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11 mars 2013 00:09

femme

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Michel Garroté, réd en chef –- Vivien Hoch sur son blog Itinerarium signale (liens vers la vidéo et vers l’article en bas de page) : « de courageuses jeunes filles envahissent le local parisien des Femen. Une dignité et une noblesse qui tranchent avec l’immoralité des harpies stipendiées.

Il y a quelques jours, une quinzaine de militantes du RF Paris ont envahi le local de la milice extrémiste antichrétienne Femen, grassement subventionnée par de discrets oligarques. Cette première action est une déclaration de guerre à la bêtise et à la haine qu’incarnent les Femen, sous le vocable trompeur de féminisme. Les Françaises sont dans leur très grande majorité plus proches des valeurs que défendent nos militantes, que de celles d’une minorité de bobos libertaires », conclut Vivien Hoch.

Ajoutons que la question de la femme dans l’islam n’est pas au programme de la Journée de la femme en France (cf. troisième lien en bas de page).

 

La vidéo :

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=fcmOAKnlICc

L’article :

http://www.itinerarium.fr/de-courageuses-jeunes-filles-envahissent-le-local-des-femen/

La femme dans l’islam :

http://fr.novopress.info/119528/de-bruxelles-a-strasbourg-comment-les-medias-sefforcent-de-nous-faire-prendre-des-vessies-pour-des-lanternes/

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Notre Galerie Photos Journée de la femme :

Tel-Aviv-sous-les-missiles

Femme à Tel Aviv refusant de mourir.

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Filles-libanaises

Femmes chrétiennes à Beyrouth (dans le réduit chrétien).

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israel-girl-1

Femme à Tel Aviv…

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Jeannette-Bougrab-1

Jeannette Bougrab musulmane éclairée à Paris.

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marion-marechal-le-pen

Femme française bientôt interdite de séjour dans son propre pays.

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Miss-Suisse-Romande-2

Femme suisse…

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Reproduction autorisée avec mention www.dreuz.info

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
10 mars 2013 03:34

 Après la Suède, pays qui a largement développé les crèches "qui traite de façon indifférenciée les garçons et les filles", c'est au tour de la France dont la première crèche basée sur ce modèle a été ouverte à Saint-Ouen, en Seine-Saint-Denis.

Par l'ouverture de la crèche Bourdarias, "l'objectif assumé" du gouvernement est de "lutter contre les préjugés 'sexistes' dans l'éducation pour promouvoir l'égalité homme/femme. En cause, selon [la ministre du Droit des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, et la ministre déléguée à la famille, Dominique Bertinotti] la liberté des enfants, qui serait contrainte par les modèles culturels basés sur la différenciation des sexes".

Par conséquent, il n'est "plus question [...] de proposer des jeux de filles aux petites filles et des jeux de garçons aux petits garçons". 
Dominique Bertinotti souhaiterait également "faire évoluer la formation de tous les professionnels de la petite enfance pour les sensibiliser à la question et se réjouit d'ores et déjà des initiatives visant à promouvoir l'indifférenciation des pratiques". 

 
La journaliste explique que "depuis avril 2009, les équipes de la crèche Bourdarias, formées avec un spécialiste suédois, pratiquent cette pédagogie abusivement nommée 'active égalitaire' ".

Par conséquent, les petites filles ne sont pas encouragées à jouer à la poupée et les petits garçons au bricolage, "on préfère plutôt encourager les pratiques inverses, quitte à pousser les enfants à aller contre leurs envies". Ainsi, "quand les petites filles se rêvent en princesse", le personnel explique qu'ils essayent "d'ouvrir l'horizon de la princesse en lui proposant du bricolage, mais sans l'empêcher de jouer à la princesse".

Pour la pédopsychiatre Stéphane  Clerget, "il faut proposer à chaque enfant d'être garçon ou fille à sa manière, sans nier la différence des sexes comme le font des partisans de la théorie du gender".

Mais la journaliste précise que "c'est pourtant bien la théorie du 'genre' qui est à l'oeuvre ici. Abusivement qualifiée de théorie, puisqu'elle n'aide en rien à penser le réel, mais à le contredire". Selon elle, "la crèche Bourdarias s'inscrit [...] bien dans un projet global du gouvernement à agir sur les modèles éducatifs pour promouvoir dès le berceau l'indifférenciation des sexes". 

 

 

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
10 mars 2013 03:33

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 François Dubet, sociologue, directeur d’études à l’EHESS et professeur à l’université Bordeaux-II-Segalen vient de publier : «Pourquoi moi ? L’expérience des discriminations».

« Les discriminations se raréfient, mais le sentiment de discrimination s’accentue . Nous discriminions probablement beaucoup plus autrefois mais le sentiment de ces discriminations s’est, lui, considérablement accru.

Jusque dans les années 1980, soit on ne «voyait» pas certaines discriminations, soit elles étaient jugées normales: souvenons nous de cette époque où le travailleur immigré était regardé comme un quasi «sous-homme», subissant infiniment plus de discriminations que son fils aujourd’hui. Pourtant, son fils se sent bien plus discriminé que lui.

« C’est que le fils de l’immigré est né en France, et il se sent un Français comme les autres. Ce qui n’était pas le cas de son père. » (…)

C’est toute la subtilité du sentiment de discrimination : pour se sentir discriminé, il est impératif de se définir d’abord comme égal. 

« Ce qui revient souvent dans la bouche des interrogés, c’est la surprise : la discrimination leur est « tombée dessus »… Eux qui se sentent si semblables aux autres, si comme-tout-le-monde, pourquoi diable les traite-t-on comme des êtres différents, des indésirables ? »

Les minorités affrontent rarement des discriminations agressives: ce sont plutôt des attitudes insidieuses, des préjugés. Cela se passe banalement: une personne noire se rend compte, dans un bus bondé, que personne ne s’est assis à côté d’elle… (…)

Nous sommes résolus à lutter contre les discriminations, mais personne ne semble encore prêt pour une seconde étape: tenir compte des caractéristiques culturelles, ethniques, religieuses du peuple français. (…)

« Peut-être est-il l’heure d’aller plus loin ? Et en tout cas de réaliser que la France ne sera plus jamais 100% blanche, hétérosexuelle et chrétienne. Et qu’un jour peut-être nous ne serons plus inquiets qu’une jeune Française porte un voile si elle l’a choisi, et paraît épanouie de le porter. »

Nouvel Obs et fdesouche

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
10 mars 2013 02:45

« Laissez-nous nous marier, adopter et procréer ! »

S'il est un argument qui a souvent été avancé à l’encontre de leurs opposants par les partisans du mariage, de l’adoption et de la PMA pour les couples de même sexe, c’est bien celui-ci :
« On ne vous enlève rien, on n’enlève rien à qui que ce soit, alors pourquoi résistez-vous ? On comprend que vous ayez manifesté pour défendre l’école libre car c’était pour préserver vos droits, mais pourquoi manifester contre les droits d’autrui ? »

[...]

Deuxièmement, l’ouverture de l’adoption aux couples de même sexe n’est pas sans conséquences pour les couples hétérosexuels souhaitant adopter, bien au contraire. Car, et il faudrait que ça se sache, les enfants à adopter sont une denrée de plus en plus rare. Depuis la généralisation de la pilule (et de l’avortement), le nombre d’enfants à adopter a diminué de façon considérable dans les pays occidentaux.

Les couples occidentaux se sont alors tournés vers l’adoption internationale, mais celle-ci se tarit aussi avec la nouvelle donne géopolitique. Dans les pays pourvoyeurs, le développement économique et l’émergence d’une classe moyenne signifie que de plus en plus d’enfants peuvent être adoptés dans leur propre pays. Qui pourra nier qu’il vaut mieux ne pas couper un enfant – qui plus est un enfant qui a déjà subi le traumatisme de l’abandon –  de ses racines et de sa culture ?

L’adoption internationale va bientôt se fermer encore plus pour tous les couples français en mal d’enfant car certains pays et non des moindres – Chine, Vietnam – refuseront de laisser leurs orphelins partir vers un pays où ils peuvent être adoptés par des couples homosexuels. Cela nuira à tous les adoptants français, comme les spécialistes de l’adoption ont essayé de le souligner dans un silence assourdissant. Car les activistes de l’adoption homosexuelle se fichent pas mal des conséquences pratiques de leurs revendications. C’est bien une victoire symbolique qu’ils veulent et ils ne se satisferont pas à moins.

« Laissez-nous nous marier, adopter et procréer ! »

Kiloutouf recrute 5000 femmes de 16 à 30 ans

Tant pis donc pour les adoptants hétérosexuels. Et tant pis aussi pour les adoptants homosexuels ! Car, et cela n’a pas été souligné, l’adoption était aussi de facto ouverte aux homosexuels avant la loi Taubira… moyennant quelques arrangements avec la vérité.

En France, il faut être célibataire pour pouvoir faire une demande individuelle d’adoption et marié pour faire une demande conjointe (le PACS ou la vie commune ne suffisent pas).

La solution pour les couples homosexuels était donc que l’un des deux fasse une demande individuelle puis, quand l’assistante-sociale venait visiter leur domicile – étape indispensable pour obtenir l’agrément délivré par le conseil général – de cacher le fait qu’il ou elle ne vit pas seul. Dorénavant, cette voie bien réelle d’adoption sera de facto fermée aux homosexuels et aux hétérosexuels.

D’après l’Agence française de l’adoption (AFA), des pays comme la Russie, souhaitant se prémunir contre l’adoption de leurs enfants par des homosexuels, risquent de se fermer à tous les célibataires. Les seuls pays qui acceptent de laisser leurs enfants être adoptés par des homosexuels sont les Etats-Unis (où les enfants adoptables à l’international ont plus de 7 ans et des pathologies lourdes), le Brésil et l’Afrique du Sud. Comme ces pays ne pourront pas répondre à la demande, le recours à la PMA risque d’exploser.

Devant l’opposition très forte suscitée par la loi Taubira, le gouvernement a dissocié la question de la PMA de celle du mariage et de l’adoption par des couples homosexuels. Cette question devrait être discutée plus tard dans l’année, lors de l’examen d’une loi sur la famille.

Là encore, il faut souligner que la PMA a un coût pour la société et que celui-ci est très élevé. Pourvu que la femme ait moins de 43 ans, la Sécurité sociale rembourse automatiquement et intégralement jusqu’à six inséminations artificielles et quatre fécondations in vitro – sans compter les transferts d’embryons congelés lors d’une FIV précédente qui sont tous remboursés sans limite de nombre. En cas de succès (c’est-à-dire d’accouchement), le compteur repart à zéro et la Sécurité sociale peut payer à nouveau de multiples procédures pour permettre au couple d’avoir un autre enfant. Or, une insémination artificielle coûte dans les 1000 euros et une FIV dans les 5000 euros (*).

La revendication d’un égal accès à la PMA pour les lesbiennes est donc essentiellement une revendication idéologique, celles-ci ayant déjà accès à la PMA et même à son remboursement par la Sécurité sociale si elles savent se débrouiller.

De plus, l’ouverture officielle de la PMA aux lesbiennes introduirait une nouvelle rupture d’égalité, une nouvelle insupportable « discrimination ». Les victimes ? Les homosexuels hommes, « privés d’utérus » qu’ils sont. Le recours aux mères porteuses (ce qu’ils appellent la GPA) risque fort de s’imposer alors. Avec la crise que nous connaissons et qui n’est pas près de s’arranger, les candidates seront nombreuses. Une enquête du magazine Zone Interdite diffusé sur M6 révélait qu’un homosexuel à la recherche d’une mère porteuse en France avait obtenu une dizaine de réponses en 6 mois – les candidates demandant entre 8000 et 25.000 euros pour une grossesse.

La menace de la sanction pénale (3 ans de prison et 45.000 euros d’amende) constitue, tant qu’elle subsiste, un garde-fou. Sinon ce job n’est-il pas plutôt plus lucratif que beaucoup d’autres et parfaitement compatible avec la garde de ses propres enfants à domicile ou la poursuite d’études ?

Comment payer tout cela ? Et si on euthanasiait les vieux ? Ou, plutôt, si on permettait aux « seniors » de « partir dans la dignité », grâce à la « sédation médicalisée » ? J’aimerais délirer, mais n’est-ce pas la prochaine grande loi sociétale que nous prépare le gouvernement ?

Cathy Cardaillac
2/03/2013

Polémia

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
8 mars 2013 02:29

Une proposition de loi, adoptée par les sénateurs, prévoit d’amnistier les syndicalistes qui s’adonnent à des détournements de fonds, du recel ou même des abus de confiance.

« Ce texte pourrait permettre aux élus du CE de la SNCF et d’EDF-GDF actuellement devant la justice pour malversations de s’en tirer sans condamnation« , prévient Pierre-Edouard du Cray, de l’association Sauvegarde Retraites.

[...] De quoi s’agit-il ? « Des destructions et dégradations matérielles commises au cours des mouvements sociaux, sachant que ce livre III est aussi beaucoup plus exhaustif et fait explicitement référence à tous les délits financiers : vols, détournements, abus de confiance, recel…« , relève Pierre-Edouard du Cray, de l’association Sauvegarde Retraites.

Or, la justice pénale doit justement se prononcer sur de tels délits dans au moins 2 dossiers brûlants. Le premier intéresse le comité d’entreprise d’EDF-GDF et sa Caisse centrale des activités sociales (CCAS) .

L’instruction, qui a duré 8 ans, a renvoyé en correctionnelle des structures et des proches du PCF et de la CGT pour desdétournements massifs.

Une autre affaire concerne le détournement supposé de fonds du comité d’établissement régional de la SNCF à Lyon au profit des organisations syndicales. [...].

Les syndicalistes qui se retrouveraient là aussi devant un tribunal, pourraient dès lors bénéficier de la loi d’amnistie.

Capital

A relire: (2002) Tollé à gauche sur le débat lancé par l’UMP sur l’amnistie des délits politico-financiers  (Article du Parisien: 06.07.2002, ici)

——————————————

Le Sénat a adopté mercredi une proposition de loi communiste d’amnistie des délits et sanctions pour des faits commis lors de mouvements sociaux. « Il s’agit, ici, de faire œuvre de justice » a déclaré la garde des Sceaux, Christiane Taubira. Le texte doit maintenant être adopté à l’Assemblée.

(…) RMC.fr

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
7 mars 2013 02:58

police.jpgIl y a victime et victime. Il y a DSK dont l’élection à la Présidence de la République aurait fait de 65 millions de Français les dupes d’une mystification encore plus énorme que celles que leur font subir quotidiennement leurs dirigeants politiques. Le voici maintenant « dégoûté » par des procédés « méprisables ». On s’acharnerait selon lui sur une victime à terre. Personne ne lui demandait de s’y rouler. Et il y a d’autres victimes qui méritent davantage d’éveiller la compassion, la révolte ou la résistance. Comme ces deux policiers tués par deux malfrats récidivistes et qui n’auraient pas dû croiser leur chemin si la justice fonctionnait correctement.

Or, la justice ne fonctionne pas correctement. C’est vrai qu’il y a un problème de moyens. Le ministre gère un petit budget et doit faire face à l’indépendance ombrageuse des magistrats et à la lenteur des procédures. La France est au 37e rang européen : elle a beau accroître le budget de la justice de 4 % par an, même quand tous les autres diminuent, elle est à la moitié des dépenses allemande ou britannique. Mais précisons : si la surpopulation pénitentiaire est parfois soulignée, ce n’est pas dû au taux d’incarcération français, inférieur à la moyenne européenne, mais à l’insuffisance du nombre de places.

Chaque fois que la gauche est arrivée au pouvoir, son angélisme idéologique lui a fait annuler les programmes de construction prévus par la droite. C’est là que se situe l’origine du mal : dans cette idéologie sociologisante des bobos qui préfèrent Michel Foucault à Alain Bauer. Elle règne sans partage à gauche, mais elle domine également chez les petits marquis des cabinets « de droite ».

Pour ces messieurs et ces dames, la délinquance est un accident de parcours dont le responsable n’est pas coupable, mais plutôt victime. Il a manqué sa rencontre avec la société. Il faut tout mettre en œuvre pour que cette rencontre ait lieu à nouveau, mais dans de meilleures conditions ! Ils oublient ce que disait Durkheim : le crime est une blessure infligée à la conscience collective. Une conscience qui doit être réparée, rassurée sur ses valeurs. Avec, pour les détenus de longue durée, l’obligation de travailler pour payer leur séjour et indemniser les victimes. Et pour les criminels« structurels » — ceux dont les policiers pensent que seul le séjour en prison peut les empêcher de nuire, des personnalités comme Dutroux ou Fourniret —, une mort sociale, faute de quoi ce sont des innocents, policiers ou non, qui seront condamnés à une mort physique.

La révolte des policiers, insuffisamment respectés, protégés, et démoralisés par l’impunité de multirécidivistes est un signal. Lorsque ceux dont Philippe Bilger souligne la splendide mission de Gardiens de la Paix en viennent à douter de leur mission, c’est la société elle-même qui perd confiance dans la légitimité de son ordre et dans sa raison d’être.

Christian Vanneste, le 3 mars 2013

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
28 février 2013 15:19

Mon enfant, tu me demandes
Pourquoi je suis triste en ce jour
C'est que derrière tes yeux amandes
Je vois le monde qui t'entoure

Un voile sombre a recouvert
Le pays qui t'as vu naître
On a passé la camisole
A la liberté cette folle

Comment serais-je radieux
Quand la censure crève les yeux
Que l'on baillonne des musiciens
Que l'on agresse des écrivains

À coup de lois liberticides
Des historiens partent en exil
On cède aux croyances stupides
On appelle à la guerre civile.

Mon enfant, reste pauvre de coeur
Mais ne mêle pas tes pleurs
Aux larmes des profiteurs
Car ces larmes sont des armes
Vois dans cette impudeur
La grimace des voleurs.

Aujourd'hui il faut que tu saches
Que ta famille est menacée,
Parce qu'elle refuse d'être lâche,
De mentir et de s'abaisser.

Tu subiras maintes brimades,
Calomnies et flots de haine,
Reniements de camarades,
Persécutions et blasphèmes.

Mon enfant garde-toi de trembler
Un jour c'est sûr, Babylone va tomber.
Fort et sage, résiste aux menaces
Loin du grand brassage
Des sexes et des races.

Hélas, malgré ton joli sourire
Mon enfant, je ne peux t'offrir
En ce jour, la liberté
En plus de mon amour.

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    *Vae Victis est une expression latine signifiant « malheur aux vaincus »

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
28 février 2013 03:37

Une liste de cinquante libertés, à conquérir ou à reconquérir, contre cinquante autres à défendre.

Par l'auteur de libertarianisme.fr

Voilà une liste de 50 libertés encore à conquérir ou reconquérir et de 50 libertés qui ont été obtenues et qu’il ne faut pas oublier de défendre. Cela concerne la France, mais la situation est très semblable dans la plupart des pays occidentaux.

Vous n’avez pas le droit de :

  1. travailler pour le salaire que vous voulez en accord avec votre employeur
  2. travailler la durée que vous voulez
  3. payer vos achats dans une autre monnaie que celle de votre pays
  4. créer votre propre monnaie
  5. payer en cash au delà d’une certaine somme même si le vendeur est d’accord
  6. échanger une marchandise contre de l’or
  7. pratiquer le métier de votre choix (brevets d’État…)
  8. créer un service de taxi
  9. donner vos biens librement
  10. choisir qui va hériter de vos biens
  11. consommer les substances que vous voulez
  12. décider du droit de fumer dans votre établissement
  13. choisir de mettre ou non votre ceinture de sécurité
  14. choisir l’éducation de vos enfants
  15. choisir votre assurance maladie
  16. choisir à qui et combien vous donnez par solidarité
  17. acheter des produits pétroliers au prix réel
  18. vendre un livre en dessous d’un certain prix
  19. choisir vos employés selon les critères de votre choix
  20. posséder des armes à feu
  21. se défendre soi-même
  22. épargner pour votre retraite selon votre choix
  23. immigrer dans le pays de votre choix
  24. exprimer toutes vos opinions librement
  25. construire sur un terrain qui vous appartient
  26. choisir l’apparence de sa maison
  27. aider quelqu’un à mourir si c’est sa volonté
  28. acheter et vendre des services sexuels
  29. rentrer chez vous à pied en ayant bu
  30. planter des OGM
  31. choisir sa propre sépulture
  32. fonder une ville avec une constitution garantissant la propriété privée
  33. acheter les ampoules de son choix
  34. acheter des produits d’un pays frontalier
  35. vendre de l’alcool sans autorisation
  36. faire du commerce de certains animaux
  37. choisir de contracter des dettes
  38. pour une victime d’un crime, limiter la sanction du criminel
  39. créer un syndicat représentant les salariés
  40. expulser immédiatement un locataire ne respectant pas le contrat
  41. passer un contrat de mariage sans l’État
  42. créer une université
  43. subventionner les industries de son choix
  44. choisir son assurance chômage
  45. acheter des médicaments ailleurs qu’en pharmacie
  46. jouir de votre pleine liberté sur Internet
  47. décider de la limitation de vitesse sur une route dont vous êtes propriétaire
  48. exploiter du pétrole dans votre sous-sol
  49. porter l’enfant de quelqu’un d’autre
  50. se faire inséminer artificiellement librement

Mais heureusement nous avons malgré tout obtenu la liberté de :

  1. disposer de son intégrité physique
  2. agir selon sa volonté (dans un certaine mesure)
  3. posséder des biens matériels
  4. être jugé avec des droits égaux
  5. exprimer nos opinions (dans une certaine mesure)
  6. fonder son propre journal
  7. éditer des livres
  8. créer sa propre entreprise
  9. acheter et vendre des marchandises de l’étranger
  10. vendre des marchandises aux prix de son choix
  11. pratiquer la religion (ou non) de son choix
  12. critiquer et de se moquer des religions
  13. construire un lieu de culte
  14. exercer la plupart des métiers librement
  15. voyager à l’extérieur de son pays
  16. avorter
  17. choisir sa contraception
  18. porter des pantalons pour les femmes
  19. se marier avec la personne de son choix
  20. vivre avec son orientation sexuelle
  21. avoir des relations sexuelles librement
  22. changer de sexe
  23. avoir le nombre d’enfants que l’on souhaite
  24. faire grève
  25. pour les femmes, travailler
  26. ne pas travailler
  27. faire des caricatures
  28. faire un prêt avec intérêt
  29. acheter et vendre des actions
  30. exposer et de discuter des théories scientifiques
  31. être indépendant de ses parents une fois majeur
  32. manger la nourriture de son choix en accord avec ses croyances
  33. avoir des opinions idiotes ou fausses
  34. débattre de ses opinions
  35. écouter de la musique
  36. utiliser les technologies de son choix
  37. se suicider
  38. se déplacer librement dans son pays
  39. choisir son fournisseur de gaz et d’électricité
  40. choisir son fournisseur de téléphone
  41. créer son entreprise de transport ferroviaire
  42. communiquer via Internet
  43. boire de l’alcool
  44. faire de la publicité
  45. créer sa propre radio ou chaîne de télévision
  46. adopter un enfant (plus ou moins)
  47. créer une association
  48. créer un syndicat ou un parti politique
  49. choisir son logement
  50. résilier un contrat

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
28 février 2013 00:08

 

Les pays scandinaves, et particulièrement la Norvège, ont été pendant des années les pays les plus progressistes en matière religieuse, comme en matière de mœurs, et notamment d’égalité des genres. L’idéologie du gender s’y était enracinée. Mais voilà…

Le documentaire ci-dessous, réalisé par un journaliste norvégien auprès de spécialistes des deux camps, a eu des conséquences radicales : suite à sa diffusion, fin 2012, le gouvernement a suspendu toutes les subventions aux recherches scientifiques sur la théorie du genre. Un document d’une quarantaine de minutes qui laisse en effet laisse peu de place au doute… et qui a détruit la théorie du genre en Norvège :

 

 

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
27 février 2013 03:19

CLAMART (NOVOpress Breizh) – Le syndicat SUD (Solidaires, Unitaires Démocratiques) proche des trotskystes du NPA n’a pas digéré que l’unité de soins psychiatrique du nouvel hôpital de Clamart porte le nom de Jean-Louis Vaudoyer (photo). Il « exige » donc que le bâtiment soit immédiatement débaptisé et renommé de façon démocratique ». SUD, ou  ”l’alliance de Tartuffe, de Trissotin et de Torquemada” (M. Mourlet).

 

Qui est cet écrivain qui scandalise autant l’extrême gauche en 2013 ? Poète, essayiste, décédé il y a un demi-siècle et bien oublié aujourd’hui, Vaudoyer avait été élu à l’Académie française en 1950. Mais ce que SUD ne lui pardonne pas c’est d’avoir été administrateur de la Comédie Française pendant l’Occupation. Même si l’on reconnait qu’il assuma cette fonction dans une période difficile avec dignité et efficacité et qu’il ne fût pas inquiété à la Libération, SUD parle d’un « affront » (sic) fait aux malades mentaux.

La polémique enfle, le Nouvel Observateur s’en mêle, les historiens de gauche aussi comme Jean-Pierre Azéma. On découvre – horresco referens – que Vaudoyer aurait dîné une fois avec le Maréchal Pétain ou pris le thé avec l’Amiral Darlan et qu’une troupe de Munich se serait produite à la Comédie Française sous l’Occupation. De quoi alimenter en effet les bûchers de la Sainte Inquisition chargée de veiller au respect de l’historiquement correct.

La direction de l’hôpital déclare pour sa part avoir fait les vérifications d’usage sur la vie de Vaudoyer avant de choisir son nom, en consultant Wikipédia. L’article de quelques lignes était alors bien neutre. Aujourd’hui c’est une des notices les plus fournies du site et presque entièrement à charge.

Le patronyme de l’unité de soins psychiatrique de Clamart est devenu aujourd’hui une affaire d’Etat. L’Académie française, la Comédie française, la Municipalité de Clamart vont devoir plancher sur la question. La direction de l’hôpital précise que si « l’histoire » donne des preuves de faits de collaboration avérés, le nom de l’unité sera changé. Cette affaire Vaudoyer rappelle les procès en sorcellerie par les nouveaux inquisiteurs dont furent victimes le prix Nobel de médecine Alexis Carrel, ou les frères Lumière, inventeurs du cinéma.

Des esprits malintentionnés pourraient faire observer que toutes les belles consciences d’extrême gauche, communistes et antiracistes ne trouvent rien à redire à l’encontre des municipalités qui continuent à baptiser des rues et places du nom d’authentiques staliniens comme Maurice Thorez, Jacques Duclos, Marcel Paul ou Benoit Frachon, sans compter les révolutionnaires français ou étrangers qui ont eu du sang sur les mains. Il est vrai qu’elles continuent toutes à penser comme l’ancien patron du PCF, Robert Hue, qui affirmait benoîtement en 1997 « qu’il est dérisoire et grotesque de réduire le bilan du communisme à une comptabilité macabre. »

Crédit photo : Agence de presse Meurisse, via Wikimedia, domaine public.

[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
26 février 2013 02:47

PARIS (NOVOpress via le Kiosque courtois) - La LMDE n’est pas seulement une mutuelle, c’est l’une des deux caisses de sécurité sociale à laquelle les étudiants doivent adhérer. Elle est donc incontournable. Ce qui est surprenant, c’est la façon dont les cadres issus de l’UNEF gèrent la LMDE.

D’après le rapport du commissaire aux comptes, 250.000 euros ont été distribués à la vingtaine d’étudiants issus de l’UNEF qui administrent la LMDE, certains touchant jusqu’à 2.200 euros par mois. La LMDE a aussi financé le congrès de l’UNEF, le festival étudiant contre le racisme organisé par le même syndicat, ou encore la branche lycéenne de l’UNEF, l’Union nationale lycéenne, pour un total de 200.000 euros.

Toutes ces activités partisanes n’ont rien à voir avec la mission d’une caisse de sécurité sociale ! Et ce n’est pas tout. Plusieurs rapports sont unanimes pour critiquer la mauvaise qualité des services rendus par la LMDE. Sans compter une dette de 65 millions d’euros. Les adhérents apprécieront.

Crédit photo : DR

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
25 février 2013 06:30
Par France Presse Infos - Le Gaulois
E Où est la justice sociale quand on repousse l'âge légal de la retraite alors que tout étranger de 65 ans n'ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à une retraite de 780 euros par mois, 5 ans après son arrivée ?¢
 

E Où est la justice sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la ferme n'a pas droit à ces 780 euros au prétexte que son mari et elle dépassent le plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?
E Où est la justice sociale quand la sécu en faillite continue de payer à l'étranger, sans le moindre contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires disparus depuis des lustres ?
E Où est la justice sociale quand l'Aide Médicale d'État soigne 220000 sans-papiers chaque année, à raison de 3500 euros par malade, alors que la sécu ne dépense « que » 1600 euros par affilié qui travaille et cotise ?
E Où est la justice sociale quand des étrangers bénéficient de la CMU et d'une mutuelle gratuite, alors que 5 millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop riches pour bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une ? 30% des Français avaient différé leurs soins en 2011 !
E Où est la justice sociale quand on sait que 10 millions de fausses cartes Vitale sont en circulation et permettent de soigner des milliers d'étrangers sous une fausse identité, au détriment des ayant-droit ?
E Où est la justice sociale quand la France entretient des milliers de polygames, certains d'entre eux percevant plus de 10 000 euros par mois sans travailler, alors que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le rouge ?
E Où est la justice sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire pour un logement social, alors qu'un jeune couple français doit attendre sept ou huit ans son premier logement pour avoir un enfant ?
E Où est la justice sociale quand on sait qu'un million de faux passeports, donnant droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de passeports biométriques soi-disant « infalsifiables » ?
E Où est la justice sociale quand un Français né à l'étranger doit prouver sa nationalité à l'administration, ce qui se traduit souvent par un véritable parcours du combattant, alors qu'on brade chaque année la nationalité française avec des milliers de mariages blancs ?
E Où est la justice sociale quand on veut donner le droit de vote aux étrangers, alors que nos élus ont confisqué aux citoyens leur « non » au référendum sur la Constitution européenne et que des millions d'électeurs, de droite ou de gauche, ne sont pas représentés au Parlement ?
E Où est la justice sociale quand on accueille chaque année plus de 200000 étrangers non qualifiés, dont notre économie n'a nul besoin, alors que la pauvreté augmente, que nous avons près de 5 millions de sans-emplois et que le chômage atteint déjà 40% chez la population immigrée ?
E Où est la justice sociale quand le contribuable finance des associations qui ne combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti-français est systématiquement ignoré et les plaintes classées sans suite ?
E Où est la justice sociale quand on condamne un journaliste pour avoir énoncé une vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs incitant à la haine ne sont jamais inquiétés au nom de la liberté d'expression ?
E Où est la justice sociale quand la délinquance explose et que les droits des voyous passent avant ceux des victimes ?
Car si l'intégration a totalement échoué, c'est tout simplement parce que nos dirigeants ont confondu antiracisme et acceptation de l'autre avec le renoncement à nos valeurs. Il ne fallait rien changer au « moule » qui a permis depuis des siècles à des millions d'immigrés de devenir des citoyens français. Les règles d'intégration qui ont fait leur preuve avec des générations d'immigrés, étaient la force de la France. La faute majeure de nos élus est de les avoir ignorées.¢

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
23 février 2013 00:08

Libre Journal de la promesse du 10/02/2013
Rémi Fontaine, assisté de François-Xavier du Besset, recevait Pierre Hillard, docteur en sciences politiques, professeur d’histoire, écrivain, essayiste, Antoine de Monicault, prêtre de Notre Dame de Bonne Nouvelle, et Maurice Caillet, médecin, ancien interne des hôpitaux de Paris, écrivain, pour une émission consacrée aux liens entre franc-maçonnerie et mondialisme.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
21 février 2013 03:10

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
21 février 2013 02:58

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Un enfant de 11 ans va subir une opération chirurgicale pour se faire enlever son pénis après avoir pris des hormones depuis l’age de 8 ans. L’enfant, élevé par un couple de lesbiennes, se sentirait une fille depuis toujours, selon ses mamans, qui lui font subir tout cela pour sa santé… Quand le progressisme sociétal couplé à un consumérisme maladif utilisent la science pour mettre en place Le meilleur des mondes…

Dans un avenir proche, nous serons enfin libérés de l’oppression homophobe de Dame nature et nous pourrons avoir fabriquer des enfants qui ressemblent à ce qu’on veut. Car enfin, vu ce que coutent les gamins, n’est-il pas normal qu’il correspondent exactement aux attentes de leurs parents consommateurs ?

Heureusement, les Californiens « sont en avance » sur nous, ils sont plus « tolérants » et comprennent que chacun doit pouvoir vivre sa vie comme il l’entend. Ainsi, non content d’avoir autorisé le mariage et l’adoption aux homosexuels, l’état permet aussi à des enfants de subir des opérations de changement de sexe.

Un couple de lesbiennes traite donc son fils contre sa terrible condition de mâle. Depuis ses 8 ans, Thomas Lobel, un petit garçon adopté acheté par un couple de lesbiennes, et désormais rebaptisé Tammy, subit donc un traitement hormonal pour enfin devenir une fille. Pour ses 11 ans, ses deux super mamans vont même lui offrir un vagin et lui faire découper son pénis. Happy Birthday ! Mais ne soyons pas médisants : les deux mamans font cela pour la santé de leur enfant qui se sent fille depuis toujours et qui risquerait fortement de se suicider à l’adolescence s’il ne dispose pas d’un organe féminin.

On imagine évidement qu’à 8 ans, vivant entre deux mamans lesbiennes, l’enfant aura eu tout le recul et le libre arbitre pour décider de subir des modifications hormonales et chirurgicales, dont aucun enfant au monde de cet age n’a connaissance…

Pour justifier la loi inique sur l’homoparentalité et le mariage gay, les progressistes donneurs de leçons nous expliquent que plusieurs pays le font déjà. Ils oublient, du coup, les dizaines d’autres pays qui refuseront toujours cette aliénation. Ils oublient, surtout, les exemples répugnants qui prouvent qu’il n’y a plus de limite une fois cette barrière sociétale explosée (mariage à trois au brésil, enfant de 8 ans bourré aux hormones pour ressembler à maman et maman…).

Mais chut ! Si vous osez poser la question des conséquences de l’ouverture du mariage et de l’adoption aux homosexuels, on considérera vos propos comme des « dérapages », vous serez considéré comme homophobe et plus personne ne vous prendra au sérieux. « On a le droit de ne pas être d’accord, mais il faut choisir ses arguments« , comme dirait Apathie…

Les monstres, les situations les plus sordides et la fin de notre civilisation, c’est maintenant !

La vidéo de l’enfant qui va servir de modèle à la France. Il (elle) fait envie non ?

Vive le progrès sociétal, vive les vaginoplasties pour des enfants de 11 ans adoptés par des couples de lesbiennes, et vive le Parti socialiste pour sa loi courageuse d’extermination de notre civilisation ! 


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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
21 février 2013 02:29

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Nouvel exemple de la propagande que les socialistes font subir à nos enfants avec un extrait du journal pour les 10-14 ans, Mon Quotidien, qui explique le « mariage pour tous » à nos pauvres petites têtes blondes. L’article reprend très discrètement tous les poncifs des défenseurs de ce projet absurde, afin d’imposer leur vision totalitaire aux enfants. Répugnant !

Tout est choquant dans cet article qui pue la manipulation idéologique et le lavage de cerveau. Dès la première ligne, l’article demande « Pourquoi on en parle ? ». Réponse du journal : parce que les Anglais viennent de voter cette loi sans heurts alors qu’en France c’est plus compliqué. On en parle pas du tout car il s’agit d’un projet qui vise à bouleverser les fondations de notre civilisation, ni parce qu’un million de Français sont allés dans la rue manifester contre cette loi idiote.

[...]

Comme l’argumentaire absurde des pro mariage homo, l’article commence par faire le tour des pays qui ont déjà voté cette loi, sous entendu : « vous-avez vu les enfants, c’est la marche du progrès, les autres pays le font, il faut suivre..... comme de bons moutons socialistes ! »

Dans le deuxième paragraphe, le journaliste entre enfin dans le vif du sujet, en expliquant le projet de loi via le prisme idéologique socialiste : « il s’agit de donner un même droit à tous », « cela repose sur un principe d’égalité ». Bref, ce qu’on nous présente comme un article pour expliquer le sujet ressemble en fait en tous points à un tract de militants socialistes qui vendent leur projet prométhéen, faute de pouvoir sauver des emplois.

[...]

Et pour ceux qui seraient insensibles à l’égalité, à l’ouverture d’esprit et au progrès, l’article fini par la menace habituelle des socialistes, en sous entendant largement (via un petit jeu innocent), que ceux qui sont contre sont homophobes. Elle est pas belle la vie dans les collèges de nos enfants !? Avec un système éducatif comme celui là, on comprend pourquoi le flan a pu être élu président de la république…

Bien évidement, cette propagande ne saurait se faire sans l’appui de l’éducation nationale, temple de la manipulation idéologique socialiste, où les créateurs de Mon Quotidien ont la porte ouverte, afin de venir vendre leur petit journal rouge aux enfants, dont les parents pensent qu’ils vont apprendre des choses dans les journaux, et non pas qu’ils seront manipulés comme dans les autres médias.

  N’hésitez pas, messieurs les parents, à boycotter ce torchon, bel outil de la propagande socialiste. « Les abonnements sont commercialisés par des mailings au sein des écoles », nous explique ainsi la fiche Wikipedia de ce journal pseudo pédagogique.

Ces gens là ont tellement l’habitude d’avoir raison, d’être les représentants du bien, que leurs arguments idéologiques sont pour eux des faits objectifs.

Si c’est pour entendre comme il est égalitaire et tolérant de vendre des nourrissons aux homosexuels, pas la peine d’acheter le journal à ses enfants, autant les laisser regarder les NRJ Music Awards…

      Mon Quotidien : La sodomie pour les tout-petits

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
20 février 2013 01:19

Des files interminables et une caisse d’allocations familiales littéralement prise d’assaut… La Caf croule sous les dossiers. 130 000 dossiers en souffrance à la Caf. Un triste record. 130 000 hommes et femmes, allocataires potentiels, en demande d’une aide au logement, à la garde de leur jeune enfant, parfois même du RSA (…)

La plus grosse machine à dispenser de l’aide sociale des Bouches-du-Rhône – 400 000 allocataires, 2,3 milliards d’euros de prestations – se trouve littéralement débordée, incapable de répondre au flux des demandeurs. « Nous subissons de plein fouet les effets de la crise qui a fait exploser le nombre d’allocataires ». Depuis octobre, la Caf 13 recense 1 000 droits ouverts de plus chaque mois ». (…)

 

source et source

"tout va bien, on assure" et on va faire une commission d'étude du problème et on prendra des mesures d'ici 6 mois ! Qui pourrait bien dire cela ???

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
19 février 2013 09:54

Jean Luc Mordoh sur la sortie de l'Union... par webtele-libre

 

Jean-Luc Mordoch, entrepreneur, a été reçu au Cercle Aristote, pour nous parler de sa pièce de théâtre : Comment sortir de l'Europe sans sortir de table"

 

Quand on découvre le contrat qui nous lie à l’Europe, le Traité du Fonctionnement de l'Union européenne (TFUE) on s'aperçoit avec stupéfaction et effarement que tout, absolument tout est écrit, prévu, normé et légiféré. L’immigration, telle que nous la vivons en bien ou en mal, est imposée, j’écris bien le verbe imposé par le Traité européen et précisément par les articles 67, 69 et 79. 

comment-sortir-de-leurope

 

Voilà, entre autre, la raison de mon livre "Comment Sortir de l’Europe sans Sortir de Table" qui démontre, articles à l’appui, que ce que l’on nous présente comme inéluctable, est tout simplement anticipé et pensé et loin d’être une évolution dite “naturelle” de notre société et du monde dans son ensemble.

Pour lire des extraits du livre, de cette pièce de théâtre, écrit sur un ton humoristique à travers deux personnages extrêmement attachant et au langage décalé et fleuri le tout accompagné par 11 menus divins concoctés par Ginette, l’épouse de Gérard, c’est ici.

L'interview de Comment Sortir de l'Europe Sans Sortir de Table, un livre à rire de nos démences : 

http://www.courleuxsansfrontieres.com/Jean-Luc-Mordoh-citoyen-europeen-auteur-Comment-sortir-de-l-Europe-sans-sortir-de-table-Le-Traite-de-Fonctionnement-de_a517.html

 

— L'iBookstore (Apple) : https://itunes.apple.com/fr/book/comment-sortir-leurope-sans/id570680646?mt=11

— Le Kindle Store (Amazon) : http://www.amazon.fr/Comment-sortir-lEurope-table-ebook/dp/B009R7USE0

— La FNAC : http://www4.fnac.com/livre-numerique/a5009930/Jean-Luc-Mordoh-Comment-sortir-de-l-Europe-sans-sortir-de-table#FORMAT=ePub

— La librairie généraliste Didactibook : http://www.didactibook.com/produit/55353/9782824201047

 Vous pouvez aussi télécharger ce livre sur le site de l'éditeur : http://www.labourdonnaye.com/produit/30/9782824201047

 --Vous trouverez également ce livre au format papier surLulu.com : http://www.lulu.com/shop/jean-luc-mordoh/comment-sortir-de-leurope-sans-sortir-de-table/paperback/product-20473717.html

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19 février 2013 02:17

Paris Première, 15/02/12

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
19 février 2013 02:02

Au lendemain du vote en première lecture par l’Assemblée nationale du projet de loi Taubira, Alliance VITA a demandé à l’IFOP de réaliser un sondage sur l’adhésion réelle des Français à ce projet.

Jusqu’à aujourd’hui, les sondages ont séparé la question du mariage et de l’adoption, or, dans la loi française, ces deux réalités sont indissociables. Le projet de loi sur le mariage de deux personnes de même sexe implique nécessairement l’adoption d’enfant.

Alliance VITA a donc choisi de poser les 3 questions réellement en débat aujourd’hui :

A“Vous savez qu’actuellement en France, le mariage ouvre automatiquement la droit à l’adoption, c’est-à-dire qu’on ne peut dissocier mariage et adoption. Dans ces conditions, êtes-vous plutôt favorable :

  • Au droit au mariage pour des personnes de même sexe, assorti du droit d’adopter  : 39%
  • A une union civile, qui accorderait davantage de droits que le PACS, sans pour autant permettre le droit à l’adoption : 36%
  • A aucun de ces deux projets : 21%
  • NSP (ne savent pas) : 4%

Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA et porte-parole de la Manif Pour Tous, commente :

«Les membres de nos équipes VITA engagés sur le terrain rencontrent tous les jours des Français qui ignorent encore que le texte voté mardi dernier permet qu’un enfant soit adopté par deux hommes ou deux femmes.

Or, notre sondage interroge les Français sur la réalité de la loi, et non sur la présentation édulcorée que la formule « mariage pour tous » en donne. Par souci de transparence, nous avons décidé d’adresser la totalité des résultats de ce sondage à chaque parlementaire, afin qu’il se prononce en connaissance de cause.

Contrairement à ce qu’on entend trop souvent, seulement 39% des Français adhèrent à l’essentiel du projet de loi Taubira. Or, ce chiffre ne prend pas même en compte les perspectives de la procréation artificielle, face auxquelles les Français montrent encore plus de réticences. Selon nous, c’est le moment de se mobiliser avec force pour ne pas laisser la suite du processus législatif se dérouler sans opposition

Ce que les élus vont découvrir, c’est que la baudruche se dégonfle, puisque que l’on passe d’un taux d’adhésion de 66% à un modeste 39%, qui nous ramène à la réalité. Par ailleurs, ce sondage révèle que c’est une idée fausse de prétendre que la Gauche est unanime sur ce sujet, quand on voit la proportion importante d’électeurs de cette sensibilité qui n’y adhérent pas, notamment 43% des électeurs de François Hollande».

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
18 février 2013 16:40

En France, le lobby homosexuel coûte très cher au contribuable. C’est ce que nous révèle en effet Le Cri du Contribuable.

Ainsi apprend-on qu’en 2010, l’État a subventionné Act Up à hauteur de plus de plus de 200000 euros ! Les mêmes qui, en 2005, avaient agressé le recteur de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris,  Monseigneur Patrick Jacquin, et qui, en 2004, avaient, dégradé la façade de Élysée.

Quant à SOS Homopho­bie, elle a touché 6 100 € de la Ville de Paris dès 2002, puis 10 000 € chaque année à partir de 2006. Il faut rajouter les 2000 € de subventions exceptionnelles votée les 11 et 12 décembre 2012 pour le projet « Interventions dans les établissements parisiens », alors même que SOS Homophobie avait perdu l’agrément du ministère de l’Education nationalesuite à une décision du 23 novembre du tribunal administratif de Paris, saisi par la Confédération nationale des associations familiales catholiques.

Caroline Fourest, co-fondatrice de Prochoix, « la revue pour le droit de choisir » qui est une publication pro-maria­ge gay, touche 12000 euros d’argent municipal, comme chaque année. Sachant que son journal ne paraît plus depuis avril 2012 et que le blog associé n’a publié que dix billets en un an…

Le Paris Foot Gay voit quant à lui ses subventions versées par la Ville de Paris passer de 30 000 € à 40000 € en un an.

La liste n’est pas terminée, mais elle est scandaleuse. Car il est désormais avéré que l’État, dont la vocation est d’assumer ses fonctions régaliennes en vue de garantir le bien commun, confisque ses prérogatives et les détourne de leur fin afin de satisfaire les intérêts catégoriels et exclusivement idéologiques des lobbies !

Sans l’accord des Français, va sans dire… Dans de telles conditions, quelle légitimité l’État peut-il encore avoir à leurs yeux ?

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
17 février 2013 02:05

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Depuis 6 mois, une jeune Ivoirienne achetée à sa famille était exploitée par un couple de Cavaillon. 

L'INFO. Ils sont accusés de s'être "offert", pour moins de 5.000 euros, une bonne à tout faire de 14 ans en Côte d'Ivoire. Selon Vaucluse matin, qui révèle l'affaire, un couple formé par un Ivoirien et une Française, tous deux âgés de 25 ans, ont été arrêtés mardi à Cavaillon, dans le Vaucluse, après que la jeune fille en question se soit livrée à la police.

Achetée en Côte d'Ivoire. Mardi matin, Charlotte, jeune Ivoirienne de 14 ans se rend au commissariat de Cavaillon. Le récit qu'elle livre aux policiers est saisissant. Achetées à sa famille en Côte d'Ivoire pour 4.500 euros par le couple, la jeune fille est emmenée en France clandestinement par le Maroc puis l'Espagne.

Et depuis septembre dernier, recluse dans leur appartement en plein centre-ville, elle s'occupe du ménage et des enfants en bas âge de ses "propriétaires". En recevant parfois quelques coups de ceinture.

Et maintenant ? Le couple a d'abord été placé en garde à vue pendant 24 heures. L'homme ainsi qu'un de ses amis, un Togolais en situation irrégulière de 35 ans hébergé par le couple ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel pour y être jugés en comparution immédiate.

Les deux hommes ayant demandé un délai afin de préparer leur défense, ils ne seront jugés que le 15 mars et ont été placés en détention provisoire. La femme, a quant à elle, été laissée libre à l'issue de sa garde à vue.

Source: Europe1

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
16 février 2013 17:11

BOUGRAH

Je ne peux que féliciter Jeannette Bougrab pour sa maitrise et sa trop bonne éducation lors de son échange avec Elkabbach dans l’émission diffusée par LCP : Bibliothèque Médicis sur la guerre d’Algérie et les harkis.

Comment a-t-elle pu résister, elle dont les parents ont été assassinés par le FLN, pour ne pas gifler ce « petit » journaliste qui est à sa place non pas grâce à son talent mais uniquement à son professionnalisme de cireur de ‘’pompes’’.
En Algérie on l’aurait appelé un « yaouled » !
**Elkabbach sait que les harkis ont torturé en Algérie, qu’ils ont accompli de sales besognes, puisque des « historiens » l’ont écrit. ( http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/quand-jeannette-bougrab-s-emporte-r-des-harkis-alg-rie-344087)
**Elkabbach sait que Jean-Marie Le Pen a torturé de ses propres mains puisque des membres du FLN l’ont dit. 
 

Bien entendu Elkabbach ignore que des officiers de l’armée française ont bien torturé en Algérie des Français qui se faisaient trouer la peau pour que » leur pays » reste français, puisque il n’a lu ni entendu aucun des historiens qui l’ont écrit.
**Elkabbach fait partie de ces « nés en Algérie » qui n’ont pas trouvé là-bas le trône qu’on leur a offert en France et leur ego surdimensionné en a souffert et en souffre encore.
 

Aujourd’hui il peut être fier d’être reconnu par « son pays » l’Algérie : les dirigeants du FLN viennent de le nommer « citoyen d’honneur » d’Oran en 2012.
 

On peut s’étonner que ces mêmes dirigeants du FLN n’aient pas osé décerner ce même titre au général Katz qui leur a rendu de plus éminents services.
Il sait tout de l’histoire de l’Algérie colonisée puisque Benjamin Stora l’a écrit et qu’il l’a lu.
Elkabbach ne nous lit pas, il lit uniquement ceux de son bord, les renégats

N’en est-il pas l’un des meilleurs spécimens ? Invité par François Hollande en 2012 en Algérie et invité par Nicolas Sarkozy en 2008 en Inde. Le grand écart il sait le faire.
N’est-ce pas d’ailleurs indispensable pour conserver sa place à la télé, quel qu’en soit les maîtres ?

 

manuel gomez

 


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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
16 février 2013 03:18

Xénophobie dans la rue

Autre effet pervers de cette mesure [la régionalisation des demandes d'asile, ndlr], la concentration dans ces grandes agglomérations des situations de grande précarité, sans davantage de moyens, ni place d’hébergement supplémentaire. Stéphane Gemmani du Samu social, calcule :

« Nous sommes passés de 6500 à 14800 interventions par an lors de nos maraudes après la mise en place de ce dispositif. Et c’est sans compter sur la xénophobie qui peut exister dans la rue entre les demandeurs d’asile et les sans abris territoriaux. Ces derniers n’admettent pas que leur situation ne soit plus prioritaire face à des familles ou des femmes seules avec enfants ».
[...]

Rue89 Lyon

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
11 février 2013 03:07

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Michel Garroté, réd en chef – Le Docteur Jean-Pierre Dickes, de l’ACIMPS (extraits adaptés ; lien en bas de page) publie cette intéressante analyse : Tout le monde sait que le PACS avait pour but initial de donner aux homosexuels un statut officiel et un certain nombre d’avantages qui y étaient liés.

Qu’en ont-ils fait ? Selon le Quotidien du Médecin du 28 janvier 2013, entre 1999 et 2011 le nombre des pacsés homos est tombé de 42% à 4,7% seulement. Pourquoi ? Tout simplement parce que les gays ne sont pas intéressés par ce genre de statut en raison de la labilité de leurs « couples ». Leurs unions éphémères durent en moyenne entre 12 à 17 mois.


Rappelons que Gaëtan Dugas, premier malade connu du sida, décédé de cette maladie, l’a répandue autour de lui : il s’est vanté d’avoir eu 250 partenaires par an. En Espagne (où le mariage homosexuel a été légalisé par la gauche), selon l’Institut National des Statistiques, le pourcentage des mariages entre personnes de même sexe oscille de 1,06% à 2,38% entre 2005 à 2011 ; soit de 0,013% à 0,127% de la totalité des mariages en 2008 selon les régions. Moins que pour le Pacs français. Il paraît illusoire de penser que les homosexuels vont se ruer vers le mariage qui restera pour eux une infime marginalité.

 

Alors pourquoi la loi Taubira ? Cette dernière a répondu elle-même : il s’agit d’un « changement de civilisation » ayant pour but de détruire nos racines, notre identité sociétale, culturelle, morale, historique et religieuse.

En réalité une révolution détruisant toutes les bases de la société ; mais aussi un immense saut dans l’inconnu. Ceci rappelant les paroles de Charles Hernu, ministre socialiste de la défense sous Mitterrand : « si notre monde devient un enfer, nous pourrons en être fiers car ce sera nous qui l’aurons créé » (fin des extraits adaptés ; lien en bas de page).

 

Reproduction autorisé Avec mention www.dreuz.info

Et source : http://www.acimps.org/content/view/243/1/

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
11 février 2013 02:30

 

Famille, identité, école, justice, travail… C’est à une offensive sans précédent sous la Ve République à laquelle se livrent la gauche, ses élus et ses relais, contre les principaux piliers de notre société. Interrogés par Valeurs actuelles, des députés de droite dénoncent une volonté de «défaire la France».


Cette «patrie, seul bien de ceux qui n’ont rien» dont parlait Jaurès, dans quel état sera-t-elle, et même existera-t-elle encore, dans son acception traditionnelle, après cinq ans de mandat de François Hollande ?

Orateur principal du groupe UMP, Hervé Mariton se dit « stupéfait » par « la haine et le sectarisme » de la gauche : «Avec sa stratégie de désigner des boucs émissaires, elle se conduit comme l’extrême droite des années 1930», dit-il. Rien à voir, selon lui, avec 1981. […]

C’est à un travail de sape sans précédent, mené conjointement et n’épargnant aucun domaine, auquel les Français, le plus souvent hostiles, assistent aujourd’hui.


Ne surnagent plus, à gauche, que quelques voix discordantes, dont celles de Michel Rocard ou de Sylviane Agacinski-Jospin, dénonçant «la façon dont on veut nous impressionner en nous disant que si vous n’êtes pas d’accord avec ceci ou cela, c’est que vous êtes forcément réactionnaire» […]

Numéro deux du FN, Louis Aliot pointe également, dans les réformes en cours, «une volonté délibérée de destruction du modèle traditionnel de l’État-nation visant à couper les Français de leurs liens familiaux, de leurs racines et de leur histoire».

Pour autant, ajoute-t-il, «il ne faut pas oublier que cette entreprise de décadence française, même si elle s’est amplifiée, a été aussi le fait de la droite lorsqu’elle était au pouvoir. […] ».

Valeurs actuelles

 

 

source

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
9 février 2013 02:53

BAZAS (NOVOPress) – Dimanche 3 février, Captieux ouvrait le bal des défilés des Bœufs gras dans les quelques bourgades du Sud-Gironde perpétuant cette lointaine tradition. Elle puise ses origines à une époque où Bazas est une des premières cités d’Aquitaine et la capitale prospère des Petites Landes. Le 7 février, la ville fêtera les 730 ans de la tradition des bœufs gras.

 

En 1283, Édouard Ier, roi d’Angleterre, règne sur l’Aquitaine. Il instaure un partage de pouvoirs avec l’évêque et décrète que, chaque année – le jour de la Saint-Jean –, les bouchers de Bazas doivent offrir un taureau au clergé. En compensation, les bouchers se voient octroyer le droit de promener leurs bœufs dans les rues de la ville le Jeudi gras (jeudi qui précède Mardi gras), invitant les habitants à festoyer.

Après la Seconde Guerre mondiale, la Fête des bœufs gras a été remise à l’honneur et organisée par le maire de Bazas pour promouvoir l’élevage et la race bazadaise dont il est l’ardent défenseur. Le concours, sur la place de la Cathédrale, devient alors source de querelles sans fin entre les tenants des critères de race et les tenants des qualités bouchères.

Parés de rubans et de couronnes fleuries, les bœufs défilent au son des fifres et des tambours dans les rues de la ville, avant d’être jugés par des experts. La journée se termine par un banquet où l’on peut déguster du bœuf de Bazas, certifié Label rouge depuis 1997. Ce label regroupe trois variétés bovines de qualité bouchère : bazadaise, blonde d’Aquitaine et limousine.

Cette tradition résistera-t-elle à l’assaut du multiculturalisme ? Rien n’est moins sûr…
Depuis la fermeture des abattoirs de Bordeaux, et sous couvert de réfection de ses abattoirs municipaux, Bazas a hérité d’un bien embarrassant cadeau, l’abattage halal des caprins et ovins.

En avril 2012, les militants du Bloc Identitaire d’Aquitaine avaient tracté sur le marché de Bazas, afin d’informer la population sur la conversion des abattoirs.

Aujourd’hui les moutons sont abattus de façon rituelle islamique. Demain le bœuf de Bazas subira-t-il le même sort ?

Crédit photo : office de tourisme de Bzas.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
9 février 2013 00:02

Face aux préjugés servis par les médias sur les violences conjugales (des hommes, beaufs, alcooliques, de droite donc racistes, battent leurs femmes en regardant un match de foot à la télé), deux articles permettent d’avoir une image plus contrastée de ce fléau.

Dans un article paru sur Agoravox, un internaute dénonce la méthodologie idéologisée des sociologues français qui étudient les violences conjugales sous l’unique angle des femmes battues, biaisant de ce fait l’ensemble des études statistiques établies en France, tant dans la méthodologie que dans le traitement des données.

Des sociologues féministes qui pondent des études où la femme est l’unique victime et que les médias reprennent à volonté sans vérifier quoi que ce soit (comme d’habitude).

Ainsi, l’auteur reprend une étude canadienne selon laquelle les hommes seraient bien plus victimes de violences conjugales que ne le disent les études françaises. Il cite les chiffres de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), français pour qui 71% des victimes de violence physique ou sexuelle au sein du ménage sont des femmes, alors que selon les données québécoises, elles ne représentent que 56% des victimes. Un écart qui s’explique par la méthodologie biaisée des études françaises.

En outre, une autre étude canadienne, publiée par Statistique Canada, nous apprend que « le taux de violence conjugale chez les homosexuelles est le double de celui déclaré par les hétérosexuelles (15 % contre 7 %) ». Ça ne va pas plaire à Caroline Fourest et aux autres défenseurs du mariage pour tous qui nous expliquent que les hétérosexuels sont de mauvais parents.

Bien sûr, les auteurs de l’étude nous expliquent que cette violence vient de l’homophobie qui met les homosexuels dans un état de stress permanent et qui explique les disputes dans les couples homos… En même temps, depuis 30 ans, le PS nous explique bien que les tournantes et agressions commises par les jeunes des quartiers sont dues au racisme de la société française…

Mais rassurez-vous, personne ne vous parlera jamais de ces études en France…


La violence faite à la réalité, c’est maintenant !

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
8 février 2013 03:28

Nouvelles de France vous propose ce témoignage exclusif d’Elma, une femme entraînée dans le lesbianisme, qui a réussi à s’en sortir. Nous déconseillons sa lecture aux mineurs en raison de son caractère cru.

« Si j’écris aujourd’hui, c’est parce que certaines vérités doivent être rétablies. Mais je ne peux le faire qu’à visage caché. Une sorte de dictature de la pensée s’est imposée.

Ce qu’on voudrait nous faire gober, semaine après semaine, année après année, c’est que l’homosexualité est naturelle. Qu’elle va de soi. Que cela ne pose aucun problème. Tout cela est faux. Si, l’homosexualité pose problème, si, l’homosexualité est une blessure.

En fait, à force de nous intoxiquer, les médias ont fini par nous faire perdre tout bon sens. Jamais l’homosexualité ne pourra être une source de bonheur car elle contient en elle un manque profond, essentiel.

Je peux le dire pour l’avoir vécu.

J’ai eu des relations sexuelles durant plusieurs mois avec une femme de vingt ans de plus que moi, alors que j’étais jeune adulte.

Non, jamais l’homosexualité ne pourra ressembler à la relation d’un homme et d’une femme qui s’ aiment. Tout simplement parce qu’il y a dans l’homosexualité un manque radical doublé d’un refus.

La femme qui m’avait attiré dans son lit, alors que je traversais une période difficile de ma vie sur le plan affectif, était une femme au look « androgyne ». Elle ressemblait en tout à un homme. Par son look, sa coupe de cheveux, son langage. C’était stupéfiant de voir à quel point elle avait réussi sa métamorphose, au moins en apparence.

Un jour les choses ont basculé, je ne me l’explique toujours pas. J’étais perdue. Je ne savais plus du tout en j’en étais. Je me suis retrouvée dans son lit, sans savoir exactement ce qui m’était arrivé. L’avais-je un peu voulu ? Oui, probablement. Je crois que j’avais surtout un profond besoin de tendresse, d’affection.

Je me suis perdue dans cette promesse, qui fut en définitive une fausse promesse, un tue-l’amour. »

Plus aucune limite. « Elle, de son côté, savait ce qu’elle faisait. Elle avait cumulé les aventures et me les présentait comme autant de trophées, dont elle consignait les histoires dans un album photo. Elle m’expliquait qu’une relation homosexuelle pouvait débuter sur un simple regard; elle m’expliquait qu’il lui suffisait de croiser le regard d’ une femme ou même qu’un sourire lui donnait envie de coucher avec elle. Nous avons eu des relations sexuelles dans sa voiture aux abords du bois du Boulogne. Là, nous étions en terrain de chasse. Des hommes et des femmes, des couples faisaient l’amour derrière les arbres, dans les futaies sombres à la nuit tombée. Et moi, je me livrais aux mêmes pratiques jusqu’à ce qu’on se dise qu’il ne faudrait pas se faire pincer par la police pour attentat à la pudeur.

Je plongeais dans cet univers parallèle, avec une sorte de fascination morbide, désespérée. Quitte a être désespérée, autant l’être jusqu’ au bout… Nous allions dans des bars homosexuels, tout le monde nous souriait. Au fond, quoi de choquant qu’une jeune femme de 20 ans coiffée à la garçonne s’y rende accompagnée de son « mec » de 44 ans ? « Bonjour, je vous présente E., ma femme ». À peine une génération… et pendant que nous buvions du vin rouge, alors que j’étais assise sur les genoux de S., une femme me regardait avec insistance en me souriant. Je me disais que si j’avais voulu, tout cela aurait pu finir dans un lit… et à trois, pourquoi pas ? Il n’y avait plus de barrière. La transgression avait déjà été faite. Maintenant, tout était permis. La soirée se poursuivait dans une boîte de nuit. Je ne pensais plus, je ne voyais plus rien. C’était comme une sorte de perte de contrôle de soi. Un néant ou je me perdais.

S., un jour, avait eu une idée. Elle se disait qu’elle aurait pu gagner de l’argent en me prostituant. Cela ne m’a pas choqué plus que ça. Oui, pourquoi pas ? Comment ai-je pu seulement entendre et même accepter une telle horreur ? Elle était persuadée que j’étais «  bi ». Bi quoi ? Bisexuelle, elle me disait que j’aimais autant les hommes que les femmes.

J’étais tellement perdue. J’avais enfreint la morale, j’avais fait quelque chose d’interdit, et je n’étais pas morte (au moins en apparence. En réalité, oui, j’étais comme morte.). Alors pourquoi ne pas tenter de nouvelles expériences ? De toute façon, un peu plus ou un peu moins, ça n’aurait pas changé grand-chose.

Elma : «L’homosexualité a failli me tuer»

Finalement, elle n’est pas allée au bout de son idée. Si elle me l’avait demandé, je crois que j’aurais plongé. Je n’avais plus de limites, plus de tabous. Nous allions dans des sex shops faire notre marché. Je me regardais progressivement partir à la dérive, avec une sorte de cynisme autodestructeur.

J’ai voulu, à un moment, faire le garçon moi aussi. Peut-être étais-je en fait un garçon ? Je m’habillais en homme. Je mettais des costumes, des jaquettes, des cravates. Je voulais ressembler à un garçon. Mais ce jeu ne dura pas très longtemps. Car dans le couple, c’était elle, l’homme. Elle s’habillait comme un homme. Elle ressemblait à un homme. Elle se conduisait comme un homme.

Cependant, ce que je voyais lorsqu’elle enlevait ses vêtements, c’était une femme. Elle avait beau aplatir ses seins dans des costumes bien serrés, pour qu’on croie qu’elle n’en avait pas, pour «  faire comme un homme », la vérité de sa nature de femme éclatait de façon crue lorsqu’elle se mettait nue. Et je voyais alors une femme vieillie, fatiguée, marquée par l’alcool, qui luttait contre la couperose et le surpoids. Comment avais-je pu me laisser berner par une telle supercherie ?

Sexuellement, elle était frustrée de ne pas avoir de pénis pour me faire jouir. Alors, elle achetait des sex toys, elle s’arnachait de godemichés en latex et me pénétrait avec. Je ne ressentais rien qu’une sensation de froid, un bout de plastique dur me pénétrant et me pénétrant encore.

Je la regardais faire, sans rien dire, les yeux secs. Tout ceci ne pouvait se terminer que par la fuite ou le suicide. Un long cri silencieux lancé dans le néant de cette chambre calfeutrée. J’essayais de colmater mes vides affectifs par un ersatz trompeur et mort à toute vie. »

Une errance sans but.  »Dans l’homosexualité, on tourne sur soi, on se contemple, on se rassasie de soi-même, à l’infini. Manque dans ces relations narcissiques toute l’ouverture à la différence, à l’autre, mais aussi et surtout à la vie.

Ces amours-là sont inféconds. Un godemiché ne concevra jamais un enfant. Un doigt ne remplacera jamais un pénis. Ce pénis que les lesbiennes rêveraient toutes d’avoir (le paradoxe est qu’elles l’ont en horreur pour elles-mêmes mais qu’elles cherchent par tous les moyens à le reproduire pour leur compagne).

L’homosexualité est basée sur une blessure profonde de la relation avec le sexe opposé. Et l’on ne pourrait pas ne pas le dire ? Au nom de quel prêt-à-penser, au nom de quel diktat ?

Non, jamais l’homosexualité ne pourra ressembler à la relation d’un homme et d’une femme qui s’aiment. Jamais on ne jouit autant que dans cette harmonie du désir, du cœur et du corps, dans cet accord plein et entier avec le projet intrinsèque de la sexualité ; je veux parler de la vie, de l’ouverture à la vie.

Sans cela, la sexualité est une mascarade. J’ose le dire. Et j’en prends tous les risques. Vais-atterrir au fond d’une prison ?

Détourner l’usage de la sexualité ne peut qu’être source d’une immense douleur, d’un non-sens. Deux hommes qui éjaculent dans des draps blessent quelque chose de précieux en eux.

Un ami homosexuel me disait : « Mettre mon pénis dans le cul d’un homme et le ressortir couvert de merde, je ne crois pas que ce soit ce à quoi Dieu m’appelle ». Est-ce cela la finalité de la sexualité, sa beauté, sa fonction ? Non.

En se blessant ainsi, ils se trompent eux-mêmes et trompent ceux à qui ils font des promesses.

Finalement ce ne fut pas le suicide qui me permit de mettre un terme à cet engrenage. Mais un homme, et au fond de soi, un sens inné de la vérité. Fuir pour revenir à la lumière, fuir pour retrouver ma dignité de femme, fuir pour arrêter les blessures que je m’infligeais à moi-même.

Mais l’homosexualité a bien failli me tuer. »

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
8 février 2013 02:57


MOSCOU (NOVOpress avec le Bulletin de Réinformation) - La Russie s’est déjà brillamment illustrée en matière d’adoption internationale. Fin décembre 2012, le président Poutine a promulgué une loi interdisant aux Américains d’adopter des enfants russes. A présent, la France risque d’être bientôt sur la sellette. Les autorités russes s’émeuvent beaucoup du projet gouvernemental relatif au prétendu mariage homosexuel et qui prévoit d’ouvrir l’adoption à des couples homosexuels.

 

Le délégué du président de la Fédération de Russie a rappelé récemment que le gouvernement russe avait pris une mesure importante en interdisant la propagande faisant la promotion de l’homosexualité. Il a aussi rappelé que la convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant donnait à celui-ci le droit absolu d’avoir un père et une mère.

La légalisation de l’adoption pour les couples homosexuels ne manquera pas également d’entraîner la fermeture de filières d’adoption vers des pays comme l’Ukraine ou l’Afrique du Sud qui refusent de confier leurs enfants à des couples de même sexe. 

Crédit photo : Jutka Kovacs via wikipédia (cc)

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
8 février 2013 02:37

La différence entre les être humains ne fait-elle pas la richesse d’une civilisation et au delà, de l’humanité ?

Pas pour le PS qui compte tout mettre en œuvre pour gommer les différences entre les Hommes au nom de l’égalitarisme. Après avoir nié l’altérite, en nous expliquant qu’on peut faire des enfants sans la complémentarité homme/femme, les technocrates socialistes veulent nous faire croire que tous les humains ont la même couleur de peau, en rayant la mention « race » de la Constitution.

 

Pour ne jamais oublier la débilité du parti à la rose et de se cheftaine autoritaire, Christiane Taubira, il convient de rappeler que l’unique motif de la présence du mot « race » dans la Constitution est précisément d’interdire le racisme et de rappeler l’égalité des droits entre tous le humains, malgré leurs différences. Tout le contraire d’une dictature douce qui souhaite détruire la différence au nom de l’égalité et de la tolérance…

 

Un peu comme si on interdisait à SOS Racisme de s’appeler ainsi car il y a le mot racisme dans le nom de cette association (rassurons nous, de ce côté là il n’y a pas trop de soucis, SOS Racisme étant l’organe de recrutement, de formation idéologique et de Terreur du Parti socialiste).

Quelle est la meilleure manière de lutter contre le racisme ? Dire qu’il n’existe pas et que d’ailleurs l’idée même de race est scandaleuse. La messe est dite !

 

Madame Taubira, vous pouvez manipuler comme cous le souhaitez la Constitution, le dictionnaire et le code civil français, vous n’empêcherez pas un enfant de demander à ses parents « pourquoi le monsieur il est noir ». Et tant mieux !! Les différences raciales (et toutes les autres) font la beauté de l’humanité : tous différents, tous uniques !

 

Au final, quel est le projet sociétal tant vanté par les socialistes qui ont compris que sur les sujets économiques le hasard permettrait peut-être de résoudre les problème du déficit et du chômage ?

 

Et bien, l’idée est de créer un monde empli de créatures identiques, où il ne pourra plus y avoir d’inégalités car il n’y aura plus de différences entre les Hommes. On fera les enfants dans des laboratoires, avec des spermatozoïdes triés sur le volet pour produire uniquement des grands blonds en bonne santé. On trouvera des mères porteuses (et si ça choque un peu, au début, on utilisera un plus joli nom, comme GPA, dictature sémantique oblige) en bonne santé et les petits bébés indifférenciés seront heureux car plus jamais victimes de discriminations (pas de différence, pas de discrimination, pas de haine, un monde parfait quoi, LE Meilleur des Mondes).

 

La prison pour ceux qui prononcent le mot « différence », c’est bientôt !

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
8 février 2013 02:11

PARIS (NOVOpress) – Le Premier ministre a donné son feu vert pour l’ouverture d’une salle de consommation de drogues à Paris. Les services de Matignon n’ont pas précisé de calendrier de cette mise en oeuvre, ni le lieu d’implantation de cette salle de shooting dans la capitale. Les toxicomanes pourront donc s’y rendre afin de continuer à se droguer.

La drogue revendiquée comme un droit de l’homme

Or ces structures sont  financées par l’Etat, avec l’argent de nos impôts, à hauteur, respective­ment, de… 230 000 et 220 000 € par an ! Difficile, pourtant, d’ignorer la réalité de ces associations.

Doit-on, au nom de la « réduction des risques », continuer d’injecter chaque année plusieurs dizai­nes de millions d’euros dans ces associations dont le message et les méthodes se situent aux anti­podes de la « lutte contre la toxicomanie », poste budgétaire duquel elles perçoivent l’essentiel de leurs subventions ?

Comment justifier les 230 000 € octroyés à Asud, lorsqu’une partie au moins de cet argent est utilisé, sur son site, à promouvoir la culture du cannabis ?

Au total, ce sont plusieurs dizaines de millions d’euros qui sont distribués chaque année à une cen­taine d’associations, petites ou grosses, ouvertement favorables à la dépénalisation de la drogue ou aux « salles de shoot », que la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a promis d’expérimenter « ra­pidement ». Matignon vient d’ailleurs de donner son feu vert pour l’ouverture d’une salle de consommation de drogue à Paris, courant 2013.

La première de ces associaions, dont le logo a la forme d’une… seringue, évoque dans son journal « le plaisir que chacun retire d’une prise de drogue » et revendique clairement « l’usage de la drogue comme droit légitime et imprescriptible protégé par la déclaration des droits de l’homme de 1789 ».

Selon l’ex-député UMP de Gironde Jean-Paul Garraud, en pointe sur ces questions, ces « nombreu­ses associations “branchées” orchestrent tout un tapage destiné à faire croire au Français moyen qu’il s’agit là de la seule solution pour aider les drogués à s’en sortir ».

Mais les Français, justement, hostiles à plus de 70 % à toute dépénalisation des drogues dites « douces », savent-ils qu’à l’heure de la crise une part de leurs impôts sert à financer de telles associations ?

Mise en cause dans un rapport de l’Inspection générale des Affaires sociales, SOS Drogue interna­tional se voit notamment reprocher son « manque de transparence » et son « opacité dans la ges­tion ».

Au point, poursuit le rapport, que « malgré ses très importantes subventions publiques dont le montant augmente régulièrement (…) seule la poursuite du financement de ses activités par l’Etat est en mesure d’assurer la pérennité du dispositif immobilier et financier mis en place».

Bref, à l’image des toxicomanes dont elle prétend s’occuper, l’association est elle-même devenue… accro à l’argent public ! Comme la plupart d’entre elles…

Une expérience similaire avait été tentée en Suisse, dans le canton de Zurich« L’échec est retentissant sauf pour le personnel et les entreprises qui se sont enrichis », peut-on lire sur le site du CNID.

Les Pays-Bas ou l’Allemagne, possèdent également des salles de shooting depuis plusieurs années. Elles attirent les trafics de stupéfiants et les étrangers marginaux au détriment de la sécurité des quartiers qui les reçoivent.

Euthanasie, Mariage homosexuel, doit de vote aux étrangers, salles de drogues en libre service… Les socialistes, aveuglés par une idéologie libertaire dépassée, encouragent toutes les actions qui peuvent nuire à la stabilité de la France et des Français.

 


Crédit photo : daveblume via Flickr (cc).

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
8 février 2013 02:05

L’homosexualité, invention occidentale imposée à l’Afrique et au Maghreb, via un « impérialisme des modes de vie »? C’est la thèse qui se développe dans une partie de l’extrême gauche, alors que la France débat du mariage homo. Flippant.

C’est une idée en vogue dans les milieux anti-impérialistes : Si le mariage pour tous n’a pas la cote dans « les quartiers populaires », c’est parce que ses habitants – descendant en majorité de « colonisés », ne seraient pas sensibles à cette idée occidentale.

Petit livre vert Alors que toute la France débat du mariage homo, StreetPress vous signale la parution d’un essai qui vient apporter de l’eau au moulin à cette surprenante théorie : « Les féministes blanches et l’empire », signé Stella Magliani-Belkacem et Félix Boggio Ewanjé-Epée, aux éditions La Fabrique. Un petit livre vert (110 pages) dans lequel les deux auteurs affirment que « l’homosexualité, comme identité » est « une notion » occidentale qui n’est pas adaptée au monde arabe et africain. Et par « analogie », pas adaptée non plus à ceux qui en sont issus : les habitants des « quartiers populaires ». [...]

« impérialisme gay » « Monde blanc », « homosexualité imposée », « impérialisme gay »…

Jointe par StreetPress, Houria Bouteldja, boss des Indigènes de la République, reprend à son compte la théorie de l’essai qui lui est dédicacé. Mais celle qui est régulièrement invitée par Frédéric Taddéï dans « Ce soir ou jamais » va encore plus loin en affirmant que « le mode de vie homosexuel n’existe pas dans les quartiers populaires. Ce qui n’est pas une tare » :

« Le mariage pour tous ne concerne que les homos blancs. Quand on est pauvre, précaire et victime de discrimination, c’est la solidarité communautaire qui compte. L’individu compose parce qu’il y a d’autres priorités. » [...] La majorité des Français aussi d'ailleurs !!!

Streetpress via Rue89

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
7 février 2013 03:50

La majorité des Français (56%) est opposée à l’octroi du droit de vote aux étrangers non européens résidant en France depuis plus de cinq ans pour les élections locales contre 44% qui y sont favorables, selon un sondage Ifop paru dimanche 3 février dans le JDD. Cette mesure nécessite une modification de la Constitution mais aucune majorité ne se dégage pour l’instant au Parlement.

Parmi les opposants 32% se disent « très opposés » et 24% « assez opposés ». En face, 29% des personnes interrogées sont « assez favorables » et 15% « très favorables ».

Les sympathisants de l’UMP sont à 78% hostiles à l’octroi de ce droit de vote et le pourcentage s’élève à 92% chez les sympathisants du Front national.

En revanche, une forte majorité (69%) des sympathisants de gauche souhaite que les étrangers puissent participer aux élections locales contre 31% qui sont d’un avis opposé. [...]

Le Nouvel Obs

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société
6 février 2013 02:42

La Fondation de l’abbé Pierre vient de remettre son 18ième rapport sur le logement en France. Un constat accablant, des bribes de solutions pires que le mal….

Au delà des agitations politiciennes, des affirmations idéologiques et des coups de menton des grands « yakas », la réalité du problème du logement prend un vrai visage et une réalité palpable lorsque la fondation de l’abbé Pierre rend son rapport annuel sur le « mal-logement ».

Une situation qui empire d’année en année

A travers le logement, c’est à une description précise, émaillée d’exemples, de la misère qui gagne notre pays que la Fondation se livre. La multiplication des familles mono parentales qui appauvrit, le chômage de plus en plus long, de plus en plus lourd, le nombre croissant de Français n’ayant que le RSA pour vivre, la misère, la vraie, pas celle des banlieues, qui touche les zones rurales, les communes péri urbaines, la pauvreté cachée de ceux qui n’ont plus que les terrains de camping payés à la semaine comme solution d »hébergement, les immigrés que l’idéologie ambiante continue d’accueillir à bras ouverts pour les entasser dans lieux sordides où le manque d’hygiène provoque la résurgence de maladies que l’ont croyaient éteintes chez nous, les retraités qui quittent les villes et font valoir leurs droits à des logements sociaux dans des communes qui n’arrivent déjà pas à satisfaire les besoins locaux…

Le rapport a cet avantage d’être précis et à chercher à quantifier. Plus de 10 millions de personnes seraient touchées par la crise du logement et 3,6 millions subiraient le « mal-logement ». Des cabanes aux squats, en passant par le camping à l’année, « l’exclusion du logement est devenue un phénomène massif qui touche au moins 700.000 personnes », indiquent les auteurs du rapport. Autre constat que fait l’association, les ordres d’expulsion commencent à grimper : près de 119.000 décisions de justice ont été prononcées l’an dernier, soit 3.000 plus qu’en 2011. Alors que les revenus de ceux qui disposent encore d’un emploi stable stagnent (voir diminuent par l’augmentation de la pression fiscale), les dépenses de logement explosent dans les budgets des ménages. Entre 2000 et 2010, les loyers ont augmenté de 47 % dans le parc privé et de 29 % dans le parc social. Forcément, le nombre d’impayés s’envole et le financement des dispositifs de soutien, comme le Fonds de solidarité logement (FSL), est de plus en plus sous tension.
Du fait de la hausse continue du chômage l’an dernier et d’une précarité croissante, les relais d’intervention d’urgence (centres communaux d’action sociale, associations) sont submergés par les appels au secours.

Des bribes de solutions qui laissent perplexes

Les propositions ou pistes de réflexion de la Fondation peuvent laisser perplexes. Application plus rigoureuse de la loi sur le « droit au logement », plus de sévérité dans la mise en application de la loi sur  le relèvement du seuil minimal de 25 % de logements sociaux, imposition d’une « mixité sociale » dans les métropoles régionales au marché immobilier tendu, les zones touristiques du littoral et certaines zones transfrontalières qui connaissent un phénomène de ségrégation territoriale et relèguent les « mal-logés » extra-muros…
Bref, des mesures qui ne font que renforcer une politique que ce même rapport dénonce comme étant terriblement inefficace, des mesures qui vont à contresens du mouvement naturel. Nous savons, après cinquante ans d’expérience, que la mixité sociale est un leurre idéologique. A chaque fois que vous imposez une population exogène dans un quartier ou une ville, vous créez un phénomène de rejet qui presque toujours, prend la forme d’un départ de la population d’origine remplacée par des membres de la population imposée. Après quelques années, vous avez modifié la composition sociale du quartier en question, mais vous n’avez pas plus de mixité.

Je suis étonné que la plupart des intervenants sur le sujet du logement se contentent de raisonner à périmètre de marché constant. Mais, peut on en vouloir à une association dont le but est de soulager les misères « hic et nunc » de ne pas prendre le recul nécessaire à une réflexion en profondeur?

Les racines du mal

Pourtant, il y a unanimité sur le constat (y compris dans le rapport de la Fondation de l’abbé Pierre), même si nous ne le formulons pas tous de la même manière. Le marché français du logement ne connait que deux problèmes, l’un survenant conséquemment à l’autre: Le déficit d’offre et la paupérisation des demandeurs.

Or, en quoi le fait d’imposer la mixité sociale ou de réquisitionner quelques centaines de logements va résoudre l’un ou l’autre de ces problèmes?

A la base du grave problème de logement que connait notre pays est le mode de financement de notre système social. 50% des revenus d’un salarié étant prélevés en amont de son salaire, ce dernier est sous évalué et rend la part « logement » lourde, voire trop lourde. L’Etat tout puissant croit pallier à ce problème (qu’il génère) par des HLM dont il n’est pas capable d’assurer la construction en assez grand nombre pour absorber l’accroissement de la demande toujours plus grande d’année en année.

Toujours plus grande car l’appauvrissement augmente le nombre de Français admissibles aux HLM, car ceux qui y sont ont tendance à faire ventouse, car il y a un accroissement de la population d’année en année, car la multiplication des famille monoparentales augmente le besoin, car chaque année 200 000 étrangers (l’équivalent d’une grosse ville) s’installent dans notre pays, créant une demande nette (il ne libèrent, par définition, aucun logement). L’Etat croit aussi résoudre le problème par des aides (APL). Sauf que la demande augmentant, les charges sur le travail augmentent, provoquant plus de chômage, donc de demandeurs…

Soigner le mal à son origine

Il semble évident que nous sommes au bout de la logique. L’attitude dogmatique et idéologique qui prévaut aujourd’hui est un emplâtre qui va (peut être) satisfaire quelques beaux esprits mais en rien résoudre le problème. Comment voudrait on nous faire croire que l’Etat dont la principale préoccupation dans les années qui viennent sera de réduire le déficit de fonctionnement tout en maintenant le réservoir électoral des fonctionnaires va trouver les ressources nécessaires à la construction de 800 000 logements sociaux?

Cet objectif n’a d’éventuelles chances d’être approché qu’à condition que l’investissement privé s’engouffre dans le projet. Sans nous étendre sur l’effet déplorable que le risque « réquisition » peut faire planer sur des investisseurs privés, la paupérisation des demandeurs rend peu rentable, donc peu incitatif la construction privée. Reconnaissant cet état de fait sans l’avouer, l’Etat instaure des incitations fiscales, histoire de ramener l’investissement à un niveau acceptable de rentabilité. Si vous supprimez ces incitations, c’est la catastrophe que nous connaissons.

Sans faire de l’Allemagne un exemple en tout, reconnaissons que le marché y est beaucoup serein. Il n’y a quasiment pas de problème de logement, les Landers, depuis la reconstruction, n’ont cessé de construire ou d’inciter à la construction. Dès lors, les loyers sont « raisonnables », puisqu’il n’y pas de pénurie de logement (toujours cette sacrée loi de l’offre et de la demande), que le chômage est faible et que les propriétaires ont la possibilité d’expulser les locataires dès le deuxième loyer impayé. Pas de surcoût d’assurance, pas de crainte de se retrouver avec deux ans sans revenus.

Le gouvernement n’a pas les moyens de sa politique

Le déséquilibre qui existe entre l’offre et la demande en France trouve son origine dans les charges sociales qui pèsent sur le travail et qui paupérisent les demandeurs. Plutôt que s’attaquer à ce problème, le gouvernement a choisi une autre voie. Celle des mesures autoritaires, facisantes ou communisantes.

Il n’y a qu’une voie pour que cela ait une chance de fonctionner: Construire, construire, construire à tour de bras (c’est ce qu’ont fait tous les régimes facistes dans le monde), il rééquilibrera ainsi le marché et dégonflera les prix. Le problème, c’est qu’il n’a pas les moyens de sa politique et que comme on ne rame pas éternellement à contre courant, il viendra un jour où il faudra prendre les bonnes mesures… Un jour, plus tard, « trop » tard? 


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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Société