Un vote à l’unanimité du Conseil Municipal de Paris (y compris les voix de l’UMP) a demandé au président Hollande de reconnaître comme crime d’état le massacre d’Algériens le 8 mai 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata et décide un rassemblement sur le parvis de l’Hôtel de ville et devant toutes les mairies de France, ce 8 mai 2015 « Car le geste symbolique du Secrétaire d’Etat chargé des Anciens et Combattents, J.M. Todeschini, à Sétif, demeure très en-deça de ces revendications »
Justement, à l’origine de ces revendications une pétition, mis en ligne le 22 mars 2015 par l’association « Les Oranges » qui estime que : « ces crimes contre l’humanité ne sont pas reconnus et qu’une telle situation est inacceptable car elle ajoute à ces massacres l’outrage aux victimes, à leurs descendants et à leurs proches »
** « Amputer notre histoire commune par l’occultation de ce crime d’état est une négation du combat contre le colonialisme »