« Free Syrian Army » soutenue entre autres par le Qatar, l’Arabie Saoudite, les Etats-Unis et … la France :
Une de plus ! Trouvée sur le blogue Tranches de Net (qui l’a lui-même récupérée sur une page facebook où je suis allé jeter un coup d’œil et qui est immonde : je ne donne pas le lien mais uniquement l’image d’ouverture de cette page en “une” de ce post), cette “chose” qui se veut drôle et qui n’est qu’une infamie anticatholique de plus (mais on a l’habitude et pas seulement en France…).
Source : Tranches du Net
- See more at: http://www.christianophobie.fr/breves/une-infamie-anticatholique-sur-la-toile#sthash.yI4GDL34.dpuf
Présenté comme le premier imam connu converti au catholicisme (cette liste en évoque d'autres, convertis au "christianisme"), Mario Joseph a accordé uneinterview à la radio espagnole COPE. En voici quelques extraits :
"'A 18 ans, je suis devenu imam. [Je vivais en Inde dans une zone] à majorité musulmane et hindoue, où il n’y a pratiquement pas de chrétiens.
Dans le Coran, il est dit que Mahomet est mort, mais que Jésus-Christ est toujours vivant. Quand j’ai lu ceci, j’ai pensé, alors… lequel dois-je accepter, celui qui est mort, ou celui qui est vivant ? J'ai demandé à Allah lequel je devais accepter, et j'ai commencé à prier afin qu’il m’aide, et quand j'ai commencé à prier, j'ai ouvert le Coran ; et le Coran (...) dit que si tu es en doute sur le Coran, interroge la Bible. J’ai donc décidé d’étudier la Bible. C’est alors que j’ai compris qui est le Dieu véritable et, à partir de là, j’ai embrassé le christianisme. (...)
Lorsque je me suis converti, je suis allé dans un centre de retraite et ma famille a commencé à chercher. Ils m’ont trouvé là. Mon père m’a frappé durement et m'a emmené à la maison. Quand nous sommes arrivés, il m’a enfermé dans une pièce, m'a attaché les mains et les pieds, m’a déshabillé, m’a frotté les yeux, la bouche et le nez avec des substances piquantes, et m’a laissé là sans nourriture pendant 28 jours. Passé ce laps de temps, mon père est venu et m’a saisi par le cou pour voir si j’étais vivant.
J'ai ouvert les yeux et j'ai vu qu'il avait un couteau dans sa main. Il m'a demandé si j'acceptais Jésus et m'a dit qu'il me tuerait si je l’acceptais. Je savais que mon père allait me tuer, car c’est un musulman très dur, j’en étais convaincu. Je lui ai dit que j’acceptais Jésus-Christ et, à ce moment-là, une lumière très puissante a frappé mon esprit et m'a donné la force de crier de toutes mes forces : Jésus!
C’est alors que mon père est tombé et que le couteau qu’il tenait à la main s’est fiché dans sa poitrine, lui occasionnant une grande coupure. Il a commencé à saigner abondamment, tandis que de l’écume sortait de sa bouche. Ma famille, craignant pour lui, l’a emmené à l’hôpital et ils ont oublié de fermer la porte. J’ai ainsi pu sortir et prendre un taxi pour aller au centre de retraites où ils m’avaient pris, et je suis resté caché là. (...)
Bien qu’affaibli et n’ayant que la peau sur les os, cette lumière m’a fait reprendre des forces et une santé dont j'ignorais la provenance. Cependant, je subis encore les séquelles de ce châtiment, car j’ai un ulcère de l’estomac et des ulcères dans la bouche. (...)
[C'était] il y a 18 ans. La souffrance m’accompagne encore car il est écrit dans le Coran, en plus de 18 endroits, que celui qui rejette le Coran, il faut l’éliminer. (...) Je ne suis pas retourné dans mon village. Jamais plus je n’ai foulé ma terre. Mieux encore, je suis enterré là-bas parce que mes parents ont construit une pierre tombale, avec mon nom et le jour où je suis né."
Le site musulman reçoit reçoit Houria Bouteldja, membre du Parti des Indigènes de la République.
Il y a deux catégories qui se font face : le Blanc et l’Indigène.
L’islamophobie est un racisme d’Etat, un racisme structurel.
Notre territoire politique n’est pas la nation française. Cette nation telle qu’elle existe, nous ne l’acceptons pas telle qu’elle est.
«Cette société, cet Etat, nous souhaitons le transformer, c’est la raison pour laquelle nous ne sommes pas intégrationnistes».
Finkielkraut, l’islamophobie et la christianophobie…
Excellente remarque d’Alain Finkielkraut, samedi dernier sur France 2, signalée par l’hebdomadaire Minute et reprise par le Salon Beige… « En 1983, il y avait 900 lieux de culte musulman en France. Aujourd’hui, il y en a 2300.
En Seine-Saint-Denis, il y a aujourd’hui 145 lieux de culte musulman contre 117 lieux de culte catholique. Pour un pays islamophobe, la performance est intéressante. Pendant ce temps-là, dans tous les pays de l’arc arabo-musulman, les chrétiens sont contraints à fuir et les églises sont attaquées ou détruites ! »
« Free Syrian Army » soutenue entre autres par le Qatar, l’Arabie Saoudite, les Etats-Unis et … la France :
Dès le mois d’août 2013, la presse se faisait l’écho d’un rapport de la mission laïcité (qui a fonctionné de décembre 2010 à juin 2013) du Haut Comité à l’intégration (HCI), non encore finalisé à l’époque et aujourd’hui remis au gouvernement, qui suggérait, entre autres, d’élargir aux universités l’interdiction des signes religieux ostensibles et ostentatoires promulguée par la loi de 2004.
Le président de la commission, Alain Seksig (inspecteur de l’Éducation nationale), et l’un de ses membres éminents, Jean-Louis Auduc (professeur agrégé d’histoire, chargé de cours à l’université Paris-Ouest-Nanterre), se sont confiés au Point.fr pour nous éclairer sur les propositions qui, naturellement, ont fait bondir les bonnes âmes et hurler à l’islamophobie.
«Nous pensons que c’est un sujet qui nécessite de l’apaisement, de la discussion, et certainement pas une approche teintée d’islamophobie, comme celle du HCI.» (Jean-Loup Salzmann, Président de la Conférence des présidents d’université (CPU))L’Express
Il est clair que, pour un certain nombre d’organisations intégristes ultra-minoritaires, il s’agit avec de telles pratiques d’essayer de recruter de nouveaux adhérents et de tester également la capacité de résistance des institutions pour défendre les valeurs de la République française.
Les contentieux intervenus sont nombreux et concernent tous les secteurs de la vie universitaire, qu’il s’agisse de demandes de dérogation pour justifier une absence, du port de signes d’appartenance religieuse, d’actes de prosélytisme, de la récusation de la mixité au niveau tant des étudiants que des enseignants, de la contestation du contenu des enseignements, de l’exigence de respect des interdits alimentaires, de l’octroi de lieux de culte ou de locaux de réunion à usage communautaire…
La liste s’enrichit régulièrement de revendications nouvelles, comme ont pu en témoigner les auditions menées par la mission de réflexion et de propositions sur la laïcité du Haut Conseil à l’intégration (HCI).
Comment expliquez-vous que la ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, affirme qu’il n’y a pas de problèmes liés aux pratiques religieuses dans l’université ?
Face à la montée des intégrismes dans de nombreux secteurs, un certain nombre de décideurs prennent souvent le parti de ne pas aborder une question avant qu’elle n’éclate au grand jour et ne débouche sur un fort débat médiatique.
Dimanche 27 octobre, un imam a été invité à faire la prière dans l’église protestante de la ville de Neustadt-Hambach. Les habitants manifestent. [...]
« L’Amérique n’est plus chrétienne » a déclaré Barack Obama, Commandant en Chef des Armées, et il le fait savoir à ses soldats.
Le 17 octobre, lors d’une séance d’information à Fort Hood, rendu tristement célèbre suite à l’attentat islamiste perpétré en 2009 par le Major Hasan Nidal aux cris de « allah akbar », et qui fit treize morts et plus de trente blessés, les soldats ont été sommés de ne plus faire de dons aux églises évangéliques et au Tea Party, sous peine de sanctions, en vertu du Code unifié de justice militaire, base légale du droit militaire des États-Unis d’Amérique.
(Hasan Nidal, l’auteur du massacre, avait déclaré lors de son interminable procès : « Je ne pense pas avoir mal agi, car ce que j’ai fait c’était pour la plus grande des causes : aider mes frères musulmans » alors que le ministère de la Défense a qualifié le massacre de Fort Hood de «violence au travail», et pour le leadership militaire, cette tuerie n’a officiellement aucun lien avec le terrorisme, ni l’islam. Et le procès de ce meurtrier a coûté aux contribuables américains près de 5 millions de dollars.
Les familles des soldats assassinés et les blessés doivent surmonter de graves problèmes financiers, car ce massacre n’a pas été reconnu comme un acte terroriste, mais une « violence au travail ». Ils n’ont dès lors pas reçu les indemnités prévues pour les soldats tombés au combat ou victimes d’actes de terrorisme, ni été décorés du « Purple Heart », car cela signifierait reconnaître qu’Hasan Nidal était bien un terroriste islamiste.
Et il n’est pas question de stigmatiser la communauté et la religion si précieuses au cœur du Président Hussein Obama.
Un agent du contre-espionnage en charge du briefing expliqua aux soldats que les Chrétiens évangéliques, le Tea Party et autres groupes, comme « The American Family Association » représentaient une menace terroriste pour la Nation et qu’ils détruisaient le pays.
L’agent ne mentionna aucun groupe islamique susceptible de représenter une menace terroriste. Seuls les groupes chrétiens et les membres du Tea Party étaient dans le collimateur des Services de la sécurité intérieure, comme terroristes potentiels.
Un soldat, choqué par ce discours, contacta Todd Starnes à la Fox News. Michael Berry, avocat auprès de l’Institut de la Liberté, a offert son aide au soldat et a ouvert une enquête.
« Le peuple américain devrait être scandalisé d’apprendre que l’Armée américaine enseigne à nos troupes que les ennemis de l’Amérique sont les Chrétiens et le Tea Party et qu’ils peuvent être punis s’ils soutiennent ces groupes » a déclaré M. Berry, un ancien officier des Marines.( Marine Corps JAG officer)
« Ces déclarations désignant les Chrétiens évangélistes, comme les ennemis internes de l’Amérique sont gravissimes » a-t-il ajouté.
Le soldat s’inquiétait de savoir s’il pouvait encore aller à l’église, sans être sanctionné, s’il était encore autorisé à payer la dîme et/ou faire un don à des œuvres de charité. »
Un autre soldat, également présent au briefing, alerta le Pasteur de l’Alliance pour la Liberté religieuse. Ses déclarations confirmèrent celles du soldat qui s’était adressé à Fox News.
« Une importante partie de la séance d’information fut consacrée à la menace terroriste, que les Chrétiens évangéliques et le Tea Party faisaient courir au pays, mais il n’y eut jamais aucune allusion au danger que représentait pour notre pays l’extrémisme islamique » déclara le soldat.
Selon Tony Perkins, Président de : « The Family Research Council”, le Pentagone fait de la propagande anti chrétienne.
[...]
« Ces incidents répétés prouvent que les séances d’informations sont dirigées par le leadership de l’armée au Pentagone ou alors l’armée a un véritable problème de discipline et de commandement pour laisser une bande de fripouilles enseigner de telles inepties. »
Les groupes de défense des libertés religieuse dénoncent sévèrement les récentes accusations mensongères portées par les conférenciers militaires de Fort Hood lors des séances d’information, qui deviennent, en fait des réunions de désinformation.
« Pourquoi l’armée s’est-elle engagée dans ces séances de propagande anti chrétienne », demanda Perkins, lui-même vétéran de la Marine Corps ? « Seule la volonté délibérée de l’Administration Obama d’intimider et de séparer les soldats des groupes Chrétiens qu’ils soutiennent et qui les soutiennent pourrait expliquer cette propagande mensongère anti chrétienne. »
Ron Crews, Administrateur de l’Alliance de l’Aumônerie, a qualifié le comportent des Autorités militaires de déshonorant.
« Loin d’être des incidents isolés, comme l’Armée l’a affirmé lors des cas précédents, ce dernier incident démontre bien la volonté des Autorités militaires de présenter le Christianisme évangélique, le Catholicisme et le Judaïsme, comme des exemples d’extrémisme religieux, comparable à celui d’Al Qaïda, du Hamas et du Ku Klux Klan … » a encore ajouté Ron Crews.
Barack Hussein Obama est le Président américain le plus hostile à la Bible, aux Juifs et aux Chrétiens de toute l’histoire des Etats Unis, et cette haineuse hostilité contraste avec la bienveillance, la tolérance, le respect qu’il manifeste envers le coran, l’islam et les Musulmans. Le leadership militaire semble également être infiltré et corrompu par les Frères musulmans, qui fidèles à leur devise, s’activent à détruire l’Amérique de l’intérieur.
Présenter les Chrétiens et les membres du Tea Party comme des menaces pour la sécurité de la nation, des terroristes à combattre, c’est du pur machiavélisme.
Obama livre l’Amérique à l’islam et aux Musulmans. Et pourtant, s’il savait comment il est considéré par les Nations arabes.
Obama me fait penser à l’un des premiers musulmans noirs, un compagnon du prophète, un homme nommé Bilal bin Rabah. Il était un fidèle esclave noir de Mahomet. Ce dernier l’affranchit et le nomma Muezzin, pour le récompenser de sa fidélité. Et Bilal, fier et reconnaissant, appelait les fidèles à la prière du haut du minaret de la mosquée de la Kaaba à La Mecque, ville nouvellement conquise par Mahomet.
Les autres fidèles compagnons de Mahomet, appelés les « Sahaba », qui comme Bilal, avaient suivi le prophète dans ses « missions prophétiques », furent aussi récompensés, mais contrairement à Bilal, l’ancien esclave noir, devenu Muezzin, ils furent nommés à des postes importants, certains devinrent califes, d’autres gouverneurs de province. Bilal, lui, continuait à appeler les fidèles de sa voix rauque du haut de son minaret, mais ses appels attiraient très peu de monde. Les musulmans et les infidèles de La Mecque se moquaient de lui, ils trouvaient qu’il brayait comme un âne.
En lisant ce récit, je ne peux m’empêcher de me poser une question. A supposer que les Frères Musulmans, les partisans de Mohamed Morsi, le chéri d’Obama, réussissent à réaliser leurs rêves, celui de conquérir le monde et de le soumettre à l’islam radical, comment récompenseraient-ils Hussein Obama ? Lui réserveraient-ils la place d’un calife, d’un sultan ou un poste de gouverneur ? A mon avis, non. Si les Frères Musulmans parvenaient à prendre le contrôle de l’Amérique et de l’Europe, fidèles à la tradition de leur prophète bien-aimé, ils lui réserveraient sans aucun doute le poste de Muezzin d’une mosquée de Chicago, à l’instar de Bilal, fidèle compagnon de route de Mahomet.
Quand je vois des Noirs américains se convertir à l’islam, comme le député Keith Ellison, ex-catholique, et exprimer leur étrange et incompréhensible empathie pour l’islam et le Hamas, je suis à la fois surpris et horrifié par leur choix. Ignorent-ils que les Musulmans étaient les négriers qui capturèrent les Africains et les vendirent en Amérique comme esclaves ?
Ne savent-ils pas qu’aujourd’hui encore, dans le monde arabo-musulman, les noirs sont traités avec mépris et considérés comme des esclaves ? Dans les milieux politiques arabes des Etats du Golfe, Condoleeza Rice et autres politiciens américains noirs sont appelés « a’bd ou a’bda » le mot arabe pour « esclave », et ce, malgré leurs hautes fonctions.
Dans le scénario d’un monde islamique dirigé par Les Frères Musulmans, le député Keith Ellison ne siègerait pas comme membre du Conseil islamique (la Choura) et l’ex- Secrétaire d’Etat Condoleeza Rice ne serait pas autorisée à quitter sa maison sans un chaperon masculin, membre de la famille. Quant à ses missions diplomatiques à travers le monde, aux oubliettes. Elle resterait à la maison à observer le monde extérieur à travers la fenêtre voilée de son hijab.
Ingratitude et mépris, voilà la récompense des non musulmans qui deviennent les serviteurs de l’islam, reconnaissance et respect ne faisant pas partie du vocabulaire islamique.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Sources : « Does Army consider Christians, Tea Party, a terror threat?, » by Todd Starnes for Fox News, October 23,2013
“« Who Should Clean Up the Mess?” By Ali Salim (extrait)
Photo: le maire PS d'Argenteuil Philippe Doucet en réunion...à la mosquée.
Sous pression islamique, des mairies embauchent des responsables de la communauté musulmane afin de s'assurer de leur soutien électoral. Une pratique de plus en plus courante, L'Express nous raconte un cas d'école à Argenteuil dans son numéro du 9 octobre :
"Après les cantonales [perdues], Philippe Doucet semble avoir choisi sa stratégie pour les législatives. Il procède à un certain nombre d'embauches au sein de son cabinet, dont deux personnes -Karim Cherid et Medhi Bouchemoua- chargés des relations avec la communauté musulmane. Surnommé "l'Aumônier", Medhi Bouchemoua était présent lors de la soirée de concertation pour l'ouverture de l'école islamique Hanned (ouverte en septembre 2011).
A la suite des législatives, la mise en place d'un conseil des cultes apparaît comme la confirmation, bien qu'il s'en défende, de l'approche communautariste de Doucet: "Il me paraissait tout à fait normal d'avoir un lieu où tout le monde se parle".
Le 3 décembre 2012, jour du conseil municipal, l'auditorium Victor-Dupouy, doté de 120 places, est plein à craquer. Beaucoup restent debout. L'ambiance est électrique. La création d'un conseil des cultes, annoncée quelques jours plus tôt, est approuvée in extremis. A l'annonce du vote, les applaudissements explosent. Un groupe d'hommes barbus en tenue religieuse se réjouit. "On a gagné", glissent-ils avant de quitter la salle."
Relire aussi : Argenteuil: des musulmans attaquent la mairie, un commissaire agressé
C'est une bien curieuse invitation qui vient d'être lancée sur Facebook. A l'initiative d' un certain Abu Moussa, un islamiste radical proche de Fouad Belkacem, cet appel convie des jeunes djihadistes à assimiler le b.a.-ba de la Guerre Sainte et ce, au coeur même de la province du Luxembourg. "Il reste encore sept ou huit places sur la quinzaine disponibles" précise le message relayé par nos confrères de Sud Presse et du Nieuwsblad.
Les entraînements sont prévus du 25 octobre au 1er novembre. Selon un policier, ce stage pourrait se tenir dans la forêt des Epioux.
Abu Moussa est coutumier du fait, puisque l'an dernier, il avait déjà fait fonctionner ses réseaux afin d'embrigader des jeunes recrues pour ensuite les envoyer en Syrie.
Nos autorités judiciaires sont sur le qui-vive. Quant à la province du Luxembourg, elle n'était pas au fait de cette étrange sollicitation.
Sous le titre « Christianophobie : persécutions des chrétiens dans le monde », le blogue italien Correspondance Européenne a publié le 22 octobre une recension d’un volumineux rapport, 192 pages, Persecuted and Forgotten ?, publié par la branche anglaise d’Aide à l’Église en Détresse, portant sur la persécution dans le monde de 2011 à 2013. Comme l’avait déjà estimé, en octobre 2010, la Commission des Épiscopats [catholiques] de la Communauté Européenne (COMECE), les trois-quarts des actes de persécution contre des croyants dans le monde, le sont contre des chrétiens ! Et, depuis 2010, la situation n’a cessé de s’aggraver… Le rapport complet (en anglais et au format PDF) peut être téléchargé ici.
La situation des chrétiens dans de nombreux pays du monde s’est nettement détériorée. Telle est la conclusion du rapport Persécutés et Oubliés ? présenté par le bureau britannique de l’Aide à l’Église en Détresse le 17 octobre dernier lors d’une réunion dans les chambres du Parlement du Royaume-Uni.
Le rapport examine la situation des chrétiens dans 30 différents pays, dont l’Afghanistan, la Chine, le Laos, le Pakistan, le Vietnam et le Zimbabwe. Il analyse en particulier la situation dans un certain nombre de pays à majorité islamique et dans les États dont les systèmes politiques ont un caractère autoritaire prononcé. La période examinée couvre les trente derniers mois.
Selon John Pontifex, directeur de l’Information du bureau britannique de l’AED, « la principale conclusion du rapport est que dans les deux-tiers des pays où la persécution des chrétiens est la plus sévère, les problèmes ont sans doute encore empiré. En fait, dans certaines régions – notamment au Proche-Orient – la survie même de l’Église est maintenant en jeu ».
Pour les chrétiens, le soi-disant « printemps arabe » est devenu dans de nombreux cas ce que le rapport appelle un « hiver chrétien ». Bien que les bouleversements politiques aient impliqué des souffrances pour des individus de toutes les confessions, ce sont surtout les confessions chrétiennes qui ont subi les hostilités et les violences les plus ouvertes. Ils sont devenus les victimes de toutes sortes de conflits politiques, économiques, sociaux et religieux –
- par exemple les conflits entre musulmans sunnites et chiites. En conséquence, un grand beaucoup de chrétiens ont été obligés de fuir. Le rapport décrit l’exode comme atteignant des « proportions presque bibliques ».
Selon les informations présentées dans ce rapport, l’influence des groupes islamistes fondamentalistes a considérablement augmenté au cours des trente derniers mois. Ils représentent peut-être la plus grande menace à l’encontre de la liberté religieuse dans le monde aujourd’hui. Leur objectif est l’élimination, ou au moins l’assujettissement des chrétiens.
Dans les pays communistes aussi, les efforts visant à exercer un contrôle sur les populations chrétiennes ont augmenté. Toutefois, dans ces pays les chrétiens tendent à être persécutés avant tout en raison de leurs contacts avec des dissidents et avec l’Occident et non pas uniquement en raison de leur foi. En Corée du Nord, aucune activité religieuse ne bénéficie d’une reconnaissance officielle, tandis que celles qui sont tolérées sont strictement contrôlées.
La Chine continue d’insister sur l’affirmation de son autorité sur tous les groupes chrétiens, en particulier sur ceux qui ne sont pas officiellement enregistrés.
Comme l’explique John Pontifex, « il ressort de tous les récits que les actes de persécution semblent maintenant s’aggraver et devenir implacables ; des églises sont incendiées, des chrétiens sont pressés de se convertir, il y a des violences collectives contre les foyers chrétiens, des enlèvements et viols de jeunes-filles chrétiennes, de la propagande anti-chrétienne dans les médias et de la part du gouvernement, de la discrimination dans les écoles et sur les lieux de travail… la liste est longue.
Le rapport Persécutés et oubliés ? soulève de profondes interrogations quant à l’engagement de la communauté internationale à se dresser en faveur de la liberté religieuse. »
Source : Correspondance Européenne
Abdennour Bidar, philosophe, explique pourquoi il a voté blanc à l’avis rendu le 15 octobre par l’Observatoire national de la laïcité, dont il est membre. Un avis qui ne se prononçait pas en faveur d’une nouvelle loi, qui étendrait au secteur privé le principe de laïcité.
Je suis conscient du risque qu’une loi – mal faite – pourrait alimenter une fois de plus le grief que les religions sont stigmatisées, en particulier l’islam. […]
Néanmoins, je crois toujours en l’utilité possible de cet Observatoire, et je reste confiant quant à ses propositions ultérieures, mais il va devoir se choisir un destin personnel au plus loin de deux impasses.
La première est celle de la droite dure et de l’extrême droite : dévoyer le sens de la laïcité pour en faire une arme contre la diversité, un instrument d’exclusion au service d’ réactionnaire de l’identité française.
La seconde impasse. […] Du renoncement à dire quoi que ce soit d’un peu «puissant» ou ambitieux sur la laïcité, de peur que cela passe pour de la stigmatisation des religions, notamment de l’islam. Tel est bien le piège où les républicains de gauche et de droite semblent pris aujourd’hui: la paralysie de la pensée et de l’action par préjugé que toute réaffirmation du principe de laïcité sera «inévitablement» récupérée par les forces d’exclusion et de division.
Que vaut en réalité ce parti pris ou ce calcul du «ne faisons rien car tout ce qu’on ferait remettrait le feu aux poudres» ? Electoralement rien : les Français en ont assez de l’absence de courage politique,et ils continueront de se jeter dans les bras de l’extrême droite tant que la gauche et la droite républicaines n’oseront pas fabriquer un discours alternatif sur la laïcité, l’immigration, l’intégration, l’islam. Ce discours est possible. […]
Mes oreilles résonnent de cette phrase chargée de tromperie : « ce n’est pas l’islam ».
Même lorsqu’un cheikh célèbre et respecté parle, « ce n’est pas l’islam »…
Nada : Comme vous le savez, j’ai fui le mariage et l’ignorance, pour pouvoir continuer à étudier. Je ne me suis pas enfuie uniquement parce qu’ils voulaient me marier, mais à cause de l’ignorance et parce que je voulais étudier.
Journaliste : Quel âge avais-tu quand ils t’ont mariée ?
Nada : Dix ans.
Journaliste : Quel âge avait l’homme qui t’a épousée ?
Nada : 26 ans.
Journaliste : Quand ils t’ont dit qu’ils voulaient te marier, que savais-tu du mariage ?
Nada : Ils m’ont dit que le mariage était un jeu, mais c’est faux. Il fait de vous une servante, et vous fait porter un fardeau trop lourd pour vous.
Journaliste : (Tes parents) t’ont dit que le mariage était un jeu ?
Nada : Oui.
Journaliste : Combien de temps es-tu restée avec l’homme que tu as épousé ?
Nada : Je ne l’ai pas épousé. Il était mon fiancé.
Journaliste : Donc, tu t’es enfuie avant de l’épouser ?
Nada : Une semaine avant.
Journaliste : Tu t’es enfuie chez ton oncle ?
Nada : Oui.
Journaliste : (Le marié) était-il yéménite ou d’une autre nationalité ?
Nada : Il est yéménite.
Journaliste : Qui t’a encouragée à fuir le mariage ?
Nada : Personne.
Journaliste : Tu as senti que tu devais t’enfuir…
Nada : Oui. Je me suis dit que je téléphonerais à Abd Al-Jabbar, et que si ça ne marchait pas, j’appellerais quelqu’un d’autre, sinon ça serait la fin de ma vie.
Journaliste : Qui t’a dit que tu devais te marier ? Ton père ? Ta mère ?
Nada : Les deux.
Journaliste : Que t’ont-ils dit ?
Nada : Ils ont dit : « Tu vas te marier. Tu vas recevoir une nouvelle robe. » Ce genre de choses.
Journaliste : Etes-vous une famille pauvre ?
Nada : En quelque sorte… oui.
Journaliste : Sais-tu quelle somme le marié a versée (à tes parents) ?
Nada : Oui.
Journaliste : Combien ?
Nada : 2 000 dollars (…) Ma mère a dit à la police que mon oncle m’avait kidnappée, mais c’est moi qui me suis enfuie chez lui.
L’oncle de la fillette apparaît à l’écran, assis à ses côtés
Journaliste : Abd Al-Jabbar, Nada s’est enfuie pour aller chez vous. Comment se fait-il que vous ne soyez pas de l’avis de votre frère, qui a décidé de marier sa fille ?
Abd Al-Jabbar : En réalité, Nada ne vit pas avec ses parents. Si elle vivait avec eux, elle aurait fini comme ses sœurs, qui ont été mariées (de force)…
Journaliste : Elle a des sœurs qui ont été mariées (de force) ?
Abd Al-Jabbar : Une sœur, de 12 ans, va bientôt se marier, après les vacances. Une autre, de 14 ans, doit se marier jeudi. (Nada) vit avec moi depuis deux ans, et passe ses vacances d’été avec moi, pour que je consacre plus de temps à son éducation et sa culture.
En duplex, apparaît le religieux égyptien cheikh Abou Yahya.
Cheikh Abou Yahya : Il existe une différence entre le mariage contractuel et le mariage consommé. Le mariage contractuel peut se faire dès le premier jour. Dès le moment où le bébé (fille) naît, prend son premier souffle, et reçoit un nom, son gardien, son père exclusivement – et il existe un consensus là-dessus dans le monde musulman – peut la marier.
C’est une coutume répandue ; mes grands-parents et vos grands-parents se sont peut-être même mariés ainsi. Le garçon est réservé à la fille, et vice-versa. Le mariage – un mariage contractuel ou des fiançailles – est permis (à cet âge).
Quant à la consommation du mariage, elle n’est permise que lorsque la femme peut la supporter. Un gardien qui ne respecte pas cela porte atteinte à la fille qui se trouve sous sa responsabilité.
Journaliste : A quel âge est-elle prête pour lui ?
Cheikh Abou Yahya : Cela varie d’une fille à l’autre. L’une peut être prête à 9 ans, l’autre peut ne pas l´être à 25 ans.
Journaliste : Si vous aviez une fille qui atteint la puberté à 9 ans…
Cheikh Abou Yahya : (Rires) Je la marierais pour sûr. Si elle a atteint la puberté…
Journaliste : Vous la marieriez ?
Cheikh Abou Yahya : Si vous dites qu’elle est pubère, oui (…) Si j’avais une fille qui a atteint la puberté, je la marierais. Les gens doivent comprendre qu’il y a une différence entre le mariage contractuel, permis par la Loi islamique, et le mariage consommé, c´est-à-dire le sexe…
Journaliste : Nous parlons de sexe maintenant.
Cheikh Abou Yahya : Concernant le sexe, s´il peut lui nuire…
Journaliste : Comment pouvez-vous dire si cela lui nuira ou non ?
Cheikh Abou Yahya : Cela dépend de son physique et de (ce que disent) sa mère et ses tantes. Elle leur dira si elle peut le supporter ou non.
Journaliste : Comment peuvent-elles savoir, de ce que leur raconte une fillette de 9 ou 10 ans, si elle peut le supporter ou non ?
Cheikh Abou Yahya : Comment pouvez-vous dire si une fille de 14 ans peut le supporter ou non ? Et pourtant c’est (l’âge du mariage) autorisé en Espagne. Et qu’en est-il d’une fille de 12 ans, qui est (l’âge de mariage) permis au Mexique ?
Journaliste : D’où tenez-vous ces chiffres ? Vous avez cherché sur Internet ? Cette information – que l’Espagne autorise le mariage à 14 ans et le Mexique à 12 – d’où la tenez-vous ?
Cheikh Abou Yahya : Le Vatican – la source d’autorité de votre religion – permet (le mariage) à 12 ans.
Journaliste : Où cela figure-t-il ?
Cheikh Abou Yahya : Le Vatican…
Journaliste : Montrez-moi où cela est écrit.
Cheikh Abou Yahya : Je vous montrerai mes sources si vous le voulez.
Journaliste : Allez-y.
Cheikh Abou Yahya : Je vous le dis, à vous et aux téléspectateurs, que le Vatican (autorise le mariage) à l’âge de 12 ans, l’Espagne à l’âge de 13 ans, le Japon à l’âge de 13 ans… [JPG : c'est Daniel Cohn Bendit qui leur a soufflé ?]
Journaliste : Quelle est votre source ?
Cheikh Abou Yahya : … l’Allemagne à l’âge de 14 ans, l’Italie à l’âge de 14 ans, le Chili à l’âge de 14 ans, la France à l’âge de 15 ans et l’Amérique à l’âge de 14 ans. Vous pouvez consulter cet article, paru dans The Guardian.
Source : MEMRI en français www.memri.org/french.
- See more at: http://www.dreuz.info/2013/10/video-temoignage-de-la-petite-nada-al-ahdal-10-ans-qui-a-fui-un-mariage-force/#sthash.OpwmeNDp.dpuf - See more at: http://www.dreuz.info/2013/10/video-temoignage-de-la-petite-nada-al-ahdal-10-ans-qui-a-fui-un-mariage-force/#sthash.OpwmeNDp.dpuf
À peine ouverte, la seule mosquée de Tahiti doit fermer.
La première et seule mosquée de toute la Polynésie, sitôt ouverte, est déjà fermée. Son inauguration a déclenché des réactions d’hostilité vive à Tahiti, où les craintes suscitées par l’islam terroriste, doctrinaire et conquérant, ne passent pas.
Quatre jours après son inauguration, la mosquée a été frappée d’une interdiction d’ouverture par la mairie de Papeete, qui considère que le local n’est « pas prévu pour recevoir du public » et n’est pas aux normes.
Le maire UMP, Michel Buillard, a résisté aux pressions de la présidence de la Polynésie française où Gaston Flosse déclarait, dans un communiqué du 15 octobre, tout à la fois qu’il n’était “pas nécessaire d’obtenir une autorisation particulière” pour ouvrir, et que « l’islam est une grande religion monothéiste ».
« Mon œil » ont dit les tahitiens, qui ne se laissent pas intoxiquer par l’immigrationnite aigüe.
« Il ne peut plus recevoir de monde. Je lui ai interdit toute manifestation religieuse », a indiqué Charles Fong Loy le 4e adjoint du maire de Papeete à l’Imam Hishan El-Barkani.
L’ouverture de la mosquée s’est surtout heurtée à la vive hostilité de la population, très informée des dangers de l’islam.
Des propos très hostiles ont inondé les réseaux sociaux. Si nous reproduisions les commentaires que le site Tahiti-Infos n’a pas filtré, suite à ses articles sur la mosquée, ils heurteraient les plus intolérants de nos lecteurs.
Des pétitions, des appels à manifester, ont été lancés un peu partout sur l’ile, et l’imam intégriste, Hicham El Barkani, débarqué de Seine-Saint-Denis, aurait « reçu des menaces de mort », selon son avocat. Mais l’on sait que la pratique de la taqiyya interdit de le croire.
Avec seulement quelques centaines de musulmans, des enseignants et militaires qui ne sont là que pour quelques années, la Polynésie française ne veut pas entendre parler de l’islam, qu’elle assimile, au vu de son palmarès, au terrorisme.
Et la Polynésie, modèle de tolérance, où de nombreuses obédiences religieuses d’influence chrétienne cohabitent dans le respect mutuel, ne peut être accusée de xénophobe. L’islam par contre, est assimilé au terrorisme.
Les vahinés à la place, c’est notre coutume, et on ne veut rien changer
Les images de femmes voilées se rendant à la mosquée leurs sont absolument insoutenables. « Les vahinés à la plage, les maillots de bain, les bringues, les cheveux lâchés, tout ça c’est notre coutume, et on veut rien changer », indique un voisin de la mosquée.
Se voulant rassembleur, le président Gaston Flosse a même commis un impair majeur dans son communiqué du 15 octobre, puisqu’il a rappelé qu’en Polynésie “de nombreux cultes cohabitent parfaitement”, et que “bien que terre traditionnellement chrétienne, la Polynésie est aussi une terre accueillante, et il ne faut pas tomber dans l’islamophobie”. Ainsi faisait-il la preuve absolue que le problème n’est pas la Polynésie, mais l’islam !
Faut-il l’ajouter, les tahitiens sont très philosémites, ils éprouvent une grande sympathie pour Israël, et une admiration sincère pour les israéliens, et sont fortement hostiles aux arabes palestiniens, qu’ils regardent comme des voleurs de terre et des islamistes liberticides.
« Ils pensent que les musulmans sont des Ben Laden, faut pas rester sur des a priori », regrette une jeune femme musulmane.
« Ce n’est pas la salle de prières qui est inquiétante, ce sont ceux qui sont venus l’installer », a commenté Monseigneur Hubert Coppenrathen, décelant chez le jeune imam « une attitude un peu conquérante ». « Il faut être sur ses gardes », a-t-il ajouté. Que voilà un homme lucide et plein de sagesse…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.
- See more at: http://www.dreuz.info/2013/10/interdiction-de-lunique-mosquee-de-tahiti-ou-lislam-est-assimile-au-terrorisme/#sthash.7INDRl85.dpuf - See more at: http://www.dreuz.info/2013/10/interdiction-de-lunique-mosquee-de-tahiti-ou-lislam-est-assimile-au-terrorisme/#sthash.7INDRl85.dpuf
Michel Garroté, réd en chef -– L’Arabie saoudite continuera d’interdire sur son sol les lieux de culte autres que musulmans, affirme Mohamed al-Issa, ministre saoudien de la Justice devant des parlementaires européens à Bruxelles. L’Arabie saoudite, du fait qu’elle abrite les lieux saints musulmans ne permet pas l’édification sur son sol de lieux de culte autres que musulmans, selon Mohamed al-Issa.
La monarchie intégriste saoudienne abrite deux lieux de culte de l’islam, la Grande Mosquée de la Mecque et le Mausolée du Prophète à Médine. La monarchie abrite également des millions de domestiques esclaves catholiques, notamment philippins.
Puisque l’Arabie saoudite continue d’interdire sur son sol les lieux de culte autres que musulmans, et qu’en agissant ainsi, elle ne respecte pas la réciprocité avec les pays occidentaux abritant des mosquées, des parlementaires européens (notamment Thomas Aquin, Teresa von Calc und Hutta, David Israloubavitch, Mohamed Exis Lam et Foutou Souleil) ont voté une résolution interdisant aux musulmans d’avoir des mosquées et de prier à Rome, ville sainte catholique et à Jérusalem, ville sainte juive.
Désormais, les musulmans ne pourront donc plus se promener autour de la place St-Pierre de Rome et sur l’esplanade dite des mosquées à Jérusalem. Le Vatican et le Grand Rabbinat d’Israël se félicitent de la résolution votée en ce sens par des parlementaires européens.
Le secrétaire général de l’ONU et les organisations des Droits de l’Homme demandent avec insistance à l’Arabie saoudite d’autoriser sans délai sur son sol la construction de synagogues et d’églises. La Grande Mosquée de Paris a été fermée pour une période indéterminée.
Reproduction autorisée
Avec mention Michel Garroté www.dreuz.info
- See more at: http://www.dreuz.info/2013/04/desormais-rome-et-jerusalem-seront-interdites-aux-musulmans/#sthash.6F6PBsK8.dpuf
Communiqué de Philippe Meunier, député de la 13ème circonscription du Rhône et secrétaire National UMP aux Libertés Publiques, co-fondateur du « Collectif de la Droite Populaire »:
"Le maire socialiste de Décines-Charpieu (Rhône) sombre dans le communautarisme. La Municipalité socialiste de Décines-Charpieu a décidé d'interdire aux lycéens du lycée "Charlie Chaplin" de se rendre à leur cours de sport en réquisitionnant leur gymnase pour la fête de l'aïd.
Le Parti Socialiste sombre dans le communautarisme au détriment des principes fondateurs de notre République."
Article épatant paru aujourd’hui sur le blogue Boulevard Voltaire, et du à la plume alerte et acérée de Patrick Crasnier. Il daube le message du Premier Ministre à la communauté musulmane pour la fête de l’Aïd. Les propos de Jean-Marc Ayrault sont tellement outranciers et faux qu’on se demande vraiment s’il a toute sa raison. Le chef du gouvernement devrait changer de tête ou changer de scribe…
Déjà, Bertrand Delanoë affichait les heures de prière de la Grande Mosquée de Paris sur les panneaux lumineux… Aujourd’hui, on a mieux.
Notre Premier ministre Jean-Marc Ayrault, accompagné du ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, et du maire de Paris, Bertrand Delanoë, sont allés fêter, mardi matin, le début de l’Aïd avec le monde musulman à la Grande Mosquée de Paris. La chasse aux voix pour les municipales est lancée ! Les socialistes ne pouvant plus compter ni sur le centre, ni sur l’extrême gauche, ni même sur les socialistes, ils ratissent large au mépris des règles les plus élémentaires de la laïcité.
Ou alors, je n’ai rien compris ? Peut-être que la laïcité, c’est « l’interdiction des religions autres que l’islam » ? Ou encore que nos gouvernants vont maintenant systématiquement assister aux fêtes religieuses de toutes les confessions ?
Imaginez nos ministres à la synagogue le jour de Kippour ou bien à Notre-Dame le jour de Pâques. Pour le coup, on pourrait parler de diversité, d’amitié entre les peuples, de respect de tous. Mais cette vision idyllique est du domaine du rêve…
« À travers vous, je salue une grande religion de France », a déclaré le chef du gouvernement. « Je mesure la place qui est la sienne dans notre pays et dans notre histoire. »
Vivement Noël, que l’on rigole ! Toutes ces écoles dans lesquelles les sapins seront interdits sous prétexte de laïcité, toutes ces crèches « sous le manteau » de peur d’être dénoncées à la milice de la laïcité ! Tous ces chants de Noël boycottés sur les ondes des radios et des télévisions d’État au nom du « respect des différences » et des croyances d’autrui. Normal, il y a « grande religion » et « grande religion »…
- See more at: http://www.christianophobie.fr/opinion/en-matiere-de-deux-poids-deux-mesures-ayrault-fait-dans-le-lourd#sthash.QFWGYPo7.dpuf
Addendum du 17.10.2013 : La mosquée de Tahiti interdite de culte par la mairie de Papeete
PAPEETE, mercredi 16 octobre – A peine inaugurée la veille, la mosquée de Tahiti s’est vu notifier par la municipalité de Papeete l’interdiction d’organiser le moindre rassemblement dans ses locaux du centre-ville.
L’Imam Hishan El-Barkani a été reçu par Charles Fong Loy, le chargé des affaires d’urbanisme à Papeete, en fin de matinée pour être informé de cette décision : « Il ne peut plus recevoir de monde. Je lui ai interdit toute manifestation religieuse », a indiqué le 4e adjoint du maire de Papeete.
En tant qu’Etablissement recevant du public (ERP), le lieu de culte musulman est soumis aux dispositions du livre V du Code de l’aménagement de Polynésie française qui s’applique aux « enceintes dans lesquelles des personnes sont admises (…) ou dans lesquelles sont tenues des réunions ».
Le texte précise que « les travaux, aménagements ou modification, qui ne sont pas soumis au permis de construire ne peuvent être exécutés qu’après autorisation du maire » et à la lueur de l’avis préalable d’une commission de sécurité dont l’expertise doit être demandée par l’exploitant. La fermeture des établissements exploités en infraction aux dispositions du Code « peut être ordonnée par le maire » en vertu de ses pouvoirs de police.
Le Code précise aussi que cette décision doit être validée par un arrêté du Conseil municipal. Or, nul arrêté n’a été pris pour l’instant concernant cette affaire, par les élus de Papeete.
Vives réactions dans l’opinion
(…)L’association religieuse, locataire au premier étage d’un espace d’une soixantaine de mètres carrés aménagé en mosquée « doit nous fournir au plus vite un dossier complet de sécurité en conformité avec les dispositions réglementaires et demander une visite de ses locaux par la commission de sécurité », ajoute Charles Fong Loy en guise de condition sine qua none à l’instruction par la mairie de toute demande d’agrément, pour permettre à la mosquée de recevoir du monde.
A peine inauguré, le lieu de culte musulman de Papeete se trouve sous le coup d’une interdiction de recevoir le public. Interrogé et vraisemblablement sous le choc, l’Imam El-Barkani n’a pas souhaité répondre à nos questions.
Addendum du 16.10.2013 : Tahiti : tensions à l’ouverture de la première mosquée
L’ouverture d’une mosquée à Papeete fait… par 1ere-polynesie Merci à Pepito
Mais dans cette collectivité d’outre-mer à forte tradition chrétienne, la pilule passe mal pour beaucoup. Pétitions, groupes anti-mosquée, milliers de commentaires acerbes sur les réseaux sociaux.. L’accueil réservé au “Centre islamique de Tahiti” est plus que mitigé.
L’affaire prend de telles proportions que le site Tahiti-Infos, le premier à relayer l’information, a été contraint, pour la première fois, de fermer ses pages de commentaires sur les articles traitant du sujet.
“Je suis d’accord pour la liberté de religion, mais certainement pas celle de l’islam !”, pouvait-on lire, parmi la déferlante de commentaires, qui rivalisent d’idées reçues et de raccourcis souvent racistes. “Sa barbe [celle de l’imam] ne va pas faire long feu ici !”, menace un autre.
La mairie de Papeete a indiqué, de son côté, n’avoir pas reçu de demande pour transformer des bureaux en lieu de culte pouvant recevoir du public, et a jugé que la mosquée n’avait donc “pas d’autorisation pour ouvrir”.
“Ne pas tomber dans l’islamophobie”
À l’inverse, la présidence de la Polynésie française a estimé qu’il n’était “pas nécessaire d’obtenir une autorisation particulière.” Pour tenter d’apaiser les esprits, un communiqué a été publié le 15 octobre rappelant que “la République garantit la liberté du culte et la liberté de conscience sur tout le territoire national. Ce principe essentiel de nos libertés fondamentales est inscrit dans la Constitution française, et est naturellement valable en Polynésie française. Dans notre pays cohabitent parfaitement de nombreux cultes.” Et d’ajouter “bien que terre traditionnellement chrétienne, la Polynésie est aussi une terre accueillante, et il ne faut pas tomber dans l’islamophobie.”(…)
Mais les détracteurs de l’initiative ne comptent pas en rester là. Parmi eux, l’un des principaux partis d’opposition, A Ti’aPorinetia, a demandé que toute la lumière soit faite sur le financement de la mosquée, qui a vu le jour, selon Hishan El-Barkani, grâce à la générosité des musulmans de Polynésie.
Les catholiques doivent-ils s’en réjouir ou s’en inquiéter ? Les médias dominants ne tarissent pas d’éloges sur le nouveau pape. Le Monde du 6/7 octobre fait sa une sur son « état de grâce ». Le Monde du 8 octobre salue le « grand communiquant » qui fait sa « perestroïka »(bigre !). Il se réjouit de sa visite spectaculaire à Lampedusa, de sa dénonciation de « la mondialisation de l’indifférence » et de son questionnement « qui suis-je pour juger un homosexuel ? ».
Le journal des Pigasse, Niel et autres Bergé ne nous avait pas habitués à un tel déluge de félicitations !
A contrario, le discours de Ratisbonne du lumineux Benoît XVI, son voyage africain où il rappela les règles morales de l’Église catholique et son ouverture à la tradition lui avaient valu une série de campagnes de diabolisation.
Avant même d’entrer en conclave, le cardinal Ratzinger avait été désigné par les médias dominants comme un danger. A contrario, à peine élu, le pape François bénéficia d’un grand soutien médiatique.
Reste à savoir s’il vaut mieux parler aux foules ou s’adresser au cœur et à la raison des fidèles ? Et quel prix théologique ou moral faut-il accepter de payer pour plaire aux médias ? Que penser d’une certaine forme d’humilité ostentatoire consistant à se faire filmer en portant ses bagages ?
Et peut-on porter la charité en bandoulière alors que le catéchisme pour les enfants enseigne qu’elle doit se faire dans la discrétion ? Quant aux peuples européens, soumis à la pression permanente de la culpabilisation et de la repentance, est-il bien juste et bien honnête de leur rajouter le fardeau des noyés de Lampedusa, d’abord victimes de l’incurie africaine ? Au risque de devenir un personnage du Camp des Saints de Jean Raspail.
N’est-ce pas cela, se soumettre à la tyrannie médiatique ?
À tout prendre, y a-t-il beaucoup de différences entre Manuel Valls et François ? Entre le ministre franc-maçon et le pape jésuite ? L’un et l’autre ont fait des médias leur champ de présence principale. L’un et l’autre sont de notre temps. L’un et l’autre sont des médiagogues, des hommes qui cherchent à plaire aux médias. « Où sont les caméras ? » est-il un slogan suffisant pour gouverner l’Église ou prétendre devenir président de la République ?
Les pays arabes préparent un projet de loi contre la diffamation des religions qui leur permettra de poursuivre les contrevenants même s'ils résident à l'étranger.
Présenté par le Qatar, le projet de loi est actuellement examiné par les délégués de plusieurs pays membres de la Ligue arabe. Toutes les formes de diffamation, de dérision ou de dénigrement des religions et des prophètes constitueraient des crimes.
«La principale caractéristique du projet de loi est d’accorder à chaque État le droit de traduire en justice ceux qui insultent et méprisent les religions même s’ils résident à l’étranger», a déclaré Ebrahim Mousa Al Hitmi, secrétaire adjoint pour les affaires juridiques au ministère de la Justice du Qatar, rapportait mercredi le quotidien arabe local Al Arab.
Selon cet officiel, le projet de loi n'entre pas en conflit avec la liberté d'expression. «La loi ne porte atteinte en aucune façon à la liberté d'opinion et d'expression, laquelle est bien protégée et garantie. Toutes les lois pénales dans les pays arabes criminalisent la diffamation des religions mais il n'y a pas de sanctions spécifiques pour les délinquants qui sont à l’extérieur du pays. Par conséquent, ce projet de loi vise principalement à décourager toutes les formes de diffamation des religions et à donner aux pays qui l’auront ratifié le droit d’engager des poursuites contre ceux qui insultent les religions, même s’ils résident à l'étranger», a-t-il dit.
Il a ajouté que l’initiative du Qatar s’inscrit dans le cadre d’un effort pour contrer les campagnes incessantes ciblant les religions. Le projet de loi sera examiné lors d’une réunion des ministres de la Justice des pays arabes.
Source : Arab blasphemy law being drafted, Gulfnews, 2 octobre 2013
Une synagogue sur l'île de Djerba
_______________________
Une ONG locale a dénoncé mercredi une série d'agressions commises contre des Tunisiens de confession juive sur l'île de Djerba. La police est également accusée de harcèlement et de laxisme face aux infractions commises contre la même communauté par un homme qui se fait appeler le "nouveau Hitler".
"Les Tunisiens de confession juive se sentent en danger, ils ont vraiment peur", a indiqué, le 2 octobre, Yamina Thabet, présidente de l'Association tunisienne de soutien aux minorités, lors d'une conférence de presse.
Selon les témoignages recueillis sur place au cours des trois dernières semaines, marquées par d'importantes festivités juives, trois "incidents graves" ont visé la communauté. Des policiers ont investi un déjeuner festif pour saisir "une moto volée sans même vérifier les papiers du propriétaire", a expliqué Yamina Thabet, dénonçant du "harcèlement".
"Les policiers ont tirés des gaz lacrymogènes et ne sont repartis qu'à l'approche d'un bus de touristes", a-t-elle affirmé. Par ailleurs, un homme qui se présente "comme le nouveau Hitler" est entré par effraction dans la salle de prière d'une école juive, agressant devant des enfants un adulte présent. La même personne est accusée d'avoir agressé deux jeunes filles.
Malgré des plaintes et une incarcération de 24 heures, l'agresseur n'est poursuivi que pour "atteinte aux biens d'autrui" et aucune mention n'a été faite du caractère racial suspecté des agressions, relève Yamina Thabet.
Les Juifs tunisiens "en ont marre d'être utilisés lors de visites officielles de responsables politiques comme un argument de l'existence d'une coexistence pacifique (avec les musulmans) alors que lorsqu'il y a des violations de la loi, ils sont les premières victimes de négligences", a-t-elle dénoncé.
L’Association tunisienne de soutien aux minorités a aussi rappelé que malgré une plainte judiciaire, aucune mesure n'a été prise contre un imam de la banlieue de Tunis qui lors d'un prêche diffusé à la télévision, avait appelé Dieu à éradiquer les juifs, un appel à la haine raciale passible de un à trois ans de prison. La communauté juive en Tunisie s'est réduite à 1 500 âmes environ, contre 100 000 en 1956 avant l'indépendance. Et l'île de Djerba est l'un de ses hauts-lieux, accueillant notamment tous les ans le pèlerinage de la Ghriba dont la synagogue avait été visée par un attentat suicide en 2002.
Source : Jeune Afrique, 2 octobre 2013
Voici le dernier article publié par Gert Wilders.
« Un spectre hante l’Europe, le spectre du communisme »
- Karl Marx.
Il a fallu près d’un siècle à l’Europe, pour qu’elle se libère de ce fléau. Aujourd’hui, un autre spectre hante, non seulement l’Europe, mais la planète entière : le spectre de l’islam.
Le plus grand danger, auquel l’Occident est confronté aujourd’hui, n’est ni la situation économique, ni le chômage des jeunes, ni le désastre budgétaire de nos gouvernements ; le plus grand danger est celui qui se rappelle à nous quotidiennement et pourtant, nombreux sont les politiciens qui semblent l’ignorer.
• Fin septembre, cinquante étudiants d’un collège au Nigéria furent abattus dans leurs dortoirs par des terroristes islamistes de Boko Haram.
• Début septembre, des terroristes islamistes d’al-Shabaab tuèrent au moins 76 civils et peut-être plus dans un centre commercial de Nairobi. Ils séparèrent les musulmans des non musulmans et permirent à ces derniers de quitter le centre, puis ils torturèrent, mutilèrent et tuèrent les non musulmans. Même les enfants furent cruellement et vicieusement assassinés.
• En Egypte, chaque semaine, des douzaines de Chrétiens sont harcelés, enlevés et tués par les sbires des Frères musulmans.
• En Syrie, les rebelles islamistes terrorisent et assassinent les Chrétiens.
• Au Liban et en Irak, des communautés chrétiennes anciennes, présentes dans ces pays bien avant les communautés musulmanes, sont victimes d’un nettoyage ethnique.
• Même en Occident, nous ne sommes pas à l’abri de la terreur islamique. L’Europe en a fait l’expérience en mai dernier, quand 2 assassins, armés de couteaux à viande décapitèrent un jeune soldat à Londres.
• L’Amérique aussi fut confrontée à un attentat, quand des assassins islamiques firent exploser des cocotte minute lors du Marathon de Boston : trois personnes furent tuées et des centaines d’autres blessées.
Comme le spectre du communisme par le passé, le danger de l’islam est politique. L’islam est avant tout une idéologie politique, car son but est politique.
Ce que les tueurs de Londres et de Boston, les groupes et organisations islamistes comme Boko Haram, al-Shabaab, les Frères musulmans, le Hamas, le Hezbollah, al-Qaïda et autres individus islamiques semant la souffrance, la misère et la mort à travers le monde, ont en commun c’est la volonté, inspirée par le coran, d’imposer la charia au monde.
Ils partagent ce but avec une organisation, tenue en haute estime par les gouvernements occidentaux : l’OCI ! Cette organisation constitue le bloc électeur le plus important aux Nations Unies. En 1990, il remplaça la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 par sa propre Déclaration des Droits de l’Homme du Caire. Cette déclaration du Caire est un document scandaleux prônant le suprémacisme islamique. Il déclare explicitement que les Droits de l’Homme et les Libertés sont soumis à la charia islamique.
La loi islamique est barbare et cruelle. Flagellation, mutilation et autres châtiments corporels, lapidation et même la crucifixion sont permis par la loi de la charia. Elle discrimine les femmes, les apostats et les non musulmans, qui ont de moins en moins de droits et parfois plus aucun droit en terre d’islam.
En 2003, la Cour européenne des Droits de l’Homme déclara que la charia était incompatible avec les principes fondamentaux de la Démocratie et pourtant, peu de dirigeants occidentaux semblent préoccupés par les différentes tentatives musulmanes de remplacer nos libertés les plus élémentaires par la loi de la charia.
En juillet dernier, la chancelière allemande A. Merkel déclara que le chômage des jeunes était le problème de plus urgent auquel l’Europe était confronté.
Il y a quelques années, Obama désigna la « cyber » menace comme l’un des défis sécuritaires les plus sérieux, auquel la nation devait faire face.
Aujourd’hui, c’est le « shutdown » fédéral qui retient toute l’attention des politiciens américains.
En Europe, la crise autour de l’Euro et des dettes souveraines des Etats Membres de l’UE donnent de fortes migraines aux politiciens.
Mais aucun de ces graves problèmes ne met en danger les libertés et les valeurs de la civilisation occidentale aussi fondamentalement que l’objectif politique de l’islam, qui est celui d’imposer la charia au monde entier. Et pourtant, pas un seul dirigeant occidental n’a osé dire que l’islam est le problème le plus urgent ou le défi sécuritaire le plus grave auquel le monde libre doit actuellement faire face.
Bien au contraire, à chaque fois qu’ils sont confrontés aux atrocités commises au nom de l’islam, les dirigeants occidentaux en minimisent le rôle. Ils déclarent, comme le premier ministre Cameron le fit après l’assassinat du soldat à Londres, qu’il n’y a rien dans l’islam qui justifie ces actes horribles.
Il ignore ou semble ignorer que ces crimes immondes sont justifies par le coran. Le verset 8 :12 ne laisse aucun doute aux fidèles de l’islam, quant à ce qu’ils doivent infliger aux infidèles :
« Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les coeurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts »
Le livre de Mahomet est plein de versets similaires qui incitent ses lecteurs islamiques à commettre des actes hostiles et violents à l’encontre des non musulmans.
Winston Churchill déclara un jour : « Les Asiatiques étaient des esclaves, car ils n’avaient pas appris à prononcer le mot « Non ». Aujourd’hui, l’Occident doit apprendre à dire « Non » ou lui aussi sera asservi à l’islam.
Un spectre hante le monde libre. Ayons le courage de l’appeler par son nom : c’est l’idéologie radicale islamique, dont l’objectif politique est l’abolition de nos libertés et de notre démocratie. Il est de loin Le Mal le plus grave, qui affecte notre monde aujourd’hui.
Et il constitue une menace bien plus grande pour notre civilisation que tous les autres problèmes qui inquiètent actuellement nos politiciens et auxquels ils consacrent toute leur attention.
Geert Wilders, Président du Parti néerlandais du Parti de la Liberté (PVV) –
Rosaly : Geert Wilders a raison : si les islamistes parvenaient un jour à islamiser l’Occident, grâce à l’incurie des dirigeants et à leur inconscience criminelle, celui-ci plongera dans la misère la plus noire, l’injustice sociale, l’obscurantisme et l’esclavage, à l’instar des paradis islamiques régis par la charia. Ce sera la disparition de nos valeurs, de notre culture, de notre civilisation, de nos peuples à plus ou moins long terme.
L’islam est une idéologie malsaine et tous les citoyens aimant la liberté et la démocratie devraient s’unir pour empêcher ce fléau diabolique de détruire le monde libre.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info
Source : « The Specter of Islam Is Haunting the Free World » by Geert Wilders (traduit et adapté par Rosaly)
- See more at: http://www.dreuz.info/2013/10/gert-wilders-le-spectre-de-lislam-hante-le-monde-libre/#sthash.GnuCIJBK.dpuf
Adel Abdessemed, Lise, projection vidéo, couleur, son, 2011
© Adel Abdessemed, Paris ADAGP
Courtesy de l'artiste et David Zwirner, New York/Londres.En matière de christianophobie la Nuit Blanche de la ville de Mayenne (53) a été très performante hier soir. Alors que les chrétiens étaient réunis dans la basilique [Notre-Dame] pour la messe de rentrée de l’Enseignement catholique, dans la crypte de cette même basilique au même moment on projetait une [vidéo titrée Lise] Vierge à l’enfant ou l’enfant était remplacé par un porc! Vous pouvez retrouver cette démarche blasphématoire sur le site programme de la nuit blanche ville de Mayenne. L’auteur étant Adel. Cet acte de christianophobie est inimaginable et a provoqué souffrance et incompréhension.Cet Adel en question a pour patronyme Abdessemed, et le site officiel des Nuits Blanches de Mayenne nous apporte quelques précisions sur cet “artiste”
Une violence contrôlée émane des travaux d’Adel Abdessemed, qui lui vaut l’invitation de tous les musées importants. L’année passée, [i]l signe à seulement quarante-deux ans une exposition monographique au centre Pompidou. Dans la vidéo présentée ici, Lise, l’artiste établit une an[a]logie avec la renaissance de la peinture italienne. La caméra met en place le décor et montre une femme donnant le sein dans la lumière. Peu à peu, l’attention se focalise sur l’enfant qu’elle nourrit.
On s’aperçoit que la référence à la Vierge à l’Enfant (1519) est mise à mal par le caractère animal et symbolique du jeune porc qu’elle allaite. En plus d’une critique faite aux religions monothéistes, l’artiste nous propose sa Madonne, Lise, aussi énigmatique et controversée qu’une Mona Lisa de De Vinci ? Basilique Notre-Dame, crypte.
Source : Nuit Blanche de Mayenne
Lire aussi :
Canada : "si vous voulez la charia, quittez ce pays" (Mahfooz Kanwar)
______________________
Un éminent imam de Calgary, Syed Soharwardy du Conseil islamique suprême du Canada, a récemment déclaré que de nombreux musulmans devraient retourner dans leur pays à majorité musulmane. L’immigration dans un pays non musulman dans le but d’améliorer sa situation économique est contraire à l’islam, a-t-il dit.
Sur sa page Facebook, relayée par le site Blazing Cat Fur, l'imam Soharwardy a écrit : «Les musulmans n'ont jamais migré vers les pays non-musulmans pour des raisons économiques, pour de bons emplois et un meilleur mode de vie. En fait, cela est contraire aux raisons islamiques d’émigrer dans un pays non-musulman. Retournez chez vous, svp.»
Il a raison. En fait, selon la croyance islamique classique, la migration dans un pays non-musulman est un péché majeur, sauf quand les fidèles ont la possibilité de faire du prosélytisme et d’œuvrer à l'instauration de la charia. Ils peuvent rester dans un pays non-musulman si cela ne conduit pas à l'apostasie et ne les empêche pas de s’acquitter de leurs obligations religieuses.
Manifestement, beaucoup de musulmans orthodoxes s'emploient déjà à faire du prosélytisme. Les résultats sont évidents. Beaucoup de musulmans canadiens revendiquent avec véhémence des salles de prière, l’accommodement de la burka, des accommodements religieux au travail et l’adaptation des programmes des écoles publiques aux croyances et pratiques musulmanes. Ajoutons à cela l’attaque des islamistes contre la liberté d’expression, en particulier quand il s'agit de la critique de l'islam. L’ombre menaçante de la charia se profile derrière tout cela.
Le suffixe « phobe » est habituellement utilisé en chimie (aversion), en biologie (sensibilité réactive à un stimulus) mais surtout en psychologie et en psychopathologie (peur morbide, appréhension).
Nous avons assisté, ces dernières années, à son utilisation extensive à la vie sociale par des groupes de pression financés par des milliardaires (Bergé, Soros, etc.) et relayés par les médias et les politiques, pour désigner (stigmatiser dans les faits) des catégories d’opinion qui refusent ou critiquent le prosélytisme de ces normes.
Dans le même temps, cette oligarchie a œuvré à la création d’un arsenal juridique répressif destiné à contraindre au silence les groupes d’opinion visés.
C’est au nom de ce travail de psychiatrisation puis de criminalisation que l’on a cherché à tuer tout débat et à imposer, au corps social majoritaire, des mœurs, influences ou pratiques minoritaires.
Cette utilisation extensive d’un vocabulaire principalement psychiatrique au corps social et, simultanément, la criminalisation par la loi des opinions ainsi désignées pour en faire des délits est d’évidence liberticide et n’a qu’un seul objectif : tuer le débat pour imposer (user de la force) des normes à la société et, pour d’autres intérêts, de provoquer de la polémique, de la colère et de détourner l’attention de la population d’autres questions cruciales.
Il est de notre devoir de femmes et d’hommes libres de nous opposer à ces pratiques liberticides et de dénoncer les petits Iznogoud qui souffrent visiblement d’une peur phobique de la liberté de pensée et d’expression et qui veulent nous faire taire.
Laurent Ozon
Source : Polémia.
Crédit photo : A.Savin, via Wikipédia, (cc).
[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]
Dounia Bouzar fait marche arrière. Dans le Figaro elle affirme :
«Les gens ont peur d’être islamisés. Je les comprends»
Dounia Bouzar se dit aujourd’hui «en colère» contre Challenges dont elle accuse d’avoir tronqué ses propos. Elle a déclaré, vendredi 27 septembre, sur RTL qu’il s’agissant d’une «réflexion» et «pas du tout une proposition», allant même jusqu’à dire que c’est une «mauvaise idée».
Sans forcément supprimer deux célébrations chrétiennes du calendrier, le débat sur une éventuelle ajout de deux fêtes religieuses, musulmane et juive, parmi les jours fériés officiels, est tout de même relancé. saphirnews
INTERVIEW Nommée dimanche à l’observatoire de la laïcité par le Premier ministre, Dounia Bouzar, anthropologue spécialiste du fait religieux, estime que la France doit continuer à montrer l’exemple d’un État assumant son credo laïc.
Vous avez beaucoup écrit sur le problème de la laïcité dans le monde de l’entreprise. Jugez-vous que les employeurs doivent s’impliquer en la matière. Et si oui comment ?
Les employeurs doivent connaître les critères légaux qui permettent de gérer des revendications d’ordre religieux et notamment savoir réagir de façon adéquate quand cela engage le ‘travailler ensemble‘. Aujourd’hui le problème n’est pas lié à un vide juridique. Les lois existent, mais les managers ne les connaissent pas.
Et lorsqu’ils se retrouvent face à un ou plusieurs salariés qui mettent en avant leur religion, ils se retrouvent seuls et réagissent souvent en fonction de leur propre idéologie ou conviction. Dans l’état des lieux que j’ai été amené à réaliser en 2009 pour écrire « Allah a-t-il sa place dans l’entreprise« , j’ai pu constater que de nombreuses entreprises n’avaient pas de lignes cohérentes en la matière.
On pouvait observer tel type de réaction au 3e étage et une réaction diamétralement opposée au 5e d’un même siège social. Depuis, bien du chemin a été parcouru. J’ai travaillé sur ce sujet avec de nombreuses entreprises. D’abord des grandes comme Vinci, Total, L’Oréal…
Avec EDF, nous avons étudié la jurisprudence française et établi 6 critères permettant à un manager de dire « non ». Un guide a été publié et il a inspiré la RATP et La Poste.
Quels sont ces 6 critères ?
D’abord la demande religieuse du salarié ne doit pas perturber sa mission et ses aptitudes ainsi que l’intérêt commercial de l’entreprise. Elle ne doit pas non plus aller à l’encontre du respect des règles de sécurité et d’hygiène ni contrevenir à l’interdiction de toute forme de prosélytisme.
Concrètement qu’est-ce que cela signifie ?
Eh bien par exemple lorsque quelqu’un répond à une candidature pour être barman, il ne peut pas, ensuite, refuser de servir de l’alcool. De même qu’un cuisinier ne peut pas exiger de ne pas toucher de la viande de porc. Cela veut aussi dire qu’un manager doit savoir se montrer neutre dans ses relations aux autres.
Donc, dans ces conditions, une femme qui porte le foulard ne peut pas être cadre selon vous ?
Non, ce devoir de neutralité implique à un manager de ne porter aucun signe religieux. Sur la question du voile en tant que tel, les réponses varient en fonction des métiers. Si une musulmane travaille dans une banque et gère des dossiers, il n’y a pas de raison de lui interdire le port du voile, mais si elle est couturière elle prend des risques pour sa santé et si elle infirmière, elle en fait courir aux patients. L’application des 6 critères facilitent grandement l’analyse de chaque situation.
La question de l’intérêt commercial d’une entreprise n’est-elle pas compliquée à gérer quand des salariées exigent de pouvoir porter le voile ?
Il y a une jurisprudence en la matière. Ainsi un grand centre commercial avait voulu interdire le foulard a toutes ses caissières arguant de l’intérêt économique de l’entreprise. La justice a tranché : c’est à l’employeur d’apporter la preuve d’un préjudice commercial. A défaut il n’a pas le droit d’interdire.
Autre cas, une femme s’était faite embauchée par un magasin vendant des dessous féminins et vêtements branchés. Au début elle venait avec un bandana puis elle a fini par adopter le look « bonne sœur ». Elle a été licenciée et cette décision a été jugée légitime car cela impactait l’intérêt économique du magasin.
La question du hallal dans la restauration collective est-elle un sujet qui doit être débattu ?
Non. Dans les restaurants d’entreprises il y a toujours du poisson ou des œufs. Mais quand les salariés demandent qu’un panneau indique la présence de porc ou d’alcool dans les plats, je pense que la réponse la mieux adaptée est d’indiquer des informations sur la composition des plats qui ne se limitent pas aux interdits religieux.
Ainsi une personne allergique aux arachides sera satisfaite de pouvoir éviter un plat qui en comporte. Si chacun tire parti de ces informations, on évite un débat autour de la question de la liberté religieuse et, donc, du communautarisme. Il en va de même pour la gestion du temps de travail pendant le ramadan.
Quand un manager accorde à un salarié d’arriver plus tard ou de partir plus tôt pour qu’il puisse mieux gérer son jeûne, il risque de frustrer la mère de famille qui élève seule ses enfants et aimerait elle aussi bénéficier de telles facilités. Mieux vaut donc instaurer des facilités qui profitent à tous. On peut par exemple avoir des horaires fixes sur 32 heures et 3 heures de plages variables. Ainsi chacun y trouve son compte.
Un État laïc comme la France peut-il continuer à prendre en compte les fêtes catholiques en négligeant celles des juifs ou des musulmans ?
Je pense que la France a montré l’exemple de la laïcité au monde en instaurant la première la liberté de conscience, d’avoir la religion de son choix ou de ne pas croire en dieu. Elle doit donc continuer à montrer la voie. Aujourd’hui tous les Français fêtent Noël et je pense qu’il faudrait également qu’un de nos jours fériés soit celui d’une fête juive et d’une fête musulmane.
Deux jours en plus ?
Non, on doit remplacer deux fêtes chrétiennes par Yom Kippour et l’Aïd. Le clergé y a longtemps été opposé mais il a évolué et n’y est plus hostile car il y a beaucoup de fêtes chrétiennes.
Qu’une fête juive et une fête musulmane devienne une fête pour tous les Français permettrait de combattre le communautarisme et de faire avancer la cause de la laïcité.
Aujourd’hui, les français de confession juive ou musulmane sont très mal à l’aise quand ils demandent un jour de congés pour célébrer ces deux fêtes très importantes. On peut le leur refuser pour nécessité de service. J’espère bien pouvoir aborder ce sujet à l’observatoire.
La salle a ouvert le 9 septembre, dans une rue passante du Raincy (Seine-Saint-Denis) – à quelques mètres de Livry-Gargan. Au programme d’Orty Gym, ce nouveau club de sport « réservé uniquement pour femmes », comme disent site Internet et flyers, « fitness, musculation, cours collectifs (de zumba, salsa, hip-hop, danse orientale), renforcement, tonification »…
Deux cents mètres carrés tout frais repeints où l’on trouve cabine d’esthétique (épilation, massage, gommage, etc.), appareils cardio, douches individuelles… « L’aquabiking sera installé en octobre », explique derrière le comptoir du salon d’accueil rose et orange une jeune hôtesse portant hidjab à deux sexagénaires bien comme il faut.
Pas certain que les abonnées de ce nouveau club de sport pourront tenter d’effacer cellulite et peau d’orange en pédalant dans l’eau. Le maire (UMP) de la ville, Eric Raoult, entend en effet faire fermer l’établissement au plus tôt. Motifs avancés ? Une « sécurité incendie » déficiente, argue l’ancien député de Seine-Saint-Denis, et… l’absence de parking.
Depuis que, au début de l’été, il a lu sur le site islamo-communautaire Oumzaza la promesse que cette salle fermée le vendredi de 12 à 15 heures « pour permettre à l’équipe d’assister au jumu’a », la prière hebdomadaire, « abritera bien entendu une salle de prière », le maire assure malgré les apparences qu’Orty Gym est un « commerce sportif religieux ».
« LE PROBLÈME DE MONSIEUR LE MAIRE AVEC LES MUSULMANS »
« Oumzaza n’a rien à voir avec nous », rétorquent la gérante du nouvel établissement, Lynda Ellabou, une musulmane voilée, et son compagnon, Rachid Belhadef, qui a imaginé le projet. « Nous leur avons d’ailleurs demandé de retirer immédiatement ce commentaire. On a assez d’ennuis comme ça… » Capture d’écran à l’appui, l’ancien rapporteur de la loi sur le voile reste pourtant persuadé qu’on tente « de détourner un dossier d’urbanisme sous de fallacieuses raisons pseudo-religieuses », vient-il d’écrire au sous-préfet du Raincy. Déjà que la devanture en verre dépoli du club lui « faisait penser aux enseignes obturées de Dubaï et du Qatar »…
« La laïcité à la française n’a pas davantage anticipé le développement du hallal que des salles de sport, qui sont des activités privées comme les restaurants.(…)
Le Monde, merci à Alexandre LeGrix
site d’Orty gym.
une salle de sport exclusivement reservée aux femmes
Soit un espace de 200 m2 dédié à votre forme et votre bien-être.
Au fur et à mesure de l’évolution et de la mise à jour du site,
Vous y découvrirez la présentation de l’équipe,
le planning des cours proposés, les salles, le matériel et les équipements dont nous disposons
et quelques photos d’Orty gym.
Vous pouvez d’ores et deja nous contacter pour plus de renseignements au 06 16 84 36 19
ou au 06 95 44 45 30.
Attention: le site étant en cours de construction, toutes les informations ne sont pas à jour.
Merci de votre compréhension, baaraka Allahu fikoum
Incroyable ! On aurait pu comprendre cette condamnation en Iran. Mais au Danemark ?
Sur le site de Firoozeh Bazrafkan:
________________________
Firoozeh Bazrafkan a été trouvée coupable de racisme pour avoir écrit sur son blogue que les hommes musulmans utilisent l’islam pour justifier la violence envers les femmes.
Une artiste danoise d’origine iranienne a été reconnue coupable de racisme par la Haute Cour lundi pour ses commentaires sur les hommes musulmans. Elle a été condamnée à verser une amende de 5000 couronnes ou à passer cinq jours en prison.
Firoozeh Bazrafkan a été accusée de racisme après avoir écrit sur son blogue publié sur le site du journalJyllands-Posten en décembre 2011, qu'elle était «convaincue que des hommes musulmans, partout dans le monde, violent leurs filles, abusent d’elles et les tuent.»
Elle a ajouté: «En tant que Danoise née en Iran, j’estime que cela découle d’une culture déficiente et inhumaine, à supposer même qu’il s’agisse d’une culture. On peut toutefois affirmer qu’il s’agit d’une religion déficiente et inhumaine dont le livre saint, le coran, est plus immoral, déplorable et dingue que ceux des deux autres grandes religions combinées.»
«La Cour a conclu que mes commentaires sur les hommes musulmans étaient condescendants et constituaient une généralisation, a déclaré Bazrafkan au Copenhagen Post. «C’est injuste, car beaucoup de préceptes islamiques sont utilisés par les hommes musulmans pour justifier leurs gestes contre les femmes et les enfants.»
Elle a fait valoir qu’elle n’accusait pas tous les hommes musulmans d’utiliser les préceptes islamiques pour justifier des actes horribles envers les femmes, mais que la violence envers les femmes et les enfants était souvent justifiée en invoquant l’islam.
Bazrafkan a dit qu’elle préférait passer du temps en prison plutôt que de payer l'amende, et qu'elle était prête à porter la cause devant la Cour suprême.
Source : Danish-Iranian artist convicted of racism, Copenhagen Post, 18 septembre 2013. Extrait traduit par Poste de veille
Pendant que les musulmans du Québec manifestent contre l'interdiction du foulard pour les fonctionnaires, les chrétiens du Pakistan manifestent pour être protégés contre les attentats suicides des fous d'allah...
Des chrétiens ont manifesté lundi dans différentes villes du Pakistan après le double attentat suicide devant l’église de tous les Saints de Peshawar qui a fait au moins 81 morts et 120 blessés, et a été revendiqué par une faction du Mouvement des talibans pakistanais.
24/09/2013 – 19h20
BERNE (NOVOpress) - Selon la presse helvétique, l’interdiction de la burqa pourrait se propager en Suisse. En effet, Le succès de la votation dans le canton du Tessin visant à interdire le port de la burqa laisse présager une vague d’initiatives dans les autres cantons de la Confédération. Ainsi, “le succès dans les urnes donne des idées à certains membres de l’Union Démocratique du Centre (UDC) et au Comité d’Egerkingen qui avait déposé en juillet 2008 l’initiative contre la construction de minarets. Le conseiller national UDC Lukas Reimann se dit convaincu dans 20 Minuten qu’une interdiction du voile intégral aurait de fortes chances en Suisse.”
24/09/2013 – 08h00
BERNE (NOVOpress) - Les défaites se suivent et se ressemblent en Suisse pour le GSSA (Groupe pour une Suisse sans armée). Ce groupe fondé en 1982, par Josef Lang, un trostkiste zougois, à l’origine en 1973 de la création de la Ligue marxiste révolutionnaire, a en 30 ans déposé deux initiatives pour la suppression de l’armée suisse et une contre l’obligation de servir.
Conscient, après ses deux premières défaites, que demander la suppression pure et simple de l’armée suisse était voué à l’échec, le GSSA a cru pouvoir obtenir un meilleur score en demandant l’abrogation du service militaire obligatoire. Mal lui en a pris, puisque c’est un score de même ampleur, environ 75% des voix, qui a accueilli ce repli stratégique.
Autre votation qui a eu un échos international, l’interdiction à une large majorité de la burqa par les électeurs du Tessin (Suisse italienne). La campagne s’est fortement concentrée sur la thématique de la burqa plutôt que sur l’interdiction de se masquer le visage dans lieux publics qui était le sujet exact de la votation. Un contre-projet visant à faire entrer cette interdiction dans la loi plutôt que dans la constitution n’a pas passé la rampe. Signes que ce sujet exprimait un fort rejet du port du voile dans les rues tessinoises et plus largement le refus d’imposition de normes islamiques en Suisse. Le Tessin s’était également illustré lors des votations sur l’interdiction des minarets par un fort soutien à celle-ci.
Crédit photo : Steve Evans via Flickr (cc)
[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]
A la chaussée de Haecht, une école maternelle et primaire, la “Vertu” d’inspiration islamique a commencé ses activités ce premier septembre.
Bien sûr, la liberté d’enseignement fut une des libertés essentielles imaginées à l’indépendance par notre gouvernement provisoire. A l’époque elle visait elle concernait surtout l’enseignement catholique qui, rappelons le, a ces 40 dernières années toujours été ouvert aux élèves de confession mahométane.
La directrice de la nouvelle école islamique, la belge convertie Aïcha Cappelmans justifie justement la création de cette école parce que des enfants, musulmans, seraient mal à l’aise dans le écoles existantes. Tout cela est très curieux vu justement le fait que tant l’enseignement libre n’a jamais été fermé aux élèves de confession musulmane que l’enseignement officiel organise des cours de religion islamique pour ceux qui le souhaitent.
En réalité, comme pour d’autres libertés publiques imaginées en 1830, l’Islam militant et de plus en plus présent de manière revendicative va maintenant dès 6 ans s’emparer de l’âme des enfants de famille musulmane. Plutôt que de s’intégrer dans des écoles où ils se côtoyaient des enfants d’autres religions, on vise à créer, disons le des écoles ethniques.
C’est donc un apartheid à rebours que l’on crée. On nous objectera que les catholiques avaient leur propre réseau. Mais historiquement, ce n’est pas la même chose. Les catholiques belges n’étaient pas issus de l’immigration. Ils n’avaient aucun particularisme ethnico-religieux à faire valoir.
Ici, la situation est tout autre. On profite des libertés publiques reconnues par la constitution pour faire prévaloir des spécificités ethnico-religieuses alors que des enfants devraient justement s’assimiler dans la culture de leur pays d’accueil. On ne peut que trouver regrettable cette initiative qui marginalisera encore plus des petits enfants qui n’avaient pas besoin de ségrégation, dont certains déjà souffrent.
Petit à petit l’Islam grignote de l’espace pour prôner des valeurs qui ne sont pas en adéquation ni avec les traditions, ni avec les moeurs, ni avec les coutumes en vigueur dans ce pays. En réalité, la création d’écoles islamiques amènera à l’émergence d’une société parallèle avec ses propres règles, ses propres valeurs, son propre mode de vie. C’est à terme dangereux et liberticide. Et cela se déploie en usant et abusant de nos libertés publiques, en poussant jusqu’au bout notre logique de tolérance. C’est proprement suicidaire et Il faut réagir.
Hier encore, mon esprit fut tourmenté à la vue, dans le métro de petites filles d’à peine six ans déjà voilées, déjà façonnées par un obscurantisme où leurs mères leur inculquent la soumission dès le plus jeune âge.
Combien de temps encore nos hommes politiques tolèreront que des groupes conditionnent eux-mêmes leurs enfants à être des citoyens de seconde zone. C’est choquant vu notre conception de la citoyenneté et du vivre ensemble.
A quand des madrasas en Belgique si nous laissons faire ?
S’emparer de l’enseignement c’est s’emparer de l’âme de l’enfant. C’est le nouveau combat de l’Islam militant.
ABRAHAM L.
en France, 45 000 enfants fréquentent une école coranique, où une fille sur
deux porte le foulard. On y récite le coran, et on apprend les « bons
comportements » et les « relations humaines » selon les paroles et les faits du
prophète de l’islam, Mohammed. liens des articles ci-dessous.
http://www.citoyens-et-francais.fr/article-france-des-ecoles-coraniques-pour-le-jihad-enquete-113895807.html
http://www.youtube.com/watch?v=2wdUp3f-ISQ
Selon le ministre de l’Intérieur Lofti ben Jeddou, des Tunisiennes sont parties en Syrie pour faire « le jihad du sexe » et y assouvir les besoins sexuels des combattants islamistes. [...]
A la tribune de l’Assemblée nationale constituante (ANC), le ministre a donné plus de détails sur l’engagement de ces femmes dans la Syrie en proie à une guerre civile :
« Elles ont des relations sexuelles avec 20, 30, 100″ jihadistes, a-t-il déclaré, sans préciser si ces chiffres correspondaient à des actes quotidiens.
« Après ces rapports sexuels qu’elles ont au nom du jihad al-nikah (« la guerre sainte du sexe », ndlr), elles reviennent enceintes« , a-t-il ajouté, sans dire non plus combien de Tunisiennes étaient rentrées de Syrie dans cet état et dans quelles conditions elles avaient été prises en charge.
Le jihad al-nikah, permettant des rapports sexuels hors mariage avec des partenaires multiples, est considéré par certains dignitaires salafistes comme une forme légitime de guerre sainte. [...]
La République est laïque. La Nation confie à l’École la mission de faire partager aux élèves les valeurs de la République. L’intitulé est déjà faux. La nation confie à l’école la mission d’instruire pas de faire partager des valeurs, fussent-elles républicaines ou monarchistes. Je me propose d’apporter une Réfutation argumentée à chacun des articles de cette charte.
*réfutation d'une quinzaines d'articles sur la laïcité
Refutatio : La première des faussetés est la suivante La France est une République, Non, la France n’EST pas une République, Elle est une confédération de nations européennes et catholiques anciennement organisée comme royaume sous l’autorité d’un roi. Ces nations unies par l’histoire, les liens du mariage ou l’héritage appartenaient à des familles puissantes et respectées. C’est dans ce sens qu’elles se retrouvèrent au champ de mars lors de la Fête de la fédérationpour prêter serment de rester indivisiblement liée dans une communauté de destin sous l’œil du Roi. L’assassinat du Roi délia donc les nations (bretonne, basque, alsacienne, bourguignonne etc.) du serment d’indivisibilité comme l’atteste la révolte vendéenne.
La République n’est donc qu’un régime, un mode d’organisation et de partage des responsabilités du pouvoir qui s’est imposé par le sang et le crime aux nations européennes catholiques fédérées qui constituaient le royaume de France.
C’est donc le régime qui est laïc, démocratique et sociale et pas la France qui est européenne de tradition catholique.
Refutatio : « Il n’y a pas de religion d’Etat », il faut dire que cette affirmation souffre d’une contradiction avec le réel. La laïcité s’est établie en France en religion civile visant à remplacer le catholicisme. Sommes nous donc dans un régime de séparation ou de liberté religieuse ? Peillon est flou sur le sujet mais ses déclarations montrent bien que son objectif est le même que celui de Gambetta : Le cléricalisme voici l’ennemi !
Refutatio : comment une religion civile qui par des ordonnances obligatoires comme celle sur le mariage civile avant tous mariage religieux sous peine d’amende et de prison peut-elle se prévaloir de garantir la liberté de conscience ? Comment un principe aussi sectaire que la laïcité, aveugle face au culte sauf le sien propre c’est-à-dire celui de l’Etat peut-il se prévaloir d’assurer la libre expression de ses convictions ? L’absence totale et générale de condamnation officielle des propos et actes cathophobes le montre bien, l’agenda de la laïcité n’a pas changé, détruire le catholicisme français.
Refutatio : Cet article mérite le prix Langue de bois de Diamant. La laïcité ici montre son caractère dogmatique et totalitaire. On ne peut être citoyen que par la laïcité. Le religieux est ainsi extra-citoyen ou même mieux, un mauvais citoyen. De plus, il est enfermé dans une égalité sèche et une fraternité obligatoire.
Refutatio : Visiblement le règne des caïds et l’islamisation n’existent pas.
Refutatio : Nous retrouvons ici le mythe promethéen de l’individu libre sans racine, sans nation, libéré (arraché) des déterminismes familiaux, cher à Vincent Peillon. La Laïcité est bien ici une religion civile totalitaire car obligatoire visant à apprendre une certaine citoyenneté. La citoyenneté Peillonniste c’est celle du bouffeur de curé, athée et « humaniste » mais dans un « humanisme » universalisant qui sacrifie volontiers à l’Homme général, les hommes particuliers. Si elle protège de tout prosélytisme et de toute pression, elle en institue un autre de prosélytisme et une autre de pression : celui d’un vide spirituel qui livre l’Homme à la bête humaine. Un vide relativiste qui dé-civilisationnise l’être, le désincarne. C’est la Fabrique à Robot que dénonçait déjà Bernanos. Des individus sans aucune référence extérieure au système laïque, une jeunesse Peilloniste incapable de dire non à l’Etat.
Refutatio : Cet Article confirme la Refutatio de l’article 6. Comment donc la laïcité peut elle à la fois protéger du prosélytisme et de la pression (pression constitutive du groupe humain) et ici subitement assurer un accès à un commun partagé ? Le commun partagé implique une communion donc une pression et un prosélytisme laïque. Le danger apparait clairement, une culture commune oui mais quelle culture ? et qui décide ? et comment cela se décide ? Un outil si puissant dans la main d’un regime politique devrait faire trembler de peur tous les amis du genre humain. Zemmour parle même de machine à propagande, nous disons machine à rééducation des masses récalcitrantes
Refutatio : Cet article est battu en brèche par lui-même « dans la limite du bon fonctionnement de l’Ecole comme du respect … ». L’expression contestataire de réfutation du système laïque est exclue du débat. Il n’est donc pas permit le « blasphème » contre la laïcité car source de conflit et de trouble… Le conflit c’est la vie, la laïcité est donc un culte morbide du débat aseptisé et convenu. Il n’y a pas de beau, de vrai, de bon, de juste atteignable ni souhaitable, un pluralisme de façade permet de contenir la contestation réelle jusqu’à ce faire supplanter par une vérité révélée ubiquitaire dans le cas présent l’islam.
Refutatio : Discriminer c’est civiliser. Le dogme laïc vise à empêcher la réémergence d’une aristocratie c’est-à-dire une distinction par le sang et le lignage. Il échoue dans le réel alors sa prédation veut atteindre l’inconscient collectif pour le déstructurer. Les filles ne seraient pas vraiment des filles, il n’y aurait aucune différence entre européen et non européen, aucune culture, aucune tradition, aucune hiérarchie et enfin aucune autorité car l’autorité se fonde sur la hiérarchie et l’exercice juste de la violence légitime.
Alors sans « discrimination » et sans violence, le corps social cesse de faire peuple et devient une foule… et Dieu sait combien la foule est sauvage, stupide et influençable !
Le respect suppose des limites, la compréhension des différences, la laïcité parce qu’elle les abolit introduit donc l’hyper-violence mimétique et l’incompréhension : c’est l’ensauvagement du monde.
Refutatio : L’enseignant n’est pas un prêtre qui puisse transmettre un sens et une valeur ! Il n’est pas un évangéliste de la laïcité non plus ! L’abus de pouvoir est manifeste, on ne se borne plus à l’instruction mais nous sommes bien dans une entreprise « proselyte » pourtant condamnée par l’article 6 de la charte elle-même !
L’ancien Président de dire dans sons discours de Latran : Dans la transmission des valeurs et dans l’apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l’instituteur ne pourra jamais remplacer le curé ou le pasteur, même s’il est important qu’il s’en approche, parce qu’il lui manquera toujours la radicalité du sacrifice de sa vie et le charisme d’un engagement porté par l’espérance.
Refutatio : Nathalie Arthaud professeur d’économie, Marie-Christine Lemardeley la présidente d’université etc. Si la non manifestation des convictions politiques et religieuses s’étendaient aussi au socialisme et à l’athéïsme scientiste, cet article aurait eu un sens. Il n’y a de neutralité que virtuelle et anticléricale. Les convictions c’est ce qui nous fait agir, c’est l’essence de notre force vitale dirait Jung.. Dans une conférence prononcée à Vienne en 1931, Jung déclarait : « La conviction moderne de la primauté du physique conduit en dernière analyse à une psychologie sans âme, c’est-à-dire à une psychologie où le psychique ne saurait être autre chose qu’un effet biochimique ». C’est contre ce réductionnisme que nous sommes entrés en rébellion. Il n’y a pas d’un côté l’homme privé avec ses convictions et de l’autre l’homme publique neutre. La grille de lecture de son action publique est intimement liée à sa rectitude privée ! C’est cela le grand enseignement médiévale de l’imitatio christi que nous oublions trop souvent.
Refutatio : Les enseignements ne sont donc plus scientifiques ou logique mais laïques. La laïcité est donc ce dogme aseptisé, convenu qui ne suscite enfin que bâillement et mépris. Que faire alors si la scientificité d’un enseignement contrevenait à son caractère laïc ? Si par la science la plus récente il était prouver que la démocratie par exemple ne marchait pas ou que l’égalité était nocive et que la fraternité ne se décrétait pas ? Enfin, il dit qu’aucun sujet n’est a priori exclu du questionnement scientifique et pédagogique mais c’est faux car l’enseignement de la théologie est exclu du questionnement scientifique et pédagogique. Le discours sur Dieu, la meilleure façon de le chercher ou de lui rendre un culte ou même une perspective épistémologique du phénomène religieux est exclue.
L’ostracisme sur ce sujet règne car il est le seul à proposer une perspective extérieure au totalitarisme laïc.
Enfin, cet article est en contradiction avec l’article 3 sur la liberté de conscience qui doit normalement inclure le refus de participer au mensonge
Refutatio : Cet article signe la vision de la laïcité pour Peillon qui n’est plus la liberté du culte mais le combat contre les cultes. Aucune extériorité n’est tolérer, il faut plier ou périr. La question sous-jacente reste la suivante, qui définit les règles dans les écoles ? sur quelles bases il les définit ? Quelles convictions le motivent lors de la rédaction de ses règles ? Encore une fois, le totalitarisme montre son visage. Le juif de la laïcité s’appelle le sentiment religieux
Refutatio : La liberté d’aller-venir et surtout l’intégrité du corps sont niés par cet article. De plus, par sa formulation est ostensiblement xénophobe (habilité Peilloniste pour avoir l’adhésion des masses qui rejettent de plus en plus l’islamisation) car les signes ou tenues catholiques sont des vêtements culturellement communs dans l’espace social français. Cette haine du musulman est le sucre par lequel Peillon obtient l’adhésion inavouable des autochtones et des phalanges anti-théïstes d’extrême gauche
Refutatio : Les jeunesses Peillonnistes sentinelles de la laïcité au sein de leur établissement, par leurs réflexions et leurs activités seront un jour amenées au non de cet article 15 à dénoncer le crucifix ou même le propos « ostensiblement religieux ». Il faut craindre que cet entrainement à la dénonciation ne finisse un jour une fois de plus en Marche funèbre.
Non, les élèves ne contribuent à rien, ils viennent s’instruire et c’est déjà assez difficile !
Voilà, la charte de Peillon est aussi une réponse d’un idéologue fou au discours de latran de Sarkozy qui disait :
La laïcité n’a pas le pouvoir de couper la France de ses racines chrétiennes. Elle a tenté de le faire. Elle n’aurait pas dû. Comme Benoît XVI, je considère qu’une nation qui ignore l’héritage éthique, spirituel, religieux de son histoire commet un crime contre sa culture, contre ce mélange d’histoire, de patrimoine, d’art et de traditions populaires, qui imprègne si profondément notre manière de vivre et de penser. Arracher la racine, c’est perdre la signification, c’est affaiblir le ciment de l’identité nationale, c’est dessécher davantage encore les rapports sociaux qui ont tant besoin de symboles de mémoire.
Peillon commet un crime contre la culture française, ce crime est constitutif de sa vision de la France, et comme criminel sa place est en prison loin de nos enfants.