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david MIEGE
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7 août 2012 03:52

carte electoraleL’affaire des jeûneurs de Gennevilliers n’en finit plus de faire des remous. La municipalité communiste avait tout d’abord et à juste titre suspendu quatre éducateurs, Samir, Mehdi, Moussa et Nassim, en raison de leur refus de s’alimenter alors qu’ils avaient la charge d’encadrer des jeunes enfants durant un séjour sportif à Port-d’Albret dans les Landes.

La mairie, au départ soucieuse de la sécurité physique des enfants et rappelant un précédent où une conductrice avait provoqué un accident en raison de son jeûne et où des enfants avaient été blessés, avait fait signer aux éducateurs un contrat à durée déterminée en bonne et due forme, dans lequel ils s’engageaient à se restaurer durant leur journée de travail. L'article 6 dudit contrat stipule que l'animateur « veille à ce que lui-même ainsi que les enfants participant à la vie en centre de vacances se restaurent et s'hydratent convenablement, en particulier durant les repas » et doit être « en pleine possession de ses moyens physiques ».

Or, les animateurs contestent aujourd'hui le contrat qu’ils ont pourtant accepté et qu’ils ne respectent pas. Il y a faute professionnelle et rupture de contrat, point barre.

Leur avocat, Me Mohand Yanat, invoque lui le délit d'intention (très tendance depuis quelque temps) : « on a déguisé les choses. Ce n'est pas l'état de santé qui dérange mais le fait de pratiquer le ramadan », a-t-il jugé. En l’occurrence peu importe que les musulmans fassent le ramadan, c’est leur choix, à condition d'une part qu'il soit fait discrètement afin de ne pas influencer les enfants, et qu’il soit également prouvé que cette pratique religieuse ne présente aucun danger dans le contexte professionnel, sur les routes ou ailleurs. Or, toutes les études prouvent précisément le contraire. C’est donc bien la pratique du jeûne en tant que telle qui pose problème et non le principe religieux en lui-même.

Voilà encore une belle illustration de mauvaise foi. Tout est bon pour la charia.

La pratique du ramadan – ce que nos amis musulmans nomment non sans humour « le jeûne » - consiste à remplacer les repas normaux diurnes par un gavage nocturne. C’est la période où les entreprises dans les pays musulmans font « des profits exceptionnels ». On est donc loin, très loin, du jeûne purificateur et salvateur.

Chacun peut d’ailleurs constater la profusion d’emplettes et la surconsommation inhabituelle dans les supermarchés pendant cette période (30% de dépenses supplémentaires par rapport au reste de l’année – étude Solis du 12 juillet), ainsi que le battage associé à un gueuleton de réveillon qui se répète jour après jour, un mois durant. On imagine sans peine l’état comateux après des agapes se perpétuant du 1er janvier au 31 janvier. Eh bien le ramadan c’est pareil, avec pour conséquence un cafouillage désastreux du métabolisme aux conséquences médicalement fâcheuses.

Les résultats d’une étude de 2009 publiée par l’Institut du Monde Arabe des études sociales du Caire sur les comportements sociaux des fidèles pendant le ramadan montrent une productivité en baisse de 73,3 %. Dans le même temps, les pertes en termes de productivité sont colossales avec 1,4 milliards pour les Emirats Arabes et 2,4 milliards pour l’Arabie Saoudite (étude de consultants saoudiens sur la Productivité pendant le Ramadan).

Le site algerie360.com révèle « il y a des secteurs qui décident de libérer leur personnel, pour un congé mensuel pour éviter l’absentéisme, la nervosité, la somnolence qui peuvent être source d’accidents de travail par exemple ».

Sur un autre site algérien on nous explique que « tout passe pourvu que la journée soit la moins fatigante et la plus abrégée possible. Ainsi, le Ramadhan censé encourager le travail et le rendement  comme le stipule le Coran est paradoxalement  transformé en un mois de fainéantise et d’oisiveté », « le traitement des dossiers des citoyens par certaines administrations est reporté après le mois de Ramadhan. “Ki necherbou el-Maa”  (Quand on boira de l’eau) […] En plus des retards, les conflits et les bagarres dans le milieu du travail sont presque quotidiens. La principale cause, la mauvaise humeur, le manque de sommeil, de tabac, la soif ».

Même chose au Maroc où selon le journal L’Economiste « Dans la société marocaine, la privation alimentaire aidant, l’ambiance qui règne lors de ce mois est assimilée à un mois où toutes les excuses sont bonnes pour lever le pied », « lors du mois de Ramadan les nerfs sont à fleur de peau : les conflits sont quasiment inévitables », « ramadan est synonyme de bagarres ».

Lorsque l’on entend à longueur de temps nos dirigeants évoquer la « spiritualité » de l’islam, on a juste envie de sourire narquoisement face à cette profusion de témoignages édifiants venus tout droits de pays musulmans, donc incontestables.

« Tous les employés ont le regard vague et le geste lent » peut-on lire sur le site tunisien tunizien.net qui ajoute « Cela se complique à l’en croire à partir de midi. L’organisme ne suit plus : somnolence et nervosité apparaissent, alors, dans les ateliers. Ce sont les conséquences de la faim, de la fatigue due au jeûne et surtout au manque de sommeil ».

On raconte d’ailleurs que quelqu’un demanda un jour à Habib Bourguiba quel était l'écart entre les pays musulmans et le monde occidental. Bourguiba demanda un calcul du nombre de mois de ramadan depuis l'avènement de l'Islam, le total était à l’époque de deux siècles, après quoi le président déclara que cela correspondait précisément au retard des pays musulmans par rapport à l'avancée technologique de l'occident, car le mois de ramadan voit l’arrêt de toute production, qu'elle soit matérielle ou intellectuelle.

Même son de cloche au Sénégal « avec ce ramadan, je crève la dalle. Dès que j'ai faim, je tombe automatiquement dans les bras de Morphée », « ces ouvriers sont trop fainéants. Durant le ramadan, il suffit que j'aie le dos tourné pour qu'ils en profitent pour se muscler les pouces. Cela est inadmissible. Je ne tolère pas la nonchalance », « après 14 heures, je deviens inactif », « à force de veiller chaque soir, on a du mal à garder suffisamment d'énergie pour tenir toute la journée le lendemain ».

Une Algérienne dans un forum du site El Watan voit cela comme « Une vie au ralenti, faite de mauvaise humeur, de consommation effrénée, d'une productivité criminelle pour un pays qui a besoin de travailler, d'une religiosité de façade et trompeuse, des accidents de voitures mortels entre 17 h et 21 h. Ne faut-il pas réformer ce mois de ramadan? Ne jeuner par exemple que les vendredi de ce mois ? La question peut être posée ».

Sur El Watan toujours : « Bien que le régime de travail durant ce mois soit revu à la baisse et les horaires de travail soient réaménagés, plusieurs employés n’assurent pas leur rôle.[...] En plus de la «faim», la canicule n’arrange pas les choses. Les ouvriers souffrent du travail physique, pas du tout commode dans de telles conditions. Du coup, ils tentent, comme tout le monde, de gagner quelques minutes de repos ».

Des témoignages édifiants démontrant les conséquences que peut avoir la pratique du jeûne, a fortiori lorsqu'il s'agit de la sécurité de nos enfants.

Sans oublier ces quelques chiffres datant de 2007 (site El Watan, cf liens en bas de page) :

-       Accidents de travail : + 150% par rapport aux moyennes annuelles ;

-       Urgences médicales : + 300% ;

-       Accidents domestiques : + 250% par rapport aux autres mois de l'année ; 

-       Rixes et disputes causant des blessures : +400% ;  

-       Accidents de la circulation : + 42% ;

-       Petite délinquance : +220% ;

-       Rixes, disputes, voie de fait, agressions : + 320% ;  

-       Femmes et enfants battus au sein du foyer durant Ramadhan: +120%

L’encadrement d’enfants nécessite une pleine possession de ses capacités physique et intellectuelle ainsi qu'une vigilance de chaque instant, et la non absorption d’éléments vitaux, particulièrement en cette période estivale, ne permet évidemment pas d’exercer correctement et en toute sécurité la surveillance de jeunes enfants. Quel parent confierait son enfant à un animateur dont les facultés sont réduites ?

Le maire dhimmi de Gennevilliers, en revenant sur sa décision, est donc pleinement responsable des risques qu’il fait courir aux enfants dont il a la charge. Que fera t-il lorsqu'un enfant décèdera à cause d’un animateur en proie à la fatigue ? Se cachera t-il derrière le fameux "le risque zéro n'existe pas" ? Lui seul sera responsable devant les parents et c’est à lui qu’ils demanderont des comptes, pas au CFCM. Est-ce que M. Bourgoin justifiera le décès d’un enfant pour avoir éviter de froisser la susceptibilité de pseudos-religieux qui ont voulu imposer leur dogme ?  

Et que dire de l’exemple donné aux enfants, si perméables aux comportements des adultes qu’ils côtoient ? Montrer explicitement son appartenance à une idéologie est une manière sournoise de pratiquer le prosélytisme sur des êtres en devenir. Il est donc pour cette raison également inadmissible d'autoriser la proximité de gamins avec cette idéologie sexiste, homophobe, raciste et antisémite, qu'est l'islam. Inadmissible encore de montrer à nos enfants l'exemple du jeûne dont on connait les effets néfastes sur la santé, en les incitant implicitement à faire de même, avec le danger accru qu'une telle pratique leur ferait courir.

Comme à l’accoutumée les pleureuses de la « communauté musulmane » ont sorti les kalachnikovs oratoires : « discriminatioooon ! », « injustiiiice ! », « raciiiisme ! », « stigmatisatioooon ! », allant même jusqu’à l’énorme mensonge « les enfants d’immigrés marginalisés », quand on sait que tout est fait en France pour précisément tenter d’amener ces enfants-là sur le haut du panier en déployant moult infrastructures scolaires ou extrascolaires, sportives, pédagogiques ou sociales. La taqqyia a encore de beaux jours devant elle.

On voit donc que la bonne foi n’étouffe pas ces promoteurs chariatoïdes qui n’ont nul besoin qu’on les stigmatise puisqu’ils font cela parfaitement eux-mêmes, avec des coutumes instaurant un apartheid de fait, et une division entre les bons Français qu’ils sont et les mauvais Français que nous serions, oubliant juste au passage que ce sont les seuls non musulmans qui ont fondé la France, qui en ont fait le pays d’accueil dont les musulmans sont aujourd'hui très largement bénéficiaires. Cette France qui a ouvert la porte aux droits et à l’égalité des hommes et des femmes de toutes origines, cette si précieuse égalité que l’islam dénie en plaçant les musulmans au-dessus de tous les autres humains, à l’instar du racisme qui considère certains individus comme supérieur aux autres.

« Tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que d’autres » disait Orwell dans la Ferme des Animaux.

Le site Saphirnews.com, soucieux de faire feu de tout bois, va même jusqu’à cet aveu « incompréhensible pour une gauche qui défend des valeurs de tolérance d’autant plus que les musulmans votent en majorité pour elle ». Comme cela il est bien clair pour tout le monde que les musulmans attendent leur dû de la part des amis de F. Hollande, eux sans qui il n’aurait probablement jamais gagné les élections. La récompense promise est impatiemment attendue : charia pour tout le monde !

Le maire Jacques Bourgoin a donc décidé « dans un souci d’apaisement » de faire machine arrière en prétextant un « tollé ». Or, le seul tollé notable est celui des Français de plus en plus excédés par ces perpétuels et ostentatoires accommodements et autres jérémiades islamiques, et par l'absence de prise en compte prioritairement de la sécurité des enfants avant toute autre considération idéologique. Le CFCM, les syndicats et désormais la mairie de Gennevilliers, contrainte de se coucher sous la pression des islamistes, considèrent donc que la sécurité de nos enfants, de vos enfants, passe après les commandements coraniques.

Côté CFCM il ne s’agit pas de tollé mais clairement de menaces, puisque cet organisme à tendance totalitaire a menacé des tribunaux le méchant maire qui ose refuser la pratique de ce pilier de l’islam qu’est le ramadan.

Avec le CFCM, la charia c’est maintenant.

Par cette reculade M. Bourgoin renonce de fait aux responsabilités qui lui incombent et pour lesquelles ses concitoyens lui ont accordé leur confiance, préférant se soumettre aux lois des représentants d’allah.

Jeudi soir nous apprenions que le FBI (Front des Banlieues Indépendants) avait réclamé un RV avec lui pour qu'il rende des comptes à la « communauté musulmane dans son ensemble » sur cet « incident très regrettable ». On notera comme d’habitude la volonté de ladite communauté de se distinguer des autres Français : il y a les Français d’un côté et la communauté musulmane de l’autre. Comme ça c'est clair pour tout le monde, on ne mélange pas les cochons impurs avec les purs et pieux (sourires) musulmans.

La volonté du FBI était « d’expliquer » au maire pourquoi il devait appliquer la charia dans sa ville : « On a senti beaucoup d'incompréhension envers notre religion et notre volonté est d'expliquer un certain nombre de pratiques ». Les petits chefs islamistes avaient donc prévu d'intimider le maire d'expliquer certaines pratiques au maire de Gennevilliers, histoire de lui faire comprendre qu'il n'y a d'autre décideur qu'allah le tout puissant et que les lois de la République n’ont plus lieu d’être maintenant que M. Hollande est aux manettes.

 

RV raté de Gennevilliers

 

Or, nous apprenons que ce rendez-vous a été un gros bide puisque seulement une dizaine de personnes, dont le fameux Rachid Nekkaz, l'homme qui paie les amendes des niqabées verbalisées, sont venues à l'appel du FBI. On voit là que le fameux «tollé» a fait long feu. Le CFCM jugeant la récupération politique un peu trop évidente a choisi lui de se démarquer, préférant sans doute les voix de la justice - souvent favorables à une certaine communauté - aux voies plus impénétrables du  Front, lequel ne semble représenter que lui-même.

Hassan M'Barek, président du mouvement, celui-là même qui distribue des étoiles vertes à accrocher à son veston, a d'ores et déjà porté plainte pour discrimination contre M. Bourgoin et fait savoir, suite à ce déshonneur jeté à la face du monde islamique et médiatique, qu'il est très remonté contre le CFCM !

Je conclurais en disant que si ces animateurs se font renvoyer c’est peut-être parce que c’est la volonté d’allah.... à moins qu’allah ne soit responsable que des faits favorisant les seuls musulmans au détriment des autres, mais alors dans ce cas, on peut légitimement se demander quel dieu gère ce qui est défavorable aux musulmans et comment il est possible qu'il ait gagné sur ce coup-là. Y aurait-il un dieu qui soit « le plus grand » qu’allah ? Oh oh….

NB : je rappelle à toutes fins utiles que l’islam n’est pas une race, que les accusations de racisme ne sont que l’aveu d’une absence d’arguments dignes de ce nom. Je rappelle également que le délit de blasphème n’existe pas (en tout cas pas encore), et que par conséquent, s'il nous prend l'envie de dire que nous conchions le dogme islamique pour le message de haine qu’il véhicule c’est parfaitement notre droit. Les lois divines, la charia et les blasphèmes ne nous concernent en rien puisque nous vivons en démocratie et que nos aïeux se sont battus pour que nous, leurs descendants, ayons des droits et des libertés. Nos lois sont les seules valables dans notre pays, et si elles ne conviennent pas à certains de ces messieurs (je ne m’adresse pas aux dames puisqu'elles valent en islam moitié moins que les hommes), il peuvent aller pratiquer leur charia en Arabie Saoudite, au Qatar, au Koweit ou autres, ce ne sont quand même pas les dictatures islamiques qui manquent, que diable !

Si vous souhaitez exprimer quelques douceurs au maire de Gennevilliers, c’est ici : http://www.ville-gennevilliers.fr/outils/ecrire-a/

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