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26 mars 2013 01:12
affiche-boutin_theorie du genre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des députés UMP ont demandé la création d’une commission d’enquête sur la diffusion de la théorie du genre dans les crèches, révoltés par la visite de la ministre Najat Belkacem dans une crèche qui refuse de faire toute différence entre les fille et les garçons. Retour sur la folie progressiste gouvernementale et sur l’idéologie qui se cache derrière le mariage pour tous…

La théorie du genre, concept idiot selon lequel les différences de genre ne seraient pas biologiques mais sociales (comme si le zizi poussait à cause des chambres bleues des garçons), est une aberration lancée aux États-Unis par quelques activistes homos afin de diffuser leur idéologie par la manipulation.

Cette vision de l’altérité homme/femme a évidement, depuis sa création, été rejetée par tout ce que le monde compte de scientifiques, biologistes, psychologues, psychiatres, et tous ceux qui ne sont pas aveuglés par leur bêtise.

Pourtant, en France, cette idéologie nauséabonde imposée par le lobby homo via le Parti socialiste grâce à la lâcheté de l’UMP, gagne du terrain. En 2010, Science Po Paris lançait un enseignement obligatoire de la théorie du genre.

 

A l’époque, l’institut était encore dirigé par le fameux Descoings. Connaissant les mœurs de l’homme, on comprend mieux… A la rentrée 2011, des manuels scolaires de SVT (biologie) de classe de première consacraient un chapitre à cette théorie absurde (on comprend également, étant donné que l’Education nationale est devenue l’organisme de propagande de la pensée libérale libertaire). Récemment, une députée socialiste a même proposé de remplacer le nom des maternités, terme « genré », qui rappelle trop que ce sont les femmes qui portent les enfants (quelle misogynie de la part de dame nature!). Enfin la loi sur le mariage pour tous va imposer le remplacement, dans le code civil, de nombreuses allusions aux père et à la mère, par les termes neutres parent 1 et parent 2.

Dernière folie en cours, une crèche de l’indifférenciation, où l’on oblige les petits garçons à jouer avec des poupées et les petites filles avec des soldats. Devant un concept aussi crétin, Najat Vallaud-Belkacem, ministre pour le Droit des femmes, ne pouvait que s’extasier. Elle a donc visité le premier centre expérimental français sur les enfants, en compagnie de la ministre déléguée chargée de la Famille Dominique Bertinotti.

A Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis, la crèche Bourdarias sert donc aux idéologies socialistes, de centre d’expérimentation sur les cobayes d’enfants humains. Le seul objectif de cet endroit est de lutter contre les « clichés » et de renier l’altérité sexuelle. Ce centre de la folie propose depuis 2009 une pédagogie « égalitaire », comme l’explique la directrice du lieu, Marie-Françoise Bellamy, qui considère que « tant que l’on considérera les petites filles comme des princesses sensibles et les petits garçons comme des chevaliers courageux, on reproduira les inégalités femmes-hommes ».

Les journalistes du Figaro sont allés visiter cet endroit, voici comment ils racontent une séance pédagogique :

« Un dessin animé est projeté aux  enfants, des fantômes surgissent : les garçons tapent contre l’écran ; les filles se regroupent. Autre terrain d’étude, une balançoire à trois places : deux gars déjà assis préfèrent accueillir un troisième garçon ; deux filles se laissent aussi convaincre par le « sexe fort »… « Les enfants reproduisent dès le plus jeune âge les attentes et les représentations de la société », dit Haude Constantin, la directrice adjointe. L’équipe de la crèche constitue alors des ateliers mixtes et non mixtes. A l’issue de la projection de fantômes, par exemple, les garçons sont invités à exprimer leurs sentiments, à dire pourquoi ils sont allés toucher l’écran ; dans une autre pièce, les filles sont encouragées à surmonter leurs peurs. »

Autre immersion dans le déni de réalité et dans le Meilleur des Mondes, avec, cette fois, les journalistes de Elle qui raconte également leur visite dans cette même crèche :

« En Converse roses et chemise de bûcheron, Darius, 2 ans, savonne méticuleusement un poupon en plastique dans une baignoire d’enfant. À quelques mètres, des petites filles jouent avec des voitures. Bienvenue à la crèche Bourdarias, à Saint-Ouen. [...] « On encourage les filles à manier le marteau à l’atelier bricolage, et les garçons à s’exprimer à l’atelier émotions », explique David, un des éducateurs. Dans la bibliothèque, les histoires pour la sieste s’intitulent par exemple : Le Papa qui avait dix enfants. »

On voit bien que l’idée est de gommer toute les différences, rendre les fille plus garçon et les garçons plus fille. Mais pourquoi donc ne pas encourager, ou du moins cultiver, cette différence si fondamentale, cette altérité si sublime qu’elle seule peut donner la vie, au lieu de la brider ? Je croyais que la gôche française trouvait la différence formidable et la considérait comme une richesse… Pourquoi vouloir l’éliminer ?

On constate également sans surprise que les gosses qui ne sont pas encore idéologisés passe leur temps à  prouver par l’exemple que les idéologues de la théorie du genre n’ont rien compris. Face à la réalité, ces « pédagogues » semblables à des savants fous, mettent tout en œuvre pour tordre la réalité et lui faire ressembler à leur vision fantasmée de la société.

Finir de tuer tous les repaires, faire de nos gosses des psychopathes : telles semblent être les missions de notre bon gouvernement qui n’hésite plus à prôner haut et fort la théorie du genre. Ainsi, Dominique Bertinotti a annoncé vouloir diffuser un maximum le concept des crèches indifférenciées et de réformer la formation professionnelle de la petite enfance afin de faire rentrer dans les cerveaux qu’il est mal de faire la différence entre un homme et une femme. « Cette démarche doit devenir un réflexe naturel dans l’ensemble des crèches », a-t-elle précisé.

« C’était mon premier projet en arrivant à ce ministère », s’est vantée une Najat Vallaud-Belkacem qui n’en rate pas une.

Il convient également de savoir que la Ligue de l’enseignement déploie depuis 2011, un programme dans 1 400 écoles parisiennes auprès de 35 000 enfants de CP et de CE1 baptisé « Filles et garçons : cassons les clichés ». L’instrumentalisation et les expériences sur les cerveaux de nos enfants ont donc déjà commencé.

Aucun auteur de roman de science fiction n’aurait osé proposer un tel scénario, tant cette « évolution » de notre société semble invraisemblable. Pourtant, nous sommes en plein dedans !

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société