Plusieurs articles font état d'une soi-disante opposition du président français et de son premier ministre à la volonté de la commission européenne d'imposer des quotas de réfugiés aux différents pays de l'UE.
"La France soutient notre proposition. Nous avons parlé avec le gouvernement français mardi, après les déclarations de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve, et il nous a répété qu’il était d’accord avec notre mécanisme contraignant de relocalisation des demandeurs d’asile afin de répartir l’effort entre les 28 États membres (...)
C’est manifestement le mot « quota » qui pose problème alors même qu’il ne figure pas dans nos propositions.
Il y a aussi une confusion avec l’immigration de travail"
Dès le début, le Salon Beige avait signalé que cette idée de "quotas" était une initiative...française.