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1 août 2012 01:50

Plan d'Alep : en brun, les zones tenues par les insurgés

Les États-Unis partagent la position de la Russie qui s’efforce de prévenir la chute de l’État syrien et ne soutiennent aucune partie au conflit, a annoncé vendredi l’ambassadeur américain à Moscou Michael McFaul dans une interview au quotidien en ligne Gazeta.ru.

Selon lui, les États-Unis sont partisans d’une « évolution pacifique susceptible de faire apparaître de nouvelles institutions politiques répondant aux aspirations des gens ».

C’est ce qui ressort d’une information parue sur le site francophone de l’agence russe RIA Novosti, alors que les combats font rage au nord du pays, à Alep, où l’armée régulière a lancé depuis 48 heures une contre-offensive contre les groupes armés composés majoritairement de jihadistes étrangers soutenus en sous-main par la Turquie voisine.

Les États-Unis partagent la position de la Russie qui s’efforce de prévenir la chute de l’État syrien et ne soutiennent aucune partie au conflit, a annoncé vendredi l’ambassadeur américain à Moscou Michael McFaul dans une interview au quotidien en ligne Gazeta.ru. « En réalité, nous ne soutenons aucun groupe impliqué dans le conflit syrien. Nous ne sommes pas hostiles aux Syriens qui soutiennent el-Assad. Ce n’est pas notre combat. Nous plaidons pour les négociations », a déclaré l’ambassadeur.

Selon lui, les États-Unis sont partisans d’une « évolution pacifique susceptible de faire apparaître de nouvelles institutions politiques répondant aux aspirations des gens ». « En Égypte, en Tunisie et en Syrie, nous soutenons les règles du jeu et non les vainqueurs et les vaincus. Nous ne cherchons pas à déstabiliser la Syrie. Nous ne voulons pas la chute de l’État syrien. Nous l’avons vu en Irak, en Somalie et dans d’autres pays. Nous partageons l’objectif du gouvernement russe : prévenir la désintégration de l’État syrien », a souligné le diplomate.

Une prise de distance avec les bandes armées composées en partie de jihadistes qui mériterait confirmation.

Sur place, les combats font rage dans les quartiers périphériques du centre-ville d’Alep (voir carte) où la population est prise en otage par les forces armées insurrectionnelles harcelées par les unités gouvernementales appuyées par des chars lourds, des transports de troupe BMP-1, de l’artillerie lourde (BM-21, 130 mm, 2S1…), des avions d’attaque au sol (L-39Z Albatros…) et des hélicoptères d’assaut Mi-25 et Mi-8. Une population qui est bien loin de soutenir unanimement l’Armée syrienne libre, forte de plusieurs milliers d’hommes et bien retranchée dans cette zone fortement urbanisée,comme en témoignait dernièrement un habitant d’Alep joint par France Info.

 

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