Le passé extrémiste du Maire de Londres est connu mais occulté par la presse, qui présente ses critiques comme des islamophobes… Khan est loin, très loin d’avoir un parcours politique sans tache. En 2001, il était l’avocat de Farrakhan, surnommé le ‘Hitler noir » dirigeant de « Nation of Islam », groupe radical antisémite musulman américain.
En 2005 et 2006, il a visité le terroriste Babar Ahmad, son ami d’enfance, à la prison de Woodhill et l’a défendu en 2013: Babar Ahmad, avait alors plaidé coupable aux Etats-Unis pour avoir « fourni un soutien matériel au terrorisme ».
Sadiq Khan, alors ministre de la Justice du « shadow cabinet » travailliste a aussi fait campagne pour la libération et le retour en Angleterre du Saoudien Shaker Aamer, le dernier prisonnier « britannique » de Guantanamo; un islamiste actif en Afghanistan et finalement revenu en Angleterre en 2015.
Sadiq Khan a partagé une tribune avec cinq extrémistes islamistes à une conférence organisée par l’association Friends of al-Aqsa, un groupe islamiste négationniste. Lors de cette conférence, les femmes ne pouvaient avoir accès à la salle par la même entrée que les hommes. Nous nous en étions déjà fait l’écho. Monsieur Khan trouve cela normal. C’est « culturel ».
Le Premier ministre conservateur précédent, David Cameron a accusé Sadiq Khan d’être apparu à neuf reprises au côté de l’imam Sulaiman Ghani, un imam considéré comme extrémiste et qui, selon Cameron, soutient l’État islamique.
En 2004, il a défendu le prédicateur égyptien et Frère musulman Yusuf Al-Qaradawi, membre de Union of Good, une association classée organisation terroriste aux Etats-Unis. Ce sympathique prédicateur trouve normal qu’un mari puisse battre sa femme, tolérait les mutilations sexuelles, défendait la lutte contre les homosexuels, punissables d’une peine de flagellation en place publique.
Dans une lettre ouverte au journal de gauche The Guardian écrite au lendemain des attaques islamiques de 2007, le maire de Londres, Sadiq Khan accuse le gouvernement britannique d’en être en fait, le vrai responsable, par sa politique discriminatoire vis à vis des pauvres musulmans. Enfin, Sadiq Khan a assuré la défense du terroriste Zacarias Moussaoui, un des auteurs des attaques du 11 septembre; qui a reconnu être membre d’Al-Qaida.
Ce CV minute de ce petit bonhomme agressif qu’est le maire de Londres, Sadiq Khan, est non exhaustif…
Voir aussi notre autre article sur ses relations indirectes avec les tueurs du pont de Londres, abattus à l’issue de leur carnage samedi dernier.
C’est ce même Sadiq Khan qui fait la leçon à Donald Trump et assène des leçons de démocratie aux Britanniques. Il est bien sûr un chaud partisan de l’immigration massive du Moyen-Orient que nous vivons en Europe.