99,6 milliards d’euros.
C’est l’ampleur du déficit commercial français sur les biens pour 2023, dévoilé mercredi par les Douanes.
Il s’agit du deuxième le plus élevé de l’Histoire, derrière les 164 milliards d’euros de 2022.
Le gouvernement a déclaré rester vouloir continuer de pousser les entreprises vers l’internationalisation, pour permettre de dynamiser les exportations françaises.
Une façon polie de dire qu’on délocalise et brade notre industrie pour une bouchée de pain…
En 2023, les importations françaises ont reculé de 7,1 %.
En cause, la baisse du prix du pétrole et le retour à la normale des échanges d’électricité et de biens intermédiaires.
Les exportations, quant à elles, ont augmenté de 1,5 %, portées par des secteurs tels que l’aéronautique, l’automobile, le textile, les équipements électriques, les parfums, les produits agroalimentaires, la chimie, la métallurgie et la pharmacie.
Il serait temps que les déracinés qui dirigent notre pays déguerpissent, afin que nous puissions instaurer un vrai protectionnisme industriel et économique.
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