Il n’y a pas plus français que ceux qui ont l’amour de la France en eux. Un juif, un protestant, un laïque, un ex-musulman qui a fait le choix de la France, un agnostique, un athée, un bouddhiste, n’est pas moins français qu’un « souchien ».
Nous devons nous inquiéter du péril intérieur qui guette et des nuages sombres à l’horizon.
Quand on a l’amour de la France en soi, jaloux de son histoire et ses valeurs tant enviées dans le monde, on n’a pas besoin de se soumettre à l’islam pour épouser une musulmane, ni devenir musulmane pour plaire à son conjoint musulman.
Qui bafoue l’honneur de la France et crache sur ses racines, est-ce l’islam ou ces décérébrés qui n’ont que faire de la France ?
Qui, une fois qu’il devient musulman, prend les armes contre son propre pays et appelle à son anéantissement ?
...
La France n’est pas une race c’est des valeurs et une culture qui a rayonne sur le monde. Elle a enfanté Voltaire comme elle a enfanté Senghor qui était un monument de la langue française, un amoureux de la France, de son histoire qui avait choisi d’être enterré en France. Etait-il moins français que Nadine Morano car il était noir de peau ?
Aimé Ceeaire, Franz Fanon, Albert Memmi, Kateb Yacine, Alexandre Dumas n’étaient pas non plus des français souchiens, étaient-ils des français de seconde zone ?
...
Faisons-leur signer un pacte républicain, imposons-leur un respect total et absolu de la laïcité – pour commencer.
Les mesures existent, il manque la volonté politique, la mobilisation de tous, quelles que soient leur couleur, pour sauver ce qui reste encore à sauver.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.