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david MIEGE
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28 septembre 2016 15:29

C'est sans doute pour pouvoir continuer à mentir aux français en toute impunité que le gouvernement veut entraver la liberté d'expression des défenseurs de la vie. 
Ce totalitarisme désormais ouvertement assumé, expression d'une radicalisation idéologique, peut pourtant être démasqué assez facilement pour ceux qui ce donnent la peine de se renseigner objectivement. Ainsi, sur le site gouvernemental dédié à l'IVG (sic), on peut voir cette vidéo hallucinante où un "médecin obstétricien" ment ouvertement en déclarant que le syndrome post-avortement n'existe pas.


QUESTION 27 - Y a-t-il des conséquences... by affairessociales-et-sante

41zAZMaRM-LOr, tout le monde sait désormais que le syndrome post-avortement est parfaitement réel et les millions de femmes qui ont malheureusement avorté pourraient en témoigner. Le Salon beige a plusieurs fois relayé des études scientifiques évoquant ce terrible syndrome mais il en existe beaucoup d'autres :

"Un article du très sérieux Lancet insiste sur la nécessité de l’accompagnement psychologique post-avortement. Monique Lecoufle, membre de la plateforme santé du FRS, propose une modification du livret du ministère, qui est en France à peu près la seule information donnée aux personnes qui vont dans les centres d’orthogénie. Ellepropose d’y informer les femmes du risque de syndrome post-avortement." [Source]

"Une étude menée par des scientifiques espagnols révèle que 80% des femmes ayant avorté souffrent de dépressionparmi lesquelles 40% ont songé au suicide. Et ce n'est pas le seul symptome post-avortement : 40% souffrent de disfonctionnement sexuel, 30% de toxicomanie(notamment les adolescentes), 60% changent de comportement ou deviennent irritables (70%)." [Source]

"Une nouvelle étude norvégienne mené sur un nombre de femmes assez réduit (120), compare les effets psychologiques de l'avortement et ceux d'une fausse couche : alors plus de femmes souffrent de troubles mentaux 10 jours après une fausse couche que 10 jours après un avortement, la proportion s'inverse ensuite. Entre 2 et 5 ans après, seules 2,6% des femmes ayant subi une fausse couche en souffrent encore, contre 18 à 20% des femmes ayant subi un avortement." [Source]

51iX0Qpu0XL__SX351_BO1,204,203,200_En outre, cet article de Gènétique de 2015 soulignait également que ce syndrome existe chez les hommes comme le montre également ce drame récent :

"Depuis 1975, l’avortement est une affaire de femme. C’est elle qui peut, seule et librement, décider de la suite qui sera donnée à une grossesse qu’elle ait été ou non désirée. La loi en effet, ne fait pas mention du géniteur, de celui qui, avec la femme, est aussi à l’origine de la vie qui éclot doucement. Pourtant, certains hommes n’en ressentent pas moins douloureusement les conséquences. Gènéthique attire l’attention sur cet aspect ingnoré de la question depuis 40 ans"

51YU48NlI5L__SX324_BO1,204,203,200_Pour se documenter sur le drame psychlogique de l'avortement, vous pouvez également lire ce livre-référence de Sabine Faivre : La Vérité sur l'avortement, qui étudie "le retentissement psychologique de l'avortement auprès de toutes les personnes impliquées dans cette pratique". Dépêchez-vous tant que le gouvernement n'a pas créeé un délit d'entrave littéraire à l'avortement...

Et il existe d'autres livres sur le sujet comme Cet enfant qui m'a manqué de Michel Hermenjat ou Quel âge aurait-il aujourd'hui ? : Le tabou des grossesses interrompuesdu docteur Stéphane Clerget...

 

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