La frontière tchéco-autrichienne se referme. Partie intégrante du " rideau de fer ", jusqu'en 1989, elle était étanche pour empêcher les Tchèques et les Slovaques désireux de fuir le paradi...
« Première phrase : “Personne ne vous a invités chez nous.” Deuxième phrase : “Si vous êtes déjà là, vous devez respecter nos coutumes, comme nous respectons les vôtres lorsque nous venons chez vous.” Troisième phrase : “Si ça ne vous plaît pas, retournez chez vous !” » Dans une interview publiée le 4 août dans l’hebdomadaire tchèque Reflex, il est allé encore plus loin en déclarant : « Il n’y a pas de musulman modéré, c’est un oxymore ou contre-sens, du genre de nazi modéré. » Une forme d’hystérie xénophobe collective Les politiciens, à quelques exceptions près, soulignent les dangers liés à l’afflux des réfugiés en Europe ; certains affichent leur préférence pour les immigrés ukrainiens « qui nous sont proches et par leurs origines et par leur amour du travail » (dixit le président Milos Zeman), d’autres privilégient l’accueil des chrétiens du Proche-Orient (dans le pays le plus athée d’Europe !).