reprenant ses propos.

Un échec des Etats-Unis lors du sommet de l'Asean en Malaisie

L'annonce de la visite de M. Carter a eu lieu quelques heures après l'échec de Washington et la victoire politique de la Chine au sommet de l'Asean (Association des nations de l'Asie du Sud-Est) qui a eu lieu du 3 au 5 novembre dans la capitale malaisienne de Kuala-Lumpur.

Contrairement aux annonces des organisateurs, le sommet n'a pas abouti à la signature d'une déclaration en raison de discordances sur les eaux contestées en Mer de Chine méridionale.

Les Etats-Unis se sont prononcés pour critiquer dans la déclaration les activités de la Chine dans la Mer de Chine méridionale. Mais Pékin a réussi à persuader ses partenaires que cette question ne concernait pas l'ordre du jour du sommet.

Le responsable de l'Institut chinois des questions internationales, Shen Shishun donne une appréciation négative de la non-signature de la déclaration. M. Shishun estime que cette dernière pourrait devenir une plateforme pour la coopération entre les pays de l'Asean et avec leurs partenaires, dont les Etats-Unis et la Chine.

"Mais si ces derniers continuent à imposer leurs opinions lors des réunions de l'Asean, ce sera une mauvaise chose. C'est ainsi qu'on peut enterrer les principes de coopération dans cette région", a-t-il expliqué, interrogé par Sputnik.

La Chine demande au Japon et à l'Australie de ne pas soutenir les patrouilles des USA

Des négociations entre le ministre chinois de la Défense Chang Wanquan et son homologue japonais Gen Nakatani ont eu lieu en marge du sommet de Kuala-Lumpur. M. Wanquan a demandé à Tokyo d'éviter toutes les actions qui puissent rendre la situation en mer de Chine méridionale plus compliquée.

Le ministre chinois a demandé la même chose à la ministre australienne de la Défense Marise Payne. Actuellement, l'Australie permet aux navires américains de contrôler les territoires en Mer de Chine méridionale depuis sa base maritime.

 

La situation reste tendue ces dernières semaines, en mer de Chine du Sud. Le 27 octobre, les forces navales américaines ont dépêché le contre-torpilleur USS Lassen en mission de patrouille au large des îles artificielles chinoises de l'archipel Spratley. Cette manœuvre a provoqué la colère du ministère chinois des Affaires étrangères qui a estimé qu'elle menaçait "la souveraineté de la Chine et ses intérêts sécuritaires".

 

Le litige territorial opposant la Chine et d'autres Etats d'Asie se poursuit depuis plusieurs années. Des revendications sur certains territoires situés en mer de Chine méridionale, notamment les îles Paracels et les îles Spratleys riches en hydrocarbures, ont été émises par la Chine, Taïwan, le Vietnam, les Philippines, Brunei et la Malaisie.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
19 mai 2016 17:28

Le Conseil de cette région italienne a adopté une résolution reconnaissant la Crimée comme partie intégrante de la Russie et appelant le gouvernement italien et l’UE à lever les sanctions antirusses imposées en conséquence de la crise en Ukraine.

La résolution a été approuvée par 27 députés sur 51, neuf seulement ayant voté contre, a rapporté le journal d’information Corriere del Veneto.

La résolution présentée par les députés Stefano Valdegamberi et Luciano Sandona, appelle le gouvernement italien à reconnaître la volonté du peuple criméen exprimée lors du référendum de 2014, lors duquel 96% des habitants se sont prononcés pour quitter l’Ukraine et rejoindre la Russie, et à demander la levée immédiate des sanctions antirusses qui «ont [eu un] grave impact [négatif] sur l’économie de la Vénétie».

Elle justifie la reconnaissance du statut actuel de la Crimée en s’appuyant sur la Constitution italienne et les textes internationaux qui approuvent le droit à l’autodétermination des peuples. Le texte critique également la position du deux poids deux mesures adoptée par l’Union européenne (UE) dans son approche de la situation en Crimée, ainsi que l’incohérence de sa politique, en référence au précédent établi par la sécession de Kosovo de la Serbie en 2008.

La résolution n’est pas juridiquement contraignante, mais [elle] aura de profondes conséquences politiques, a promis le co-auteur du document Luciano Sandona dans son interview à TASS. «Cela constitue l’expression de la volonté d’une région italienne aussi importante que la Vénétie. Le gouvernement italien devrait exiger que les sanctions visant la Russie soient immédiatement levées et les liens économiques rétablis pleinement», a noté Luciano Sandona.

Lire aussi : Washington et l’Europe nordique insistent sur la prolongation des sanctions contre la Russie

Des changements à venir ?

La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova a estimé que cette résolution est un nouveau signe qui montre que la politique de sanctions à l’encontre de la Russie a abouti à une impasse.

«Le vote sur la résolution au Conseil régional de la Vénétie et différents autres processus politiques tels que les sondages d’opinion publique et le référendum néerlandais, tout cela montre que le processus de propagande antirusse dans le contexte de l’Ukraine n’est pas seulement arrivé à une impasse, mais commence à se retourner et contre ceux qui l’ont lancé. Ce n’est que le début», a-t-elle expliqué mercredi au journal Izvestia.

A la fin du mois d’avril, les députés français se sont prononcés contre le prolongement du régime de sanctions imposé à la Russie. Le Parlement français a voté, à l’issue d’un débat houleux, à 55 voix contre 44, l'adoption d’une résolution qui appelle le gouvernement français à ne pas poursuivre les sanctions contre la Russie.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
17 mai 2016 02:50

Comme prévu, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France et l’Ukraine ont tenté tout ce qui était possible (et impossible) de faire pour saboter la tentative russe d’inscrire les organisations de Jeich Al-Islam (Armée de l’Islam) et Ahrar Al-Sham (les hommes libres du Levant) sur la liste des organisations terroristes de l’ONU.

En fait, Jeich Al-Islam et Ahrar Al-Sham, deux puissantes organisations armées ultra-radicales dérivées d’Al-Qaïda et semant mort et désolation en Syrie, bénéficient officiellement de la protection de Washington, Londres, Paris et Kiev. Inimaginable?

Si les motivations des Ukrainiens sont connues et par ailleurs bien puériles, celles animant Américains, Britanniques et Français demeurent fort obscures. Elles contredisent même toute la rhétorique de ces pays concernant la lutte contre le terrorisme et prouve par la même occasion la faillite totale des stratégies suivies jusque là en matière de politique étrangère. « Moi ou le déluge! » On y est.

Désormais, on se moque ouvertement de l’opinion du pauvre citoyen américain ou européen moyen. Lutte contre Al-Qaïda et Daech. Puis protection de ces derniers par tous les moyens possibles.

Qui sont les vraies terroristes en fin de compte?

 

source:https://strategika51.com/2016/05/12/washington-londres-paris-et-kiev-defendent-publiquement-al-qaida/

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
17 mai 2016 01:20

Alors que la Russie avait décidé, suite à la cessation des hostilités conclue avec les États-Unis, de retirer ses bombardiers de Syrie, elle est contrainte de revenir sur le champ de bataille car Washington poursuit —en violation de ses engagements— la livraison d’armes sophistiquées aux jihadistes, y compris à ceux d’Al-Qaïda et de Daesh. En définitive, le porte-avion Amiral Kuznetsov devrait être déployé en juillet.

             

Bien que la Russie ne possède pas d’avions de cinquième génération, les bombardiers russes ont été très efficaces dans leur campagne d’un semestre en Syrie.

Cependant, après que la Russie et les États-Unis aient convenu de la cessation des hostilités à partir du 27 février 2016, le président Vladimir Poutine avait ordonné un retrait de 46 des 54 à 56 avions Su-24, Su-25, Su-30, Su-34 et Su-35 déployés sur la base aérienne de Hmeymim. Ce retrait a été mal inspiré. En effet, en violation de leurs engagements, les États-Unis ont continué à acheminer des armes sophistiquées aux jihadistes, y compris à ceux d’Al-Qaeda et de Daesh [1]. Du coup, après la libération de Palmyre, l’armée arabe syrienne n’a pas eu la capacité de poursuivre l’offensive contre l’État islamique, à Rakka et Deir ez-Zor [2]. Elle a subi de lourdes pertes face au Front Al Nusra (filiale d’Al-Qaïda en Syrie) dans la région d’Alep.

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En outre, en l’espace d’un mois, l’aviation syrienne a perdu trois avions de combat (MiG-21, MiG-23 et Su-22), abattus dans le nord de la Syrie par les lance-missiles portables sol-air des islamistes introduits en grandes quantités dans le pays après l’entrée en vigueur de la cessation des hostilités. C’est pourquoi l’armée de l’air syrienne ne dépasse pas un maximum de 10 cibles islamistes par jour, ce qui est insuffisant pour les troupes terrestres. L’armée arabe syrienne se retrouve dans une situation délicate, et cependant l’armée russe est restreinte par l’ordre du président Poutine de retirer pour des raisons à la fois budgétaires et économiques les bombardiers de Syrie. Il ne semble pas non plus que la proposition du commandant des forces aériennes de la Russie, le général Viktor Bondarev, de tester en Syrie les nouveaux avions Yak-130 dans des missions d’attaque au sol, ait été acceptée par le Kremlin [3].

La seule option qui ait été couronnée de succès a été le déploiement du seul porte-avions Amiral Kuznetsov dans la mer Méditerranée, près de la côte syrienne. Le problème est que ce porte-avions, entré en 2015 dans une phase de réparation et de modernisation dans les chantiers navals de Sevmaş à Severodvinsk, ne devait être remis à la Marine qu’à la fin de 2016. La mise à niveau signifie adapter le porte-avions pour le faire fonctionner avec les nouveaux MiG-29 K/KUB, au lieu de des anciens Su-33. Les pilotes du porte-avions se sont entrainés l’année dernière pour le décollage et l’atterrissage du MiG-29 K/KUB sur des pistes spécialement aménagées (Nitka), imitant celles du pont du porte-avions, de Saki (Yevpatoriya – vestul Crimeii) et Yeisk (sur la côte de la mer d’Azov).

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Le porte-avions Amiral Kuznetsov (Projet 1143), propulsé par des turbines à gaz, a un déplacement de 65 000 tonnes, et a été lancé en décembre 1990 par les chantiers navals n° 444 Sud de Nikolaev, dans ce qui était alors la République soviétique d’Ukraine. Il a été conçu pour embarquer 52 à 55 avions et hélicoptères. L’Amiral Kuznetsov est armé avec huit systèmes d’artillerie AA de type AK-630 (2x30mm), 18 lance-missiles AA de type 3K95 Kinzhal, 12 lance-missiles navire-navire P-700 Granit (portée 620 km, la vitesse de Mach 2,5) et deux lance-missiles anti-sous-marins UDAW-1.

Le ministre de la Défense de la Fédération de Russie a déclaré que la fin des réparations du porte-avions a été avancée au 1er juillet 2016. C’est pourquoi il n’embarquera pas seulement des MiG-29 K/KUB, mais conservera aussi certains des avions Su-33. Sa nouvelle configuration aura 12 avions multi-rôle Su-33, 28 avions multi-rôle MiG 29 K/KUB, 4 avions école et d’attaque au sol Su-25UTG/UBP et 8 hélicoptères de lutte anti-sous-marine Ka-27.

Les avions Su-33 et MiG-29 K/KUB décollant du porte-avions ne peuvent être armés que de 30-40 % de la quantité maximale d’armes et de carburant (6-9 t). Toutefois, cette restriction ne les empêchera pas d’obtenir le même effet sur leurs cibles que les bombardiers Su-24 et Su-34 qui opéraient en Syrie. En effet, les avions Su-24 et Su-34 étaient armés chacun de deux bombes KAB-250 S/LG de 250 kg ou KAB-500 L/Kr de 500 kg ou KAB-1500 L/Kr, toutes guidées par laser, caméra ou GPS, ou de deux missiles air-sol de type Kh-29 L/T et Kh-25 T, guidés par faisceau laser ou caméra. Conçus pour les missions de chasse, les Su-33 et MiG-29 K/KUB auront en plus des missiles air-air de courte et moyenne portée.

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Le petit porte-avions russe est suffisant pour frapper les jihadistes opérant en Syrie qui ne pourront pas faire face, avec le même effet que l’un des 11 porte-avions à propulsion nucléaire des États-Unis qui ont un déplacement de plus de 100 000 t, avec à bord plus de 78 avions (F/A-18E/F, EA-18G, E-2), et 12 hélicoptères SH-60F. L’Amiral Kuznetsov n’est pas le seul porte-avions sur lequel peuvent opérer les MiG-29 K/KUB. L’ancien porte-avions russe Amiral Gorskov, avec un déplacement de 43 000 t, a été reconstruit et modernisé dans les chantiers navals de Severodvinsk, et entré en dotation de la marine indienne en 2014 sous le nom de Vikramaditya. Il n’embarque que 36 avions : 26 MiG-29 K/KUB et 10 hélicoptères Kamov Ka-28/31.

source

Réseau International 

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13 mai 2016 17:34

Le scandale aurait pu être évité si en 2011 le Service fédéral de contrôle des drogues de Moscou n’avait pas été empêché d'enquêter sur les activités d'un groupe de revendeurs de produits dopants dirigé par l’homme en question.

 

En novembre 2015, l'Agence mondiale antidopage (WADA) a publié un rapport de 320 pages contenant des recommandations destinées à l'Association internationale des fédérations d'athlétisme (IAAF). Dans ce document, la WADA a recommandé de disqualifier certains sportifs et entraîneurs russes ainsi qu'un médecin suite à des accusations de dopage.

 

Les auteurs du rapport ont également demandé d'exclure le dirigeant de l'Agence antidopage russe Grigori Rodchenkov. Ce dernier avait détruit 1.417 analyses trois jours avant l'inspection de la WADA. Tout cela a provoqué un énorme scandale qui a impacté l'image du sport russe et a mis en danger la carrière d'un grand nombre de sportifs russes.

Selon des sources informées, ce scandale aurait pu être évité si en 2011 le Service fédéral de contrôle des drogues de Moscou n'avait pas été empêché d'enquêter sur les activités d'un groupe de revendeurs de produits dopants dirigé par Grigori Rodchenkov.

Ce dernier avait été inculpé par la justice mais avait pu éviter d'endosser la responsabilité grâce à ses relations. Quand il a éliminé les 1.417 analyses, il ne cherchait pas à sauver l'image de la Russie et de ses sportifs. Au contraire, en tant qu'organisateur d'un réseau, il ne cherchait qu'à brouiller les pistes.

L'enquête

Selon les documents de l'enquête menée en 2011 et 2012 contre le dirigeant du Centre antidopage russe Grigori Rodchenkov, ce dernier était soupçonné à l'époque d'être à la tête d'un réseau de revendeurs de produits dopants. Sa sœur Marina Rodchenkova était soupçonnée d'être son bras droit chargé de tout le travail "technique". Selon l'enquête, M.Rodchenkov garantissait des analyses négatives aux sportifs lui ayant acheté des produits dopants.

En février 2011, les enquêteurs avaient alors décidé de lui tendre un piège. Ils avaient demandé à l'ancien sportif M.Konovalov d'acheter du Testosteron Propionate auprès de M.Rodchenkov et sa sœur. Marina Rodchenkova avait alors envoyé son mari, M.Romanov, rencontrer M.Konovalov près d'une station de métro pour lui remettre cinq grammes du médicament. Là, le mari de Mme Rodchenkova avait été arrêté.
Suite à cette arrestation, les enquêteurs ont réalisé une perquisition au domicile de Mme Rodchenkova où ils ont trouvé le produit dopant que la femme allait vendre. Mme Rodchenkova a été arrêtée puis relaxée et assignée à résidence.

Des perquisitions avaient également été menées au domicile de Grigori Rodchenkov et dans le Centre antidopage russe. M.Rodchenkov a été accusé de trafic illicite de stupéfiants, ses comptes bancaires ont été bloqués.

Le "fou" et sa sœur

Grigori Rodchenkov a alors commencé à simuler la folie. D'avril 2011 à mai 2012, il a été plusieurs fois placé en hôpital psychiatrique par l'expertise judiciaire médicale. Le collège médical a finalement diagnostiqué à M.Rodchenkov un trouble de la personnalité schizotypique provoqué par le stress. Grâce à ses relations, M.Rodchenkov a été disculpé et sa sœur Marina Rodchenkova a été la seule condamnée à un an et demi de prison.

 

Son frère a pu garder son poste de directeur de l'Agence antidopage russe, ce qui a amené au scandale international. M.Rodchenkov n'a été exclu qu'après la publication du rapport de la WADA. Début 2016, il a déménagé aux Etats-Unis, pays qui a demandé les plus lourdes sanctions contre la Russie pour dopage.

 

Le 12 mai, M.Rodchenkov a accusé des sportifs russes, qui ont participé aux Jeux olympiques de Sotchi, de s'être dopés notamment le skieur Alexandre Legkov, le bobeur Alexandre Zoubkov et skeletonneur Alexandre Tretiakov. Selon M.Rodchenkov, près de 15 médaillés des Jeux olympiques auraient été dopés.

 

SOURCE

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9 mai 2016 15:44
« Nos cœurs sont morts » : la vie des Yézidis après l’EI

Leurs villes sont en cendres ou occupées par les jihadistes du groupe État islamique, des centaines de femmes et d'enfants sont toujours en captivité tandis qu'ils sont des milliers à vivre dans des camps. Six mois après la libération de Sinjar en Irak, les Yézidis, peuple

millénaire, se disent victimes d'un génocide – le 74e – dont ils ne pourront se remettre.

 

Jonchées de voitures calcinées, la route en goudron qui serpente le flanc du mont Sinjar pour mener aux portes de la ville éponyme laisse entrevoir les toits de bâtiments qui ne font plus qu'un avec le sol poussiéreux. La ville de Sinjar, située à une trentaine de kilomètres au sud de la frontière avec la Syrie, avait été capturée par les jihadistes du groupe État islamique (EI) le 3 août 2014.

Morceaux de parpaing et colonnes brisées gisent sur les trottoirs face aux devantures de magasins éventrés par les flammes. Seules les routes ont été dégagées afin de permettre le passage des quatre-quatre et pick-ups surmontés de mitrailleuses. Avec les combats, ce sont des quartiers entiers de ce bastion de la minorité religieuse yézidie qui ont été quasi rasés.

Même les habitations intactes restent inhabitables à cause de la présence d'explosifs improvisés placés par les jihadistes pendant l'occupation.
Le 13 novembre dernier, avec l'appui des raids aériens de la coalition internationale, Sinjar, ville hautement stratégique car située sur la route entre les « capitales » Raqqa et Mossoul, était enfin reprise à l'EI. Six mois plus tard, c'est une ville fantôme où, au sommet de buildings noircis par les flammes, le drapeau noir a fait place aux étendards bigarrés des différentes armées et milices kurdes ayant participé à la bataille.

Dans ce qui était l'artère principale, un coiffeur chauve fait virevolter ses ciseaux sur la tête de son seul client de la journée. Dans le bâtiment adjacent, un petit garçon tient la caisse de l'épicerie familiale où personne ne se presse pour acheter les bouteilles de whisky rangées à côté de papier toilette.

Sur le trottoir d'en face, la mairie semble à peine tenir debout après avoir été soufflée par une explosion. « Nous avons besoin d'écoles et d'hôpitaux. Nous manquons de tout », assène Mahma Khalil, le maire de Sinjar, dont le bureau se trouve désormais dans une petite rue perpendiculaire. Selon ce responsable qui n'a pas été élu mais choisi par le PDK, le parti du président Barzani, la ville ne pourra se relever sans le soutien de la communauté internationale. « Sans cela, la population ne pourra pas revenir », prévient-il..(...)

(Lire aussi : Les exactions de l'EI qualifiées de "génocides" par Washington)
 

« Je suis chez moi »

Ali Rasho Khalaf, longue barbe grise et turban blanc et rouge sur la tête, charge sa voiture de sacs de farine et de riz qu'une ONG vient de lui offrir. « Il n'y a rien ici. Ni électricité ni eau, mais je suis chez moi », explique ce sexagénaire qui, comme une vingtaine d'autres familles, a pu rentrer à Sinjar. Ses cinq fils se portent bien, mais M. Khalaf dit n'avoir aucune nouvelle de 150 membres de sa famille élargie. « Certains seraient à Raqqa, d'autres à Mossoul... », explique-t-il à voix basse. La montagne bruisse de rumeurs sur le sort des disparus, mais personne ne sait vraiment où ils se trouvent, ni même s'ils sont toujours en vie..(...)

« Je pouvais sentir les morts »

Ceux qui ont été forcés de fuir le « califat » ont, pour certains, choisi un exil sans retour vers les États-Unis et l'Europe, tandis que la plupart se sont réfugiés au Kurdistan irakien, notamment dans les nombreux camps qui ont fleuri dans cette région autonome après l'été 2014. À Sharia, situé à trois heures de route de Sinjar, les familles yézidies s'entassent dans des tentes jaunies par le soleil, mais disent au moins y bénéficier d'un accès à l'eau et à l'électricité.
« Après la libération de Sinjar, mon fils, ma fille et moi sommes rentrés chez nous. Mais notre maison était détruite et des voleurs l'avaient pillée », raconte Nissan Ali, 56 ans, qui vit dans ce camp avec dix de ses 18 enfants. Les autres sont partis en Allemagne. « Je ne voyais que des destructions. Je pouvais sentir les morts », se souvient Mme Ali.(...)

« Lorsqu'ils ont pris nos enfants, nos hommes, nous les avons suppliés de nous tuer »

Pendant ses vingt mois de captivité, Jinan, 27 ans, gardait en elle un rêve simple : pouvoir à nouveau se balader un jour autour de sa maison avec ses fils, ses filles et son mari pendant une journée ensoleillée. Mi-mars, cette mère et cinq de ses six enfants ont été relâchés suite à ce que les YPG (les Unités de protection du peuple) décrivent comme un échange de prisonniers avec l'EI. Après avoir été séquestrés pendant quatre mois dans une cave à Raqqa, c'était la première fois qu'ils revoyaient le soleil.(...)

lire la suite

 
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
8 mai 2016 01:43

Un magazine américain analyse la stratégie et la tactique du Front al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda, qui renforce "en douce" son influence dans la région.

 

L'organisation terroriste Al-Qaïda a de grandes ambitions en Syrie, lit-on sous la plume de l'expert américain Charles Lister dans son article pour le magazine Foregn Policy.

 

"Au cours des trois dernières années, un nombre record de membres chevronnés de ce groupe sont arrivés en Syrie. Ce phénomène est à considérer dans le cadre de la renaissance voilée de l'autorité centrale d'Al-Qaïda, au seuil même de l'Europe", déclare l'expert.

Selon lui, le Front al-Nosra, groupe terroriste affilé à Al-Qaïda qui a mis environ 5 ans à s'implanter sur le sol syrien, est en train de tâter le terrain pour la création du premier Etat souverain d'Al-Qaïda. 

"En Syrie, l'Etat islamique (Daech, ndlr) et Al-Qaïda ont recours à différentes tactiques, mais ils ont des buts ultimes parfaitement similaires, à savoir créer un Emirat islamique. Daech a pris le contrôle de la population et a rapidement proclamé son indépendance. La branche syrienne d'Al-Qaïda a quant à elle pris son temps, en s’efforçant de renforcer son influence dans les régions qu'elle envisage de diriger", lit-on dans l'article. 

 

Le Front al-Nosra a récemment lancé des consultations auprès de ses sympathisants au sein de l'opposition syrienne afin de proclamer la création d’un Emirat. De plus, Al-Qaïda a transféré en Syrie plusieurs djihadistes influents faisant partie de son autorité centrale. Leur tâche est d’apaiser les craintes des islamistes syriens hostiles à l'idée d'un Emirat indépendant.

 

La création de l'Emirat risque d’avoir de graves conséquences.

"Il est fort probable que le nombre d'exécutions augmentera, les libertés civiles seront bridées et le Front al-Nosra fera preuve de moins de tolérance à l'égard des organes de l'opposition non-religieuse, nationaliste et civile", indique l'expert.      

Sur la scène internationale, les conséquences seront encore plus importantes. L'Emirat d'Al-Qaïda et son autorité centrale restaurée dans le nord de la Syrie renforceront la confiance envers la "marque" terroriste. Al-Qaïda se présentera comme une organisation sage, méthodique et déterminée dont la stratégie, contrairement à celle de Daech, est proche de la vision des sunnites.

 

Par la suite, le groupe commencera à organiser des attaques dans les pays européens en profitant de la proximité de la Syrie avec l'UE. Ceci rendra Al-Qaïda en Syrie plus dangereuse que les branches du groupe au Yémen et en Afghanistan, affirme l'article.

 

Mais le Front al-Nosra est-il vraiment proche de la création d’un Emirat en Syrie? D'après l'auteur de l'article, lorsque le cessez-le-feu est entré en vigueur et que le groupe a tenté de promouvoir ses consultations sur l'Emirat, la réaction de l'opposition modérée a été extrêmement négative. Les Syriens ne voulaient pas d'un Emirat. 

Mais alors que le cessez-le-feu est de fait rompu et que le processus de paix à Genève semble subir un échec, l'influence du Front al-Nosra au Proche Orient s'accroît de plus belle. Le groupe recrée une coalition militaire et envisage de lancer une attaque d'envergure au sud de la province d'Alep afin de saper les tentatives de la Russie et des Etats-Unis d'étendre le cessez-le-feu à cette province.                

Selon Charles Lister, dans cette situation, l'Occident devrait augmenter considérablement son aide aux forces de l'opposition crédibles et fiables. Si le Front al-Nosra a connu un regain considérable de puissance, c'est justement car l'opposition modérée n'avait rien à lui opposer et recevait un appui trop faible, écrit l’auteur.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
3 février 2016 01:14

Dimanche 31 janvier, le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’est exprimé sur les positions françaises affirmées par Laurent Fabius concernant la reprise des négociations de paix:

Lire aussi Laurent Fabius impose un chantage envers Israël en voulant faire reconnaître un Etat palestinien en cas d’échec du processus de paix

« Vous avez certainement entendu parler de la proposition soulevée par la France de convoquer une conférence internationale sous la menace que si elle échoue, la France décidera unilatéralement d’adopter la position palestinienne.

Ceci revient à inciter les Palestiniens à participer aux négociations sans  faire de compromis.

Les négociations telles qu’elles ont été présentées sont donc compromises par l’initiative française. En effet, elle donne à l’avance aux Palestiniens une bonne raison de ne aucun faire compromis. Je crois que la question donne à réfléchir.

En tout cas, nous allons travailler pour parvenir à un résultat, et notre position est très claire : nous sommes prêts à entamer des négociations directes sans conditions préalables et sans conditions dictées. »

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
31 janvier 2016 01:39

Ces dernières décennies, les pays occidentaux regardaient avec condescendance le développement des matériels militaires russes, mais récemment, ils ont dû admettre que les réussites de Moscou à moderniser son complexe militaro-industriel étaient "incroyables", écrit The Independent.

La Russie a choqué l'Occident et Israël dans l'utilisation de hautes technologies pour créer des matériels militaires. Naguère, les responsables militaires occidentaux notaient avec condescendance que la stratégie et les matériels militaires russes avaient fait leur temps. Mais ce que les pays occidentaux ont vu en Syrie a été pour eux un véritable choc, rapporte le journal britannique Independent.

 

Les chasseurs russes effectuaient parfois plus de sorties en Syrie en une journée que les forces de la coalition dirigée par les Etats-Unis en faisaient en un mois, alors qu'en même temps la marine russe lançait des missiles de la mer Caspienne à une distance de plus de 1.400 kilomètres.

Le chef de l'armée américaine en Europe Ben Hodges a récemment déclaré que les succès de la Russie dans le déploiement des systèmes de guerre électronique en Syrie et en Ukraine étaient incroyables.

 

Le commandant de l'armée de l'air américaine en Europe Frank Gorenc, à son tour, estime que Moscou envisage de mettre en place en Crimée et à Kaliningrad ce type d'infrastructure de défense aérienne qui pourrait compliquer l'accès de l'Otan à certains domaines sécurisés, en particulier en Pologne.

 

Israël, selon The Independent, regarde également anxieusement le développement de l'armée russe car l'Etat juif craint que ces armes de pointe russes soient éventuellement achetées par l'Iran, qu'Israël considère comme une menace pour son existence. En particulier, Tel Aviv craint que Téhéran puisse obtenir les systèmes de missiles anti-aériens S-400.

 

Au début de l'opération en Syrie, la Russie utilisait indifféremment de vieux et de nouvelles armes. Maintenant, par exemple, les chasseurs-bombardiers polyvalents Su-34 sont utilisés plus souvent, car les vieux Su-25 peuvent être plus vulnérables aux missiles antiaériens portatifs que, selon Moscou, la Turquie et l'Arabie saoudite auraient fournis aux rebelles.

 

La présence russe en Syrie a été le facteur qui a redistribué les cartes. Maintenant, ce qui se passe en Syrie, en grande partie, dépend du président russe Vladimir Poutine, conclue le journal.



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20160130/1021336738/russie-choque-occident.html#ixzz3yjcGXLmx

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
16 janvier 2016 01:59
L’attentat sous fausse bannière d’Istanbul

Si l’attentat d’Istanbul est un false flag, et tout concourt à prouver que c’en est un, alors le machiavélisme d’Erdogan fait frémir, car même la nature des victimes de l’attentat a été choisie pour que l’impact soit maximal. Sachant que, pour les médias, un mort occidental vaut 10 morts turcs, l’attentat a délibérément été dirigé contre les touristes allemands. Ainsi, chaque bout de déclaration des autorités d’Ankara sera suivi avec avidité par les grands journaux mondiaux. (...)

***

C’est la façon habile dont a réagi le Président turc Recep Tayyip Erdogan à l’attentat meurtrier d’Istanbul cette semaine, qui éveille les soupçons. Des soupçons que cet incident est bien plus qu’un simple attentat terroriste islamiste contre des civils innocents. Pour dire les choses crûment : Erdogan « a besoin » de cette atrocité pour gommer les preuves grandissantes de la collusion de son propre régime avec le même réseau terroriste islamiste présumé avoir perpétré l’attentat d’Istanbul.

Moyennant le sang et le carnage, son régime a rapidement cherché à se présenter au monde entier comme une autre victime du terrorisme barbare et comme un adversaire intrépide du réseau terroriste de l’État islamique. La Turquie s’est un peu trop timidement enveloppée dans le drapeau émotionnel de la France à la suite des attentats terroristes à Paris en novembre.

La Maison Blanche et le chef de l’Organisation des Nations Unies Ban Ki-Moon, sont aussi intervenus pour condamner le « méprisable » massacre à Istanbul et ont juré leur solidarité avec l’État turc contre le terrorisme.

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Erdogan et son Premier ministre Ahmet Davutoglu, ont tous deux réagi immédiatement par des discours similaires, séparés mais écrits d’avance, prétendant que cette atrocité prouvait que la Turquie est en « première ligne dans la lutte contre le terrorisme. »

« Personne ne doit douter de notre détermination à vaincre les terroristes de l’État islamique, » a déclaré Erdogan aux journalistes. Ses graves déclarations à forte consonance antiterroriste ont été reprises par Davutoglu.

Seulement, la rhétorique artificielle suggère un but inavoué – « Tu protestes trop ! » disait William Shakespeare.

Le régime Erdogan a réagi d’une manière suspecte par un exposé minutieux de l’attentat, qui a eu lieu dans le quartier historique d’Istanbul et a tué au moins 10 passants, dont huit touristes allemands.

Tôt mardi, à quelques heures de l’attentat, les autorités turques avaient révélé le nom du kamikaze, un ressortissant syrien de 28 ans, né originellement en Saoudie. Selon le régime turc, c’est un membre du groupe terroriste État islamique (EI).

Or, même plusieurs heures plus tard, à partir de mardi soir, aucun groupe n’avait encore revendiqué la responsabilité de l’attentat. Cela soulève des questions sur son auteur. L’EI serait sûrement très heureux de s’attribuer le crédit d’un attentat produisant les gros titres internationaux, puisqu’il le fait habituellement pour de telles atrocités. Pourquoi ce groupe semblait ne rien savoir à son sujet immédiatement après ?

Si un véritable attentat terroriste a bravé les services de sécurité de l’État turc, comment les autorités turques ont-elle pu si vite identifier le présumé kamikaze ? Dans un attentat terroriste « normal », les autorités sont prises au dépourvu et sont dans l’incertitude pendant plusieurs jours avant de se faire une idée de son auteur. Pas dans ce cas.
Le régime Erdogan a été immédiatement rencardé, non seulement sur le groupe présumé derrière l’attentat (EI), mais aussi sur l’auteur présumé. Si nous gobons à la lettre la version officielle, cette efficacité investigatrice est vraiment stupéfiante.

En tout cas, il serait aussi extrêmement naïf d’accepter la version du régime Erdogan. De nombreux cas antérieurs ont montré que le renseignement militaire turc, le MIT, est intimement compromis avec les groupes terroristes islamistes qui font la guerre en Syrie.

Can Dundar, le rédacteur en chef du quotidien turc Cumhuriyet, fait face à la prison à vie parce que son journal a révélé que le MIT fait du trafic d’armes pour approvisionner les groupes terroristes en Syrie.

Plus tôt cette année, le député turc Eren Erdem, a aussi fait des allégations crédibles. Selon lui, le régime Erdogan a étouffé une enquête sur la fourniture d’armes chimiques aux militants de l’État islamique par le MIT ; des armes chimiques qui ont probablement servi au massacre de Syriens à l’est de Ghouta, dans la banlieue de Damas, en août 2013.

Ces derniers mois, la surveillance aérienne militaire russe a montré irréfutablement que les terroristes de l’EI font entrer en contrebande du pétrole à échelle industrielle en Turquie. Elle a montré aussi des liens crédibles dans le racket usuel tout au long de l’État turc, et en particulier la famille d’Erdogan expédiant par bateau des entreprises syriennes.

Des attentats antérieurs contre les Turcs à l’intérieur du pays, ont aussi impliqué le sale boulot du régime Erdogan. Quand, lors d’un rassemblement pacifique à Ankara, en octobre dernier, plus de 100 défenseurs des droits kurdes ont été tués dans l’explosion d’une bombe, les groupes kurdes ont accusé les agents de l’État turc d’avoir secrètement perpétré cette atrocité. Également l’an dernier, des affirmations similaires de terrorisme d’État contre les groupes politiques kurdes, ont été faites lors des attentats meurtriers de Suruc et Diyarbakir.

(...)

Au cours des dernières semaines, à coup de déclarations ronflantes, les autorités turques ont dit avoir déjoué des complots terroristes dans le pays. Ils ont allégué avoir arrêté de manière préventive des kamikazes appartenant à l’EI. Il est impossible de vérifier ces déclarations officielles puisque le régime Erdogan sévit sévèrement contre les reportages des médias indépendants.

(...)

Et avec sa rapide réaction, le régime Erdogan a habilement intensifié ses éloquentes déclarations afin de passer pour une victime du terrorisme de l’EI. Il a de ce fait rapidement reçu la sympathie et le soutien de la Maison Blanche et de l’ONU.

Le timing est important pour bien comprendre. Erdogan, Davutoglu, la justice au pouvoir et le Parti du développement ont été découverts ces derniers mois trempant jusqu’au cou dans le soutien au terrorisme en Syrie par l’intervention militaire russe en Syrie.(...)

Le régime Erdogan est devenu synonyme de terrorisme d’État, contrebande et trafic d’armes en Syrie, et en particulier de collusion avec les groupes terroristes islamistes comme l’EI. (La Saoudie s’est aussi de manière similaire révélée être un État gangster sans scrupules.)

Aussi, du point de vue d’Erdogan, quoi de mieux qu’une atrocité de l’EI à Istanbul cette semaine, tuant des touristes étrangers pour que son régime déclare plus tard qu’il est un « ennemi de l’EI » et un « combattant de l’antiterrorisme ».

En tout cas, ce scénario alternatif plus réaliste interpelle : le régime Erdogan connaissait l’identité de l’auteur de l’attentat parce qu’il travaille avec ce genre d’agents terroristes ; et les autorités turques ont laissé faire l’attentat pour aller de l’avant, pour leurs propres raisons politiques intéressées de blanchir leur réputation internationale gravement ternie, pour ainsi être considérées comme des « victimes du terrorisme ».

Strategic Culture Foundation, Finian Cunningham

Original : www.strategic-culture.org/news/2016/01/14/false-flag-bomb-erase-erdogan-terror-links.html
Traduction Petrus Lombard

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
9 novembre 2015 19:09

Une Danoise combattant contre Daech en Irak se rend à Copenhague où la police saisit son passeport au motif qu'elle mène des activités constituant une menace pour la sécurité nationale du Danemark.

 

Une Danoise d'origine kurde, Joanna Palani, a rejoint les peshmergas, combattants kurdes qui se battent contre les terroristes de l'Etat islamique (Daech) en Irak. Elle a participé à des opérations de combat et à la libération d'otages, elle a dispensé une formation militaire à des femmes recrues. Mais quand, après avoir obtenu une permission, la jeune femme a regagné le Danemark, la police a immédiatement saisi son passeport et lui a interdit de quitter le pays pendant un an.

Indignée par ce geste des autorités danoises, Joanna veut poursuivre la lutte contre les terroristes en Irak. Elle a raconté son parcours militaire dans une interview à la chaîne de télévision RT.

 

Danoise âgée de 22 ans, Joanna Palani a abandonné ses études universitaires pour s'engager dans un détachement de peshmergas en Irak. Or, de retour au Danemark, elle s'est vue saisir son passeport. La jeune femme estime que la décision des autorités danoises manque de cohérence.

 

"Je pense qu'elles ont pris une mauvaise décision, car l'interdiction de sortie avait été décrétée à la seule fin d'empêcher les gens de prendre part à la guerre de l'Etat islamique contre l'humanité. Je n'ai pas rejoint Daech. Je me suis battue aux côtés des Kurdes soutenus par les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Danemark et par de nombreux autres pays. Je ne comprends pas les raisons qui ont poussé les autorités danoises à m'interdire de quitter le pays. Si je ne regagne pas mon unité militaire, je serai sanctionnée conformément aux lois du Kurdistan, car je suis arrivée au Danemark pendant ma permission", a déclaré Mme Palani.

 

RT a demandé à la police de Copenhague de commenter cet épisode. La police a répondu que Joanna était soupçonnée de vouloir participer à l'étranger à des activités susceptibles de constituer une menace pour la sécurité du Danemark.

 

A l'heure actuelle, les peshmergas sont les seuls à remporter des succès dans la lutte contre l'Etat islamique en Irak. Dans une interview à RT, Joanna Palani évoque son expérience de combat contre les djihadistes.

"Je suis sergent-instructeur d'ordre serré pour les femmes, c'est-à-dire que je suis chargée de les préparer au service militaire. Je leur enseigne les techniques de base du maniement des armes, dont le fusil d'assaut Kalachnikov", a déclaré Joanna.

"Il m'arrive de prendre part à des combats. Un jour, nous sommes partis pour un village dont il fallait évacuer les habitants. Deux groupes participaient à l'opération: le premier avançait au fond du village en repoussant les islamistes, et le second évacuait les civils. Je faisais partie du groupe qui chassait les djihadistes. Une fois dans leur base, nous avons découvert qu'ils tenaient dans l'esclavage sexuel des fillettes de moins de dix ans", a dit Joanna Palani.



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151109/1019391484/kurdes-peshmergas-danemark-daech-combattants.html#ixzz3r1FQ2BBP

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
1 novembre 2015 01:44

Grâce à l’action de quelques sites internet, dont Hervé Roubaix pour Dreuz, qui ont relayé l’enquête d’Inglouriousbasterds.com, l’antisémite koweïtienne Amira Jumaa a été virée de l’ambassade de France aux Etats Unis.

Science Po l’a « suspendue à titre conservatoire » (que quelqu’un nous précise le sens de ce borborygme d’énarquisme primaire). Sa page Facebook et son compte Twitter ont également été fermés.

Tout cela grâce au travail de quelques sites internet.

Les fossiles – je parle des journalistes traditionnels – enkylosés dans leurs idées soixante huitardes ringardes, essorées jusqu’à la trame, attardés avec leur propagande usée, à la traine d’internet, se sont réveillés quand nous avions terminé le travail.

Ils en ont pris pour leur grade.

Inhibés au sens où l’entendait le professeur Henri Laborit par la peur de contrevenir au politiquement correct, ils se sont encore un peu plus discrédités.

Pas besoin d’aller chercher plus loin les raisons pour lesquelles le public n’a plus confiance dans les médias. Un tel sujet méritait qu’ils s’en emparent. Au lieu, seul Le Point et le Figaro étudiant en ont parlé – et très mal.

Pour un tweet humoristique qu’ils n’ont pas compris, les grands médias avaient déversé en 24 heures plus de 40 articles insultant Philippe Karsenty, en octobre 2014. France Info était allé jusqu’à titrer :

Enquête ouverte après les tweets de Philippe Karsenty

Et là, pour des tweets infiniment graves d’une stagiaire de l’Ambassade de France à New York (« vous [les juifs] êtes des ordures, des rats », et « mon pays peut vous acheter, vous et vos parents, et vous mettre dans des fours »), les journalistes, parce qu’ils n’avaient reçu aucune dépêche AFP qui leur mâche le travail, sont restés en plan comme des paumés.

C’est ce double standard, et le fait qu’ils se copient les uns les autres – sans oublier qu’il sont paresseux dans leur travail, qui a détruit les médias.

Les journalistes ont transformé leur métier en une grosse farce, à force de piétiner leur charte déontologique ; et maintenant, ils l’achèvent en passant à coté des préocupations des gens.

Dans cette affaire antisémite, ce n’est pas Amira Jumaa à qui nous avons surtout fait mordre la poussière, c’est aux vieux médias, malgré nous. Une fois de plus.

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

SOURCE

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
1 novembre 2015 01:19
ei-djihadistes

Express.co.ukSOURCE

Un grand nombre de combattants islamistes se sont rassemblés au nord de la frontière Afghane et se préparent à entrer dans les états voisins, ont révélé des agents des services de renseignement Russes.

L’espion moscovite en chef, Alexander Bortnikov, a mis en garde les Talibans des combattants, dont beaucoup ont prêté allégeance à l’Etat Islamique, qu’ils sont lourdement armés et préparés à pénétrer la frontière poreuse.

S’adressant à un congrès des services spéciaux des Etats Indépendants du Commonwealth, il a dit:« La communauté internationale fait désormais face à un nouveau challenge géopolitique, un groupe criminel international du nom de l’Etat Islamique. »

« Ce projet, qui est la progéniture même du ‘Printemps Arabe’, a obtenu son élan à cause du deux poids deux mesures de certains pouvoirs mondiaux et régionaux, en utilisant ‘un proxy terroriste ravageur’ pour qu’ils atteignent leurs objectifs stratégiques en Asie et en Afrique. »

« Selon nos propres estimations, les citoyens de plus de 100 pays différents se battent actuellement dans les différents rangs de ses structures terroristes variées et les jeunes recrues représentent 40% de leurs forces. »

« L’escalade des tensions en Afghanistan a provoqué de graves dangers. Il y a de nombreux groupes criminels au sein du mouvement taliban au nord de ce pays en ce moment-même. Certains d’entre eux ont également commencé à opérer sous les ordres de l’Etat islamique, ce qui amène à une montée critique du niveau de menace terroristes d’une potentielle invasion de l’Asie centrale. »

Le groupe de djihadistes haineux pourrait essayer de se frayer un chemin au nord de l’Afghanistan après avoir essuyé plusieurs raids aériens meurtriers de la Russie.

L’invasion serait comme un coup bas pour Vladimir Poutine, car elle emporterait avec elle plusieurs régions de l’ex-URSS à savoir le Turkménistan, l’Ouzbékistan, le Tadjikistan, qui sont toujours en bon terme avec Moscou.

Ils prendraient ainsi le contrôle des champs d’Opium en Afghanistan qui sont entretenus par les forces occidentales. Une manne qui renforcerait l’Etat Islamique, car le produit une fois transformé en héroïne, serait revendu dans les rues européennes ou américaines.

L’Etat Islamique n’a cherché qu’à accroître sa présence en Asie et n’a cessé de recevoir du soutien de plusieurs cellules islamistes Indiennes, Pakistanaises et Malaisiennes.

Tôt ce mois-ci, Poutine a dénoncé la situation en Afghanistan comme étant « proche du seuil critique » et a appelé les nations de l’ex Union Soviétique à se préparer à agir à l’unisson pour contrer une potentielle attaque de l’Etat Islamique.

Les fous islamistes ont été usés par les bombardements aériens Russes et Occidentaux, ce qui a amené plusieurs experts à reconnaître que son économie est en panne et que sa structure de commande est sur le point de disparaître.

Les djihadistes ont précédemment annoncé leur intention de conquérir le monde et de soumettre tous les êtres humains à une seule idéologie, la loi de la Charia.

Express.co.ukSOURCE

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31 octobre 2015 02:51

Le président syrien Bachar el-Assad a rencontré une délégation de parlementaires français à Damas, et leur a expliqué les souffrances du peuple de son pays. Selon lui, la cause principale de la douleur est le terrorisme et ses conséquences, annonce l’agence SANA.

 

Les activités des groupes terroristes sur le territoire de la Syrie ont pour conséquences des morts, une infrastructure détruite et l'absence de sécurité. Le président syrien a également soulevé la question des sanctions contre son pays, qu'il critique vivement parce qu'elles ont un effet négatif sur la vie quotidienne des citoyens de la Syrie.

 

Selon le président, il existe encore un autre problème: plusieurs pays de la région et de l'Occident, notamment la France, soutiennent l'opposition syrienne qui est considérée comme un groupe terroriste par les autorités de Damas.

Dans cette situation, le rôle des institutions françaises d'Etat, notamment de l'Assemblée nationale, dans des changements potentiels de la politique gouvernementale, est très important pour le retour de la stabilité et de la paix au Moyen-Orient, estime le président syrien.

La délégation française avec le député Jean-Frédéric Poisson à sa tête a pour sa part affirmé la nécessité de mobiliser les efforts de tous les pays pour lutter contre le terrorisme. Et la politique antiterroriste actuelle des pays occidentaux n'est pas efficace, estiment les membres de la délégation.

Le conflit syrien continue depuis 2011. Il est considérablement aggravé par les activités des groupes terroristes. Dans le même temps, Damas est soumis aux sanctions de l'Union européenne qui ont été prolongées pour une année en mai dernier. Ces mesures de restriction touchent 200 personnes et 70 organisations.



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151028/1019154421/parlementaires-francais-rencontre-el-assad.html#ixzz3pt1uLqRV

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29 octobre 2015 02:27

© Gaïa pour www.Dreuz.info

SOURCE

C’est un réfugié musulman au Royaume-Uni qui encourage l’Europe a tenir les réfugiés musulmans loin de ses frontières. Le témoignage n’est pas banal, et il a le mérite d’être clair. Pour le professeur jordanien Mudar Zahran, qui vit en Grande-Bretagne et qui se présente comme une « musulman orthodoxe », l’immigration massive n’est pas autre chose qu’une « conquête islamique douce de l’Occident ».

 

C’est lors d’un entretien accordé à The Glazov Gang que le professeur Zahran met l’Europe en garde : pour lui, l’Occident est manipulé et trompé par des migrants qui ne sont pas ce qu’ils prétendent être.

L’islamisation des pays européens n’est un secret pour personne : on demande aux jeunes Allemandes de se couvrir pour ne pas choquer, les accommodements pour les musulmans sont légion dans tous les pays et les musulmans manifestent au son de « Allah Akbar » dans nos rues, quand ils ne refusent pas, en Grèce, de recevoir de l’eau et de la nourriture parce qu’une croix rouge est portée dessus…

Les réfugiés musulmans « syriens » ne sont pas ceux que l’on croit pour le professeur Mudar Zahran

Mais le professeur Zahran va plus loin. Pour lui, les réfugiés ne sont pas syriens comme ils le disent. Beaucoup viennent d’ailleurs que du Proche-Orient. Parmi les Syriens, l’immense majorité vient de zones paisibles qu’ils n’avaient pas besoin de quitter (les autres ne peuvent actuellement pas fuir le pays).

Il va même jusqu’à faire remarquer que ces clandestins ne s’arrêtent pas dans le premier pays paisible qu’ils atteignent, ils se précipitent dans une Allemagne riche et généreuse… 
 
Il fait d’ailleurs remarquer que l’Allemagne pourrait recevoir 1,5 million de musulmans cette année, dans un pays qui transforme déjà ses églises en mosquées… « C’est un gros problème, cela va changer la culture de l’Europe », insiste-t-il.

Le Pr Mudar Zahran affirme que de nombreux terroristes musulmans veulent la conquête douce ou non de l’Occident

Il poursuit sur la question du terrorisme. Si un pays accueille un million de musulmans et que le dixième d’un pourcent d’entre eux sont terroristes, cela en fera toujours 1.000 ! « Je peux le confirmer. J’ai des photos, j’ai des images, j’ai des clichés, j’ai des noms de terroristes qui sont déjà en Europe et qui postent leurs photos sur Facebook », explique-t-il : « La face de l’Europe va en être affectée profondément ».


 
Il insiste par ailleurs sur le manque d’intégration évident de ses frères musulmans en Occident. Il explique que la conquête est simple : avoir des enfants, le plus possible, et profiter des aides sociales jusqu’à transformer le pays, sans aucune considération pour sa culture, son identité ou ses lois. Seule la charia compte pour nombre d’entre eux, répète encore le professeur jordanien. 
 
C’est la raison pour laquelle il parle de « conquête islamique douce de l’Occident ».

L’immigration islamique massive est « payée » par l’Occident lui-même

Ce que les musulmans « ne pouvaient pas faire il y a 20 ans », explique-t-il, « maintenant l’Occident le fait pour nous gratuitement – il paie même pour cela ». Il parle évidemment de la conquête islamique, encouragée par les gouvernements immigrationnistes. 


 
Le professeur Zahran rapporte d’autres nouvelles choquantes de l’« invasion » : « Je dois vous le dire honnêtement, lorsque vous lisez les magazines et journaux arabes, ils en parlent en ces termes : “Beau travail ! Maintenant nous allons conquérir l’Europe.” Ce n’est même pas un secret. »
 
Et pendant que l’Europe accueille ces musulmans au nom de la « diversité », les pétromonarchies du Golfe ferment leurs portes.

Pourquoi ? « Parce que les Etats musulmans n’ont aucune histoire de respect de l’homme ou de droits de l’homme », répond simplement le professeur.

Là où prévaut l’islam, aucune diversité ne subsiste, prévient le professeur Mudar Zahran
L’ironie de l’argument de la « diversité », c’est qu’aucune diversité ne peut exister là où l’islam prend le dessus.

Zahran rappelle que tout l’Orient était chrétien avant que l’islam ne le conquière. Pour lui, les hadiths, un livre « canonique » écrit après la mort de Mahomet, « c’est l’Etat islamique ». « La violence politique de la Bible se situe dans une période historique et un endroit précis… La violence politique du Coran est éternelle et universelle », insiste-t-il. 
 


Sa réponse à la crise migratoire est simple : « Nous devons renvoyer ces gens chez eux. Je ne parle pas seulement de ceux qui arrivent, je parle aussi de ceux qui sont déjà là – ils peuvent encore être renvoyés chez eux. Je suis totalement opposé au fait de rendre cette situation permanente ».

A bon entendeur…

http://reinformation.tv/mudar-zahran-immigration-massive-conquete-islamique-douce-occident-romee-44403-2/

© Gaïa pour www.Dreuz.info

SOURCE

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
29 octobre 2015 01:34

Le massacre a été évité par miracle selon Mgr Georges Abou-Khazen, évêque et vicaire apostolique d'Alep.

Un tir de mortier a atteint l’église latine saint François d’Alep, dans le district de Aziziyeh, dans la soirée de dimanche au cours de la communion. La grenade tirée depuis une zone sous le contrôle des rebelles anti-Assad a atteint le toit, créant un trou dans le dôme, mais elle a explosé à l’extérieur de l’église. Dans l’édifice, près de quatre cents personnes participaient à la liturgie. 

« Si la grenade avait explosé à l’intérieur nous n’aurions pu éviter le massacre. Nous n’avons que sept blessés légers à déplorer parmi les fidèles, ainsi que d’importants dommages à la toiture.Nous remercions le Seigneur et la Vierge Marie, ainsi que nos fidèles, qui se sont précipités hors de leurs maisons pour évaluer les dégâts et nettoyer l’intérieur de l’église. Grâce à eux nous avons pu célébrer la messe de ce lundi matin » a déclaré le Mgr Abou-Khazen à l’Agence Fide.

« Ce n’est pas la première fois qu’ils essaient de frapper notre église, mais jusqu’à présent ils n’y étaient jamais parvenu » a déclaré le Père Ibrahim Alsabagh, de la Custodie franciscaine de Terre Sainte, à l’Aide à l’Église en détresse au sujet de l’attaque qui a frappé sa paroisse.

attacco chiesa  san francesco aleppo 2

« Il y avait tellement de poussière que nous ne pouvions plus nous voir les uns les autre ».Heureusement, que la grenade n’a pas explosé au contact du dôme, mais seulement quelques secondes plus tard, en roulant le long du toit. Nous avons échappé à la tragédie. Rien que le lustre aurait tué dix personnes en tombant. Mais comme je l’ai dit à l’un de mes fidèles, il fut comme le manteau de la Vierge qui nous a protégés ».
Les raisons de cette attaque sont multiples. En effet les Franciscainsdéployent tous leurs efforts dans la promotion du dialogue interreligieux, en aidant en particulier des Syriens de toutes confessions : chrétiens et musulmans. « Certains veulent éliminer tout signe de réconciliation et d’ouverture » affirme une religieuse. D’autres pointent la haine anti-chrétienne, en effet « Notre église est la seule de la région encore accessible. »
Le père Ibrahim a invité ses paroissiens dans le jardin de l’église à continuer la célébration et recevoir la communion.« Certains ont été surpris de ma réaction mais c’est dans l’union étroite par la prière avec le Seigneur que je puise ma force, la force de continuer, avec plus d’énergie maintenant que nous devons réparer notre église. »
Dès ce matin, les fidèles sont retournés à la messe du matin. « Il y avait beaucoup de joie et nous avons pu entendre à nouveau le bruit de nos cloches. 

 

source

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
29 octobre 2015 01:17

migrants2SOURCE
… mais y laissent femmes, enfants et personnes âgées ?!

Je pense que la dernière ligne dit tout à fait ce que je pense et il y a bien longtemps. Mais quand je lis les « brèves » du « président » de la section des anciens combattants de Sarrebourg, qui a « osé » rappeler que les réfugiés sont des victimes. Et de citer : «Nous ne pouvons pas nous ranger du côté de ceux qui décrient l’arrivée massive des émigrés. »

Il demande aux anciens combattants de mettre en lumière les valeurs du pays et d’inculquer aux jeunes générations ces valeurs en leur rappelant que « la situation que nous vivons l’a déjà été par le passé. C’est un devoir de mémoire », ne s’en inspire pas.
Mais membre du conseil municipal, il préfère s’inspirer de l’idéologie prônée par son édile qui relève de la gôche……

Je transmets en me posant aussi des tas de questions. Saurons nous faire la différence entre le bon et le mauvais ?
 
Il y a de quoi poser tout haut les questions que la majorité, se pose tout bas.
Migrants3
La propagande culpabilisatrice nous le dit matin, midi et soir :
Ces hommes traumatisés fuient la guerre, et ont été confrontés à des scènes abominables. Et cela est naturellement notre devoir de les accueillir, et de leur ouvrir les bras.
On se rappelle, dans la vidéo de Calais, des propos de la fille de Nadine Guerlach, qui exprimait son scepticisme sur cette version, voyant plutôt des personnes qui faisaient la fête toute la journée, jouaient au football, et ne paraissaient pas éprouvés par les souffrances supposées auxquelles ils avaient pu être confrontés.
Il n’en reste pas moins que, si nos journalistes et politicards étaient un peu plus curieux, ils auraient pu s’interroger sur ce phénomène unique au monde.

En général, en cas de guerre, ce sont les hommes, les plus jeunes, qui défendent le pays et sa population. Ce sont eux qu’on envoie se battre contre les ennemis. On se rappelle de ce texte de Mireille Greschter, reprochant à un jeune réfugié syrien âgé de 20 ans de ne pas se battre, à son âge, pour son pays.

Ce que disait notre amie suisse est exact, mais c’est bien pire que cela.

Car si la version politico-médiatique qu’on nous sert est exacte, ces jeunes garçons sont non seulement des couards, mais les pires salopards. En effet, comment qualifier autrement un homme en âge de se battre qui, au lieu de protéger les plus faibles, ne pense qu’à lui, et sauve sa peau, en abandonnant femmes, enfants et vieillards aux terribles agresseurs (qu’on ne qualifie jamais) à cause de qui ils ont fui.

Il suffit de regarder les photos et vidéos de ces hordes de clandestins qui arrivent à Lampedusa et par la Grèce, et se répandent dans toute l’Europe, pour constater ce fait, qui inquiétait d’ailleurs, à juste titre, Alice Braitberg : ce ne sont que des hommes, jeunes et vigoureux, et par ailleurs particulièrement revendicatifs et belliqueux !!!

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Pour comparer les choses, regardez qui était dans les boat-people, dans les années 1980. On n’y voit pas que des hommes jeunes, loin de là…

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Regardez, lors de l’exode, en France, si les hommes abandonnaient femmes, enfants et vieillards…

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Dans un autre registre, les réfugiés espagnols, en 1939, après la victoire de Franco…

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Et regardez encore ces images de réfugiés belges, à la gare de Calais, en 1914…

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Bref, en général, quand on fuit une guerre, comme le montrent ces images, les hommes jeunes et mûrs essaient de sauver femmes, enfants et vieillards, et restent à leurs côtés.

Sauf nos malheureux migrants, qui, eux, les abandonnent.

...

 

 

SOURCE

 
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
28 octobre 2015 01:02

A défaut d'un plan d'action permettant de régler le problème des migrants, l'Union européenne finira par s'effondrer, estime le chef du gouvernement slovène.

 

L'Union européenne risque d'imploser si les pays membres n'arrivent pas à régler la crise des migrants dans les jours ou les semaines à venir, a déclaré le premier ministre slovène Miro Cerar en arrivant dimanche à un mini-sommet convoqué par la Commission européenne à Bruxelles.

"J'espère que ce sommet apportera un plan d'action concret que nous mettrons en œuvre au cours des jours ou semaines qui arrivent.
Si nous n'entreprenons pas d'actions immédiates et concrètes sur le terrain dans les jours et les semaines à venir, je pense que l'UE et l'Europe tout entière commenceront à s'effondrer", a indiqué Miro Cerar aux journalistes avant la rencontre des dirigeants des pays européens les plus exposés à l'afflux de migrants qui passent par les Balkans.

Selon le chef du gouvernement slovène, en l’absence de ce plan, "de nombreux pays seront obligés de prendre soin d'eux-mêmes seuls".

 

"Ce n'est pas une voie européenne. L'Europe est en jeu. Si nous ne trouvons pas une solution commune, ce sera la fin de l'UE et de l'Europe en tant que telle", a conclu Miro Cerar.

 

Le mini-sommet de l'UE a réuni les chefs d'Etat ou de gouvernement de dix pays membres: l'Allemagne, l'Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la Grèce, la Hongrie, les Pays-Bas, la Roumanie, la Slovénie et la Suède. Ont également été conviés trois pays qui ne font pas partie de l'UE: l'Albanie, la Macédoine et la Serbie.



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151025/1019084973/ue-risque-eclater-migrants-plan-action.html#ixzz3pbzxkCx0

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
27 octobre 2015 18:40

Le ministère russe de la Défense a demandé aux pays de l'Otan ainsi qu'à l'Arabie saoudite de s'expliquer sur leurs accusations selon lesquelles l'aviation russe aurait mené des frappes sur les hôpitaux syriens, a déclaré le vice-ministre de la Défense Anatoly Antonov.

 

"Nous avons invité aujourd'hui des attachés militaires des USA, du Royaume-Uni, de France, d'Allemagne, d'Italie, d'Arabie saoudite, de Turquie et de l'OTAN de justifier officiellement les accusations prononcées ou bien à les démentir", a annoncé M. Antonov.

"Cela concerne surtout les déclarations scandaleuses sur les prétendues attaques d'hôpitaux qui ont été publiées dans plusieurs médias anglophones", a-t-il poursuivi.

Selon lui, la communauté internationale assiste dernièrement à des attaques médiatiques de plus en plus fréquentes portant sur les actions de l'Armée de l'air russe en Syrie.

"Nous sommes accusés de frapper l'opposition modérée, ainsi que des objets civils tels que des hôpitaux, des mosquées et des écoles. Par conséquent, comme rapportent les médias occidentaux, il y a des victimes parmi les civils", a précisé M. Antonov.

 

Le vice-ministre de la Défense a également exprimé son regret face à des déclarations similaires de la part de certains hauts responsables et hommes politiques.

Il a rappelé, par exemple, les discours du secrétaire d'Etat des Etats-Unis John Kerry, des ministres de la Défense américain et britannique Ashton Carter et Michael Fallon, du secrétaire général de l'OTAN Jens Stoltenberg, et d'autres.

Désormais, le ministère russe de la Défense s'emploie à "surveiller et analyser des déclarations pareilles", selon M. Antonov.

"Dans le cas où les explications ne sont pas fournies et les accusations ne sont pas réfutées, nous qualifierons ces attaques antirusses d'une partie de la guerre médiatique à l'encontre de la Russie", a-t-il résumé.



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151027/1019125701/syrie-otan-russie-bombardements-accusations.html#ixzz3pn7KSi6U

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans International
25 octobre 2015 01:09

Des journalistes russes de l'agence Life News se sont rendus à Deir ez-Zor, qui est assiégé par l'EI depuis trois ans. Dans leur reportage, les journalistes montrent la route qui sépare le centre de la ville syrienne déchirée par la guerre et mettent en évidences tous ses dangers.

 

Pour atteindre Deir ez-Zor, entourée par des rebelles de l'EI, les journalistes du Life News ont dû d'abord prendre un avion de transport Ilyuchin, l'un de ceux qu'on achetait encore en URSS, pour faire une correspondance à Kameshli, près de la frontière irakienne. Presque tous les pilotes parlent russe car ils ont suivi un stage en Russie.

Ces vols sont effectués chaque jour. Les pilotes aperçoivent de temps en temps sur leurs radars les avions de la coalition dirigée par les Etats-Unis. Bien qu'habitués à leur apparition, ils sont chaque fois toujours un peu nerveux. 

Pour descendre de l'avion, tout l'équipage, y compris les journalistes, met des gilets pare-balles. S'ils ne servent à rien dans les airs, ils peuvent sauver une vie au sol.

 

Après la descente, les employés de l'aéroport ont accueilli les pilotes comme si ces derniers revenaient d'un champ de batail. Et vraiment, chaque vol relève d'une sorte d'exploit en ces temps de troubles en Syrie.

Durant quelques heures, vers le matin, les journalistes ont poursuivi leur route à travers le lieu de conflit. A bord d'un hélicoptère Mi-8, faisant partie d'une escadrille de trois hélicoptères, les journalistes ont accompagné des militaires retournant des hôpitaux ou du congé. Ils ont été minutieusement fouillés, car chaque kilogramme compte. Ils ne doivent prendre que le strict nécessaire, surtout pour ce qui est de la nourriture: "des pois, des cigarettes, un thé, du savon", précise un soldat.

"J'ai pris avec moi seulement de la nourriture, car à Deir ez-Zor ils n'ont que de l'eau et du pain. Ces derniers dix mois ont été vraiment durs. Cela fait déjà quatre ans que nous sommes en guerre", précise un autre combattant.

Sur leur chemin vers Deir ez-Zor, l'hélicoptère a franchit un désert où se terraient des dizaines de milliers de rebelles armés jusqu'aux dents. On pouvait même voir leurs pick-ups. La distance à parcourir est de 248 kilomètres, dont 150 constituent le territoire de l'EI. L'hélicoptère est passé près de la "capitale militaire du "gouvernement islamiste". C'est là que les radicaux stockent leurs véhicules militaires blindés, leurs armes et leur force combative.

Au cours d'un tel vol, les hélicoptères prennent une altitude de trois milles mètres. Ainsi, ils se trouvent hors de portée d'une arme automatique, mais le danger est toujours bien réel de croiser un groupe de rebelles armé d'un missile surface-air. Elément à prendre en compte lors de l'atterrissage.

Les terroristes tentent régulièrement de prendre l'aérodrome d'assaut afin de couper la garnison de l'armée syrienne du territoire principal des forces gouvernementales. Les attaques sont interceptées mais les vols restent toujours précaires.

La région fonde ses espoirs sur les Forces aériennes russes. D'autant plus que les résultats sont déjà perceptibles: les rebelles de l'EI ont quitté plusieurs quartiers à l'Est de l'Euphrate.

Le 30 septembre, l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustible appartenant à l'EI.

Au total, l'aviation russe a réalisé près de 700 vols en Syrie en effectuant plus de 500 frappes contre les positions de l'EI en Syrie depuis le début de l'opération aérienne le 30 septembre dernier. Les navires de la Flottille russe de la Caspienne ont en outre tiré 26 missiles de croisière Kalibr.



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151020/1018956330/syrie-armee-reportage-ei-deir-ez-zor.html#ixzz3p8mtYQnr

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24 octobre 2015 00:29

Par 

Un véritable réquisitoire. Dans un rapport publié mardi 20 octobre, la Cour des comptes dénonce une politique de demande d'asile mal "maîtrisée". Selon le document signé du premier président de la Cour, Didier Migaud, la longueur de la procédure contribue à ce que "in fine plus de 96% des personnes déboutées resteraient en France". La Cour s'appuie sur des chiffres de la Direction générale des étrangers en France (DGEF), faisant état de 1 432 éloignements sur 40 206 personnes déboutées en 2014.

Mais, dans un courrier, le Premier ministre, Manuel Valls, a "regretté" que la Cour ait négligé dans ce calcul les cas des demandeurs d'asile obtenant dans le respect du droit un titre de séjour, ainsi que les départs volontaires. Le ministère de l'Intérieur fait en effet valoir que 6 500 titres sont délivrés chaque année au titre des étrangers malades et 9 000 au titre de parents d'enfants français, dont une grande partie après l'échec d'une demande d'asile.

"Des dépenses en forte croissance"

"Il convient, en matière d'éloignement des personnes déboutées, d'éviter les raisonnements simplificateurs", affirme le Premier ministre dans une lettre à Didier Migaud, en assurant que l'augmentation du taux d'exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF) constitue une "priorité". La Cour appelle en effet à "éviter la dilution de la politique d'asile", notamment en renforçant le taux d'exécution des OQTF, qui n'atteint selon elle que 6,8% pour les déboutés du droit d'asile.

Au chapitre des coûts, la Cour note "des dépenses en forte croissance à mieux maîtriser". Celles-ci se sont élevées à 690 millions d'euros en 2013, auxquels il faut ajouter les dépenses de santé et les frais de scolarisation, "qu'il est difficile d'évaluer avec précision". Les dépenses ont ainsi augmenté de 52% entre 2009 et 2014, soit plus que la progression de 36% des demandes d'asile sur la même période.

La Cour explique cette situation par les délais très longs – jusqu'à deux ans – de traitement des dossiers, et se félicite de l'"objectif ambitieux" posé par la réforme votée cet été de ramener ce délai à neuf mois. "Cet objectif doit être considéré comme prioritaire", martèle le rapport (un "référé", selon la terminologie de la Cour).

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23 octobre 2015 01:40
Nigeria: des bombes de fabrication française (et anglaise) utilisées par Boko Haram

Selon une organisation qui milite pour l’éradication des bombes à sous-munitions, armes destructrices et interdites, le groupe islamiste Boko Haram possède des armes à fragmentation provenant de stocks de l’armée française. Boko Haram utilise ces armes pour commettre des attentats.

 «Le haut-commandement militaire a découvert que les terroristes de Boko Haram utilisaient ces instruments létaux, visant des colonnes de véhicules, des marchés, des lieux de cultes ou des troupes », a indiqué le porte-parole du Quartier général de la Défense nigérian Rabe Abubakar.

Pour M. Abubakar, des caches de ce type d’armes avaient été découvertes récemment dans l’Etat d’Adamawa, dans le nord-est du pays.

L’organisation Cluster Munition Coalition (CMC) qui milite pour l’éradication des bombes à fragmentation a révélé l’information expliquant que des photographies postées sur le compte Twitter du Quartier général de la Défense nigérian démontrent que les sous-munitions retrouvées par l’armée proviennent de bombes BLG-66 de fabrication française.

Les bombes à fragmentation sont interdites par une convention internationale depuis 2010, car particulièrement meurtrières pour les populations civiles. Il s’agit de bombes larguées d’avion ou tirées au canon, qui libèrent à basse altitude des centaines de charges explosives qui dévastent une large zone. Le Nigeria a signé mais n’a pas ratifié cette convention.

Pour les autorités militaires, il s’agit de vieux stocks de bombes à fragmentation britanniques BL-755.

Les militants de Boko Haram ont démantelé des bombes pour récupérer les sous-munitions et les utiliser pour équiper des kamikazes avec des vestes d’explosifs, pour des voitures piégées, ou des engins explosifs au passage d’un convoi, selon l’expert Bob Seddon, ancien de l’armée britannique.

Boko Haram a multiplié ces derniers mois les attentats-suicides et les attaques, tuant au moins 1.600 personnes depuis début juin au Nigeria et dans les pays voisins.

http://oeildafrique.com/nigeria-des-bombes-de-fabrication-francaise-utilisee-par-boko-haram/

http://www.wikistrike.com/2015/10/nigeria-des-bombes-de-fabrication-francaise-et-anglaise-utilisees-par-boko-haram.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

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22 octobre 2015 01:30

L'Etat islamique a appelé ce mardi les musulmans du monde à mener une "guerre sainte" contre les Russes et les Américains afin de répondre à ce qu'ils qualifient de guerre de croisade au Proche-Orient. Cet appel a été lancé par un message audio diffusé mardi par les partisans de l'Etat islamique. "Partout, jeunesse islamiste, déclenche le djihad contre les Russes et les Américains dans leur guerre de croisés contre les musulmans" ordonne ce discours prononcé par le porte-parole de l'EI, Abou Mohammad al Adnani.

 

 

Les Etats-Unis, qui occupent la tête d'une coalition internationale, et la Russie, réalisent des frappes aériennes en Syrie pour tenter d'affaiblir l'Etat islamique.

Dans le même enregistrement, le porte-parole de l'organisation terroriste a confirmé la mort de son numéro deux au mois d'août dans un raid aérien américain : "L'Amérique s'est réjoui de la mort d'Abi Moutaz al-Qorachi en le présentant comme une grande victoire (…) Je ne vais pas pleurer celui dont le seul souhait était de mourir au nom de Dieu... Il a entraîné des hommes et laissé derrière lui des héros, qui avec l'aide Dieu, vont faire du mal à l'Amérique" déclare-t-il.


Read more at http://www.atlantico.fr/pepites/etat-islamique-appelle-guerre-sainte-contre-russie-et-etats-unis-2384950.html#loDHXUbtkeIyPk1B.99

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22 octobre 2015 00:41

 Morning Star News, le 9 octobre 2015

Le groupe terroriste de l’État Islamique a tué trois chrétiens assyriens vers la fin du mois dernier, probablement en Syrie, selon une vidéo de l’exécution publiée mercredi (7 octobre).

Dans la vidéo, le groupe a menacé de tuer environ 200 autres chrétiens en Syrie, sauf s’ils reçoivent une rançon de 50.000 dollars pour leur libération.

Dans la vidéo, trois hommes vêtus d’un costume orange apparaissent à genoux dans le sable.  Les hommes donnent ensuite leur nom et la ville d’où ils proviennent.  Quelques secondes plus tard, trois hommes en uniforme du désert lèvent chacun une arme de poing derrière la tête de chaque chrétien et utilisent leurs armes.  Ensuite, les corps sans vie des chrétiens tombent vers l’avant, le visage dans le sable.

Les chrétiens se sont identifiés comme venant du village Assour Abraham de Tel Tamar, du village Basam Essa Michael de Tel Shamiram et du village Dr. Abdulmasih Enwiya de Jazira. Après la tuerie, trois autres chrétiens apparaissent à genoux dans le sable derrière les corps des hommes tout juste exécutés.  Comme avec le premier segment de la vidéo, les hommes doivent réciter leurs noms. Dans un moment apparemment scripté, un des chrétiens pointe vers les corps sur le sol et déclare :  « Notre destin sera le même que ceux-ci si vous ne prenez pas les bonnes procédures pour notre libération ».

Les trois hommes qui ont été tués et les trois qui sont restés feraient partie d’un groupe d’au moins 250 Assyriens qui ont été enlevés en février, quand le groupe d’ISIS a fait une poussée dans la vallée de la rivière Khabour dans la Province de Hassakah et a attaqué des dizaines de villages Assyriens.  L’État Islamique a relâché 48 otages, et il a demandé un total de plus de $10 millions pour l’ensemble des personnes enlevées.  ISIS n’a pas donné d’échéance, mais, ils ont dit que si la rançon n’était pas payée, les autres otages seraient exécutés. On croit que l’exécution filmée a eu lieu le 23 septembre lors de la fête musulmane de la « Fête du Sacrifice » selon les médias de langue arabe.

La vidéo est arrivée quelques jours après qu’ISIS ait publié une autre vidéo sur la « taxe de soumission » imposée aux chrétiens dans la ville de Al-Qaryatayn.  ISIS a attaqué Al-Qaryatayn le 5 août, et a remporté la victoire le même jour.  La vidéo montre des combattants d’ISIS démolissant des parties d’une église et détruisant des peintures sur le thème religieux après la prise de la ville.

La voix d’un dirigeant religieux est entendue lorsque apparaissent les scènes des troupes d’ISIS détruisant les croix sur le dessus des dômes de l’église.  Le dirigeant parle des combattants d’ISIS qui se sont emparés de Al-Qaryatayn.

« Ils sont miséricordieux envers les croyants, mais, durs et énergiques envers les infidèles »,a dit le dirigeant.  « Ils suivent les étapes du Saint Prophète, que la paix soit sur lui, Muhammad, et mettent un sourire sur les visages des musulmans dans la ville qui décrivaient leur joie et leur bonheur d’être sous la règle de l’Islam.  En ce qui concerne la situation des Nazaréens [Chrétiens], un groupe d’entre eux s’est converti à l’Islam, alors que d’autres ont fait la paix et ont signé un contrat Al-Zema [Dhimma] et ont préféré vivre et jouir de la paix et de la sécurité sous la jurisprudence de l’Islam dans l’État Islamique. »

ISIS avait déjà publié des photographies d’hommes chrétiens réunis dans un auditorium afin de signer le document de la Dhimma, qui délimite leur statut de seconde classe, en septembre.

Les chrétiens qui sont restés dans Al-Qaryatayn devaient accepter les conditions suivantes :

  1. Les chrétiens ne peuvent pas construire d’églises, de monastères ou d’ermitages en ville ou dans les environs.
  2. Ils ne peuvent pas montrer la croix ou n’importe quel de leurs livres dans les rues ou les marchés musulmans et ils ne peuvent pas utiliser d’amplificateurs lors de leurs adorations ou pendant la prière.
  3. Ils ne peuvent pas réciter de leurs livres ou sonner les cloches de l’église assez fortement pour que les musulmans entendent.
  4. Ils ne peuvent pas procéder à toute action d’agression contre l’État Islamique, comme abriter des espions et des criminels.  S’ils viennent à connaître tout complot contre les musulmans, ils doivent le signaler.
  5. Ils ne doivent pas effectuer leurs rites religieux en public.
  6. Ils doivent respecter les musulmans et ne pas critiquer leur religion.
  7. Les chrétiens riches doivent payer un jizya annuel (taxe de soumission) de quatre dinars en or (le pays de la monnaie n’a pas été précisé) ; les Chrétiens de la classe moyenne doivent payer deux dinars or, et les pauvres doivent en payer un.  Les Chrétiens doivent divulguer leurs revenus et peuvent diviser la jizya en deux versements.
  8. Ils ne peuvent posséder des armes à feu.
  9. Ils ne peuvent exercer des activités commerciales impliquant des porcs ou de l’alcool avec les musulmans ou dans les marchés musulmans, et ils ne peuvent pas boire d’alcool en public.
  10.  Ils maintiendront leurs propres cimetières.
  11. Ils doivent se conformer au code vestimentaire d’ISIS et aux lignes directrices du commerce.

Si les chrétiens rompent ce contrat, alors, selon le contrat, ils devront faire face « aux mêmes conditions que le peuple de la guerre. »

Le dirigeant a terminé avec un message aux Chrétiens du monde entier et aux États-Unis « Le protecteur de la Croix ».

« Convertissez-vous à l’Islam et vous aurez la paix.  Si vous refusez, vous devrez payer le jizya » a-t-il dit.  « Comme notre chef Al-Adnani l’a dit, ce que vous aurez à payer sera un dixième d’un dixième de ce que vous dépenseriez dans une guerre contre l’État Islamique.  Vous ne serez pas en mesure de sortir de l’État Islamique, qui ne laisse aller personne, et vous aurez la honte dans votre vie et dans l’éternité. »

Si vous souhaitez aider les chrétiens persécutés, visitezhttp://morningstarnews.org/resources/aid-agencies/ pour obtenir la liste des organisations qui peuvent vous orienter sur la façon de vous impliquer.

Si vous ou votre organisation souhaitez aider Morning Star News à poursuivre la sensibilisation des chrétiens persécutés dans le monde entier avec des rapports de contenu original, s’il vous plaît, envisagez de collaborer au, http://morningstarnews.org/donate/

Source : ChrisitanHeadLines.com

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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22 octobre 2015 00:23

Publié le 17 octobre, 2015 | par Equipe de Pleinsfeux

Selon des rapports, l’État Islamique d’Irak et du Levant (ISIS) a crucifié et torturé des milliers de Chrétiens en Irak et en Syrie.

Par Edwin Mora – Le 29 septembre 2015

Les pays occidentaux regardent ailleurs au sujet du génocide que l’État Islamique (ISIS/ISIL) commet contre les Chrétiens en Irak et en Syrie, rapporte le Daily Express de la Grande-Bretagne, en citant un groupe de charité.

L’ISIS a déjà exécuté des milliers de Chrétiens et a forcé des milliers d’autres à fuir les anciennes communautés chrétiennes dans le nord-est de la Syrie et dans l’ouest de l’Irak, souligne l’article, en ajoutant que les djihadistes leur demandent de se convertir à l’Islam, de payer un impôt exorbitant ou de faire face à l’exécution, tandis que les autres Chrétiens sont crucifiés.

« Malgré les inquiétudes soulevées par des chefs religieux dont l’Archevêque de Canterbury, Justin Welby, le sort des réfugiés Chrétiens est en grande partie ignoré par le monde occidental, » rapporte le Daily Express.

Le Juif George Weidenfeld, qui a pu s’évader de l’Autriche nazie avec l’aide des Chrétiens britanniques, finance un organisme de bienfaisance appelé, le Fonds de Barnabas, dans un effort pour sauver les Chrétiens syriens.

« J’ai une dette à rembourser, » a déclaré Lord Weidenfeld, qui a été secouru par les Quakers à l’âge de cinq ans, a-t-il déclaré au Daily Express.

« L’ISIS est sans précédent avec sa sauvagerie primitive en comparaison aux Nazis plus sophistiqués.  Quand il s’agit d’une pure luxure pour l’horreur et le sadisme, ils sont sans précédent.  Il n’a jamais existé une telle racaille comme ces gens, » a ajouté plus tard George Weidenfeld.

L’organisme de bienfaisance a déjà organisé une série de missions pour sauver les Chrétiens en Syrie.

Il a été rapporté que des Chrétiens aurait été crucifiés, décapités, violées et contraints de se convertir à l’Islam par ISIS.  Pendant tout ce temps, les enfants Chrétiens sont vendus comme esclaves.

« Il faut remonter à plus de 1000 ans en arrière pour voir la barbarie qu’ils font vivre aux Chrétiens.  Je pense que nous avons affaire à un groupe qui fait pâlir le nazisme et je pense qu’ils ont perdu tout respect pour la vie humaine, » a déclaré Patrick Sookhdeo, fondateur et dirigeant international de l’organisme charitable, au Daily Express.

« Crucifier ces gens envoie un message et ils utilisent des formes de tueries qu’ils pensent être sanctionnées par la Loi de la Charia », a-t-il ajouté.  « Pour eux, ce qu’ils font est tout à fait normal et ils ne voient pas de problème avec ça.  C’est cette justification religieuse qui est tellement épouvantable. »

Seulement en Syrie, la population chrétienne a plongé de près des deux-tiers depuis le commencement de la guerre civile en 2011, rapporte le Daily Express.

Plus de 700.000 des 1,1 millions de personnes de la population chrétienne de la Syrie ont été déplacées par ISIS.

Pas plus que 250.000 chrétiens demeurent toujours en Syrie, estime Patrick Sookhdeo.

« A Alep, pour vous donner une illustration, il y a quatre ans, il y avait 400.000 Chrétiens.  Aujourd’hui, il doit y en avoir entre 45.000 et 65.000 » a-t-il dit.

Patrick Sookhdeo a du mal à trouver des pays qui accepteront des centaines de milliers de chrétiens syriens, qu’il croit avoir « perdu tout espoir ».

Le Fonds de Barnabas a déjà libéré 158 Chrétiens de Syrie.  Ils ont été amenés en Pologne, où l’organisme charitable leur a trouvé une nouvelle maison.

Patrick Sookhdeo a récemment voyagé dans l’Europe de l’est en quête d’un « refuge pour les centaines de milliers de chrétiens syriens, qui continuent à vivre sous la tyrannie de l’État Islamique », rapporte le Daily Express.

Le dirigeant de l’organisme charitable a accusé le gouvernement britannique d’employer une politique des réfugiés syriens qui est injuste pour les Chrétiens.

Patrick Sookhdeo estime que « l’offre de la Grande-Bretagne de prendre jusqu’à 20.000 réfugiés syriens est par inadvertance discriminatoire contre les communautés chrétiennes les plus persécutées par les bouchers de l’État Islamique ».

Accepter seulement les réfugiés en provenance des camps, exclut beaucoup de chrétiens, parce que la plupart d’entre eux préfèrent vivre dans les églises ou avec d’autres familles, au lieu des camps, a noté Patrick Sookhdeo.

« Parce que ces gens sont des chrétiens, ils peuvent également s’intégrer très rapidement dans les églises …  Il y a des pays de l’Europe de l’est qui sont sympathiques, mais, lorsque nous touchons le Royaume-Uni et certains autres pays, ils disent qu’ils ne veulent pas les accepter, » a-t-il également dit.

Certaines nations européennes ont exprimé leur volonté d’accueillir des réfugiés chrétiens en provenance du conflit syrien.

En juillet, les dirigeants de l’église ont accusé le Premier Ministre du Royaume-Uni de refuser d’offrir un refuge aux Chrétiens qui font face à un génocide en Syrie et en Irak, a rapporté le Telegraph.

Source : BREITBART.com

Traduit par PLEINSFEUX.ORG

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21 octobre 2015 00:03
Cela s’est passé hier en LIVE, tous ceux qui ont regardé ont assisté à une révolution Historique sur Terre.

La fondation Keshe a commencé a distribuer gratuitement les générateurs à énergie libre (plasmique), accompagné des plans de fabrication dans une clé USB, chacun des 35 ambassadeurs présents ont recu cela.

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Le physicien Keshe a l’initiative de ce projet a donné 10 jours aux gouvernements pour rendre publique l’énergie libre plasmique.

Au delà, une diffusion massive sera faite directement par la fondation Keshe directement et les gouvernements devront expliquer à leurs citoyens pourquoi ils ne les ont pas libérés du pétrole, du nucléaire etc….

* Voir la rediffusion de la fondation Keshe en Direct [16/10/2015] ici :

* Nous vous invitons à signer et partager la Pétition de demande de divulgation officielle :
http://www.mesopinions.com/…/demandons-divulgation-of…/16157

* Qu’est ce que la fondation KESHE?
https://www.youtube.com/watch?v=aFfZeKAQH_M

* Exemple de technologie Keshe :
https://www.youtube.com/watch?v=oBAcRbOkS6M

* Achetez la technologie dès maintenant :
http://www.keshefoundation.org/webshop/products/kf-products
Merci de partager cette info, le changement viendra d’en bas les ami(e)s.

MERCI à vous.

La libération est proche.

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20 octobre 2015 01:30

La Russie fournira à l'Egypte des équipements et des hélicoptères prévus pour les navires Mistral, la somme du contrat portant sur un milliard de dollars.
 

 

Selon le chef de l'administration présidentielle Sergueï Ivanov, l'Egypte peut également conclure un accord avec la Russie sur la modernisation des deux navires et des hélicoptères après l'acquisition définitive des Mistral.

 

"L'Egypte envisage d'acheter les Mistral à la France, et la Russie fera office de sous-traitant, en quelque sorte, qui livrera les équipements manquants sans lesquels les Mistral, pardonnez l'expression, sont des +boîtes de conserve+, et, bien sûr, tous les hélicoptères, ce qui totalisera plus d'un milliard de dollars", a déclaré Sergueï Ivanov.

Le contrat définitif sur l'acquisition des deux navires Mistral par l'Egypte a été signé le 10 octobre dans le cadre d'une visite au Caire du premier ministre français Manuel Valls. Selon l'accord conclu, les deux porte-hélicoptères seront livrés par la France à l'Egypte début mars 2016.

 

Les porte-hélicoptères de classe Mistral ont initialement été construits en France pour la Russie. Cependant, Paris a refusé de les livrer, motivant sa décision par la position de Moscou sur la crise ukrainienne. Début août 2015, la Russie et la France ont résilié le contrat. Peu après, on a appris que Paris envisageait de vendre les BPC à l'Egypte au prix de 950 millions d'euros, soit l'équivalent de ce que la France a versé à la Russie à titre d'indemnité pour la rupture du contrat.

 

Selon des sources françaises et égyptiennes, la majeure partie de cette somme sera débloquée par l'Arabie saoudite.



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151019/1018931915/mistral-egypte-russie-livraisons.html#ixzz3p1o4JnhJ

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