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david MIEGE
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18 novembre 2014 03:11

Encore une initiative de haute volée du service public pour aider au débat citoyen :

Donc “Sortie de l’euro” = Anarchie (P.S. pour le stagiaire, y’a pas d’y en français) = Chaos = 40 € par semaine…

J’avoue ne pas avoir regardé cette fiction participative de France 4, ceci m’a suffi…

P.S. pour les prochaines séries, quelques idées copyleft :

  1. “Cataclysme” : suite à la faillite de BNP Paribas, le monde financier s’écroule. Il vous reste 1 cartouche de clope par mois à échanger
  2. “Apocalypse” : la centrale nucléaire de Nogent explose suite à un attentat terroriste. Les vents d’Est contaminent définitivement Paris, qu’il faut évacuer…
  3. “Éradication” : suite à un embrasement du conflit en Ukraine, un conflit se déchaîne, entraînant une attaque nucléaire. 99 % de l’Humanité est anéantie par le conflit puis l’hiver nucléaire.

(vous pouvez proposer vous aussi en commentaire…)

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Tiens, dans le même ordre d’idées :

Jean-Luc Mélenchon dénonce la «propagande» d’Assassin’s Creed Unity

«Le dénigrement de la grande Révolution est une sale besogne pour instiller davantage de dégoût de soi et de déclinisme aux Français», assure l’ancien candidat à l’élection présidentielle. «Si l’on continue comme ça, il ne restera plus aucune identité commune possible aux Français à part la religion et la couleur de peau».

Jean-Luc Mélenchon et « Assassin’s Creed Unity » : « deux formes différentes de la mémoire » de la Révolution

 

vu sur : http://www.les-crises.fr/anarchy-la-propagande-pro-euro-avec-nos-impots/

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
18 novembre 2014 02:41
 L'on entend souvent la ritournelle apaisante selon laquelle les sanctions sont temporaires.
 
Une fois la crise passée tout redeviendra comme avant.
 Peu d'hommes d'affaires y croient, mais les politiques et leur entourage le répètent à chaque occasion, espérant peut être modifier la réalité.
Le Premier Ministre russe D. Medvedev vient donc de jeter un pavé dans la mare: non le marché n'attendra pas le bon vouloir des décideurs occidentaux.
 Il leur faudra assumer leur décision. 


La déclaration de D. Medvedev n'est en soi pas une grande surprise, elle est simplement pleine de bon sens.
Au nom de quoi le marché russe devrait-il attendre que les européens se soient libérés de toute influence extérieure pour enfin penser à l'intérêt de leurs chefs d'entreprises?
 Au nom de quoi les consommateurs russes devraient voir se vider les rayons des magasins ?
 C'est peut être ce que, dans ce cas, très naïvement, attendaient les décideurs européens en suivant les diktats américains.
Ou bien, ils ne portent simplement aucune attention aux producteurs, hommes d'affaires, entrepreneurs des pays européens, car leur poste ne dépend pas de l'opinion de ces "trop simples" individus.

Donc D. Medvedev a juste rappelé que peu d'entreprises sorties du marché russe pourront y revenir dans un an.
 La place sera prise.
Soit par les entreprises locales, soit par les entreprises des pays de l'Union douanière, soit par les entreprises des pays de la région Asie-Pacifique.
Qui sont par ailleurs très intéressées par le développement de la coopération avec la Russie.

Autrement dit, l'Europe a fait son choix.
 5 à 7 milliards annuels de pertes cumulées, et ces pertes ne seront pas temporaires.
 Les intérêts américains méritent-ils un tel sacrifice?
 Nous pourrions peut être organiser un référendum européen sur cette question?
 Puisque les conséquences touchent l'intérêt de chaque citoyen vivant dans les pays de l'Union européenne ...
 
 Quand l'entreprise ferme, quand elle perd un marché, quand il perd son travail, quand son pouvoir d'achat baisse, quand des pressions bruxelloises touchent son Gouvernement national pour qu'il s'appauvrisse volontairement - ou sous pression si nécessaire. Etc. Etc. Etc.

Tiens, faisons référendum à la dimension de l'Union européenne pour redonner la voix aux populations. Voyons à quel niveau de démocratie l'Europe pourrait se situer.
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
16 novembre 2014 02:34
 
 
Libre échangisme et Nouvel Ordre Mondial : le traité transatlantique vise à assurer aux Multinationales et aux lobbies les plus puissants de la terre de s’approprier les terres européennes et les forces de travail du monde entier, en réduisant au maximum les contre-parties : 

Non à l’Union Européenne, non au TAFTA.

 Non au Nouvel Ordre Mondial, 

Oui à la souveraineté et à la démocratie française retrouvées. 

source
vu sur : http://by-jipp.blogspot.fr/2014/11/tafta-le-traite-transatlantique-un.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+blogspot/ojiPR+(Ma+France)
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
15 novembre 2014 01:23

Article du Monde du 6/11 – voici donc la voix de l’Amérique…

On vous a déjà alerté sur la Hongrie dans ce billet de début octobre

Pour mémoire, la carte de Todd, issue de son interview fleuve pour le blog cet été, où on repère la Hongrie qu’il a classée dans “En évasion”…

Le Monde – Mercredi 5 novembre, la directrice du fisc hongrois, Ildiko Vida, a confirmé, dans un entretien publié par le quotidien progouvernemental Magyar Nemzet, qu’elle était interdite de séjour aux Etats-Unis, comme cinq autres ressortissants hongrois, proches du gouvernement de Viktor Orban, parce qu’ils sont soupçonnés de corruption. Elle a indiqué qu’elle figurait sur la liste noire, avec « d’autres membres » de ses services. Trois des six personnes incriminées seraient par ailleurs des économistes de l’institut Szazadveg (« Fin de siècle »), lié au parti au pouvoir, le Fidesz.

Selon l’ancien directeur de cet institut, Tamas Mellar, leurs pseudo-travaux couvraient des émoluments versés, hors de tout contrôle, aux conseillers de M. Orban. Le scandale est retentissant, d’autant plus que le chargé d’affaires américain André Goodfriend a indiqué que la liste pourrait s’allonger, « pour des motifs autres que la corruption ».

Le Fidesz, ainsi que la principale force d’opposition de gauche, le MSZP, veulent convoquer M. Goodfriend devant la commission parlementaire chargée de la sécurité nationale. Les médias de droite et d’extrême droite se déchaînent contre le diplomate américain. L’influent chef de cabinet du premier ministre, Janos Lazar, a accusé M. Goodfriend de travailler avec l’opposition : « Derrière les dirigeants du MSZP, il y a le chargé d’affaires des Etats-Unis à Budapest », a-t-il affirmé.

Le « lanceur d’alerte » hongrois étrillé

Dans ce climat survolté, le Fidesz a dû dissuader à deux reprises déjà son aile ultra-droite d’organiser une Marche pour la paix à Budapest, afin de dénoncer la politique de Washington.

Pour sa part, Mme Vida se dit abasourdie par ces « attaques malveillantes », à ses yeux « incompréhensibles ». Cette fidèle de Viktor Orban avait déjà piloté les services fiscaux (NAV) de 1998 à 2002, sous le premier gouvernement Fidesz. Mais la réputation du NAV a été sérieusement écornée par les révélations, en novembre 2013, d’un ancien contrôleur des impôts, Andras Horvath.

Las d’écrire en vain à la justice des rapports détaillés sur les malversations dont il était témoin, M. Horvath a fini par dévoiler aux médias un vaste système de fraude sur la TVA. Inventée sous les gouvernements socialistes et libéraux, puis perpétuée sous le règne du Fidesz, cette combine, qui joue sur la différence entre le taux élevé de la TVA en Hongrie (27 %) et celui des pays voisins (autour de 10 % sur les produits alimentaires), priverait les finances publiques de 3 milliards d’euros par an de rentrées fiscales.

Loin d’être félicité pour son sens civique, le « lanceur d’alerte » hongrois, démissionnaire du NAV, s’est vu étriller : plainte en diffamation, perquisition de son domicile et intimidations diverses.

Sa mésaventure a convaincu Washington qu’aucune aide ne viendrait de Budapest dans l’affaire de l’entreprise américaine Bunge, qui produit de l’huile de friture et se plaint que ses concurrents sur le marché hongrois ne paient pas, eux, la TVA – moyennant des pots-de-vin aux fonctionnaires des finances.

L’ombre de Gazprom

C’est un journal proche du Fidesz qui a vendu la mèche, le 21 octobre, en suggérant que la décision américaine visait à détourner l’attention d’une enquête ouverte par l’administration hongroise… contre Bunge. Mais le contre-feu maladroitement allumé par Budapest est vite devenu un incendie incontrôlable.

Le rapprochement de M. Orban avec Vladimir Poutine irrite au plus haut point Washington. Non content d’avoir, en pleine crise ukrainienne, signé un contrat nucléaire avec la Russie, puis mis en doute le bien-fondé des sanctions contre Moscou, le premier ministre hongrois a fait interrompre les livraisons de gaz à l’Ukraine.

Lundi 3 novembre, la Hongrie a franchi un pas de plus : le Parlement hongrois a modifié la loi sur l’énergie, de manière à permettre au groupe russe Gazprom de faire avancer son projet de gazoduc South Stream (vers l’Italie, à travers les Balkans et l’Europe centrale), contre l’avis de la Commission européenne. Washington s’alarme aussi que l’entreprise pétrolière hongroise MOL, dont le chef, Zsolt Hernadi, est un intime de M. Orban, puisse céder à Gazprom les 47,47 % qu’elle détient dans la compagnie croate INA.

Source : Joëlle Stolz (Budapest, envoyée spéciale),Journaliste au Monde, Le Monde, 6/11/14

 

vu sur : http://www.les-crises.fr/reprise-le-ton-se-durcit-entre-la-hongrie-et-les-etats-unis/

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
15 novembre 2014 01:23

Article du Monde du 6/11 – voici donc la voix de l’Amérique…

On vous a déjà alerté sur la Hongrie dans ce billet de début octobre

Pour mémoire, la carte de Todd, issue de son interview fleuve pour le blog cet été, où on repère la Hongrie qu’il a classée dans “En évasion”…

Le Monde – Mercredi 5 novembre, la directrice du fisc hongrois, Ildiko Vida, a confirmé, dans un entretien publié par le quotidien progouvernemental Magyar Nemzet, qu’elle était interdite de séjour aux Etats-Unis, comme cinq autres ressortissants hongrois, proches du gouvernement de Viktor Orban, parce qu’ils sont soupçonnés de corruption. Elle a indiqué qu’elle figurait sur la liste noire, avec « d’autres membres » de ses services. Trois des six personnes incriminées seraient par ailleurs des économistes de l’institut Szazadveg (« Fin de siècle »), lié au parti au pouvoir, le Fidesz.

Selon l’ancien directeur de cet institut, Tamas Mellar, leurs pseudo-travaux couvraient des émoluments versés, hors de tout contrôle, aux conseillers de M. Orban. Le scandale est retentissant, d’autant plus que le chargé d’affaires américain André Goodfriend a indiqué que la liste pourrait s’allonger, « pour des motifs autres que la corruption ».

Le Fidesz, ainsi que la principale force d’opposition de gauche, le MSZP, veulent convoquer M. Goodfriend devant la commission parlementaire chargée de la sécurité nationale. Les médias de droite et d’extrême droite se déchaînent contre le diplomate américain. L’influent chef de cabinet du premier ministre, Janos Lazar, a accusé M. Goodfriend de travailler avec l’opposition : « Derrière les dirigeants du MSZP, il y a le chargé d’affaires des Etats-Unis à Budapest », a-t-il affirmé.

Le « lanceur d’alerte » hongrois étrillé

Dans ce climat survolté, le Fidesz a dû dissuader à deux reprises déjà son aile ultra-droite d’organiser une Marche pour la paix à Budapest, afin de dénoncer la politique de Washington.

Pour sa part, Mme Vida se dit abasourdie par ces « attaques malveillantes », à ses yeux « incompréhensibles ». Cette fidèle de Viktor Orban avait déjà piloté les services fiscaux (NAV) de 1998 à 2002, sous le premier gouvernement Fidesz. Mais la réputation du NAV a été sérieusement écornée par les révélations, en novembre 2013, d’un ancien contrôleur des impôts, Andras Horvath.

Las d’écrire en vain à la justice des rapports détaillés sur les malversations dont il était témoin, M. Horvath a fini par dévoiler aux médias un vaste système de fraude sur la TVA. Inventée sous les gouvernements socialistes et libéraux, puis perpétuée sous le règne du Fidesz, cette combine, qui joue sur la différence entre le taux élevé de la TVA en Hongrie (27 %) et celui des pays voisins (autour de 10 % sur les produits alimentaires), priverait les finances publiques de 3 milliards d’euros par an de rentrées fiscales.

Loin d’être félicité pour son sens civique, le « lanceur d’alerte » hongrois, démissionnaire du NAV, s’est vu étriller : plainte en diffamation, perquisition de son domicile et intimidations diverses.

Sa mésaventure a convaincu Washington qu’aucune aide ne viendrait de Budapest dans l’affaire de l’entreprise américaine Bunge, qui produit de l’huile de friture et se plaint que ses concurrents sur le marché hongrois ne paient pas, eux, la TVA – moyennant des pots-de-vin aux fonctionnaires des finances.

L’ombre de Gazprom

C’est un journal proche du Fidesz qui a vendu la mèche, le 21 octobre, en suggérant que la décision américaine visait à détourner l’attention d’une enquête ouverte par l’administration hongroise… contre Bunge. Mais le contre-feu maladroitement allumé par Budapest est vite devenu un incendie incontrôlable.

Le rapprochement de M. Orban avec Vladimir Poutine irrite au plus haut point Washington. Non content d’avoir, en pleine crise ukrainienne, signé un contrat nucléaire avec la Russie, puis mis en doute le bien-fondé des sanctions contre Moscou, le premier ministre hongrois a fait interrompre les livraisons de gaz à l’Ukraine.

Lundi 3 novembre, la Hongrie a franchi un pas de plus : le Parlement hongrois a modifié la loi sur l’énergie, de manière à permettre au groupe russe Gazprom de faire avancer son projet de gazoduc South Stream (vers l’Italie, à travers les Balkans et l’Europe centrale), contre l’avis de la Commission européenne. Washington s’alarme aussi que l’entreprise pétrolière hongroise MOL, dont le chef, Zsolt Hernadi, est un intime de M. Orban, puisse céder à Gazprom les 47,47 % qu’elle détient dans la compagnie croate INA.

Source : Joëlle Stolz (Budapest, envoyée spéciale),Journaliste au Monde, Le Monde, 6/11/14

 

vu sur : http://www.les-crises.fr/reprise-le-ton-se-durcit-entre-la-hongrie-et-les-etats-unis/

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
14 novembre 2014 01:23
Référendum en Catalogne: Près de 81% pour l'indépendance

Une victoire écrasante des indépendantistes

Catalogne: 80,7% des votes en faveur de l'indépendance

 

80,7% des personnes ayant participé au vote prohibé par le régime espagnol sur l'indépendance organisé ce dimanche 9 novembre en Catalogne se sont prononcés en faveur de celle-ci, ce qui représente 1,6 million de voix. Ces résultats ont été diffusés après dépouillement de 88,4% des bulletins. 

Clairement, les catalans se sont donc prononcés pour leur indépendance.

Madrid ne prendra pas note de ce référendum qu'il a interdit. Par ailleurs, ce matin, l'Etat espagnol assure voiloir porter plainte contre les dirigeants indépendantistes.

Sommes-nous au bord d'une implosion sociale en Catalogne tandis que des compromis en cas de victoire des indépendantistes avaient été envisagés entre le Royaume et la province catalane ? Et que de nombreux mouvements de chars avaient été observés avant-hier ?

Chose certaine, ne pas prendre en compte un tel plebiscite, même interdit, ne serait pas un signe d'apaisement, bien au contraire. Aujourd'hui, il semble évident que la situation ne peut que se tendre devant une royauté sourde à la demande du peuple de la plus riche région d'Espagne.

 

Ghisham Doyle pour WikiStrike

 

vu sur : http://www.wikistrike.com/2014/11/referendum-en-catalogne-pres-de-81-pour-l-independance.html

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
8 novembre 2014 15:42
Référendum pour l'indépendance de la Catalogne, Madrid envoie l'armée

La garde civile se positionne à la veille du référendum interdit

Référendum pour l'indépendance de la Catalogne,

Madrid envoie l'armée

 

 

Le parti grec néo-fasciste Aube dorée vient d’enregistrer officiellement sa branche  espagnole comme parti politique sous le nom « Amanecer Dorado » (‘aube dorée’), a rapporté El Diario. Le ministère de l’Intérieur a enregistré le parti, qui a son siège à Alcoy, près d’Alicante, le 27 octobre, et le parti peut désormais se présenter à des élections. Amanecer Dorado sera dirigé par un ancien membre du parti de l’extrême droite espagnole,  Alliance nationale, Vicedo Antonio Valdes.

 B1sP4vlCAAEQTa1.jpg smallCependant, le Los Angeles Times a rapporté quant à lui que le gouvernement de Madrid a préparé « des milliers de membres de la Guardia Civil » pour qu’ils soient prêts « à se rendre ce week-end en , si c’est nécessaire ».

 

En effet, le gouvernement catalan a décidé d’organiser un référendum au cours de ce dimanche pour demander leur avis aux électeurs sur une possible sécession de la région d’avec l’Espagne, malgré l’opposition du gouvernement à Madrid et de la Cour constitutionnelle, qui considère que cette votation serait contraire à la .

Francesc Homs, le porte-parole du gouvernement régional catalan, a dit que tout était prêt pour le 9 novembre. « Nous maintenons notre processus participatif.  Nous ne pourrions le dire de manière plus claire, et nous le faisons, quelles qu’en soient les conséquences ».

Il a indiqué que la Catalogne se réserve le droit de porter plainte contre le gouvernement fédéral auprès de la Cour constitutionnelle  « parce qu’il menace le droit à la libre expression. »

Sur les médias locaux et Twitter, des photos de convois de véhicules militaires circulant sur les routes catalanes sont apparues. Plusieurs hélicoptères militaires ont également été signalés au-dessus de la capitale catalane Barcelone ces derniers jours.

Selon le ministère espagnol de la  il ne s’agit que d’exercices où les troupes sont déployées « pour combattre une grave crise interne dans un pays fictif ».

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http://www.express.be/joker/fr/platdujour/aube-doree-vient-de-senregistrer-comme-parti-politique-en-espagne-et-maintenant-des-chars-se-dirigent-vers-barcelone.htm

vu sur : http://www.wikistrike.com/2014/11/referendum-pour-l-independance-de-la-catalogne-madrid-envoie-l-armee.html

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
7 novembre 2014 20:04

Bruxelles démonte les prévisions de croissance du gouvernement

D'après la Commission européenne, les prévisions de croissance du gouvernement français pour 2015 ont du plomb dans l'aile. D’après la Commission européenne, les prévisions de  du gouvernement français pour 2015 ont du plomb dans l’aile.
D’après Bruxelles, qui anticipe une croissance de 0,7% en France en 2015, les prévisions du gouvernement ne tiennent pas la route. Le gouvernement français table en effet sur une croissance de 1% en 2015. De plus, 2 milliards d’économies sur les 21 prévus par le gouvernement sont insuffisamment détaillés.

Bruxelles estime donc que la France ne tiendra pas ses objectifs budgétaires en 2015, et table sur un déficit public à 4,5 % du PIB pour l’année prochaine.

Si la France ne prend aucune nouvelle mesure de réduction des déficits, elle aura le déficit le plus élevé de toute la  en 2016.

Bruxelles prévoit un déficit à 4,3 % en 2014, 4,5 % en 2015, puis 4,7% en 2016 si la France ne prend aucune autre mesure pour réduire ses déficits. Des prévisions beaucoup plus pessimistes que celles du gouvernement français, qui table sur un déficit public à 4,3 % du PIB en 2015, puis sur un miraculeux retour à 3 % du PIB en 2017.

La Commission européenne a basé son analyse sur le plan d’économies de 21 milliards d’euros annoncé par la France pour 2015, mais « certaines de ces mesures, autour de 2 milliards d’euros, n’ont pas été suffisamment détaillées pour être prises en compte ».

source: lepoint.fr

vu sur : http://www.observatoiredessubventions.com/2014/bruxelles-demonte-les-previsions-de-croissance-du-gouvernement/

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
7 novembre 2014 03:53
La Hongrie menace de quitter l’EU

Par La Voix de la Russie | Un nouveau scandale a éclaté cette semaine dans la noble famille européenne. La Hongrie a menacé de se retirer de l’UE. Le président du parlement hongrois Laszlo Kövér a fait comprendre que si Bruxelles dictait à la Hongrie la façon de gouverner le pays, elle pourrait quitter l’UE.

La situation autour des sanctions antirusses et la demande de procéder aux réformes intérieures adressée par l’UE à la Hongrie, poussent de plus en plus souvent les politiques à Budapest à réagir très vivement.
Si auparavant, ces réactions ne concernaient que des politiques bruxellois concrets, il s’agit cette fois de l’ensemble de l’UE. Les conflits opposant Bruxelles à Budapest éclatent de plus en plus souvent depuis quelques années et portent la plupart du temps sur la politique intérieure appliquée par la Hongrie qui refuse de réduire son programme social et n’est pas prête à adapter son système politique aux normes de l’UE.

Iouri Bondarenko, directeur du Centre russo-polonais « Dialogue et Concorde », estime que le « divorce » que la Hongrie est en train de consommer avec l’UE et l’OTAN, coule de source :

Je crois que la Hongrie finira par se retirer de l’UE de son plein gré ou y sera contrainte. Je ne peux rien dire au sujet de sa participation à l’OTAN parce que cela dépend de l’évolution de la situation en Ukraine mais son retrait de l’Alliance n’est pas à exclure non plus. C’est que la classe politique hongroise est déterminée à défendre les intérêts nationaux qui vont à l’encontre de ceux de Bruxelles.

Ces derniers temps, Bruxelles critique de plus en plus vivement Budapest au sujet de sa position concertant les sanctions antirusses. La politique menée par l’UE est considérée comme contreproductive en Hongrie qui refuse de s’y joindre. Selon Laszlo Kövér, « si Bruxelles nous dicte comment gouverner le pays, il s’assimilera à Moscou avant la chute du régime en 1989 ».

C’est paradoxal, mais Budapest estime actuellement que les relations avec Moscou sont plus prometteuses que celles qu’il entretient avec Bruxelles. Kövér avait également souligné que le fait même d’être membre de l’UE et de l’OTAN n’était pas un problème pour la Hongrie mais que par contre « l’attitude spéciale » de Bruxelles envers ses affaires intérieures devenait de plus en plus importune au fil des ans.

L’Europe craint le rapprochement qui s’est amorcé entre la Hongrie et la Russie parce que d’autres pays de l’UE pourraient suivre son exemple. Alexeï Kouznetsov, directeur du Centre d’études européennes de l’Institut de l’économie mondiale et des relations internationales, estime cependant que la démarche des autorités hongroises restera sans suites :

C’est soit le marchandage pour obtenir des privilèges au sein de l’UE, soit le flirt avec les électeurs compte tenu de l’accroissement du nombre d’eurosceptiques aux récentes législatives européennes. Par conséquent, je ne prends pas du tout au sérieux les déclarations de ce genre.

En même temps, le premier ministre hongrois Victor Orban est une figure très gênante pour Bruxelles parce qu’il s’en prend aux eurofonctionnaires sans choisir ses mots. Il avait une fois de plus soumis Bruxelles à une vive crique à la mi-août.
« La politique occidentale des sanctions décrétées contre la Russie nous a nui plus qu’à la Russie elle-même… Cela revient à scier la branche sur laquelle on est assis », a déclaré en substance le premier ministre hongrois.

Budapest ne se décidera pas à se retirer prochainement de l’UE mais, pour citer Mikhaïl Gorbatchev « le processus s’est enclenché »
Lire la suite: http://french.ruvr.ru/2014_11_01/La-Hongrie-menace-de-quitter-l-EU-7947/

VU SUR : http://french.ruvr.ru/2014_11_01/La-Hongrie-menace-de-quitter-l-EU-7947/
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
6 novembre 2014 14:50
L’UE dépense par erreur… 6,97 milliards (4,7% du budget)!

L’Union européenne a dépensé 6,97 milliards d’euros « par erreur », d’après l’audit réalisé sur le budget de l’année dernière par la Cour des comptes européenne, et rendu public mercredi. Revue de détails de ces coûteuses erreurs de financement.

C’est un chiffre qui fait tache alors que Bruxelles appelle tous les États membres de la zone euro à maîtriser leurs dépenses publiques. L’Union européenne (UE) a dépensé « par erreur » 6,97 milliards d’euros en 2013, selon les conclusions de la Cour des comptes européenne, publiées mercredi 5 novembre.

Cette somme qui n’aurait jamais dû quitter les coffres de l’UE représente tout de même 4,7 % du budget européen total (148,5 milliards d’euros). Ce gaspillage risque de faire grincer quelques dents parmi les pays membres, comme la France ou l’Italie, qui ont récemment été critiqués par Bruxelles pour des dérapages dans leur projet de budget. L’audit offre également des cartouches supplémentaires à Londre, qui refuse de payer les deux milliards d’euros de rallonge demandés par Bruxelles pour boucler son budget 2015.

Ces conclusions tombent donc au mauvais moment, même si le montant des erreurs est légèrement inférieur à celui à 2012. La plupart des couacs constatés concernent le financement de projets censés réduire les disparités de développement entre les différentes régions de l’UE, comme les subventions pour la construction d’infrastructures. Le développement rural est l’autre grand domaine où les argentiers européens ont beaucoup dépensé à tort.

À tort mais pas de manière frauduleuse, estime la Cour des comptes européenne. Pour les auditeurs, le taux d’erreur « n’est pas un indicateur de fraude », car il faudrait dans ce cas une « volonté délibérée de tromperie ». Dans la plupart des cas, il s’agirait, d’après le rapport, de problèmes de compréhension des conditions nécessaires pour obtenir une subvention ou de respect des procédures.

Le tableau des cas d’erreurs détaillés par l’audit montre tout le panel des financements européens erronés, jusqu’au plus absurde. Morceaux choisis.

Les hélicoptères espagnols volaient trop peu. L’UE a largement financé, en 2013, l’achat par l’Espagne de quatre hélicoptères dont la mission, sur le papier, était de surveiller les frontières au sud de l’Europe. D’après la Cour des comptes européenne, Bruxelles n’aurait pas dû. En effet, l’Espagne avait affirmé que 75 % de l’activité de ces appareils consisteraient à patrouiller aux frontières. En fait, ils n’y ont passé que 25 % de leur temps. L’UE n’aurait donc pas dû financer l’achat à hauteur de 75 %, mais de 25 %.

Les artichauts étaient dopés au pesticide. L’affaire se passe en Italie, plus précisément en Sardaigne. Les auditeurs européens sont allés rendre visite à un agriculteur qui, après s’être engagé à ne pas utiliser de pesticides nocifs pour l’environnement sur ses plants d’artichaut, avait reçu de l’argent de Bruxelles. Des engagements qui n’ont pas encombré outre-mesure le cultivateur : en moins d’un an, il a arrosé ses artichauts à douze reprises avec les produits proscrits.

Il y avait des bois dans les champs. C’est visiblement un grand classique puisque les auditeurs ont retrouvé cette erreur en Allemagne, en France, en Roumanie, en Pologne, en Irlande et en Grèce. De quoi s’agit-il ? L’Europe a accordé des subventions pour la préservation de « prairies permanentes », c’est-à-dire des surfaces exclusivement recouvertes d’herbe. Mais une fois sur place, les enquêteurs ont constaté qu’il s’agissait en fait de petits bois ou de surfaces en partie boisées.

La petite PME appartenait à des grands groupes. En 2013, l’UE a choisi de soutenir une petite PME slovène de recherche et développement. Les auditeurs se sont aperçu que cette société du secteur automobile était en fait « détenue par de grandes sociétés et exerçait ses activités exclusivement pour leurs comptes ». C’était donc une sorte de filiale commune de recherche pour plusieurs grosses entreprises. L’Europe n’avait donc aucune raison de subventionner cette PME.

Les travaux à l’aéroport étaient bâclés. Un aéroport allemand a dû effectuer des travaux supplémentaires après la construction d’un nouveau terminal. Le maître d’œuvre du chantier initial s’était attelé à la tâche avec la bénédiction financière de l’UE. La Cour des comptes estime qu’elle n’aurait pas dû soutenir les travaux supplémentaires. Ils étaient devenus nécessaires à cause d’une « mauvaise préparation et mise en œuvre du projet » par la société chargée de la construction du terminal. Etc.

 

SOURCE

 

vu sur : http://www.delitdimages.org/decouvrez-lobservatoire-du-grand-remplacement/

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
1 novembre 2014 01:49

24 Octobre 2014

Déficit: La lettre de Bruxelles, que l'Elysée ne voulait pas publier, dévoilée

Oups

La lettre de Bruxelles, que l'Elysée ne voulait pas publier,

dévoilée

 

«Je vous écris pour vous demander les raisons qui ont conduit à ce que la France prévoie de dévier des objectifs budgétaires fixés par le Conseil, en ce qui concerne à la fois le déficit public général, et l'ajustement de l'équilibre structurel en 2015. Je voudrais également savoir comment la France prévoit de se conformer à ses obligations de politique budgétaire en 2015, conformément au pacte de stabilité et de croissance.» 
Voila le contenu de la fameuse lettre écrite par Jyrki Katainen, commissaire européen aux affaires économiques et monétaires à Michel Sapin. C'est 
Mediapart qui révèle le contenu de ce rappel à l'ordre, que l'Elysée avait refusé de diffuser ce matin. Au contraire de l'Italie, qui a publié la lettre reçue.

Une lettre demandant des précisions

Paris doit répondre à la fin de la semaine aux demandes de précisions de la Commission européenne sur son projet de budget contesté, un épisode que François Hollande s'est efforcé de minimiser alors que la loi de finances crée des remous au sein de sa propre majorité.

Le chef de l'Etat a confirmé vendredi que la France avait bien reçu de la Commission une lettre lui demandant des précisions. «Une lettre très banale», conforme «à la procédure» et «qui n'a pas de grande signification au-delà de demander un certain nombre d'informations et de précisions», a déclaré le Président lors d'une conférence de presse au sommet de Bruxelles.«

«Il n'y aura pas de modifications»

Le projet de budget actuellement en discussion à l'Assemblée nationale prévoit un déficit à 4,3% du PIB en 2015, alors que Paris s'était engagé à respecter le chiffre de 3%. Il prévoit également des économies de 21 milliards d'euros «sans précédent» selon le gouvernement. 
«On peut voir comment on peut mieux mobiliser certaines ressources, mieux calculer certaines dépenses, mais il n'y aura pas de modifications» sur ce dernier point, a assuré M. Hollande, qui a rappelé que la France entendait respecter ses «engagements européens mais avec le maximum de flexibilité».

Le président a réaffirmé sa priorité: renouer avec la croissance en Europe, objet d'un bras de fer larvé avec l'Allemagne. « Rien ne nous fera dévier de cet objectif. Cela vaut pour l'interprétation de notre propre budget, qui respectera les règles avec un maximum de flexibilité, mais aussi pour l'objectif de croissance ».

Depuis un an, la Commission dispose d'un droit de regard sur les projets de budgets nationaux. A défaut de les valider, elle peut demander formellement à un Etat de revoir sa copie, ce qui ne s'est encore jamais produit.

 

Source

http://www.wikistrike.com/2014/10/deficit-la-lettre-de-bruxelles-que-l-elysee-ne-voulait-pas-publier-devoilee.html

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
29 octobre 2014 02:48
Préparez-vous à payer pour le régime néo-nazis ukrainien…

Le nouveau ministre de la défense ukrainien Stepan Poltorak, ancien commandant de la garde nationale et partisan du « nettoyage ethnique » du Donbass…

Préparez-vous à payer pour le régime néo-nazis

ukrainien…

 

 

Le gaz à destination de l’Ukraine est toujours coupé par l’opérateur russe Gazprom, en attente du règlement de l’ardoise du gouvernement de Kiev qui se monte aujourd’hui à plus de 2.4 milliards d’euros. En l’état actuel, il manquera à l’Ukraine 5 milliards de mètres cubes de gaz pour passer l’hiver.

La dernière rencontre entre les présidents Poutine et Porochenko à Milan a cependant permis de débloquer le litige qui opposait le gouvernement ukrainien au fournisseur russe.
Les deux hommes se sont mis d’accord sur un prix « intermédiaire » (jusqu’en mars) de 385  dollars le millier de mètres cubes contre 485 demandés initialement par Gazprom.
Problème, cet accord demeure suspendu au paiement de la dette gazière de l’année dernière qui se monte encore à  plus de deux milliards d’euros. En l’absence de règlement, Gazprom ne rouvrira pas le robinet, ce qui risque de plonger non seulement l’Ukraine, mais également les Balkans, dans une crise énergétique en plein hiver, comme ce fut le cas en 2009.

Selon Vladimir Chizhov, l’ambassadeur de la Russie auprès de l’UE, Kiev attend que « l’aide internationale » règle sa facture, en menaçant une fois de plus de prendre les pays de l’UE en otage, en pompant illégalement le gaz russe transitant sur son territoire.

Le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk a en effet déclaré le 16 octobre qu’il pourrait « y avoir des problèmes en ce qui concerne les livraisons de gaz russe vers l’Europe » et que l’Ukraine ne pouvait pas « garantir le transit ininterrompu du gaz russe vers l’Europe dans le cadre du contrat de transit actuel », ce qui revient à dire que l’Ukraine  se donne le droit de voler le gaz  destiné aux européens…

Second problème, l’Ukraine est un état en faillite, qui n’a même plus les moyens de continuer la guerre et compte pour cela sur l’aide internationale. Cependant, son statut d’état fantoche aux mains de Washington et de l’OTAN lui a permis de récolter une multitude de prêts des alliés des états-unis et des institutions internationales. Petit tour non exhaustif de tous les généreux donateurs :

La Banque Mondiale a débloqué une aide d’un total de 3.5 milliards de dollars pour soutenir l’économie ukrainienne.

750 millions ont été débloqués au moi de mai pour la « politique de développement ». Il s’agit officiellement d’améliorer l’efficacité des réseaux de chauffage (ça tombe bien !) et des infrastructures urbaines, notamment de distribution d’eau.

500 millions ont étés débloqués en août à destination du secteur bancaire. En contrepartie, la Banque Mondiale « aidera » Kiev à réformer son secteur bancaire, il est notamment prévu d’organiser un vaste audit.

 Le FMI a prévu de débloquer 17 milliards d’euros en échange de « réformes structurelles ».

La contrepartie de l’aide financière du FMI a consisté en un vaste plan de privatisation du secteur énergétique ainsi qu’à une réduction de la dépense publique et une baisse des pensions des fonctionnaires. Le gouvernement ukrainien compte vendre 164 entreprises d’ici un an, principalement dans les domaines énergétiques et sidérurgiques, ainsi que dans l’agro-alimentaire, les rares secteurs économiquement viables de l’économie ukrainienne vont ainsi passer aux mains d’oligarques ou de fonds d’investissements US.

Le gouvernement a également mis en place une hausse de la taxe sur le gaz de l’ordre de 50%.

L’Ukraine a reçu 3,2 milliards de dollars du crédit promis par le FMI début mai et 1,39 milliard de dollars début septembre. Le Fonds Monétaire va également débloquer une nouvelle tranche d’aide de 2.7 milliards d’ici la fin de l’année.

Cependant, le directeur Europe du FMI Paul Thomsen a dors et déjà noté que l’Ukraine pourrait avoir besoin d’une « aide financière supplémentaire » qui pourrait se monter à « 19 milliards US en cas d’un scénario défavorable et de la poursuite de combats dans l’est du pays en 2015″.
Le scénario économique défavorable est déjà acquis : le Fonds prévoit en effet une chute du PIB de 6.5% cette année et une inflation à 19%. Quant à la poursuite des combats, tout dépend des subventions occidentales, cela semble donc en bonne voie…

L’Union Européenne, par l’intermédiaire de la commission, a adopté un programme d’aide de 11 milliards d’euros au mois de mars.

3 milliards d’euros proviennent directement du budget de l’UE (et donc de vos impôts, youpiii), les 8 autres proviennent de la Banque Européenne d’Investissement ( c’est le moment d’investir en Ukraine…) et de la Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement.

A cela il faut ajouter 250 millions d’aide non remboursable à l’Ukraine (c’est cadeau !) destinés à « soutenir les nouvelles autorités de ce pays et à encourager les réformes ». C’est vrai que les néo-nazis de Svoboda se sentent de plus en plus seuls, ils sauront apprécier ce geste venant de véritables démocrates…

L’Allemagne a débloqué 525 millions d’euros afin de soutenir l’économie ukrainienne.

Selon le communiqué de la présidence ukrainienne, « l’Allemagne débloque 25 millions d’euros pour la construction de logements pour les personnes déplacées à l’intérieur du pays ainsi qu’un crédit de 500 millions d’euros destiné à restaurer l’infrastructure du Donbass« .

Oui, vous avez bien lu, l’Allemagne a débloqué 500 millions d’euros pour « rénover l’infrastructure du Donbass » (détruite par l’armée ukrainienne elle-même…) alors que cette région ne fait plus partie de l’Ukraine et n’en fera vraisemblablement plus jamais parti. De toute évidence cet argent ne peut que finir dans la poche des oligarques…

Le Japon a octroyé fin août 100 millions de dollars d’aide « macrofinancière »

L’aide « macrofinancière » est en réalité tout simplement destinée à éviter le défaut de paiement, mais « macrofinancière » ça fait tout de suite plus sérieux…

Les états-unis ont octroyé 290 millions de dollars d’aide et des « garanties financières » pour un montant d’1 milliard

C’est plutôt chiche alors qu’il s’agit des parrains du Maïdan, ils se sont cependant rattrapés par l’intermédiaire du FMI…

Fin septembre, Barack Obama a annoncé une rallonge de 25 millions de dollars, destiné à « couvrir la livraison d’équipements militaires et l’entraînement des forces armées ukrainiennes par le département de la Défense (5 M USD), ainsi que l’octroi d’aide non-létale provenant d’autres départements et institutions ». Voilà du concret.

Enfin, l’OTAN a prévu d’accorder 15 millions d’aide

« Selon M.Rasmussen, l’Alliance aidera Kiev à renforcer ses forces de sécurité dans les domaines de la cybersécurité, de la logistique, du commandement, du contrôle, des communications, ainsi que de la réhabilitation des soldats blessés dans les combats. »

Il faudra cependant expliquer à M Rasmussen qu’on ne « réhabilite » pas les soldats, on les soigne, à la rigueur…

Bon là, vous vous dites, ça fait beaucoup pour soutenir un gouvernement composé moitié d’oligarques corrompus, moitié de néo-nazis (en exagérant à peine). Mais rassurez-vous, tout ce pognon, ce n’est déjà pas assez :

L’Ukraine a besoin de beaucoup plus d’argent que l’Occident ne l’a promis, et 30 milliards de dollars d’assistance occidentale ne suffiront évidemment pas à Kiev, a estimé samedi le chef de la diplomatie ukrainienne Pavel Klimkine.

Le président Porochenko a lancé un vaste plan de modernisation de l’armée sur la période 2015/2017 pour un montant de 3 milliards d’euros. Cette somme (rappelez-vous, c’est en partie votre argent) devra servir à « moderniser, acheter et livrer à l’armée des avions, des hélicoptères, des navires de combats et des vedettes, et là, il ne s’agit que d’un modeste début ».

Rappelons ici que la guerre menée par l’armée ukrainienne dans le Donbass a fait plus de 3700 victimes civiles. 900 000 personnes auraient fuit les zones de combats selon l’ONU. Au 24 septembre,  390 000 réfugiés ukrainiens étaient enregistrés sur le territoire de la Russie.

Cependant, cela n’arrête pas nos « amis démocrates » à Kiev qui ont nommé le 14 octobre comme nouveau ministre de la défense le général Stepan Poltorak, qui a commandé les six derniers mois la garde nationale ukrainienne, principalement composée des néo-nazis de Secteur Droit, et qui s’est entre autre livrée à des exécutions de masse et probablement à du trafic d’organes

Selon RIA Novosti, les « observateurs indépendants estiment que Poltorak est un partisan convaincu des mesures militaires et policières draconiennes de nettoyage ethnique du Donbass et que sa nomination au poste de ministre de la défense signifie que Kiev est prêt à poursuivre la guerre dans le sud-est en appliquant la tactique de la «terre brûlée ».

Cela se fera donc avec notre argent.

Mieux (ou plutôt, pire), Stepan Poltorak a rencontré  le sous-secrétaire britannique aux Affaires étrangères Simon Fraser mi octobre pour l’informer des types d’aide dont l’armée ukrainienne avait besoin. Ce dernier l’a assuré que « le gouvernement britannique était prêt à apporter un concours multiforme à l’armée ukrainienne ».

 

 

Source : Les Moutons Enragés

http://www.wikistrike.com/2014/10/preparez-vous-a-payer-pour-le-regime-neo-nazis-ukrainien.html

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
26 octobre 2014 22:56

D’ordinaire peu organisés et éclatés en petites entités en raison de la haine profonde que se vouent entre eux les hooligans qui soutiennent différents clubs de football allemands s’unissent désormais pour combattre le salafisme. L’un de groupes les plus actifs s’appelle «Ho.Ge.Sa», un acronyme qui signifie «Hooligans gegen Salafisten» («Hooligans contre les salafistes»).

Environ 2.500 hooligans et militants d’extrême droite qui avaient répondu à l’appel d’un groupe baptisé « hooligans contre salafistes » se sont rassemblés en début d’après-midi à Cologne où ils ont commencé à manifester, dans une ambiance tendue, lançant des slogans comme « les étrangers dehors ». Une contre-manifestation organisée par des organisations de gauche a rassemblé environ 500 personnes.

Express.de

http://www.fdesouche.com/531551-allemagne-manifestation-hooligans-contre-salafistes-la-situation-est-hors-de-controle-a-cologne

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
22 octobre 2014 01:27

boulevard-voltaire-euro-mort

Jamais plus que ces dernières années il n’a été autant question de réduire déficits et dette publique. Quelles sont les différentes options ?

Ne pas s’en préoccuper et concentrer tous nos efforts sur les facteurs de la croissance (compétitivité des entreprises et pouvoir d’achat des consommateurs). C’est l’option défendue par la gauche et a minima par François Hollande, mais par aucun économiste sérieux – aucun ! Pourquoi ? Sans parler de la contrainte budgétaire européenne, parce que le niveau de croissance nécessaire pour stabiliser naturellement notre endettement est hors de portée, ne parlons même pas de celui qui nous ramènerait à l’équilibre. S’engager dans cette voie ne peut qu’aggraver la situation et, dans moins de cinq ans, nous acculer au défaut de paiement.

À l’autre extrême, suivre l’exemple de nos voisins ibériques, c’est-à-dire s’engager dans un programme de réduction massive des dépenses publiques (pas 21 mais 100 à 150 milliards d’économies), quitte à basculer dans la récession pendant un ou deux ans. Personne ne s’est encore prononcé pour cette solution politiquement suicidaire, mais François Fillon n’en est pas très loin. Théoriquement, pour réussir, il faudrait que le secteur privé prenne le relais de l’État. Or, comme la consommation interne en sortirait forcément déprimée, cela veut dire qu’il faudra compter uniquement sur les marchés à l’export. Est-ce crédible sans une sortie de l’euro ? À mon avis, non.

Restent trois options non conventionnelles. La solution à la japonaise c’est-à-dire le recours à la planche à billets. C’est l’idée préconisée par Marine Le Pen à raison de 100 milliards par an et qui, bien évidemment, suppose la sortie de l’euro. Hélas, ici aussi, on peut lui opposer un argument quasi définitif. Dix-huit mois après sa mise en place, Abenomics est un échec malgré l’immense avantage – par rapport au cas français – que les détenteurs de la dette publique nippone soient japonais à 99 %.

Le prélèvement autoritaire d’une contribution unique et exceptionnelle sur les dépôts bancaires, c’est ce que les traders appellent l’option bazooka et qui a été utilisée à Chypre en 2013. Cette option comporte un avantage de taille : le résultat est immédiat, mais c’est un procédé immoral qui saperait définitivement la confiance dans les institutions avec les risques de jacqueries que cela suppose.

Reste l’ultime solution, celle qui s’applique systématiquement en droit privé lorsque l’emprunteur est en cessation de paiement : la renégociation de la dette avec les créanciers. À tout point de vue, cette option me semble la moins mauvaise. La perte de crédit de la France ? Foutaises ! Les marchés ont la mémoire courte ; passée une période de défiance, si l’économie est remise sur le bon chemin, les investisseurs s’empresseront de revenir. La ruine pour les caisses de retraite et certaines compagnies d’assurance ?

Assurément, mais les contrats d’assurance-vie sont souscrits sur une base volontaire et les retraites qui contribuent largement à notre déficit ne sont-elles pas déjà condamnées à subir un réajustement drastique? Et puis, au nom de quoi prêter à un État serait un placement absolument sans risques ? Ici, nous touchons au cœur du problème, aux confins de l’économie et de la philosophie. Nier l’existence du risque, c’est poser que la solvabilité de l’État serait illimitée. Or, c’est faux, sauf à admettre qu’elle se confond avec celle de ses administrés, ce qui nous renvoie à l’option précédente. Et plus généralement, lorsque la nécessité de rembourser des créanciers se heurte à la souffrance du peuple – jusqu’au suicide des plus désespérés –, on peut s’interroger aussi : l’État a-t-il donné en gage de sa dette le sang des citoyens ? Non plus.
 
Chaque jour qui passe, la facture s’alourdit. Or, un jour ou l’autre, il faudra payer, c’est une certitude. Reste à savoir qui paiera. Tout le monde ou les seuls créanciers, l’euro ou la renégociation de la dette ? Il faut choisir.

 

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
17 octobre 2014 01:24
Il faut dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme!

De moins en moins d’électeurs font confiance aux hommes politiques.

À juste titre : ceux-ci multiplient déclarations et annonces sans aucune conséquence pratique.

Et pour cause : le pouvoir a quitté les parlements et les palais ministériels. Ce sont les juges qui l’exercent.

Juges européens, membres du Conseil constitutionnel, conseillers d’État et conseillers à la Cour de cassation ont réalisé un coup d’État silencieux : en s’appuyant sur le pouvoir médiatique, ils se sont emparés du vrai pouvoir législatif en interprétant à la mode politiquement correcte des textes généraux. La glose sur la Convention européenne des droits de l’homme ou sur la Convention internationale des droits de l’enfant permet de décider de tout.

Les Français ne veulent pas de la gestation pour autrui (GPA) et de la procréation médicale assistée pour les paires homosexuelles ? Qu’importe ! La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) et la Cour de cassation les imposent au nom du principe d’égalité entre enfants nés en France et enfants nés à l’étranger.

Les gendarmes et les soldats n’ont pas le droit de se syndiquer ? La CEDH balaie d’un revers ce principe régalien au nom de l’égalité des droits entre civils et militaires.

Depuis 30 ans, des dizaines de lois ont été votées sur le séjour des étrangers, toutes dans le but de limiter l’immigration. Une immigration que les trois quarts des Français jugent excessive.
 Mais les lois, rédigées sous le contrôle du Conseil d’État, et les jurisprudences qui les appliquent n’ont cessé d’élargir les droits des étrangers : au regroupement familial, aux aides sociales et au logement et au séjour, même clandestin.
Aujourd’hui, un délinquant clandestin un peu patient peut engager une dizaine de recours successifs contre l’État et finit toujours par être régularisé. Quant aux enfants français en danger, il n’y a plus de place pour eux dans les centres départementaux d’aide à l’enfance car les juges les remplissent avec des mineurs étrangers clandestins, pas toujours mineurs d’ailleurs…

Nicolas Sarkozy avait qualifié les juges de « petits pois ». Ce sont les « petits pois » qui exercent le vrai pouvoir aujourd’hui. Un pouvoir irresponsable et coupé du peuple. Donc sans légitimité.

Comment y mettre un terme : en permettant au peuple de s’exprimer directement par référendum (et référendum d’initiative populaire), en changeant la Constitution et en dénonçant la Convention européenne des droits de l’homme. Tout le reste n’est que billevesées.

J’entends déjà les cris d’orfraie : dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme, quel danger pour les libertés !

Précisément non ! La France a connu (sauf période de guerre) une grande liberté d’expression et d’opinion de 1881 (loi sur la presse) à 1972 (loi Pleven).
Depuis, les lois liberticides se multiplient au nom de la lutte contre le racisme (loi Pleven), la mémoire (lois Gayssot et Taubira), la lutte contre l’homophobie (loi Lellouche), sans parler des lois visant à prévenir le terrorisme. La CEDH ne s’y est pas opposée. Et les libertés ont régressé.

In fine, la CEDH est inutile pour nos libertés et nuisible à notre identité.
Il faut donc reprendre notre indépendance et notre souveraineté.

La dénonciation de la Convention européenne des droits de l’homme est la condition préalable à la crédibilité d’un programme politique. Le reste ne sert qu’à amuser la galerie.

Lu sur Boulevard Voltaire

http://www.delitdimages.org/il-faut-denoncer-convention-europeenne-droits-lhomme/

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
10 octobre 2014 11:17

Hier, environ deux cent ressortissants Kurdes ont entamé d’abord un rassemblement pacifique devant le Parlement Européen.

topelement[1]Il était question de protester concernant l’offensive de l’Etat Islamique sur la ville kurde de Kobani, située non-loin de la frontière syro-turque et réclamaient fermement l’aide de la coalition pour protéger leur ville militairement.

Soudain un petit groupe de manifestants Kurdes a forcé l’entrée du Parlement Européen. Ces Kurdes se sont retrouvés en fin de matinée au troisième étage du bâtiment et ils ont interpellé plusieurs Députés Européens. Ils voulaient rencontrer le Président du Parlement Européen, Martin Schulz.

Comprenez-vous cette intrusion au sein du Parlement ?

Nous nous demandons comment une telle chose est possible. Est-ce que les autorités n’avaient pas décidé de doubler la vigilance en vue de contrer d’éventuels attentats ? Le service d’ordre avait-il reçu des consignes pour laisser passer ? Ou bien… ont-ils été d’une totale incompétence ?

Nous comprenons les revendications kurdes, mais cela ne justifie absolument pas l’intrusion dans un bâtiment institutionnel.

Encore une manipulation probable de l’opinion. On fait croire que tout est sous-contrôle. Essayez avec un groupe de belges revendicatifs de forcer le passage du Parlement Européen. Vous seriez immédiatement arrêtés et poursuivis devant les tribunaux.

On se paie clairement de la tête des citoyens belges et européens ! Voilà une sécurité exemplaire !

JACQUES D’EVILLE

http://www.lepeuple.be/les-entrees-du-parlement-europeen-une-passoire/23008

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
3 octobre 2014 01:41

 

EXCLU: Accord secret entre les USA et l’UE pour fermer rapidement les banques en cas de panique

Crise Bancaire : Les États-unis et la commission Européenne montent un scénario de fermetures rapides des banques en cas de faillites !

Accord secret entre les USA et l’UE pour fermer

rapidement les banques en cas de panique

 

Les autorités fiscales américaines ont expliqué  à des représentants de l’UE, comment fermer une banque en une seule nuit, si celle ci se retrouvait en faillite !

Avant l’annonce de la BCE de stress tests, la nervosité augmente dans l’UE et les États membres: Apparemment, la BCE estime que plusieurs banques pourraient ne pas SURVIVRE…  Les banques défaillantes devraient être reprise par des banques concurrentes, au risque de déclencher un BANK- RUN !

Des représentants et l’UE et du FDIC simulent en secret le démantèlement rapide de banques en faillites !  Lors de ces exercices, les représentants de l’UE apprennent comment fermer des banques ruinées en UNE SEULE nuit !

Lors de la crise les USA ont été obligés de fermer près de 500 banques ! Cette opération se compare à une OPÉRATION COMMANDO, ou chaque seconde compte !!!

La BCE est actuellement en train de vérifier les BILANS des grandes banques de la zone EURO ! Les résultats de ces test seront connus DIMANCHE, mais plusieurs fuites indiques déjà que plusieurs banques sont classées « en danger » !

Dès Novembre, la BCE prendra en charge la supervision bancaire. A cet effet, un mécanisme unique de traitement est mis sur pied, qui comprend un procédé de fermeture de banques dans la zone euro.

Un aspect jusqu’ici négligé de la supervision est la pratique de la fermeture des banques : la banque en faillite peut être fermé du jour au lendemain. Le ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble a déclaré à l’occasion de la crise de Chypre que les dépôts bancaires sont une chose sensible , et que dans la mesure du possible, ces mesures là devait être prises le week-end !

L’Association Globale des Risques Professionnels (GARP) rapporte que pour être au point le jour « J », les représentants de l’UE et des USA se sont sérieusement « entrainés » ensembles !

La responsable du GARP, Pamela Farwig : «Si vous avez à dire à quelqu’un que sa banque est fermée, cela doit être fait un laps de temps très très court » ! l’Union européenne a été formée à la procédure de fermeture des banques en Juin, a rapporté Bloomberg. Les petites villes doivent être particulièrement bien surveillées, afin d’éviter toute panique générale ! « Dans ce cas de figure,  un nombre importants de véhicules inconnus pourraient semer le trouble dans ces localités !» dit Farwig !

Sur demande de la Commission européenne « les Nouvelles économiques allemandes » (journal) ont été informées que l’UE et la FDIC travaillent régulièrement ensemble. Par conséquent, des réunions conjointes étaient organisées deux fois par an : une à Bruxelles et une à Washington. La réunion la plus récente a eu lieu en mai à Washington.

La coopération avec la FDIC a la forme de courts détachements de fonctionnaires et des séminaires ad hoc, telles que celles qui avaient été organisées à la fin de Juin à Bruxelles.

Les 24 et 25 Juin, la Commission a organisé un séminaire de deux jours avec des experts financiers et juridiques de la FDIC. A cette occasion, la FDIC a présenté son approche de la résolution de la Banque avec un accent particulier sur les banques d’importance systémique tels que la Commission européenne a annoncé la demande.

L’objectif était d’échanger les expériences entre les deux parties, en particulier dans le cadre du mécanisme de règlement bancaire (SRM résolution simple du mécanisme) et de régler les résolutions du Conseil unique (fonds bancaire à la crise).

A la fin de l’année, les ministres des finances de la zone euro avaient adopté la résolution qu’un nouveau comité de règlement (le soi-disant «Conseil») devra prendre en charge la fermeture de banques zombies. Mais ce n’est pas tout.

Le « monstre bureaucratique » devant mettre ce plan à exécution en un week-end donne une bonne image des responsable Européens dit la députée européenne Sven Giegold.

Selon un communiqué de presse du Parlement européen pour s’assurer « que les déposants récupèrent leur argent beaucoup plus rapidement si leur banque fait faillite » les pays de l’UE doivent également construire leurs propres systèmes financés par la Banque pour compenser les dépôts garantis des déposants(…) Le soi-disant « bail-in », qui a été écrit dans les deux lois pour faire face à la crise bancaire, cependant, veille à ce que les principaux bénéficiaires (actionnaires et les détenteurs d’obligations) doivent adhérer d’abord, si une banque est en difficulté « .

Le cas du «sauvetage» du groupe bancaire portugais Banque Espirito Santo (BES) a montré que, même ici ont a respecté les contribuables européens. En fait, les banques en difficulté peuvent être fermées.

Dans le cas de la Corpbank, depuis des mois les clients ne peuvent plus avoir accès sur leurs dépôts. Maintenant, la banque est sur le point de faire faillite après avoir eu la promesse il y  a quelques semaines d’une extension de la ligne de crédit de l’UE. Dans quelle mesure l’argent des contribuables européens pourrait être perdu pendant une faillite, n’est actuellement pas encore clair.

Il n’est pas encore certain que la BULGARIE puisse réussir à survivre jusqu’à la mise en place du SRM ! Auquel cas, les autres  états Européens et leur contribuables devront à nouveau rempiler !

Il y a quelques mois, il y a eu panique bancaire sur la Banque Corp. Le gouvernement bulgare avait alors affirmé que la banque était en bon état, et que ces paniques bancaires étaient le résultat d’activités criminelles sur Internet.

Quelques jours après la banque de Bulgarie a annoncé son adhésion à l’union bancaire de l’UE. Les observateurs estiment que les risques importants peuvent découler d’une telle déclaration unilatérale de l’adhésion d’un pays et demande qu’il devrait y avoir avant l’adhésion d’un pays à la Banque de l’Union un examen détaillé du secteur bancaire concerné.

Source : Deutsche Wirtschafts Nachrichten

Traduction News360x ; Merci a @Indiana23216

http://www.wikistrike.com/2014/10/exclu-accord-secret-entre-les-usa-et-l-ue-pour-fermer-rapidement-les-banques-en-cas-de-panique.html

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
1 septembre 2014 15:01

Quatre commissaires de l'UE, qui assurent l’intérim depuis les élections européennes de mai dernier, en attendant la constitution d’un nouveau collège en novembre, seront rétribués plus de 500 000 euros, nous apprend Der Spiegel.
 

par Audrey Duperron · via fdesouche

La Luxembourgeoise Martine Reicherts, le Polonais Jacek Dominik, l'Italien Ferdinando Nelli Feroci et le finlandais Jyrki Katainen, les 4 commissaires en question, ont été nommés par les Etats membres pour remplacer les 4 commissaires qui ont été élus députés européens lors des élections européennes. 

Trois de ces commissaires provisoires seront remplacés dès le 1er Novembre par les commissaires qui siégeront dans la Commission désignée par Juncker. 
Le quatrième, Jyrki Katainen, intégrera définitivement la Commission au terme de cette période d’intérim.
Le salaire qu’ils percevront pour ces 4 mois de travail est le résultat d’un calcul effectué sur la base de donnes publiques, englobant le salaire mensuel proprement dit, plus diverses indemnités.
 Le quatuor bénéficiera d'un traitement mensuel de 20 832 à 23 147 euros mensuels, de deux mois de salaire additionnels à titre d'indemnité d’installation, d’une indemnité de dépenses et de résidence de près de 100 000 euros.
Mais ce sont surtout leurs droits à la pension pour cette contribution qui sont particulièrement élevés, puisque pour ces 4 mois d’activité, ils recevront 40% de leur salaire de base pendant 3 ans, soit près de 300 000 euros. 
Cet avantage s'applique à tous les commissaires, et il n’est pas conditionnel du temps passé à la Commission.
Selon Pieter Cleppe du think-tank bruxellois Open Europe, cette compensation de l'UE est totalement obsolète, et il affirme que les commissaires assurant des intérims ne sont pas censés pouvoir y prétendre.
L’année dernière, le Vice-président de la Commission, Maroš Šefčovič, avait expliqué au journal allemand Süddeutsche Zeitung que la politique de salaires élevés de la Commission permettait d’attirer les meilleurs talents.
« Mais payer des politiciens presque autant que des cadres dirigeants d’entreprises géantes, cela n’a rien à voir », dit Cleppe.
 Il pense que la Commission ne réalise pas qu’elle doit changer son système de rétribution. 
« Cela contribue seulement à montrer que beaucoup d’officiels de l’UE ne sont pas convaincus par le projet européen. Sinon, ils se rendraient compte que leur comportement nuit à l’image de l’UE. A partir de là, ils comprendraient que l’UE doit adapter son propre système de salaires pour s’adapter à celui des officiels nationaux. »
Elle forme une caste administrative, dans laquelle les vrais propriétaires à ce niveau de gouvernement, à savoir les États membres, ont perdu le contrôle ».
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
10 mai 2014 00:26

 

 

PETIT RAPPEL AVANT LES ELECTIONS EUROPEENNES !!!

A voir …… très forts les journalistes ! Scandaleux …. mais on le savait !!!!

A regarder absolument, jusqu’à la fin !

Et on vote pour ça !

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
7 mai 2014 12:42

Si Pierre Moscovici a préféré quitter le navire gouvernemental à la dérive, il n’est pas parti les mains vides

François Hollande s’est engagé à faire de lui le « choix de la France » (sic) pour la future commission “européenne”.

fleche1 En tant que commissaire européen, il percevra le très confortable salaire de 24.374 euros par mois.

fleche1 Ses seules « indemnités de résidence » représentent trois fois le salaire d’un employé au SMIC en France. 

fleche1 Il bénéficie en outre d’une prime de « frais d’installations » de 41.334,40 euros, soit plus de 3 fois le salaire annuel d’un smicard. 

fleche1 À l’issue de son mandat, il ne recevra que 20.667,20 euros pour ses frais de « désinstallation ». 

fleche1 Heureusement pendant de nombreux mois, il recevra des « indemnités transitoires mensuelles » comprises entre 8.266,88 et 13.433,68 euros.

Maintenant j'espère que vous comprendrez pourquoi il était vital de geler les retraites !!!

Si après ça, vous n’avez pas l’impression d’être pris pour un con, il faut consulter en urgence.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
6 mai 2014 09:09

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Dans la présentation du pacte de stabilité qui sera transmis à Bruxelles, le gouvernement écrit clairement qu’avec ce pacte, « le coût du travail pour les entreprises, déjà réduit par le crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE), sera à nouveau allégé pour porter la baisse totale à 30 milliards d’euros ».

Mais selon un article du Monde du 3 mai, les diverses aides aux entreprises fixées officiellement à 30 milliards d’euros, atteindraient en fait 41 milliards d’euros.

Aux 20 milliards d’euros du CICE, s’ajoutent la suppression de charges et la baisse des cotisations patronales (9 milliards d’euros), la baisse des cotisations d’allocations familiales des indépendants (1 milliard), la suppression de la contribution sociale de solidarité des sociétés (6 milliards), la suppression de la contribution exceptionnelle et la baisse progressive du taux d’impôt sur les sociétés (5 milliards). Soit au total 41 milliards d’euros pour les entreprises.

À ces 41 milliards accordées aux entreprises s’ajoutent "la solidarité" en faveur des ménages modestes, allégement des cotisations salariales sur les bas salaires et des mesures fiscales pour le bas du barème de l’impôt sur le revenu, soit 5 milliards d’euros de recettes en moins.

L’inquiétude du journal le Monde c’est que cette dérive rend " illusoire le respect des engagements budgétaires de la France envers Bruxelles". Ou alors il va falloir réduire encore plus les dépenses publiques.

Mais pour les travailleurs, cela suffit. Le refus du pacte de responsabilité a été au coeur des défilés du 1er mai souvent organisé en commun par la CGT, FO, Solidaires et FSU qui ont dit "non à l’austérité".

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
5 mai 2014 17:22

 

Rediffusion. Article initialement publié le 27 septembre 2011 à 9h26

L’humoriste Mathieu Madénian était ce lundi soir, l’invité de Morandini! sur Direct 8 en direct dans l’émission de 18h45..

_
Marine Le Pen me fait flipper. Quand je vois qu’elle fait 18, 20%. (…) Ça veut dire quand même qu’il y a 18% de fils de pute en France.
Mathieu Madénian

(…) Immédiatement le standard de Direct 8 a été pris d’assaut par des dizaines de téléspectateurs qui souhaitaient protester contre les propos de l’humoriste.

Vidéo censurée ? Visionner sur Rutube.

Source : Morandini.comMerci à Marino

27/09/11 : Mathieu Madénian présente ses « excuses ».

_
Je tiens sincèrement à m’excuser auprès de toutes les putes que j’ai pu froisser.
 

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5 mai 2014 01:16
Kozzi

 

Le 29 avril 2014 
 
   
À l’approche des élections européennes, il n’est pas mauvais de faire le bilan des promesses qu’on nous avait faites avec l’Europe de Maastricht. 

À l’approche des élections européennes, il n’est pas mauvais de faire le bilan des promesses qu’on nous avait faites avec l’Europe de Maastricht. Relisons donc les principes du préambule de 1992.

Maastricht §1.
 « RÉSOLUS à franchir une nouvelle étape dans le processus d’intégration européenne engagé par la création des Communautés européennes »…
Jusque là, rien de vraiment méchant, quoique le mot intégration évoque dangereusement la désintégration…

Maastricht §3. 
« DÉSIREUX d’approfondir la solidarité entre leurs peuples dans le respect de leur histoire, de leur culture et de leurs traditions »…
Cazeneuve (PS), ministre depuis le 2 avril 2014 : « Évoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une relecture historique frelatée qui a rendu la France peu à peu nauséeuse ». Ah bon, la France, la France réelle, traditionnelle, est “nauséeuse” ? 

Maastricht §4.
 « DÉSIREUX de renforcer le caractère démocratique et l’efficacité du fonctionnement des institutions, afin de leur permettre de mieux remplir, dans un cadre institutionnel unique, les missions qui leur sont confiées »…
Les Français (à 55 %) et les Néerlandais (à 62 %) ont voté NON en 2005. Où est la démocratie ?


Maastricht §6. 
« RÉSOLUS à renforcer leurs économies ainsi qu’à en assurer la convergence, et à établir une union économique et monétaire, comportant, conformément aux dispositions du présent traité, une monnaie unique et stable »…
Qui est trop chère de 30 %, qui tue notre économie et fabrique des millions de chômeurs et de pauvres, sans parler des autres pays.

Maastricht §7.
 « DÉTERMINÉS à promouvoir le progrès économique et social de leurs peuples »…
Pourquoi fait-on exactement le contraire ? Où est le progrès économique et social ?

Maastricht §9.
 « RÉSOLUS à mettre en œuvre une politique étrangère et de sécurité commune, y compris la définition à terme d’une politique de défense commune qui pourrait conduire, le moment venu, à une défense commune, renforçant ainsi l’identité de l’Europe et son indépendance afin de promouvoir la paix, la sécurité et le progrès en Europe et dans le monde »…
En faisant une guerre absurde en Libye ? En armant des djihadistes en Syrie et en provoquant une Troisième guerre mondiale en Ukraine ? Où est la paix promise par cette Europe ?

Maastricht §12.
 « RÉAFFIRMANT leur objectif de faciliter la libre circulation des personnes, tout en assurant la sûreté et la sécurité de leurs peuples, en insérant des dispositions sur la justice et les affaires intérieures dans le présent traité »…
Et pour Lampedusa, les Roms, les réseaux mafieux, etc. qu’est-ce qu’on fait ?

Maastricht §13. 
« RÉSOLUS à poursuivre le processus créant une union sans cesse plus étroite entre les peuples de l’Europe, dans laquelle les décisions sont prises le plus près possible des citoyens, conformément au principe de subsidiarité »…

Fallait oser : « les décisions sont prises le plus près possible des citoyens ».

 C’est énorme, non !

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
5 mai 2014 00:06

28 pays, 400 millions d'électeurs, 751 sièges à pourvoir... Le scrutin d'ampleur qui se déroulera à la fin du mois de mai 2014 va permettre aux citoyens européens de désigner les députés qui représenteront leurs intérêts au  européen, à Strasbourg, pour les cinq prochaines années.

Quand aura lieu le scrutin ? Qui peut voter ? Quelles seront les conséquences de ces ? Voici le mode d' de ce rendez-vous électoral européen incontournable.

Quand aura lieu le scrutin ? 
Les élections européennes auront lieu entre le 22 et le 25 mai 2014 dans les 28 pays membres de l'Union européenne (UE). Chaque État membre dispose de ses propres lois électorales et chacun décide du jour où les citoyens se rendront aux urnes au cours cette période. Les Britanniques et les Hollandais ouvriront le bal le 22 mai, suivis des Irlandais le 23, des Tchèques, Lettons, Slovaques et Maltais le 24. A l’exception de certains départements et collectivités d’outre-mer*, les Français voteront eux le 25 mai, comme les électeurs de 22 autres pays.  
Les résultats des 28 pays seront annoncés au cours de la soirée du dimanche 25 mai.

Qui peut voter ? 
Tout citoyen d’un État membre de l’UE, âgé de 18 ans révolus, sauf en Autriche où l'âge électoral est de 16 ans. En France sont concernés les citoyens âgés d’au moins 18 ans la veille du jour de scrutin, domiciliés dans la commune où ils souhaitent voter et inscrits sur les listes électorales. 
Après, les règles diffèrent selon les pays pour les non ressortissants qui souhaitent voter dans leur pays d'accueil. En France par exemple, seuls peuvent voter les ressortissants communautaires ayant le droit de vote dans leur Etat d’origine, domiciliés dans la commune où ils souhaitent voter, et inscrits sur les listes électorales complémentaires. La Suède demande, elle, que l’électeur séjourne de manière habituelle sur son territoire.
Les règles varient aussi selon les Etats pour les ressortissants non-résidents qui souhaitent voter dans leur pays d'origine. Ainsi, la France accorde le droit de vote à ses ressortissants quel que soit leur pays de résidence. L'Allemagne accorde pour sa part le droit de vote aux citoyens qui résident dans un autre pays depuis moins de vingt-cinq ans. 

Combien de députés européens ?
Le Parlement européen, actuellement composé de 766 membres, sera composé de 751 députés à l'issue du scrutin de 2014. Le seuil minimum est de 6 députés par État membre, et aucun ne se voit attribuer plus de 96 sièges. Ainsi l'Allemagne, pays le plus peuplé, en élit 96, la France arrive juste derrière avec 74 députés européens, et juste devant l'Italie et le Royaume-Uni qui en élisent 73 chacun. Le Luxembourg, l'Estonie et Chypre et Malte envoient pour leur part 6 députés.

Les sièges sont attribués par les traités sur la base de la proportionnalité dégressive : ceux dont la population est plus importante possèdent davantage de sièges que les pays dont la taille est plus modeste, mais ces derniers ont plus de sièges que ne le permettrait la stricte application de la proportionnalité. 

Pourquoi ces élections sont-elles différentes?
Ce sont les premières élections organisées depuis que le traité de Lisbonne de 2009 a conféré au Parlement européen plusieurs nouveaux pouvoirs importants. Cette édition 2014 verra donc l'entrée en vigueur du nouveau mode de calcul dans la répartition des sièges par pays. Mais surtout, c'est une petite révolution institutionnelle : pour la première fois, le vote des Européens devrait déterminer qui occupera la présidence de la Commission européenne. Car, selon le traité, le nouveau titulaire de ce poste central des institutions européennes devra être choisi «en tenant compte des élections au Parlement européen». Six candidats sont en lice (dont un tandem pour les Verts) pour succéder à José Manuel Barroso : Jean-Claude Juncker (Parti populaire européen, PPE) ; Martin Schulz (Parti des socialistes européens, PSE) ; José Bové et l'Allemande Franziska Keller (Verts européens) ; Guy Verhofstadt (Démocrates-libéraux, ADLE) ; Alexis Tsipras (Parti de la gauche européenne, PGE). 

CARTE INTERACTIVE. Le nombre de députés européens par pays
elections europe
(LP/Sébastien Lernould)
Cliquez sur la carte pour obtenir le nombre de députés par pays

Le vote aura lieu en Polynésie française, à Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Martin, Saint-Barthélemy, dans les départements des Antilles et de la Guyane le 24 mai, ainsi que dans les bureaux de vote ouverts par les ambassades et les postes consulaires situés sur le continent américain.

LeParisien.fr

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
3 mai 2014 00:37
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Mme Jutta Urpilainen, ministre finlandaise des finances

NOUVEAU COUP DE THÉÂTRE SUR L'EURO-TITANIC !
Le bobard de "l'Apocalypse en cas de sortie de l'euro" s'effondre.

Par une déclaration fracassante - qui sera probablement cachée elle aussi à nos compatriotes par les médias à la botte des "euro-fascistes" -, la ministre finlandaise des Finances en personne, Mme Jutta Urpilainen, vient d'annoncer ce matin, dans le quotidien financier Kauppalehti, que :

« La Finlande ne s'accrochera pas à l'euro à n'importe quel prix et nous sommes prêts à tous les scénarios, y compris à abandonner la monnaie commune européenne ».

Et elle enfonce le clou :

« La responsabilité collective pour les dettes (...) et les risques d'autres pays n'est pas ce à quoi nous devons nous préparer. Nous sommes constructifs et nous voulons résoudre la crise, mais pas à n'importe quelles conditions ».

La Finlande, qui est l'un des derniers pays de la zone euro à bénéficier d'une note de crédit triple A, entend se battre pour la conserver.
 

À LA DIFFÉRENCE DU GOUVERNEMENT FRANÇAIS, LE GOUVERNEMENT FINLANDAIS DÉFEND LES INTÉRÊTS DU PEUPLE FINLANDAIS FACE AU DÉLIRE EUROPÉISTE

Ce n'est à vrai dire pas tout à fait nouveau de constater que le gouvernement finlandais a à cœur de défendre les intérêts... du peuple qui l'a élu !

Vu de France, cela paraît incroyable, non ?

Ce petit pays de 6 millions d'habitants ne possède guère de richesses naturelles, à part des milliers de km² de toundra et de lacs. Et le peuple finlandais ne voit pas pour quelles raisons il devrait se saigner aux quatre veines pour aller rembourser les dettes d'autres pays, dont le patrimoine national est bien plus important que le sien.

1°) L'obtention de gages de la Grèce pour s'assurer que le peuple finlandais ne serait pas spolié

Ainsi, le gouvernement d'Helsinki avait déjà exigé, et obtenu, lors du deuxième plan d'aide à la Grèce l'an dernier, de conclure un accord bilatéral avec Athènes lui garantissant de récupérer les sommes avancées.

Comment ? Eh bien tout simplement en prenant ce que tous les banquiers exigent eux-mêmes lorsqu'ils prêtent de grosses sommes d'argent et qu'ils appellent une « sûreté réelle » : c'est-à-dire une hypothèque sur un bien immobilier, un nantissement sur des créances ou un fonds de commerce, etc. Bref : un gage sur un actif réel, qui permet d'être sûr d'être remboursé si l'emprunteur fait défaut.

On remarquera que le gouvernement français, en refusant de faire la même demande d'obtention de gages que le gouvernement finlandais, a donc accepté le principe que ce soit les contribuables français qui soient les dindons de la farce si la Grèce faisait défaut. Ce qui sera d'ailleurs le cas avec plus de 90% de probabilité.

2°) La demande identique formulée par la Finlande à l'Espagne et à l'Italie au dernier sommet européen

Même si les médias français ont, là aussi, organisé l'omerta, le Premier ministre finlandais Jyrki Katainen a mis les pieds dans le plat la semaine dernière, en demandant que l'Espagne et l'Italie émettent des « obligations sécurisées » plutôt que de demander aux autres peuples de payer à leur place.

Le Premier ministre finlandais savait particulièrement bien de quoi il parlait puisqu'il est lui-même ancien ministre des finances.

Et sa proposition obéissait à la même logique que celle que j'ai déjà décrite : pourquoi un peuple dont le patrimoine national est si modeste devrait-il payer les dettes de l'Italie, qui est un pays qui croule sous les richesses, notamment patrimoniales et artistiques ?

Pour bien comprendre la position d'Helsinki, il suffit d'imaginer un château, dont le châtelain, ayant perdu des sommes colossales au casino, demanderait au gardien de les rembourser à sa place, car il préfère quant à lui conserver ses tableaux de maîtres...

La Finlande est dans la situation du gardien : elles est d'accord pour prêter de l'argent au châtelain, mais à la condition que ces sommes soient gagées par le tableau de Titien ou de Claude Lorrain que celui-ci possède.

Bien entendu (et cela n'a pas été non plus porté à la connaissance des Français), le président du Conseil italien Mario Monti (et "Goldman Sachs boy") a refusé immédiatement cette proposition finlandaise : le châtelain italien compte bien faire payer le gardien et garder ses œuvres d'art pour lui.

Est-il besoin de le préciser ? Notre "socialiste" François Hollande a volé au secours.... du châtelain.

http://www.romandie.com/news/n/_Zone_euro_Helsinki_propose_des_obligations_
securisees_pour_les_pays_fragiles96280620122005.asp

3°) La Finlande a annoncé qu'elle bloquera l'utilisation étendue du futur MES, qui avait été présentée comme un changement et un triomphe des "pays du sud" dernier sommet européen

Le Premier ministre finlandais a annoncé, voici quatre jours (le 2 juillet 2012), que la Finlande empêchera le Mécanisme européen de stabilité (MES) d'acheter des obligations sur le marché secondaire, ce qui bloquera la mesure très hypothétique annoncée comme un triomphe lors du dernier sommet européen.

Car une telle décision requiert l'unanimité des membres de la zone euro, ce qui ne sera pas le cas.

Rendant compte du sommet de Bruxelles la semaine dernière, le Premier ministre finlandais Jyrki Katainen a en effet lancé cette bombe au Parlement d'Helsinki (sans que les grands médias français, là encore, n'en parlent à nos compatriotes) :

« À l'avenir, l'unanimité est nécessaire pour décider de tels achats et il semble que cette unanimité ne soit pas possible en raison de l'opposition néerlandaise et finlandaise ».

Un porte-parole du chef du gouvernement finlandais, Pasi Rajala, a ensuite précisé à l'AFP qu'Helsinki considérait que « faire des achats sur le marché secondaire n'avait aucun sens ».

http://www.romandie.com/news/n/UEHelsinki_veut_empecher_le_MES_d_acheter_des_bonds_
sur_le_marche_secondaire79020720121601.asp

 

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Jyrki Katainen
 
4°) L'obtention de gages de l'Espagne pour s'assurer que le peuple finlandais ne serait pas spolié

Enfin, hier 5 juillet 2012, la Finlande a annoncé l'ouverture prochaine de négociations bilatérales avec l'Espagne pour l'obtention du même type de garanties qu'avec la Grèce en échange de sa participation au plan de sauvetage des banques ibériques.

Là encore, le gouvernement finlandais protège les intérêts du peuple finlandais, à la différence du gouvernement français, qui, se refusant de faire la même demande d'obtention de gages auprès de Madrid, accepte donc le principe que les contribuables payent des dizaines de milliards d'euros pour sauver les banques espagnoles !
 

LA MINISTRE FINLANDAISE DES FINANCES EST LA PRÉSIDENTE DU SDP, QUI EST UN PARTI FRÈRE DU PARTI SOCIALISTE FRANÇAIS PUISQU'ILS APPARTIENNENT TOUS DEUX AU PSE (PARTI SOCIALISTE EUROPÉEN)

Cette déclaration de la ministre finlandaise des finances est d'autant plus embarrassante pour nos médias à la botte que cette femme politique intègre ne rentre pas dans les clichés de la propagande des euro-fascistes qui terrorisent les peuples par l'intimidation constante et par la diabolisation de toute idée de sortir de l'UE et de l'euro.

Mme Jutta Urpilainen, qui est une jeune ministre (37 ans), à peine plus jeune que le Premier ministre finlandais Jyrki Katainen (40 ans), n'est en effet :

- ni une "populiste",
- ni une "souverainiste",
- ni une folle,
- ni une raciste,
- ni une xénophobe,
- ni une antisémite,
- ni une nostalgique du IIIe Reich,
- ni une personnalité d'extrême-droite,
- etc.

Non. C'est la présidente du Parti social-démocrate de Finlande (SDP).

Lequel est membre du "Parti socialiste européen (PSE)", parti politique au Parlement européen regroupant les partis socialistes, sociaux-démocrates et travaillistes d'Europe, et notamment le Parti socialiste français. (Son groupe politique est le deuxième en taille au Parlement européen après les élections de 2004 et de 2009).

Par solidarité "socialiste" et parce qu'ils appartiennent au même parti européen PSE, le gouvernement socialiste français va-t-il approuver les déclarations de Mme Jutta Urpilainen ou la traîner dans la boue ?

Plus sûrement les instructions vont-elles être données pour organiser le verrouillage médiatique sur cette déclaration, afin que les Français soient tenus comme toujours dans l'ignorance de ce qui se passe.
 

CONCLUSION : UN GRAND PAS DE PLUS VERS LA DÉSINTÉGRATION DE LA MONNAIE EUROPÉENNE

La déclaration fracassante de la ministre finlandaise des Finances constitue un événement historique car c'est la toute première fois qu'un ministre des finances en exercice de la zone euro :

- annonce que son pays envisage de sortir de l'euro,
- et révèle que la sortie de l'euro est synonyme de sauvetage et non pas d'Apocalypse.

Ainsi, peu à peu, la vérité finit par s'imposer : ce sont les analyses de l'UPR, constamment identiques depuis la création de notre mouvement il y a 5 ans et 3 mois, qui sont les bonnes.

Tous nos adhérents peuvent ainsi se réjouir de constater qu'en dépit de tous les obstacles qui nous sont opposés par les européistes, les événements vont conduire de plus en plus, et inexorablement, notre mouvement sur le devant de la scène.

François ASSELINEAU

Site Internet : http://www.u-p-r.fr/
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Blog : http://www.francoisasselineau.fr

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
29 avril 2014 01:50

Addendum 23.04.2014 :

Trois invités pour la circonscription Est des européennes étaient réunis mercredi pour un débat organisé par Europe 1, LCI et Le Figaro: les têtes de liste UMP et FN, Nadine Morano et Florian Philippot, et la numéro deux de la liste PS et eurodéputée sortante, Catherine Trautmann. À un mois du scrutin, la campagne est lancée pour les candidats qui sollicitent les suffrages des électeurs de Champagne-Ardenne, Bourgogne, Lorraine, Franche-Comté et Alsace.

En l’absence de la tête de liste PS Édouard Martin, Catherine Trautmann a mis en avant la «chance» de voir un ancien leader syndicaliste «représenter les ouvriers et les artisans au Parlement européen». «Édouard Martin est un traître à sa cause», a répondu Nadine Morano.

Autre passe d’armes sur la question du traité de libre-échange transatlantique que l’Union est en train de négocier avec les États-Unis. Pour Trautmann, le Parlement européen sera très vigilant sur les conclusions de l’accord. «Nous avons conditionné le mandat de la Commission», explique-t-elle en rappelant les précédents de traités non adoptés par les eurodéputés. Philippot juge, lui, le traité «très inquiétant car il va faire sauter toutes les barrières». «Vous jetterez les ouvriers et les paysans dans le grand bain de la mondialisation», estime-t-il. «Philippot rime avec Maginot», lui répond Morano, qui rejette toute idée de protectionnisme, tout en souhaitant une «Europe qui protège». «Si nous ne mettons pas en place des règles de réciprocité, les Français ont de quoi être inquiets», dit-elle.

Le Figaro

Selon un sondage Ifop pour le Figaro, les intentions de vote dans la circonscription amplifient la tendance nationale, avec un Front national qui devance l’UMP et le PS.Avec 26% des intentions de vote, la liste FN conduite par Florian Philippot arrive en tête devant celle de l’UMP Nadine ­Morano, créditée de 24% des voix.

La liste PS-PRG, dont le numéro un est l’ex-syndicaliste Édouard Martin, ne recueillerait que 15,5% des suffrages et la liste EELV de Sandrine Bélier 12,5 %. […]

Selon ¬Frédéric Dabi, directeur du département Opinion de l’Ifop., cet écart s’explique par les spécificités de la circonscription: «Dans ces régions très touchées par la désindustrialisation, le vote frontiste a toujours été haut. Marine Le Pen y avait recueilli 22,4% des voix à la présidentielle, alors que son score national était de 18,3%. Elle obtiendrait 55% des suffrages des ouvriers, une catégorie où le FN est depuis longtemps en tête, mais rarement à ce point. »

L’extrême droite réalise aussi des performances inédites chez les 25-34 ans et les 35-49 ans, dont elle rafle 32% des voix. Dans l’Est, le Front national progresse donc bien au-delà de ses «segments» traditionnels, ce qui est logique étant donné le niveau qu’il atteint. En 2009, la liste de Bruno Gollnisch n’avait recueilli que 7,6 % des voix.[…]

Le Figaro

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
26 avril 2014 01:07

Les informations circulent de-ci de-là, l’eau frémit mais ne bout pas encore, les préparatifs vont bon train chez nos gouvernants et nos décideurs, en vue de donner un énième coup de poignard dans le dos des Français, et de mettre fin définitivement au peu qu’il nous reste de nos acquis sociaux.

Déremboursement envisagé pour les consultations chez le généraliste, suppression possible des aides personnalisées au logement pour les étudiants non boursiers et, plus récemment, la remise en cause du SMIC.

Début avril, Pascal Lamy, ancien commissaire européen socialiste et ex-directeur de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), dit vouloir plus de « flexibilité » en encourageant les jobs payés en dessous du SMIC.

Mardi 15 avril, c’est au tour du trublion Pierre Gattaz, président du MEDEF, de relancer le débat en proposant un « SMIC intermédiaire« . S’ajoute à cela la proposition de Jean-François Copé qui suggère, lui, la création d’un « SMIC jeunes ».

Ils pensent sans doute les Français trop cher payés. Il ne fait aucun doute qu’ils seront écoutés attentivement par nos dirigeants. Car, en réalité, Bercy ne fait qu’appliquer ce que lui dicte son véritable mentor, le MEDEF.

Eugène DelacroixLes européennes arrivent à grands pas. Il s’agira de bien voter, si l’on ne veut pas continuer à subir les desiderata des puissants irrévérencieux.

Une nouvelle cure d’austérité et non des moindres est à venir, 50 milliards d’euros sont à trouver au plus vite, ce sont les exigences de l’Union européenne. Alors pas question de tergiverser face aux ordres émanant de Bruxelles. Une fois n’est pas coutume, ce sont les classes moyennes qui vont devoir payer.

Compétitivité vis-à-vis des pays émergents employant à bas prix, recherche perpétuelle de la croissance, maximisation du profit, ils n’ont que ces mots-là à la bouche. L’humain n’est qu’un pion sans saveur, au service des puissants et du grand patronat.

Il se prépare un drame social majeur en France, avec la volonté de serrer encore davantage la vis, en nous confisquant nombre de droits sociaux. Concernant la possibilité de supprimer les APL aux étudiants non boursiers, le secrétaire d’État à l’enseignement supérieur Geneviève Fioraso a fait marche arrière ce lundi, suite à la forte mobilisation des Français. Il faudra agir de la sorte à chaque fois que le danger frappera à nos portes.

Les européennes arrivent à grands pas, ce sera l’occasion pour nous de nous faire entendre. Il s’agira de bien voter, si l’on ne veut pas continuer à subir les desiderata des puissants irrévérencieux.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
25 avril 2014 16:14

 

Le sondage CSA / BFM / Nice Matin confirme le séisme qui se prépare, le FN caracolant devant l'UMP et loin devant le PS, qui va sans doute recevoir une deuxième raclée en moins de 2 mois.

1)- FN : 24% ;
2)- UMP : 22% ;
3)- PS : 15% ;
4)- UDI-MODEN : 9% ;
5)- FDG : 7,5% ;
8)- EELV : 7%

Ce sondage mérite cependant d'être interprêté avec précautions, seulement 35 % des électeurs annonçant leur intention de participer au scrutin. Avec 65 % d'abstentionnistes annoncés à un mois du scrutin, le résultat final est encore très aléatoire, et dépend étroitement de la capacité de mobilisation de chaque famille politique pendant la campagne.

Ne pas crier victoire prématurément, donc, ne pas donner au pouvoir en place l'occasion de détourner l'élection en appelant comme à son habitude les Français à l'aide contre une hypothétique "menace extrémiste" ou un improbable "drame économique".

Bien au contraire, rassurons les ! 

Car il n'est pas question de CASSER l'Europe (elle l'est d'ailleurs déja !), mais de la RECONSTRUIRE autrement.

MOINS D'EUROPE ET MIEUX D'EUROPE ! 


On défendra d'autant mieux l'Europe que nous défendrons en priorité les intérêts de la France et de chaque nation de l'Union.

>> En premier lieu mettre un terme à ce criminel angélisme économique, qui consiste à libéraliser tous azimuts, tout en acceptant sans broncher le protectionnisme effréné des autres pays, en particulier des USA et de la Chine. 

>> Il faut cesser de légiférer de façon tatillonne sur la fabrication des fromages ou le calibre des prunes, en laissant chaque pays de l'Union libre d'organiser comme il l'entend sa production, sa consommation, et même sa santé et son mode de vie. 

>> "Moins d'Europe" doit devenir le mot d'ordre de l'Union. Inverser la problématique actuelle, les eurocrates cherchant constamment à élargir leurs domaines de compétences au détriment des souverainetés nationales.



Que la nouvelle Europe n'intervienne au contraire que quand et là où les pays ne peuvent (ou ne veulent) intervenir.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
24 avril 2014 11:44

Une enquête Ifop pour Le Figaro et Europe concernant les intentions de vote dans le Grand Est donne le FN en tête à 55% chez les ouvriers.

Je suis sûr que dans les sondages à venir dans d’autres régions on va avoir exactement le même tremblement de terre que celui auquel on assiste dans le Grand Est.


source : Europe 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
24 avril 2014 01:09
europexflagLe dernier soutien de l’UE pourra éteindre la lumière. Cette construction antidémocratique et antisociale n’a jamais été très populaire, mais les choses s’accélèrent depuis quelques mois. De nombreuses personnalités rattrapent l’opinion publique dans leur critique de la tour de Babel bruxelloise.

Feu sur l’Union Européenne !

La critique de l’Union Européenne n’est pas nouvelle. Les gaullistes, aujourd’hui représentés par Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Pierre Chevènement ou une gauche plus radicale (Frédéric Lordon, qui publie un nouveau livre « la malfaçon, monnaie européenne et souveraineté démocratique  » où il critique l’euro, au M’PEP,Jacques Nikonoff ou Aurélien Bernier, qui a théorisé le concept de « désobéissance européenne  » ou enfin François Ruffin, du Monde Diplomatique, qui a publié « Faut-il faire sauter Bruxelles ?  » aux éditions Fakir) ainsi que des intellectuels critiques contre l’UE, notamment Jacques Sapir et Emmanuel Todd ont toujours été en pointe dans ce combat,.
Mais depuis quelques mois, il semblerait que quelque chose se soit passée car les rangs des UE-critiques ne cessent de grandir.
Et le plus intéressant, c’est qu’une frange plus modérée semble virer sa cuti. Il y a le très bon livre de Coralie Delaume « Europe : les états désunis  », qui pointe toutes les défauts de l’UE. Olivier Berruyer, le blogueur N°1 en économie, dénonce la monnaie unique dans son dernier livre. Paul Krugman, comme de nombreux autres « prix Nobel d’économie  »éreinte la monnaie unique dans son dernier livre.
François Lenglet n’est guère plus indulgent dans son dernier livre. Et, après avoir réhabilité le protectionnisme, Franck Dedieu, de l’Expansion, et Benjamin Masse-Stamberger, de l’Express, ont publié « Casser l’euro pour sauver l’Europe  » (bientôt en résumé). Et Bernard Maris vient de rallonger cette liste.

 

L’UE rencontre le mur des réalités :
Suite sur : Agoravox
source
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
23 avril 2014 10:00

 

Si Pierre Moscovici a préféré quitter le navire gouvernemental à la dérive, il n’est pas parti les mains vides. 

> François Hollande s’est engagé à faire de lui le « choix de la France » (sic) pour la future commission “européenne”.

> En tant que commissaire européen, il percevra le très confortable salaire de 24 374 euros par mois.

> Ses seules « indemnités de résidence » représentent trois fois le salaire d’un employé au SMIC en France. 

>  Il bénéficie en outre d’une prime de « frais d’installations » de 41 334,40 euros, soit plus de 3 fois le salaire annuel d’un smicard. 

> À l’issue de son mandat, il ne recevra que 20 667,20 euros pour ses frais de « désinstallation ». 

>  Heureusement pendant de nombreux mois, il recevra des « indemnités transitoires mensuelles » comprises entre 8 266,88 et 13 433,68 euros.

Maintenant j'espère que vous comprendrez pourquoi il était vital de geler les retraites !

 

merci à pareo29

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
23 avril 2014 01:43

par  on 15 avril 2014 dans ActualitéAnalyses / Chroniques / Débatsuerss

europexflagLe dernier soutien de l’UE pourra éteindre la lumière.Cette construction antidémocratique et antisociale n’a jamais été très populaire, mais les choses s’accélèrent depuis quelques mois. De nombreuses personnalités rattrapent l’opinion publique dans leur critique de la tour de Babel bruxelloise.

Feu sur l’Union Européenne !

La critique de l’Union Européenne n’est pas nouvelle. Les gaullistes, aujourd’hui représentés par Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Pierre Chevènement ou une gauche plus radicale (Frédéric Lordon, qui publie un nouveau livre « la malfaçon, monnaie européenne et souveraineté démocratique  » où il critique l’euro, au M’PEP,Jacques Nikonoff ou Aurélien Bernier, qui a théorisé le concept de « désobéissance européenne  » ou enfin François Ruffin, du Monde Diplomatique, qui a publié « Faut-il faire sauter Bruxelles ?  » aux éditions Fakir) ainsi que des intellectuels critiques contre l’UE, notamment Jacques Sapir et Emmanuel Todd ont toujours été en pointe dans ce combat,.
Mais depuis quelques mois, il semblerait que quelque chose se soit passée car les rangs des UE-critiques ne cessent de grandir.
Et le plus intéressant, c’est qu’une frange plus modérée semble virer sa cuti. Il y a le très bon livre de Coralie Delaume « Europe : les états désunis  », qui pointe toutes les défauts de l’UE. Olivier Berruyer, le blogueur N°1 en économie, dénonce la monnaie unique dans son dernier livre. Paul Krugman, comme de nombreux autres « prix Nobel d’économie  »éreinte la monnaie unique dans son dernier livre. François Lenglet n’est guère plus indulgent dans son dernier livre.
Et, après avoir réhabilité le protectionnisme, Franck Dedieu, de l’Expansion, et Benjamin Masse-Stamberger, de l’Express, ont publié « Casser l’euro pour sauver l’Europe  » (bientôt en résumé). Et Bernard Maris vient de rallonger cette liste.

 

L’UE rencontre le mur des réalités :
Suite sur : Agoravox
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
23 avril 2014 00:05

Le leader du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, au Parlement de Strasbourg, mi-mai. Il y siège depuis 2009.

 

Jean-Luc Mélenchon, mauvais élève du Parlement européen ? Il suffit de poser la question à l’intéressé pour recevoir une volée de bois vert dont il a le secret. Et particulièrement lorsqu’on cite le classement VoteWatch, réalisé à partir des données du Parlement européen, et qui fait autorité pour mesurer l’activité des eurodéputés. Pourtant, la ligne de défense du chef de file du Front de gauche est complètement bancale. Explications. 

1. Mélenchon contre VoteWatch

Selon VoteWatch, M. Mélenchon est l’un des eurodéputés français les moins assidus. Il est classé 677e sur 764 pour sa participation aux votes, avec un taux de 70,01 % (sous les 50 %, un eurodéputé perd ses indemnités). En moyenne, les eurodéputés participent à 84 % des votes et les eurodéputés français à 83 % d'entre eux.

>> Lire : Les absences de l'eurodéputé Mélenchon

Des chiffres bien moins catastrophiques, cela dit, que ceux de Harlem Désir, nouveau secrétaire d’Etat aux…. affaires européennes, qui stagne à 50,15%, à la limite de la perte d’indemnités. L’eurodéputé français le plus assidu, l'UMP Jean-Pierre Audy, se classe 23e, avec une participation à 96,97% des votes. Marie-Christine Vergiat, qui siège avec M. Mélenchon au groupe GUE, a, elle, participé à 84,3% des scrutins.

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Sur son blogJean-Luc Mélenchon s’en prend volontiers à VoteWatch et à la presse, accusés de mentir en le faisant passer pour un eurodéputé peu assidu. Le site de classement ? « Financé par des lobbyistes », explique M. Mélenchon, évoquant pêle-mêle Georges Soros, « de grandes firmes », « des visages de la nouvelle social-démocratie ».  L'eurodéputé se défend des « allégations burlesques » et présente sa « façon d'être député » (voir image ci-dessous).

 

VoteWatch, qu'est-ce que c'est ? Une ONG, qui existe depuis 2009. Elle travaille de façon indépendante, mais compte dans ses membres des spécialistes du Parlement européen. Son financement est assuré par plusieurs organisations et groupes, dont, effectivement, la Open Society Foundation du milliardaire américain Georges Soros, par exemple. Tout est précisé sur le site.

VoteWatch ne fait pas d'analyse subjective ou de tribune à partir de son travail. Elle se base sur les données du Parlement européen pour classer les eurodéputés selon divers critères : participation aux votes, loyauté à son parti lors desdits votes, rapports signés, amendés, opinions rédigées, etc.

La méthodologie de VoteWatch est expliquée sur son site. Elle est relativement simple : il s'agit de compter. L’accuser d’être biaisé car  « aux mains des lobbies »semble donc incongru : le site utilise les chiffres officiels du Parlement européen. Et il ne discrimine pas les députés de gauche radicale :  une députée allemande membre du même groupe que M. Mélenchon, le GUE-NGL, est classée 15e pour sa présence lors des votes.

2. Mélenchon « premier des Français » selon un autre classement ?

Interrogé sur France 5 le 13 avril, M. Mélenchon assurait que VoteWatch ne tenait compte  que « d’une seule et unique chose : le nombre de fois où on bouge les doigts dans la machine à voter ». Et l’eurodéputé de préciser : « je suis, sur un autre site, le premier des Français pour les explications de vote (…) je fais ce que je peux ». 

 Quel est donc ce site dont M. Mélenchon fait une abondante promotion sur son blog d’eurodéputé ? Il s’agit de « MEP ranking ».

Ce site, plus simple que VoteWatch, existe depuis 2009. Son concepteur, un jeune homme nommé Miquel Català i Coït, milite pour la reconnaissance de la langue catalane. Il avait créé le site dans le cadre de projets destinés à attirerl’attention de la communauté européenne sur cette question linguistique.

Comme l'explique son fondateur, « MEP ranking » utilise exactement les mêmes sources de données que VoteWatch : celles du Parlement européen. Mais un critère distingue le site aux yeux de M. Mélenchon :

« Dans les médias, les "journalistes" répètent le refrain de ma supposée "présence épisodique" sans jamais recouper leurs sources, ce qui est pourtant une obligation professionnelle. Ils m'interrogent systématiquement en se servant du site VoteWatch. Or, ce site est financé par des lobbyistes. Il ne ne s'intéresse pas à l'activité réelle des députés européens, mais seulement à des éléments comptables que lui fournit gratuitement le Parlement européen ! Les "journalistes" ignorent (ou feignent d'ignorer) qu'il existe d'autres sites de classement, qui centrent au contraire leur attention sur l'activité réelle des eurodéputés. Et là, surprise pour les abonnés à VoteWatch ! Je suis parmi les députés les plus actifs de tout le Parlement européen ! »

En réalité, « MEP ranking » classe M. Mélenchon 39e. Et travaille avec quasiment les mêmes chiffres et méthodes que VoteWatch. Mais comment, avec des sources similaires, autant de différences ? La réponse tient en trois mots : explications de vote.

3. Mélenchon, champion de l’explication de vote

Qu’est-ce donc ? C’est très simple : un parlementaire européen peut intervenir en séance, ce qui est comptabilisé. Or, M. Mélenchon est un champion toutes catégories des interventions en séance : il se classe en 20e position sur « MEP ranking » pour ses speeches  : pas moins de 1 110 sur sa mandature, soit cinq fois le score moyen des eurodéputés français (209).

VoteWatch a choisi de ne pas prendre en compte cette donnée « interventions en séance » dans ses classements ; « MEP ranking », oui.

Or, que constate-t-on sur ce site ? Que c’est bien la seule activité où M. Mélenchon se distingue réellement. Il suffit d’aller sur sa page sur MEP Rankingpour lire les autres chiffres :

  • taux de participation aux votes 70 % (84 % en moyenne)
  • 46 questions posées (moyenne des eurodéputés : 127)
  • 40 motions déposées ou soutenues (50,97 en moyenne)
  • 0 rapport (1,46 en moyenne)
  • 0 rôle de rapporteur (19 fois en moyenne), six amendements sur des rapports (70 en moyenne)
  • 0  opinion (1,83 en moyenne)
  • 0 déclaration solennelle (1,54 en moyenne)

Bref, ce qui « sauve » l'activité parlementaire de M. Mélenchon, outre sa présence en plénières (il suffit de signer pour être noté présent, même si on n'est pas resté très longtemps), ce sont bien ses explications de vote.

 MEP Ranking affiche par ailleurs un outil permettant de mesurer la fréquence des interventions en séance dans le temps.

 

Fréquence des explications de vote de M. Mélenchon depuis le début de sa mandature, sur le site MEP Ranking

 

On constate une nette accélération des interventions en séance de M. Mélenchon après 2012 : du début de sa mandature, en 2009, au 30 décembre 2012, il avait fait 438 interventions, soit moins de dix par mois. Du 1er janvier 2013 à aujourd’hui, il en a réalisé 672, soit plus de 40 par mois !

4. L’astuce des questions écrites

Mais comment M. Mélenchon peut-il être aussi actif durant les séances et avoir un si mauvais classements aux votes ? C’est très simple : grâce à l’article 170 du règlement du Parlement européen. Voici ce qu’il prévoit :

« Lorsque la discussion générale est achevée, chaque député peut émettre, sur le vote final, une déclaration orale qui ne peut excéder une minute, ou une déclaration écrite de 200 mots au maximum, laquelle est reprise dans le compte renduin extenso des séances. Lorsqu'une proposition d'acte législatif ou un rapport sont inscrits à l'ordre du jour du Parlement conformément à l'article 138, les députés peuventdonner des explications de vote par écrit, conformément au paragraphe 1.

Les explications de vote, orales ou écrites, doivent avoir un lien direct avec le texte qui fait l'objet du vote. »

En clair, chaque eurodéputé a la possibilité de déposer une déclaration écrite courte à propos des votes, expliquant sa position, et qui sera inscrite au procès-verbal de séance. Et les données du Parlement européen ne distinguent pas entre intervention orale et écrite.

La technique est donc simple : pour donner l’impression d’une activité soutenue, il suffit d’envoyer (ou de faire envoyer par son équipe) suffisamment de mails d’explication de vote. Dans son dernier rapport sur l’activité des eurodéputés français, la fondation Robert Schuman expliquait d’ailleurs le mécanisme :

« Certaines astuces permettent "d'améliorer" ses statistiques de présence. On notera que les explications de vote sont reprises en tant qu'intervention par le Parlement alors que dans de nombreux cas il s'agit d'un courrier électronique justifiant une position sans aucune prise de parole réelle en plénière…  »

5. Sur 400 « explications de vote » de M. Mélenchon, 399 étaient écrites

Nous avons vérifié le cas de M. Mélenchon. Nous avons extrait, directement depuis le site du Parlement européen, les 400 interventions effectuées par M. Mélenchon entre le 20 novembre 2013 et aujourd’hui (soit l'intervalle maximum possible techniquement). Ces 400 interventions représentent donc plus d'un tiers du total de ses interventions en séance depuis le début de son mandat. 

>> Voir nos données ici 

Lorsque celles-ci sont en réalité un texte déposé en fin de séance, le compte rendu mentionne « intervention écrite ». 

Or, sur ces 400 interventions « en séance », M. Mélenchon en a effectué une seule à l’oral. Les 399 autres sont des questions écrites. En clair, il n’est jamais intervenu en séance autrement que via une explication écrite.

Prenons un exemple : la dernière session plénière du Parlement avait lieu les 2 et 3 avril. M. Mélenchon est marqué présent les deux jours. Il ne dit rien durant les séances, mais vote sur tous les textes présentés.

Pour ces deux jours, il a déposé pas moins de 84 explications de vote, toutes étaient formulées par écrit et non à l’oral, et toutes datées du 3 et non du 2.

Regardons maintenant le compte-rendu de la séance du 3 avril. Il fait 420 pages, mais seules les 50 premières sont consacrées à la séance elle-même. Tout le reste, ce sont les explications de vote par écrit des eurodéputés. Dont les 84 de M. Mélenchon.

Les explications de vote de l'eurodéputé ne sont cependant pas confinées à un compte-rendu de séance quelque peu confidentiel : il les publie également sur son blog européen, à la rubrique « analyse des textes votés en sesssion », un geste apprécié de ses partisans

 

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
22 avril 2014 01:04
Date: 
02/04/2014

 

L'Europe rétablit la peine de mort. Mais oublie de prévenir les peuples européens de ce rétablissement . Elle ne la rétablit pas pour les pédophiles ou les crimes de sang , non , ceux là resteront  exemptés de peine capitale ; elle la rétablit pour le crime  de contestation sociale ... plus précisément pour :

c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.»

Je vous laisse prendre connaissance de ce texte surréaliste publié au Journal Officiel du 14 Décembre 2007 , dans la plus stricte omerta médiatique. NON  malheureusement , ce n'est pas un hoax .  Le journal officiel ci-dessous est tout à fait consultable sur les sites officiels de l'Union Européenne 
 

Citation: 14.12.2007 Journal officiel de l'Union européenne C 303/17 FR

EXPLICATIONS (*) RELATIVES À LA CHARTE DES DROITS FONDAMENTAUX (2007/C 303/02)
 

Les explications qui figurent ci-après ont été établies initialement sous la responsabilité du praesidium de la Convention qui a élaboré la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne. Elles ont été mises à jour sous la responsabilité du praesidium de la Convention européenne, compte tenu des adaptations apportées au texte de la Charte par ladite Convention (notamment aux articles 51 et 52) et de l'évolution du droit de l'Union. Bien que ces explications n'aient pas en soi de valeur juridique, elles constituent un outil d'interprétation précieux destiné à éclairer les dispositions de la Charte.

 

TITRE I — DIGNITÉ 
 

  1. Les dispositions de l'article 2 de la Charte correspondent à celles des articles précités de la CEDH et du protocole additionnel. Elles en ont le même sens et la même portée, conformément à l'article 52, paragraphe 3, de la Charte. Ainsi, les définitions «négatives» qui figurent dans la CEDH doivent être considérées comme figurant également dans la Charte:

a) l'article 2, paragraphe 2, de la CEDH:
«La mort n'est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d'un recours à la force rendu absolument nécessaire:
a)  pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;
b)  pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l'évasion d'une personne régulièrement détenue; 
c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.

1. l'article 2 du protocole no 6 annexé à la CEDH:
«Un État peut prévoir dans sa législation la peine de mort pour des actes commis en temps de guerre ou de danger imminent de guerre; une telle peine ne sera appliquée que dans les cas prévus par cette législation et conformément à ses dispositions ...».    

http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:C:2007:303:0017:00… 

Cette surprenante autorisation , faite en violation totale de la plupart des lois des pays Européens, n'aurait-elle pas été inspirée directement de la législation américaine qui autorise encore la peine de mort dans certains Etats ,  et qui autorise une détention totalement arbitraire et illimitée en vertu du NDAA  décidé en catimini , le 31 Décembre 2012 Par le Président OBAMA lui même . 

Effectivement depuis 2007 , l'influence américaine s'est considérablement accru sur les résolutions Européennes .. en particulier une certaine résolution du 25 Avril 2007 , antérieure donc à la parution des modifications ci-dessus rétablissant la peine capitale. 

Cette résolution Européenne s'intitule : 

 
Citation: Résolution du Parlement européen du 25 avril 2007 sur les relations transatlantiques

Le Parlement européen ,
—  vu ses résolutions antérieures sur les relations transatlantiques, notamment ses deux résolutions du 1er juin 2006 sur l'amélioration des relations entre l'Union européenne et les États-Unis dans le cadre d'un accord de partenariat transatlantique(1) et sur les relations économiques transatlantiques UE/États-Unis(2) ,
—  vu la déclaration UE/États-Unis du 26 juin 2004 sur la lutte contre le terrorisme et la déclaration du 20 juin 2005 sur le renforcement de la coopération concernant la non-prolifération et la lutte contre le terrorisme,

http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?type=TA&reference=P6-TA-2…

La suprenante parution au JO  de l'union Européeene du 14 Décembre , s'octroie donc le droit de rétablir la peine capitale  pour de présumés "terroristes"  qui auraient de plus l'idée d'inciter à des émeutes ou à des insurrections .  

Ce fameux partenariat Transatlantique fait actuellement la Une d'un bon nombre de nos médias  , pour des raisons tout à fait objectives : personne ne sait de quoi il s'agit et tout le monde s'inquiète .

De nombreux aspects de nos vies quotidiennes sont affectées par ce fameux pacte . Qu'il s'agisse de notre alimentation avec les OGM ou les aliments carnés .. , de nos semences  , il paraitrait que très bientôt nous n'aurons plus le droit de cultiver nos potagers .. ou encore de notre énergie avec les autorisations que vient de consentir la Commission Européenne , pour les explorations et exploitations de gaz de schistes , contrairement aux recommandations du Parlement Européen lui même , ou encore de justice arbitrale qui n'est rien d'autre que la privatisation de la justice , la rendant ainsi totalement dépendante des lobbys  et faisant ainsi totalement disparaitre la notion inscrite en article 1 de notre Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen : 

Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit . 
 
Toujours est-il que textes  comme négociations sont restés totalement secrets ,  traitement parfaitement démocratique comme tout le monde le sait .. 

Heureusement certains sites de réinformation, comme celui de Contrelacour ,  très  au fait de ce qui se passe à Bruxelles,  s'inquiètent  de ces silences répétés  et avertissent sans relâche de ces dénis de démocratie  incessants .. pour ne pas parler de tentation totalitaire . 

Marché transatlantique : les gouvernements nationaux privés d’accès aux documents de la négociationou encore 

Marché transatlantique : le débat se focalise sur les tribunaux d’arbitrage au risque d’oublier le reste

Monsieur Karel de Gucht a d'ailleurs pris peur devant l'émotion populaire  provoquée  par ce manque d'informations .. Il n'a pas décidé pour autant de donner les informations , celles ci demeurent toujours secrètes .. Il a juste décidé de suspendre les négociations sur quelques points , dont la justice arbitrale , pour ne pas inquiéter les peuples Européens avant  les Élections européennes devant avoir lieu entre le 22 et le 25 Mai 2014 . 

Pourtant , ce partenariat transatlantique est assez bien décrit dans cette résolution d'Avril 2007 .. Il concerne à peu près tout ..  
- la politique étrangère Européenne et en particulier le proche Orient .. et bien sûr l'Iran .. La Syrie n'était pas encore à l'ordre du jour en 2007 !!!
- les visas 
- la gouvernance économique mondiale 
- les services financiers  et les mesures de régulation de circulation des capitaux "non contraignantes"  (sic)
- le rôle très particulier de l'Allemagne  dans l'économie et le commerce de ce nouvel ensemble
- l'environnement
- l'énergie 
- la propriété intellectuelle et la réforme des brevets
 

Ce texte est pour une fois assez clair .. Je ne peux que vous recommander de le lire . 

 

Il y a néanmoins un article sur lequel il me parait essentiel d'attirer l'attention .  Il s'agit de l'article 35 , dans la rubrique  

Citation: Cadre institutionnel et rôle du Parlement

35.  souligne que seule la participation plus large à tous les niveaux du Congrès des États-Unis, du Parlement européen permettra réellement de renforcer l'ensemble du processus et que les échanges interparlementaires existants devraient être graduellement transformés en une "assemblée transatlantique" de fait.

Si on essaie d'analyser ce recouvre le terme "d'échanges interparlementaires existants" , il ne s'agit vraisemblablement  de rien d'autre que de mettre un terme à l'existence de nos Parlements Nationaux .. donc de nos démocraties . 

C'est d'ailleurs très exactement ce qui se passe depuis plus d'un an avec ce fameux pacte puisque les parlements nationaux ne sont plus consultés  . 
Ils ne l'ont pas été sur l'Union Bancaire Européenne  et sur  le rôle de la BCE  qui devient de plus en anti-démocratique  ,  vu le niveau de pouvoir qui viennent de lui être concédés par des technocrates  soumis aux lobbys .. 

Les Parlements  ne le seront pas plus sur le reste  jusqu'au jour ou les nécessités budgétaires feront prendre conscience de leur inutilité .. 

Le déficit démocratique de la zone euro : la liste de lecture des égarés 
 

Citation: Paul de Grauwe Citation: La BCE ne connaît d’autre loi que la sienne.
 
 

L’économiste belge Paul De Grauwe, plutôt europhile, est lucide sur la façon dont le traité de Maastricht consacre l’irresponsabilité de la BCE : 
 
 

Non seulement la BCE est à l’abri de politiciens, mais les statuts [de la BCE] l’ont également placée au-delà de la portée des règles démocratiques qui sanctionnent les mauvais comportements. [...] 
 

C'est bien une Europe hideuse , totalement irrespectueuse de tous nos fondements démocratiques , et en particulier celui qui impose  une  séparation des pouvoirs entre l'exécutif  et le législatif, qui est en train de se construire à nos dépens .    Le Gouvernement Hollande a essayé de devance l'appel avec son  projet de loi  heureusement refusé à l'unanimité par le Sénat , présenté le 15 Janvier dernier,  par le gouvernement  et voulant instituer une loi d'habilitation de réforme du Code Civil par Ordonnance .
C'est à dire les pleins pouvoir à l'exécutif , ce qui ne se pratique en principe que quand l'état d'urgence est décrété . 

Le Code civil désormais réformé par Ordonnance fin de la démocratie  

C'est une Europe qui veut mettre les peuples en esclavage , au service de multinationales   ou d'établissement financiers sans âme ni conscience ,  réduisant l'humain à une variable d'ajustement pour reprendre les termes d'un certain Lakshmi Mittal .. S'exonérant totalement du respect des lois qui nous gouvernent , comme le montrent les "amendes" de plus en plus fréquentes infligées aux banques américaines comme Européennes, amendes toujours inférieures aux profits retirés, qui ne sont jamais accompagnées de sanctions pénales ,  et dont les préjudices ne sont même plus calculés ,  comme ceux concernant la fraude sur les taux ou sur les dérivés  ou encore les manipulations des prix des matières premières (énergie ou agriculture) . 

 

Cette Europe qui rétablit une peine capitale sans même prendre la peine d'en informer les populations concernées.. dont l'incohérence est capable d'exiger une uniformisation de légumes consommables, mais  qui est incapable de mettre en place une régulation de capitaux  et de  la fiscalité en particulier sur les entreprises .. comme viennent encore récemment de le démontrer les dernières découvertes concernant  Mac Donald, Apple, Star Bucks , Paypal , Google . 

Je crois que le bon sens populaire pour reprendre une expression chère à un certain Général de Gaulle , doit nous faire nous rassembler   de toute urgence pour refuser cette Europe  .. Quelques soient nos opinions politiques  .. quelques soient nos appartenances , pour nous comme pour nos enfants. 

Car lorsqu'elle sera définitivement en place , il sera trop tard .. et je n'aurais sans doute plus le droit d'écrire un tel texte ..

 

 

source

 

 

Source: 
Blogs.mediapart.fr
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Europe
22 avril 2014 01:00

Dans une interview sur les nouvelles menaces en Europe et la dégradation de la situation ukrainienne, le chef de l’armée suisse est revenu sur sa traditionnelle armée de milice et son fonctionnement. Au delà de la formation militaire de ses citoyens, il a insisté sur la résilience nécessaire à la population en cas de crise.

Au vu de la situation de sécurité plus incertaine ces dernières années, le chef de l’armée André Blattmann s’est remis aux réserves de guerre. Il stocke chez lui de l’eau minérale, des conserves et du bois de cheminée. Dans une interview au « Schweiz am Sonntag », il a dévoilé ses réserves privées.

« Je suis sensible aux nouvelles menaces depuis deux ou trois ans », a indiqué le chef de l’armée. Le responsable, interrogé sur des questions de sécurité et l’achat du Gripen, rappelle l’importance des réserves de guerre.

L’important, c’est l’eau. L’eau non gazéifiée. Il en a 30 ou 40 six packs de bouteilles en plus d’une citerne à eau. Une personne a besoin d’au minimum huit litres d’eau par jour pour boire, cuire et laver. « Imaginez ce dont a besoin une famille pour tenir quelques jours », dit-il.

André Blattmann aimerait bien que son exemple serve aux citoyens: « Peut-être n’est-il pas inutile de dire aux gens qu’il est bon d’avoir quelques réserves pour un cas d’urgence à la maison ».

Tribune de Genève

 

source

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