Un expert en sécurité affirme que la solidarité et le soutien de la Nouvelle-Zélande envers sa communauté musulmane après l’attaque sont essentiels pour protéger le pays de toute attaque visant à venger celle de Christchurch.
Un haut responsable de l’Etat islamique a appelé à la vengeance après les attaques de vendredi contre deux mosquées de Christchurch qui ont tué 50 personnes.
Le New York Times a rapporté que le porte-parole de l’organisation terroriste, Abu Hassan al-Muhajir, a rompu six mois de silence pour appeler à des représailles.
Paul Buchananan, expert en sécurité, estime que les combattants de Daech revenant dans leur pays d’origine après leur défaite en Syrie représentent « une menace réelle ».
Toutefois, le niveau de la menace dépend de la façon dont la Nouvelle-Zélande réagit en tant que nation envers sa communauté musulmane.
(…) « Le massacre leur donne un outil de recrutement et un incitatif [vengeance]. La menace est réelle. »
« Mais la Nouvelle-Zélande pourrait être en sécurité si la population non musulmane se rassemble autour de la communauté musulmane. »
« Notre réaction en tant que nation déterminera le niveau de menace. »
New Zealand women showing solidarity with Muslim victims by covering heads. What about uncovered legs? Muslims hate those. There are other ways to sympathise with victims and protest terrorist acts. Wearing symbol of oppression not a good idea. pic.twitter.com/TQOQ1EIQrj
— taslima nasreen (@taslimanasreen) 24 mars 2019
New Zealand's women showing solidarity with Muslims after the mosque terrorist attack. They raised their index fingers, it means Allah is one, there is no god but Allah. Do they believe it? Anyway it is a symbol of ISIS terrorists. They raised index fingers while killing people. pic.twitter.com/XRYEPL2okd
— taslima nasreen (@taslimanasreen) 24 mars 2019