Nombre d'experts, tant en construction qu'en incendie, considèrent que l'incendie de Notre-Dame (15 et 16 avril 2019) procède d'un acte criminel. Cela notamment au regard de deux faits troublants.
Le premier porte sur le système anti-incendie qui avait été entièrement vérifié et validé quelques jours avant l'incendie. Le second est sur les poutres : vu leur très grande dureté, leur très grand âge, leur traitement anti-incendie et leur nature, les poutres en chêne qui constituaient la majeure partie de la charpente, ne pouvaient pas s'enflammer avec simplement un court-circuit électrique, ni encore moins bien sûr un mégot de cigarette (thèses retenues par la version officielle).
La cause de leur embrasement et de leur combustion serait obligatoirement une source de chaleur hyper élevée et maintenue longtemps. Une telle source de chaleur qui ne peut être produite qu'avec des produits chimiques spécifiques, qui pour arriver à un tel résultat aurait dû être implantés à l'intérieur des poutres.
Toutefois, la thèse d'un acte criminel exige qu'il existe une réponse à « la » question qui s'impose, dès lors, en cette occurrence, pour l'accréditer : à qui profite le crime ? Ou alors, il faudra s'en remettre à l'opportunisme de situation qui, s'il n'y a pas crime, nous incite à évaluer l'effet d'aubaine et ceux qui en bénéficient ou s'en servent.
Cependant, un indice est apparu il y a quelques jours, qui va dans le sens de la théorie soit d'un crime, soit d'un comportement opportuniste à l'excès, qui soutient qu'il existe une réponse à cette question. Cette réponse est Emmanuel Macron.
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L'archevêque de Paris, Laurent Ulrich, et Emmanuel Macron, ont annoncé, vendredi, que six vitraux datant de Viollet-le-Duc, qui ont pu être extirpés des flammes et qui ont été parfaitement restaurés, vont être remplacés par des vitraux contemporains.
C'est illégal !
La France a signé la Convention de Venise de 1964. Celle-ci impose aux pays signataires, l'obligation de préserver les éléments historiques sans altération par des ajouts modernes.
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Il sera aussi bon de s'inquiéter du nombre d'églises qui ont brulé ces dernières années ainsi que les nombreux actes anti-chrétiens qui ont pris place dans le pays sans que l'État semble réellement s'y intéresser. Cela a d'ailleurs fait l'objet de plusieurs publications et d'un rapport (2022° de la sénatrice Isabelle Florennes qui rapportait que 857 faits antichrétiens avaient été commis en 2021.
Ce n'est donc hélas plus « Le temps des Cathédrales » https://youtu.be/EocLKUzsaoc qu'il convient d'accoler à Notre-Dame de Paris désormais, mais faudrait-il lui accorder « Le temple des cadres de Baal. » ?
Pour retrouver les vitraux originaux de Violet-le-duc, une pétition avait été lancée et cumule d'ores et déjà plus de 160 000 signatures.
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