19 juillet 2012
02:56
Edris Attoumani est mort criblé de balles à quelques pas de la cité Consolat où il résidait, dans les quartiers nord. Il serait l’une des victimes collatérales de la guerre des caïds pour le contrôle du trafic de cannabis. Comment vit-on dans ces cités où les règlements de compte se font désormais à l’arme de guerre ? Sept à Huit est allé à la rencontre des familles de victimes et des habitants, qui livrent leur désarroi et leur sentiment d’abandon.
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Trafic de drogue : près de 50 000 euros par jour pour cette seule cité.
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Soit on travaille pendant 40 ans pour la France et on se retrouve à 60 ans à la retraite pour rien, on a rien vécu, soit on fait des sous et on part d’ici et tant mieux pour nous.
Karim
Karim
Sept à Huit, 15 juillet 2012.
CITOYENS ET FRANCAIS
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Société