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david MIEGE
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5 août 2023 14:56

Une nouvelle étude menée par une équipe de recherche finlandaise a trouvé qu’il n’existe pas de preuves à l’appui de l’idée d’un changement climatique dû à l’homme. Les résultats de l’étude ont été corroborés par des chercheurs japonais.

Dans un article publié à la fin du mois dernier, intitulé « Aucune preuve expérimentale de l’importance du changement climatique anthropique », une équipe de scientifiques de l’Université de Turku en Finlande a déterminé que les modèles climatiques actuels ne tiennent pas compte des effets des nuages sur les températures, et c’est pourquoi ils surestiment à tort l’impact des gaz à effet de serre générés par l’homme.

Pourquoi le GIEC se trompe

Les modèles utilisés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) « ne peuvent pas calculer correctement la composante naturelle incluse dans la température globale » car « une forte rétroaction négative des nuages fait défaut dans leurs modèles ». Autrement dit, ils ne tiennent pas compte de l’impact naturel des nuages sur la température.

En tenant compte du facteur de couverture nuageuse et des émissions de gaz à effet de serre, les chercheurs ont constaté que l’homme n’a tout simplement pas beaucoup d’effet sur la température de la Terre.

Pas de changement climatique anthropique

Au cours des cent dernières années, la température a augmenté d’environ 0,1 degré Celsius à cause du dioxyde de carbone, et la contribution humaine était d’environ 0,01 degré Celsius, » notent les chercheurs.

Vous avez bien lu… 0,01 %.

L’étude poursuit :

Comme la part anthropique de l’augmentation du dioxyde de carbone est inférieure à 10 pour cent, nous n’avons pratiquement aucun changement climatique anthropique.

Si nous tenons compte du fait que seule une petite partie de la concentration accrue de CO2 est anthropique, nous devons reconnaître que le changement climatique anthropique n’existe pas dans la pratique.

Un centre de recherche scientifique japonais confirme

Le professeur Masayuki Hyodo, chercheur principal à l’université Kobe au Japon, confirme :

Cette étude [finnoise] est l’occasion de repenser l’impact des nuages sur le climat.

Lorsque les rayons cosmiques galactiques augmentent, les nuages bas augmentent aussi, et lorsque les rayons cosmiques diminuent, les nuages diminuent aussi, de sorte que le réchauffement climatique peut être causé par un effet opposé — « l’effet parapluie ».

L’effet parapluie causé par les rayons cosmiques galactiques est important lorsqu’on pense au réchauffement climatique actuel ainsi qu’à la période chaude de l’ère médiévale.

Selon Hyodo, les modèles climatiques politiques — y compris le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies — ne tiennent pas compte de cela dans leurs calculs.

Il existe d’autres sons de cloches

Il existe d’autres sons de cloche que ceux que les médias veulent bien vous laisser entendre. […]

  • Les températures sur Terre vont baisser jusqu’en l’an 2100 pour atteindre les niveaux d’un petit âge glaciaire, prédit Horst-Joachim Lüdecke, un scientifique de l’Université allemande de la Sarre, en Allemagne (Source : HuffPost)
  • Les températures vont baisser jusqu’en 2060, affirme Habibullo Abdussamatov, directeur de l’Observatoire russe de Pulkovo.
  • Le refroidissement a déjà commencé, et il pourrait se terminer dès 2030, annonce Anastasios Tsonis, directeur du Atmospheric Sciences Group à l’Université du Wisconsin.
  • « Le soleil, et non l’homme, réchauffe la terre », rappelait Lüdecke en 2011, exprimant de manière concise l’opinion émergente selon laquelle l’homme joue un rôle sans conséquence dans le changement climatique.
  • Une étude produite par un géoscientifique de l’Université du Wisconsin-Madison et astrophysicien présente une explication des fluctuations des températures de la Terre qui met en lumière la complexité des forces à l’œuvre sur le climat de la Terre et tout ce qu’il nous reste à en apprendre.
  • L’étude soutient que le cycle des changements climatiques au cours des millénaires est en grande partie le résultat des changements dans la quantité de rayonnement solaire, en partie causés par de petits changements dans les orbites de la Terre et de Mars.
  • Il y a deux ans, des chercheurs australiens ont conclu que la période de réchauffement actuelle de la planète était probablement attribuable aux tendances naturelles de la température qui ont précédé l’industrialisation humaine.
  • « Après avoir appliqué la plus récente technique de grandes données à six séries de températures approximatives de 2000 ans, nous ne pouvons pas confirmer que le réchauffement récent est tout sauf naturel — ce qui aurait pu se produire de toute façon, même s’il n’y avait pas eu de révolution industrielle, » a noté l’équipe australienne.

 » Notre nouveau document technique… sera probablement ignoré », avait écrit l’un des chercheurs. Il avait raison…

Le pot aux roses du GIEC

Notez bien ceci, c’est probablement la révélation la plus intéressante. Elle a été faite en 2014 dans le Huffington Post par Lawrence Solomon.

Lorsque l’ONU a créé le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat en 1988, il a reçu le mandat d’examiner les causes du réchauffement d’origine humaine.

Ce mandat prévoit donc que le GIEC doit ignorer l’influence du soleil sur le climat de la Terre.

C’est ce qu’ont appris les scientifiques lors d’une réunion du GIEC en 1992 :

À la surprise d’Eigil Friis-Christensen, chef de la division géophysique de l’Institut météorologique danois, il n’a pas été autorisé à présenter les résultats d’un article qu’il avait co-écrit dans le magazine Science et qui mettait en corrélation les taches solaires et les températures mondiales.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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