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david MIEGE
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6 juin 2019 19:39
C’est une étude inquiétante qui vient d’être publiée par le ministère de l’Éducation. À partir des tests conduits sur 713 000 participants à la Journée défense et citoyenneté (JDC) en 2018, le ministère affirme que plus d’un jeune Français sur dix est « en difficulté de lecture » et un sur vingt en situation d’illettrisme.

Sur ces jeunes âgés de 16 à 25 ans, 11,5 % « sont en difficulté de lecture », indique une note de la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), qui dépend du ministère de l’Éducation.

Ceux qui rencontrent les difficultés les plus sévères et qui représentent 5,2 % de l’ensemble « peuvent être considérés en situation d’illettrisme » caractérisé notamment par « un déficit important de vocabulaire ».

Les jeunes du niveau au-dessus (6,3 % de l’ensemble) ont, quant à eux, « un niveau lexical oral correct, mais ne parviennent pas à comprendre les textes écrits ». On trouve ensuite, selon les données de l’enquête, 10,9 % de jeunes « aux acquis limités », qui « parviennent à compenser leurs difficultés pour accéder à un certain niveau de compréhension ».

Pour ces profils, la lecture « reste une activité laborieuse, mais qu’ils savent mettre en œuvre pour en retirer les fruits ». Quelque 77,6 % de jeunes sont enfin des « lecteurs efficaces », selon la Depp. […]

Le Point

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans éducation
12 avril 2019 10:20

La salle de classe de la 4c ne ressemble pas à celle d’une école à problèmes : des globes faits à la main sont suspendus au plafond, une affiche est collée au mur : « Starke Kinder ABC » – « A comme achtsam, C comme Cool, L comme lustig ».

Les enfants se creusent la tête sur les exercices de calcul, 10 h 35, troisième heure, cours de mathématiques. Les groupes doivent présenter leurs résultats dans un instant. De nombreux élèves n’ont pas encore beaucoup progressé.

Car la classe 4c de l’école primaire Jens-Nydahl à Kreuzberg est composée ainsi : 20 enfants, six fois plus de troubles de l’apprentissage, 19 élèves dont l’allemand est la langue secondaire. Seule Sabrina (nom modifié), une fille réservée, a des parents germanophones. Le seul enfant de toute l’école.

L’école primaire de Jens-Nydahl est l’une des 278 écoles de Berlin qui, selon le Département de l’éducation, de la jeunesse et de la famille du Sénat, bénéficie de fonds spéciaux.

Ainsi, les enfants grandissent avec des parents qui ne vont pas travailler le matin, parlent peu ou pas l’allemand et négligent souvent les enfants, écrit le site d’information « Welt.de » qui fait référence à une institutrice déclarant que les enseignants doivent souvent donner à l’école ce que les enfants manquent à la maison […]

Un autre problème semble être que la plupart des parents ne travaillent pas et que la plupart des familles à la maison ne parlent que le turc.

[…]

Welt.de / Epochtimes.de

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration Education
24 juin 2016 02:28
Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale

Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale – Photo : Julien Paisleyvia Flickr (CC BY-NC-ND 2.0

 

Sous prétexte de menace terroriste, Najat Vallaud-Belkacem remet en cause la liberté scolaire, pourtant protégée par la Constitution.

 

Par Jean-Yves Naudet.
Un article de l’Iref-Europe

En France, trois régimes existent pour les établissements scolaires, depuis la loi Debré de 1959 : le secteur public (82,7% des effectifs), le secteur privé sous contrat (16,5%) (L’État rémunère les enseignants, mais les obligations sont proches de celles du secteur public) et le secteur privé hors contrat, libre du contenu des enseignements.

Ce dernier est minoritaire (56 400 élèves -0,5%-, sans compter les 25 000 instruits à domicile -0,3%-), mais en progression rapide, compte tenu des carences du secteur public, et il applique souvent des méthodes pédagogiques innovantes. Madame Najat Vallaud-Belkacem propose de passer d’une simple déclaration pour ouvrir une école à un régime de contrôle a priori, donc d’autorisation administrative préalable.

La ministre justifie cette décision par les risques de radicalisation, essentiellement islamique, dans certains établissements ; l’argument surprend, car il existe des écoles hors contrat laïques comme de toute confession (catholique, juive, musulmane) et des contrôles réguliers existent : d’ailleurs 5 établissements devraient être fermés. Mais la ministre a aussi mis en avant le « contexte de hausse des effectifs » : limiter ce qui se développe spontanément, au lieu de se demander pourquoi ! Enfin elle affiche une volonté de contrôler la progression des apprentissages et prépare un décret en ce sens, pour renforcer le contrôle des connaissances et donc limiter la liberté des programmes.

La liberté scolaire, un principe à valeur constitutionnelle

Le passage au régime d’autorisation préalable passerait par un amendement par ordonnance à la loi égalité et citoyenneté, donc sans aucun débat au Parlement. Or la question n’est pas mineure, car, depuis une décision du Conseil Constitutionnel du 23 novembre 1977, la liberté d’enseignement fait partie des principes fondamentaux à valeur constitutionnelle. Le débat est semblable à celui de la liberté associative au 19ème siècle : le Code pénal napoléonien supposait une autorisation préalable et la véritable liberté associative n’a eu lieu qu’avec la loi de 1901.
L’impact de cette décision est considérable. L’existence d’un secteur libre offre une opportunité à ceux qui constatent l’échec du secteur public éducatif. Même l’enseignement catholique sous contrat a protesté, car ces établissements ouvrent souvent des classes sans contrat, quand le ministère refuse de financer une classe sous contrat : c’est une soupape de sécurité.

La question de principe est plus importante et le cardinal Ricard, président du conseil épiscopal pour l’enseignement catholique, a affirmé que l‘épiscopat français « entend exprimer à ce sujet à la fois son inquiétude et ses plus grandes réserves » car le nouveau dispositif serait« une atteinte au principe même de cette liberté constitutionnelle ». Et d’ajouter qu’au moment où le « modèle démocratique est contesté »« notre pays a besoin de confirmer son choix des libertés ».

L’IREF démontre la faiblesse de la liberté éducative en France

La liberté scolaire est fondamentale, car les parents sont les premiers responsables de l’éducation des enfants, et le libre choix est la condition de cette responsabilité. Or cette liberté est bien minime en France. En effet, l’IREF, dans plusieurs études, notamment du 13 septembre 2013 et du 27 mai 2016, démontre l’extraordinaire faiblesse de cette liberté en France.

Quatre critères mesurent la liberté éducative : l’autonomie de gestion financière, l’autonomie de gestion en ressources humaines, l’autonomie d’enseignement et le choix parental. Les études de l’IREF démontrent que, si l’on tient compte de ces quatre critères, la France est avant dernière en Europe pour le degré de liberté éducative.

Et la liberté conditionne l’efficacité du système éducatif 

Est-ce que la France compense ce manque de liberté par l’importance des dépenses publiques d’éducation ? Là encore les études de l’IREF montrent que le volume des dépenses a peu d’influence sur l’efficacité du système scolaire. Ce qui compte, c’est l’organisation institutionnelle des établissements et notamment leur degré d’autonomie. L’IREF démontre, s’appuyant sur les scores PISA en particulier, que les pays qui ont plus d’autonomie éducative ont de meilleurs résultats que les autres. Et ces bons résultats impactent positivement toute l’activité économique.

Nationalisation radicale ou lente, le résultat est le même !

Il y a plusieurs façons de supprimer la liberté scolaire : l’une est radicale, immédiate, comme l’avait fait Napoléon avec le monopole public de l’enseignement ou comme avait essayé de le faire François Mitterrand en 1984 avec le projet de SPULEN (Service public unifié et laïque de l’Éducation nationale). L’autre est plus lente, plus insidieuse : rogner peu à peu la liberté scolaire, ce qui se fait depuis des années et que le projet actuel parachève. Le résultat est le même. Sans réaction, la liberté scolaire aura bientôt totalement disparu en France.

Sur le web

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
16 juin 2016 02:41

Carte-france-reussite-bac-2015-v3

La FPEEI (Fédération des parents d'élèves des écoles indépendantes) communique :

"Résultats au bac des lycées hors contrat

1- Les établissements hors contrat (encore appelés écoles indépendantes ou écoles entièrement libres) enregistrent d'excellentes performances académiques, comme l'attestent les statistiques du baccalauréat de 2015.
 
Pour la première fois ont été établies les statistiques des résultats des lycées hors contrat au baccalauréat (il s'agit de la session 2015). La FPEEI a en effet joint les 139 lycées hors contrat recensés par l'association Créer son école pour s'enquérir des résultats de leurs élèves. 72 lycées ont communiqué dans les délais leurs taux de réussite.

En 2015, tandis que, selon l’Education nationale, 87,9% des élèves des lycées publics et sous-contrat ont réussi le baccalauréat (carte à gauche), le taux de réussite des lycéens des écoles hors contrat est de 94,8% (carte à droite, sourceFPEEI). 
Dans tous les départements, sauf l’Oise et les Alpes Maritimes, le taux de réussite au bac est supérieur à 90%. On note également que dans les départements où les lycées publics ou sous contrat peinent à avoir de bons résultats (taux de réussite inférieur à 80% dans les départements de la Somme, de la Seine-Saint-Denis, de l’Aisne et de la Creuse), les établissements hors contrat ont, pour leur part, de très bons résultats (taux de réussite supérieurs à 90%).

Carte-france-reussite-bac-2015-v3

DE PLUS, LES COLLEGES ET LYCEES HORS CONTRAT SE DISTINGUENT DANS LES CONCOURS

Voici quelques exemples glanés ci et là, vu que nous n’avons pas accès aux statistiques nationales :

Les lycéens du hors-contrat se sont distingués au concours de l’ICAM : lors de la 14ème édition du Challenge Icam TPE du site de Lille, un concours qui permet aux élèves en classe de 1ère scientifique de venir défendre leur TPE (Travaux Pratiques Encadrés) face à des jurys de professionnels, une équipe de trois lycéens de l’établissement hors contrat de la Croix des Vents est arrivée en premier sur 130 lycéens participants et 45 TPE présentés. Le Challenge Icam, véritable passerelle entre le monde lycéen et le monde de l’enseignement supérieur, veille à encourager et promouvoir les études scientifiques.

Jeunes-concours-icam-v3Le hors-contrat était bien représenté parmi les 60 lauréats du concours du Plumier d’or de cette année, notamment avec 2 lauréats de l’internat hors contrat de la région Centre, l’Angelus.

Au concours des Timbrés de l’orthographe organisé par la poste, ce sont 4 des 5 lauréats du Pays de Loire qui sont issus de l’établissement hors contrat Anne-de-Guigné. Nous tâcherons d’avoir les statistiques de toute la France pour l’an prochain.

Tous ces résultats illustrent la qualité académique de nombreux établissements hors contrat. Nul doute qu’il y aurait encore davantage de lauréats à des concours nationaux si la législation ne refusait pas la possibilité aux élèves des écoles hors contrat de se présenter à certains concours, comme c’est le cas par exemple pour le concours général.

La FPEEI déploiera dans les prochains mois des actions légales pour faire cesser cette discrimination difficilement compréhensible."

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
7 juin 2016 01:33
 
FIGAROVOX/ENTRETIEN - La langue arabe pourra être choisie, comme l'anglais, l'italien ou le turc comme langue vivante 1 dès le CP. Pour Jean-Paul Brighelli, l'Etat fera appel à des enseignants envoyés par les pays avec lesquels nous avons des conventions.

Jean-Paul Brighelli est enseignant à Marseille et essayiste. Spécialiste des questions d'éducation, il est ancien élève de l'Ecole normale supérieure de Saint- Cloud, et a enseigné les lettres modernes en lycée et à l'université. Il est l'auteur de La fabrique du crétin (2005, Jean-Claude Gawsewitch éditeur).
Son dernier livre, Voltaire ou le Jihad, le suicide de la culture occidentale, vient de paraître aux éditions de l'Archipel. 


FIGAROVOX. - La langue arabe pourra être choisie comme langue vivante 1 dès le CP au même titre que l'anglais, le portugais, l'italien, l'espagnol, l'allemand, le turc ou le serbe par exemple. Que cela vous inspire-t-il?

Jean-Paul BRIGHELLI. - Il faudrait savoir : soit l'anglais est essentiel dans le monde économique contemporain, comme on nous le serine sans cesse, soit n'importe quelle langue est susceptible d'être enseignée concurremment au français — et sans doute faudrait-il enseigner d'abord le français, dont la disparition est programmée depuis vingt ans par les eurocrates béats et les pédagogues complices. Mais l'arabe ou le turc, enseignés aux tout-petits dans le cadre de l'ELCO, ne sont pas n'importe quelle langue, et elles ne sont pas enseignées par n'importe qui.
 Depuis les années 1970, des accords bilatéraux nous lient aux pays d'origine, qui envoient leurs propres formateurs — et on imagine sans peine ce que sont aujourd'hui les formateurs expédiés en France ...

 

Ce n'est plus de l'apprentissage linguistique ou culturel, c'est du bourrage de crâne.
«Si les professeurs ne sont pas en mesure de le faire, nous ferons appel à des professeurs étrangers comme pour d'autres langues», a déclaré Najat-Vallaud Belkacem. Quelles peuvent être les conséquences d'une telle mesure?

Des enseignants d'arabe littéraire, il y en a très peu — quatre postes à l'agrégation de la discipline cette année, et autant au CAPES: cela donne une idée de la demande actuelle. 
On fera donc appel à des bonnes volontés, ou on titularisera les enseignants envoyés par les pays avec lesquels nous avons des conventions. 
Enseigner l'arabe ou le turc dès les petites classes, et le faire enseigner par des gens qui ne seront pas passés par le filtre des concours républicains, c'est un risque. (...)

 Ce qui se prépare sous couleur d'ouvrir le choix linguistique — au moment même où la réforme du collège détruit ce choix dès la Sixième, et barre l'accès à tout ce qui n'est pas anglais à des centaines de milliers de collégiens à la rentrée prochaine —, c'est la communautarisation du pays, l'éclatement en tribus antagonistes: on le voit bien avec les aberrantes déclarations de Benzema ou Debouzze sur le «racisme» supposé de Deschamps en particulier et du pays en général. 

À terme, la guerre civile. 

Voilà ce qui est en germe dans les décisions partisanes de Mme Vallaud-Belkacem, si nous n'y prenons garde.
 
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
15 mars 2016 01:07

http://www.citoyens-et-francais.fr/

Trois grandes universités allemandes ont fermé leurs salles de prière utilisées par des musulmans, provoquant ainsi des accusations selon lesquelles elles établissent une discrimination contre les mahométans.

"Les musulmans pratiquant trouveront un moyen de prier d'une façon ou d'une autre et ils trouveront un lieu. Si la mosquée est trop loin, ils trouveront un coin pour le faire là-bas" a déclaré Ender Cetin, président de la mosquée Sehitlik à Berlin, cité par le site d'actualité en ligne The Local.

 

Selon M.Cetin, il n'est pas nécessaire d'avoir une salle de prière réservée aux musulmans, une salle de prière commune est une bonne idée pour le bien-être de tout le monde.

 

Par ailleurs, plusieurs grandes universités allemandes voient les choses différemment et une série de décisions de fermer les salles de prière a conduit à des allégations de discrimination.

Menace à la sécurité

L'Université technique de Dortmund a fermé définitivement sa salle de prière qui avait toutefois été conçue pour les personnes de toutes confessions.

L'université affirme que les hommes musulmans ont tenté de la prendre en charge en imposant une ségrégation entre les sexes, imposant un espace de prière pour les hommes plus grand que celui pour les femmes.

 

Ainsi, la tentative de créer une place de méditation pour toutes les confessions a échoué.

Les étudiants musulmans accusent pour leur part l'université de les placer sous une suspicion généralisée et 400 personnes se sont réunies dans une pétition accusant l'administration de l'université de discrimination à leur égard.

Ce qui est particulièrement troublant est l'explication de l'université que la salle a été fermée pour des "raisons de sécurité", ce qui pourrait pousser les gens à croire que les musulmans l'avait utilisée pour pratiquer des formes radicales de l'islam.

Pas assez de place

L'Université de Duisbourg et Essen a également fermé sa salle pour les étudiants musulmans qui existait depuis plus de 20 ans.

Les responsables de l'université ont annoncé, dans une lettre officielle, que la salle devait être fermée en raison de "questions d'espace pour les étudiants".

"Ayant plus de 130 nations dans notre université, nous ne pouvons pas offrir une salle pour chaque religion ou culture", a déclaré l'université.

En outre, à l'Université technique de Berlin, une institution de 34.000 étudiants, la salle de prière musulmane, qui était ouverte depuis des années, a récemment été fermée.

Les universités pas autorisées à poser des questions sur la religion

Les universités allemandes ne sont pas autorisées à interroger les étudiants sur leur religion, ce qui rend difficile de savoir combien de musulmans y étudient.

 

"Si nous savions combien d'étudiants musulmans il y avait ici, nous pourrions utiliser cet argument en débattant avec les administrateurs", a indiqué au quotidien allemandSüddeutsche Zeitung un étudiant de l'Université technique de Berlin.

 

Mais toutes les universités ne choisissent pas de s'afficher comme un lieu où la religion ne joue aucun rôle.

Par exemple, l'Université de Cologne est prête à ouvrir une nouvelle salle de prière cet été.

"En tant qu'université, nous avons toujours été confrontés à un conflit entre la laïcité et la liberté religieuse," a déclaré au Süddeutsche Zeitung le porte-parole de l'université.

Il a toutefois ajouté que beaucoup de croyants ont certaines nécessités liées à la prière "et ils ont besoin d'une salle spéciale pour cela".

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
14 septembre 2015 19:01

Pour faire l’appel il faut prendre en main un dictionnaire : deux classes, 35 élèves, aucun italien. Dans les deux classes élémentaires de l’institut Manzoni de Brescia il n’y a que des étrangers. Dix-sept enfants dans une classe, 18 dans l’autre: les passeports sont chinois, indiens, moldaves, pakistanais et philippins. Un record !  « Travailler dans ces classes est compliqué »  disent les professeurs.

« Certains enfants sont arrivés depuis peu en Italie et ils ne parlent pas notre langue. Nous espérons que l’inspection académique embauche bientôt quelqu’un, sinon il sera impossible de travailler (…) »

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
6 septembre 2015 01:16

Dans une France qui, pensait-on alors, devait être Charlie depuis le fond des campagnes jusqu’à la pointe des pompes ministérielles et de la teinture présidentielle, germa l’idée d’une nouvelle religion universelle. Un truc à travers lequel tous les gens du monde voudraient se donner la main : la sacro-sainte laïcité, estampillée Laïcité à la française.

L’enfer est pavé de bonnes intentions. Ou d’hypocrite naïveté, ce qui revient au même.

Cette charte qui compte quinze articles doit être signée en ce jour de rentrée par les parents d’élèves, priés d’y adhérer comme ils adhèrent en principe aux valeurs essentielles de la République. Une « République indivisible, laïque, démocratique et sociale », nous dit l’article 1.

L’article 2 précise la neutralité de l’État relativement aux convictions religieuses, et le 3 assure que tout est possible « dans le respect [des convictions] d’autrui et dans les limites de l’ordre public ». Admettons.

C’est après qu’on commence à rigoler…

Primo, sachant à quels « publics » (mot consacré) s’adresse la charte en question, on se demande combien de parents vont bien pouvoir comprendre quelque chose à ce qu’on leur demande de signer ! Il n’est pas sûr, en effet, que l’article 12 – « Afin de garantir aux élèves l’ouverture la plus objective possible à la diversité des visions du monde ainsi qu’à l’étendue et à la précision des savoirs, aucun sujet n’est a priori exclu du questionnement scientifique et pédagogique » – soit compris par tous, même s’ils lisent le français…

Surtout, on met l’État au défi de s’en tenir fermement à ce qu’il énonce comme principes intangibles. Par exemple, l’article 6 : « La laïcité de l’École […] protège [les élèves] de tout prosélytisme et de toute pression qui les empêcheraient de faire leurs propres choix. » Sur le plan religieux, on veut bien y croire, mais sur celui des idées et de la politique, c’est un mensonge éhonté. Tout comme l’article 8 qui n’est aujourd’hui qu’un vœu pieux : « La laïcité permet l’exercice de la liberté d’expression des élèves dans la limite du bon fonctionnement de l’École comme du respect des valeurs républicaines et du pluralisme des convictions. » Et plus encore l’article 11 : « Les personnels ont un devoir de stricte neutralité : ils ne doivent pas manifester leurs convictions politiques ou religieuses dans l’exercice de leurs fonctions. » Ah ! Ah ! Ah ! Elle est bien bonne…

Plus on y réfléchit, plus on constate que cette charte – sous couvert d’organiser un pluralisme tranquille respectueux des consciences – peut devenir dans son application tout à la fois extrêmement liberticide et mensongère quant à la philosophe qu’elle prétend défendre.

...

Cela met en lumière le problème auquel se heurte aujourd’hui notre République (et ses voisins n’y échappent pas) : la mondialisation des croyances et des cultes, qui rend justement tout à fait aléatoires les définitions du bien et du mal, du vrai et du faux, de ce qui est juste et de ce qui ne l’est pas, du pudique et de l’impudique, de l’essentiel et de l’accessoire…

Impuissant, le gouvernement s’accroche à sa charte de la laïcité comme un naufragé à sa bouée. Au milieu de l’océan, alors que la tempête menace, c’est sans doute un peu tard.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
29 août 2015 01:18

 

Regardé avec méfiance dans certaines villes, le développement de l’enseignement privé musulman se fait à bon rythme, même s’il reste contrarié par le manque de moyens et l’octroi au compte-gouttes des précieux contrats d’association avec l’Etat.

La France compte une quarantaine d’établissements confessionnels musulmans, sans compter les projets en cours. Nouveauté de cette rentrée, deux collèges passent, mais pour une classe de sixième seulement, sous contrats d’association, ce qui signifie la prise en charge par l’Etat de la rémunération des professeurs chargés de matières générales.

L’établissement Ibn Khaldoun de Marseille et l’Institut de formation de Saint-Quentin-en-Yvelines (IFSQY) en région parisienne rejoignent ainsi le lycée Averroès de Lille, le groupe scolaire Al Kindi à Décines-Charpieu près de Lyon, et l’école Medersa de Saint-Denis de la Réunion, pionnière en France.

Avec quelque 3.000 élèves au total, cet enseignement confessionnel reste peu développé pour une population musulmane évaluée à cinq millions de personnes (pratiquants ou non). [...]

«La communauté musulmane est en train de rattraper son retard», assure à l’AFP Makhlouf Mamèche, président de la Fédération nationale de l’enseignement privé musulman (FNEM), créée l’an dernier pour commencer à structurer un réseau disparate et qui ambitionne de devenir rapidement l’interlocuteur des pouvoirs publics.

«Au départ, le sujet était un peu tabou, les musulmans jugeaient l’ouverture de mosquées prioritaire», estime ce directeur-adjoint du lycée Averroès. Mais la donne a changé dans les années 2000, surtout après l’interdiction du voile à l’école publique en 2004.

Plus récemment, les critiques de l’Education nationale relatives à une «théorie du genre» ont joué leur rôle. «La question du genre a créé de vrais dégâts auprès des musulmans», confie Makhlouf Mamèche, qui est par ailleurs un dirigeant de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), proche des Frères musulmans. [...]

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
29 mai 2015 23:12
Valls à Marseille pour inaugurer un établissement privé confessionnel musulman (MàJ : ambassadeurs du Qatar et du Koweit présents)

Selon Europe 1 « Manuel Valls se rend jeudi dans la cité phocéenne pour acter la reconnaissance par l’Etat d’un établissement privé confessionnel musulman ».

Dans son article, la station Europe1 omet sciemment de préciser de quel collège il s’agit, et ne parle pas non plus de la cérémonie de la pose de la première pierre avec le président de la sulfureuse UOIF, Amar Lasfar, et l’ambassadeur du Qatar et celui du Koweit (lire) , qui a eu lieu la semaine dernière !

Europe 1 préserve le premier ministre venu « vendre » à l’opinion l’existence d’un » islam de France » dont Bernard Cazeneuve veut promouvoir l’expansion par une fondation garantissant les emprunts des projets.

(…) Islamisation.fr

Manuel Valls se rend jeudi dans la cité phocéenne pour acter la reconnaissance par l’Etat d’un établissement privé confessionnel musulman. Le quatrième en France.

La première école privée musulmane à Marseille va bientôt être reconnue par l’Etat. Il s’agit du quatrième établissement privé confessionnel musulman à passer sous contrat avec l’Education nationale.

Et en plein débat sur la laïcité, la volonté du gouvernement de multiplier le nombre d’établissements scolaires confessionnels constitue un sujet ultra-sensible.

Manuel Valls se rend jeudi dans la cité phocéenne pour rencontrer des parlementaires socialistes, notamment Samia Ghali, qui se battent pour que certaines écoles soient labélisées, un gage de contrôle et de sérieux. Au début de l’année, le gouvernement avait acté la multiplication du nombre d’établissements privés musulmans, notamment pour mieux organiser la place de l’islam dans la République.

« Les gens ne vont plus avoir peur ». Dans cette école, où les jeunes filles ne portent pas toutes le foulard, la reconnaissance de l’Etat est vécue comme un soulagement pour sortir de la marginalité. « C’est vrai que quand on essaye d’avoir des écoles musulmanes, il y a cette barrière de devoir se justifier….

Avec cet agrément, l’établissement devrait multiplier ses inscriptions par quatre, d’ici quelques années.

Europe1

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
28 mai 2015 03:18
Par clientélisme le conseil départemental offre 200€ pour chaque élève entrant en 6ème du 93

Les socialistes ne changeront jamais. Le peuple de France a massivement voté contre eux, ne supportant plus que ces exécutifs gauchistes dépensent sans compter l’argent du labeur des Français.

Ces derniers en ont assez de l’assistanat propre à cette gauche ayant remplacé le vrai social d’autochtones dans la détresse, que je ne partage mais qui pourrait avoir un sens, par le progressisme sociétal et bien entendu cette foutu préférence étrangère.

Seulement nos amis socialistes formatés par le logiciel de la Fondation Terra Nova, ce think tank gauchiste théorisant la fin du discours ouvriériste pour se pencher sur la population immigrée des banlieues, ne savent pas faire autrement.

Prenons l’exemple de la Seine-Saint-Denis où plus aucune âme Française ne vit, comparable à Bab el Oued, Tombonctou ou Bucarest. Une terre qui peut-être dans moins d’un siècle demandera son indépendance à la France, c’est dire ce que le sol où repose l’ensemble des rois de France est devenu en moins de 50 ans. Je serai d’ailleurs bien curieux de voir le visage de ces souverains si un miracle divin les ressuscitait, en sortant de leurs tombeaux de la cathédrale de la cathédrale de Saint-Denis dans ce fameux 93.

Mais bon cela est encore un autre sujet. Donc dans ce territoire à problèmes nous avons un Conseil départemental nouvellement élu, ultra subventionné par l’Etat et par conséquent les Français, qui a décidé de dilapider encore une fois les budgets qu’il a à sa disposition.

Ainsi, « Chaque élève entrant en sixième dans un collège public de Seine-Saint-Denis se verra remettre un « chèque réussite » de 200 euros sous la forme de bons d’achat à utiliser dans les commerces du département, a annoncé le Conseil départemental, ce jour. Cette aide, qui bénéficiera aux 18.000 élèves de Seine-Saint-Denis entrant en sixième dans l’un des 125 collèges publics du département »

D’après le Président socialiste de la collectivité, nos pauvres « séquanodyonisiens » comme on les appelle, victimes du racisme d’Etat, de la colonisation, de l’esclavage, de la traite des noirs, du casse du vase de Soisson, de la discrimination de Français xénophobes ne comprenant toujours pas la chance de cette immigration de masse, du génocide de la seconde guerre, de l’holocauste, et de tout le malheur que l’histoire a pu créer depuis Adam et Eve, appartiennent encore d’après lui « appartiennent aux catégories socioprofessionnelles les plus défavorisées ».

L’indigène de France doit donc continuellement payer pour des gens qui leurs crachent chaque jour au visage. Le « con de Français » du péri-urbain se doit donc de subir en fermant sa tronche pendant que la diversité se prélasse et deal drogues et autres produits illicites au bas de leurs HLM. Cela s’appelle l’égalité selon la République. Mais mon petit doigt me dit qu’elle n’a plus de beaux jours devant elle.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
21 mai 2015 01:42

Luc Ferry a critiqué les orientations du conseil supérieur des programmes concernant les programmes d'histoire qui figurent dans le projet de réforme du collège, y voyant une manière de "s'excuser d'être européen".

 

Invité politique de Christophe Bordet sur Sud Radio, l'ancien ministre de l'Education nationale a fait part de ses critiques vis-à-vis du projet de réforme du collège porté par Najat Vallaud-Belkacem.
Outre la suppression des classes bilangues, Luc Ferry a également critiqué les orientations des programmes d'histoire :
"L'Histoire de France est idéologisée, biaisée. C'est la question de la culture européenne qui est en jeu. Regardez le programme de 4e, c'est un scandale. Toute la révolution des Lumières, la révolution scientifique, la naissance de la démocratie, de l'esprit critique, est facultatif alors que la culture et l'histoire européenne ne sont présentées que sous les aspects de la colonisation et de la traite négrière.


On ne peut pas présenter l'Europe comme ça et mettre l'Europe des Lumières facultative."
"On a l'impression qu'on est dans la tyrannie de la repentance, à se faire pardonner d'être Français, d'être Européen et qu'il faut recoudre le tissu social en présentant l'Europe comme un continent affreux, a ajouté Luc Ferry.

C'est aussi le continent de la démocratie. Tout le programme est repentance, comme si on s'excusait d'avoir été Européen. Je suis évidemment favorable à ce qu'on parle de la colonisation, de l'esclavage, des génocides, mais qu'on parle aussi des Lumières, de la démocratie... Najat Vallaud-Belkacem dit qu'on va corriger ça, qu'il va y avoir une consultation, mais c'est la racine de ces programmes qu'il faut corriger."


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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
19 mai 2015 01:01
France: en math, 1 collégien sur 5 n'a pas le niveau CM2...

Le niveau des collégiens en mathématiques a reculé depuis six ans, selon une étude du ministère de l'Education rendue publique dimanche par Le Parisien alors que le projet gouvernemental de réforme du collège est fortement contesté.

Selon cette étude portant sur un échantillon représentatif de quelque 8000 collégiens de 3ème, inscrits dans 323 collèges publics et privés sous contrat, en 2014, un élève sur cinq n'était capable de traiter que des exercices très simples, de niveau CM2 ou de début du collège.

En outre, le pourcentage des élèves de très faible ou de faible niveau passe de 15% à 19,5% en six ans.

Résultats "préoccupants"

Parallèlement, si les deux groupes de niveaux moyens restent à peu près identiques, celui des élèves de 3ème de bon niveau en maths perd près de 3 points (15,3% en 2014 contre 18,6% en 2008). Le groupe des "super-matheux" reste quant à lui stable à 9,1%.

Cette "évaluation nationale des collégiens par discipline (Cedre) s'est penchée sur les maths cette année. Ce type d'étude est réalisé tous les six ans pour chaque matière afin de mesurer l'évolution du niveau des élèves. En mathématiques, les collégiens ont été testés sur leur aptitude à résoudre des problèmes de mathématiques, sur leur connaissance des définitions, sur leur aptitude à raisonner.

Selon Catherine Moisan, directrice de la Deep (Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance du ministère de l'Éducation), citée par Le Parisien, les résultats en maths sont "préoccupants".

"L'écart social se creuse"

"Ce qui baisse vraiment", note-t-elle, "c'est la maîtrise technique (les calculs décimaux, le début du calcul littéral...) dont on peut difficilement se passer dans la vie quotidienne." "L'écart social se creuse. Le collège sait bien faire réussir les bons élèves et les élèves favorisés", ajoute-t-elle. Mais les résultats baissent pour les autres.

Ces résultats confirment l'étude internationale Pisa réalisée en 2012 dans 65 pays de l'OCDE. Leur publication intervient alors que la réforme du collège portée par la ministre de l'Éducation Najat Vallaud-Belkacem est très contestée, ses détracteurs dénonçant notamment un "nivellement par le bas".

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
15 mai 2015 02:21

 

Les programmes scolaires revisités par Mme Najat Vallaud-Belkacem mettent l’islam en valeur et tentent d’abolir la transmission de la culture française et européenne. Cette entreprise, fort bien ciblée, est parfaitement corrélée au processus d’immigration de peuplement invasive, de colonisation et d’islamisation. Les nouveaux programmes prévoient qu’une partie de l’histoire de France sera facultative (chrétienté médiévale) mais l’histoire de l’islam (truquée, on peut le prévoir…) obligatoire.

 

La logique islamisatrice

On croit rêver : en effet, dans les nouveaux programmes du collège concoctés par la ministre de l’Éducation nationale, Mme Najat Vallaud-Belkacem, l’histoire de la chrétienté médiévale, des Empires byzantin et carolingiens ou de la période des Lumières devient facultative.

En revanche, en 5e, l’étude des débuts de l’expansion de l’islam est… obligatoire !

Le Conseil supérieur des programmes (CSP), peuplé d’islamo-gauchistes, a parfaitement validé ces choix. Ils entrent dans le projet d’effacer progressivement le récit de la mémoire historique nationale française au profit de l’identité des ”nouvelles populations”, selon le souhait du think-tank Terra Nova.

Pour l’essayiste Dmitri Casali « on veut gommer les racines chrétiennes de la France ». C’est vrai, mais ce constat est insuffisant, il faut aller plus loin encore. Il s’agit tout simplement d’islamiser (et d’arabiser) l’enseignement de la mémoire historique dès l’adolescence.

 

Mais on cherche aussi à faire reculer dans les programmes tout ce qui pourrait heurter les musulmans – le christianisme, les Lumières, etc. « À croire qu’il ne faut pas heurter certaines sensibilités religieuses », remarquait pudiquement Hubert Tison, secrétaire général de l’association des professeurs d’histoire-géographie.

Tout cela sous le prétexte d’ ”alléger les programmes” qui seraient trop chargés. En réalité, dans les collèges à forte proportion ou à majorité d’élèves musulmans issus de l’immigration, pour ne pas ”créer de problèmes”, on laisse aux professeurs le soin de faire l’impasse sur les sujets qui fâchent.

En revanche, tous les élèves, même dans les classes sans musulmans, devront obligatoirement étudier l’histoire de l’islam !

On se doute qu’elle sera enjolivée et expurgée de ses sombres réalités – comme par exemple l’esclavagisme des Africains, les raids barbaresques, les persécutions d’infidèles, etc.

Derrière cette démission, cette soumission à l’islam, on retrouve aussi les pratiques soft-totalitaires de l’Éducation nationale, adepte du bourrage de crâne idéologique. Parmi les enseignements obligatoires, on trouve la traite négrière transatlantique et les conquêtes coloniales présentées comme des agressions ; toujours le même objectif : culpabiliser l’histoire de France.

 

Abolition et substitution de la mémoire

Mme Najat Vallaud-Belkacem sait ce qu’elle fait. Avec la complicité des idéologues de l’Éducation nationale et la bénédiction de François Hollande, elle milite activement pour accélérer l’islamisation.

En tant que féministe, adepte de la théorie du genre, égalitariste forcenée, elle semble ne pas percevoir l’insurmontable contradiction de sa position. Mais peu importe : pour elle, sans doute, la dépossession de l’identité française est prioritaire et corrélée à une volonté de procéder à une acculturation arabo-musulmane.

 

Tout se passe comme si l’islam devait devenir, par force, ”notre histoire”, comme si nous devions l’incorporer dans notre mémoire. Cela correspond au dogme (de type stalinien) de l’idéologie dominante, maintes fois asséné en dépit de toute vérité historique, selon lequel ”la France a toujours été un pays musulman” ou un pays d’immigration et de mélanges permanents, sans identité fixe. Un récent rapport sur l’intégration parle, sans rire, de la « dimension arabo- orientale de notre identité ». Le n’importe quoi, le mensonge historique, au service du fanatisme idéologique.

 

Dans les nouvelles réformes de déconstruction de l’identité européenne de la France, on trouve également le torpillage de l’enseignement du grec ancien, du latin et de l’allemand, destinés à disparaître progressivement ou à devenir anecdotiques et marginaux.

Et à cela, s’adjoint logiquement le renforcement des ”enseignements de langues et de cultures d’origine” (ELCO). Il s’agit de faire apprendre les cultures et surtout les langues de leurs origines ethniques aux jeunes élèves issus de l’immigration, majoritairement l’arabe et le turc, qu’ils maîtrisent souvent mal ou pas du tout.

Ces enseignements concernent aujourd’hui 92.500 élèves dont 87.000 dans le primaire, population scolaire en augmentation de 16% de 2010 à 2015. En parallèle, l’enseignement grammatical et lexical de la langue française est volontairement torpillé. Les deux entreprises sont logiquement liées.

Il s’agit, outre la furie égalitariste et anti-élitiste du nivellement par le bas (notamment avec la suppression des classes bilangues), terriblement nuisible pour les classes modestes, de supprimer de l’enseignement non seulement l’héritage du christianisme mais aussi celui de la culture gréco-latine, pareillement reniés. Ethnocide culturel.

 

Les idiots de la République

C’est assez extraordinaire : la République renonce à l’intégration et à la francisation – encore plus à l’assimilation.

Elle promeut le communautarisme ethnique et l’islamisation (tout en prétendant combattre l’islamisme !). En réalité, le pouvoir a pris acte des réalités démographiques et de l’immigration massive qu’il a favorisé depuis des décennies.

M. Valls a déclaré le 5 mai 2015 devant les députés, fustigeant ceux qui s’opposaient à la réforme des programmes : « c’est une nostalgie que vous essayez de défendre, une nostalgie d’une France qui est celle du passé ».

Autrement dit, la ”nouvelle France” doit abolir la mémoire et l’identité de l’ ”ancienne France”.

Les Français de souche doivent renoncer à leur identité et à leur ethnicité mais….pas les immigrés allochtones ! Quant aux étrangers qui ont choisi l’assimilation française et européenne, ils sont tout autant méprisés.

M. Valls a avoué par ailleurs que « le terme d’intégration ne veut plus rien dire ». Il lui préfère celui de « citoyenneté »

Naïveté totale : la citoyenneté républicaine est totalement incompatible avec l’islam ! Et la vraie citoyenneté (voir Aristote) n’est possible qu’entre sociétaires qui possèdent les mêmes valeurs, la même mémoire ; autrement, c’est la rupture communautariste assurée avec, au bout, la guerre civile probable.

Cette idéologie d’un angélisme crétin et, au fond, haineuse de l’identité européenne et française, a également été formulée par M. Sarkozy (mais, chez lui, par calcul politicien et non par fanatisme idéologique comme chez M. Valls) quand il a déclaré, repentant : « quand j’étais président de la République, je n’aurais pas du parler d’identité nationale mais dire que je voulais défendre les valeurs de la République ». Quelle république ? Une future république islamique ?

Il y a fort à parier que la droite, si elle revient au pouvoir en 2017, n’osera pas remettre en cause les mesures de démolition de Mme Vallaud-Belkacem.

 

Vers l’inévitable affrontement

La conscience nationale, les traditions autochtones sont donc traitées de ”nostalgie” ringarde, voire criminelle, par les collaborateurs de l’immigration massive et de l’islamisation.

En revanche, les ” nouveaux Français” issus de l’immigration sont choyés comme jamais ; leur religion, leur culture, leurs langues sont mises en valeur et enseignées.

Outre les nombreux privilèges, subventions, protections dont ils bénéficient par ailleurs. Ils sont flattés parce que leur nombre croissant fait peur. La tradition et la mémoire sont suspectes voire détestables quand elles concernent la France, son identité et son histoire ; mais elles sont formidables quand elles concernent les populations migrantes et, en particulier l’islam ; cet islam sur la véritable nature duquel on se bouche les yeux, soit par bêtise et ignorance, soit par pusillanimité et lâcheté.

 

Tout cela est parfaitement antidémocratique puisque la majorité des Français refuse cette politique de capitulation et de soumission. Mais la démocratie n’est pas le bac à sable de l’idéocratie de la gauche idéologue ou de la droite capitularde.

Cependant ces nouvelles mesures imposées par l’oligarchie à l’Éducation nationale sont la conséquence logique de l’immigration hors contrôle et du différentiel démographique intérieur : elle a pris acte, avec jubilation, qu’intégration et assimilation étaient désormais quantitativement impossibles.

C’est aux Français de souche de s’adapter, de renoncer à eux-mêmes, à leur enracinement. Leur histoire est terminée, forclose. L’oligarchie (voir les analyses de Terra Nova) se dit et espère que dans pas si longtemps la véritable minorité visible, ce seront les Français de souche.

 

Mais est-ce bien sûr que cette stratégie réussisse ? Pas certain.

Car les oligarques à la tête de la République française ont négligé les effets dialectiques de leurs décisions.

À toutes choses, malheur est bon. Autrement dit, en renforçant le communautarisme, notamment musulman (et en combattant par ailleurs l’islamisme et son terrorisme, contradiction absolue), les gouvernants renforcent par ailleurs la rupture polémique entre la France de souche et la ”nouvelle population”.

Ils confortent des identités hostiles les unes envers les autres, dans leur rêve ”républicain” pacificateur. Ils préparent la guerre civile ethnique globale, qui impliquera évidemment, nécessairement l’islam, en Europe même. Ils jouent avec le feu comme des enfants avec des allumettes.

Ceux qui ont créé le chaos, irresponsables, seront dévorés, comme les enfants de Saturne.

 

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8 mai 2015 01:51
« Marianne » dévoile le contenu d’un rapport de l’Education nationale

(…) « Marianne » dévoile le contenu d’un rapport de l’Education nationale qui confirme les dérives communautaristes qui ont eu cours entre 2012 et 2014 à l’IUT de Saint-Denis.

Des dérives auxquelles s’est opposé le directeur de l’établissement, Samuel Mayol. Ce qui lui vaudra d’être menacé de mort à de nombreuses reprises, et ce sans que la présidence de l’Université de Paris-XIII, dont dépend l’IUT, ne réagisse vraiment…

(…) ce document confidentiel, que Marianne a pu consulter, décrit les invraisemblables dysfonctionnements survenus à l’IUT de Saint-Denis entre 2012 et 2014 dans un département dirigé à l’époque par Rachid Zouhhad, un maître de conférence en gestion.

En février, nous avions eu accès à la version préparatoire de ce rapport, qui pointait le comportement « clanique » de cet enseignant et les « dérives » de son management. Un an après sa désignation, plus aucune femme n’exerçait les fonctions de directrice d’études. Renvoyées par un simple mail, elles avaient toutes été remplacées par des hommes, proches de Rachid Zouhhad.

A l’automne 2013, Samuel Mayol, le directeur de l’IUT, qui dépend de l’Université Paris-XIII, est alerté du vaste foutoir qui règne dans ce département : absences régulières de profs, attribution de cours à du personnel non qualifié, embauche de 23 vacataires sans signature préalable de contrat…

Plus étonnant encore, pas moins de 4 800 heures indues ont été portées aux emplois du temps des enseignants, l’équivalent de 196 000 euros ! (…)

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Relire

IUT de St Denis (93) : menaces de mort en arabe. Màj : le directeur de l’IUT placé sous « protection rapprochée »

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4 mai 2015 14:58
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1 mai 2015 02:55
J’ai pris ces nouveaux programmes scolaires comme un nouveau coup de poignard à ce qui fonde notre identité

Dimitri Casali, historien et directeur de collection, livre ses réflexions sur les nouveaux programmes d’histoire. Il explique en quoi ils menacent les fondements de notre identité et préparent les guerres civiles françaises de demain.

Les concepteurs des programmes n’ont pas tiré les leçons des attentats du 11 janvier, ni compris l’attente de tout un peuple pour retrouver ses racines : la transmission de la culture est le premier facteur d’intégration.

Pour éviter que des événements comme ceux de janvier ne se reproduisent, il faut réapprendre à nos élèves à aimer la France. Le projet de programme d’histoire au collège manqué de ce grand récit fédérateur, qui parle à tous les Français, quelle que soit leur origine ou leur religion.

Exit l’humanisme de Montaigne et l’esprit des Lumières, à la trappe Napoléon Ier, Louis Philippe, la IIe république et Napoléon III, Gambetta, optionnel l’enseignement du christianisme à l’époque médiévale.

En revanche, l’étude de l’islam et de la traite négrière sont obligatoires. La France est le produit d’un double héritage chrétien et monarchiste et républicain et laïc. Effacer des programmes scolaires ces périodes revient à effacer ce qui fait l’identité de la France.

Les concepteurs des programmes pensent avoir affaire à de jeunes universitaires qui savent déjà tout de l’histoire de France, alors qu’en réalité 25 % des élèves qui entrent en 6e ne savent ni lire ni écrire. Cette réforme, qui vient s’ajouter à la suppression du grec et du latin, est révélatrice des partis pris idéologiques des technocrates de la rue de Grenelle.


Ils affichent leur volonté de plaire aux nouveaux arrivants en supprimant tout ce qui peut les heurter : l’enseignement des racines chrétiennes et l’exercice de l’esprit critique si français.

On s’étonne ensuite que des Coulibaly, des Kouachi et des Merah, qui tous ont suivi consciencieusement le cursus scolaire français, puissent en arriver à des telles extrémités.

Ces garçons sont le pur produit des travers de la société française tout entière, et en particulier de ceux du ministère de l’Éducation nationale qui ont déconstruit nos valeurs et nos repères depuis une trentaine d’années

Crédit photo : Michel Montignon via Flickr (CC)

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1 mai 2015 02:49
Préférence étrangère : les étudiants immigrés plus subventionnés que les étudiants Français

La bourse ou la vie ? Sid Ahmed Ghlam…

On a découvert les faux et usages de faux de cet individu, toujours en cité U. 5 mois plus tard, qui payait ses frais universitaires et son logement U. ? Il faut savoir que forger de faux documents et diplômes est à la portée de n’importe quel imbécile.

Personne n’a eu le temps de vérifier le cursus de ce jeune et de sévir. Ils sont très nombreux à naviguer comme ça. Pensez-vous que nous soyons en sécurité. Combien sont-ils ou sont-elles à se balader avec armes et grenades ?


Les logements en cite U sont octroyés en fonction de certains barèmes fiscaux. Exit les pauvres enfants dont les 2 parents ne gagnent guère plus que le smic et qui ont eu le bon sens de ne pas enfanter tels les lapins! Mais pour un » étudiant » algérien pas de barrage ; le pauvre a 24 ans il doit déjà subvenir (!!!) aux besoins d’une femme et 2 enfants.

Faux étudiant depuis son arrivée en France, c’est pratique pour toucher du pognon à rien faire. Merci le généreux système français.

  1. Etudiants étrangers : la France, troisième pays d’accueil

www.boivigny.com/Etudiants-etrangers-la-France-troisieme-pays-d

Quel point commun entre un étudiant chinois qui s’est laissé convaincre par l’agence Campus France inscrivent nombre d’étudiants …

  1. Oui les étudiants algériens peuvent effectuer leurs …

www.algeriepyrenees.com/article-17641705.html

Ouverture de nouveaux locaux du Campus France 20 000 Algériens étudient en France Vingt mille est le nombre d’étudiants algériens … Mai 2014 …

  1. « La France veut accueillir plus d’étudiants algériens »

www.ambafrance-dz.org/La-France-veut-accueillir-plus-d

Conférence Paris Climat 2015… Á combien s’élève le nombre d’étudiants algériens en France ? … Le nombre de visas de long séjour délivrés en2014 a …

Informations de sécurité pour ce site Web

«L’ambassade de France a délivré 330 000visas en 2014»

www.letempsdz.com/content/view/143206/51

«L’ambassade de France a délivré 330 000 visas en2014» La France est … étudiants algériens sont en France… un grand nombre de visas de …


En savoir plus sur http://lagauchematuer.fr/2015/04/27/preference-etrangere-les-etudiants-immigres-plus-subventionnes-que-les-etudiants-francais/#Le3x5R0e7bEkOlK8.99

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28 avril 2015 19:27
DES COLLÈGES ET LYCÉES FRANCO-MAGHRÉBINS?

C’est ce que préconisait il y a trente ans le ministre de l’Education nationale Jean-Pierre Chevènement : « Il ne s’agit pas de défendre l’identité française, mais de construire celle de 2085, qui inclura une composante méditerrano-islamique ».

Selon « Le Monde » du 8 mai 1985 qui transcrivait cette proposition de Jean-Pierre Chevènement et ses attendus, le ministre de l’Education nationale avait alors proposé de créer des établissements expérimentaux reposant sur des accords bilatéraux avec les pays concernés, dont le modèle existait déjà, à savoir le lycée franco-allemand de Buc dans les Yvelines.

Pour Jean-Pierre Chevènement, il s’agissait d’ « offrir des perspectives » aux générations issues de l’immigration : « je ne serai heureux que lorsqu’ils seront diplomates, savants, généraux, ou même professeurs au Collège de France ».

Cela faisait immédiatement suite au rapport rédigé à l’intention du ministre par un collectif composé d’enseignants, d’intervenants socio-éducatifs, de responsables d’associations et de membres de l’inspection générale réunis autour de Jacques Berque(professeur au collège de France et spécialiste de l’Islam).

Le rapport suggérait de bâtir, sur un canevas entièrement neuf, la réflexion sur l’insertion des immigrés dans l’Ecole. : « le problème doit être considéré non comme un ensemble de difficultés causées à une respectable coutume scolaire, mais comme justiciable d’une stratégie axée sur la France au vingt et unième siècle ».

Puisque l’immigration « n’est plus le fait socio-économique qu’elle a longtemps constitué, mais un problème désormais intérieur à la société française », il ne s’agit plus de s’en remettre à des traitements spécifiques porteurs de marginalisation. Au nom du « droit à la différence » souligne alors Jacques Berque, « c’est à une sorte de ségrégation de l’allogène que nous risquions d’aboutir ».

Un simple enseignement de la langue française réservée aux petits immigrés et coupé du reste de la scolarité doit donc être désormais proscrit ; de même que toutes les pratiques qui, sous prétexte d’accueillir une culture différente, en nient la modernité et la font « déchoir en folklore inoffensif ».

Jacques Berque propose donc d’intégrer les cultures d’origine rebaptisées « cultures d’apport » dans les objectifs de formation de tous les élèves et de leurs enseignants, une mise en commun que permettent « une ancienne tradition humaniste » et la « dimension méridionale » de la culture française.

« La culture à laquelle nous avons à former tous les élèves doit désormais, sans pour autant cesser d’être notre culture nationale, s’enrichir de l’apport des cultures autres dont les enfants de migrants sont les vecteurs ».

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24 avril 2015 02:28
Nouveaux programmes d'histoire :  l'étude de l'Islam sera obligatoire
Nouveaux programmes d'histoire : l'étude de l'Islam sera obligatoire

Après avoir unanimement indigné les professeurs de Langues anciennes et irrité les tenants de l'amitié franco-allemande, la réforme du collège risque à nouveau de faire parler d'elle, sur le front de l'histoire cette fois. Tant qu'à faire, autant énerver tout le monde, égalité oblige.

L'Education nationale a en effet mis au point de nouveaux programmes d'histoire pour le collège.

[…]

Alors que la France se divise en communautés disparates sans parvenir à forger une destinée et une fierté communes, on approuvera aussi la visée poursuivie par ces nouveaux programmes: «Dans un ordre chronologique, le programme permet de mieux lire et comprendre le monde d'aujourd'hui en insistant sur des moments forts, des traits marquants des sociétés du passé et des problématiques indispensables à la formation du citoyen.»

C'est en parcourant ensuite la liste des sujets abordés que l'inquiétude surgit: le Conseil supérieur des programmes (CSP) distingue les sujets «obligatoirement étudiés» des sujets «traités au choix de l'enseignant».

Ainsi, l'étude de l'Islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative - ceux qui choisiront de l'enseigner devront le faire uniquement sous l'angle de l' «emprise de l'Eglise sur les mentalités rurales».

Dans une société en mal d'intégration et de cohésion nationale, on ne manquera pas de s'étonner d'une curiosité si grande pour les religions venues d'ailleurs, et d'une révulsion si manifeste pour nos racines judéo-chrétiennes.

N'est-ce pas pourtant en redonnant à l'élève ces racines que nous le rendrons d'autant plus ouvert à l'altérité? Par ailleurs, où est-il passé, ce «cadre national» que le CSP évoquait précédemment?

Nos repères communs seront donc extraits des cultures venues d'ailleurs et des tragédies de notre histoire. Plutôt que d'amener l'élève à puiser à la source du christianisme, de l'humanisme et des Lumières, le CSP préfère écouler ses stocks de repentance amère et éculée.

[…]

Il ne s'agit pas ici de mettre en cause l'importance du «devoir de mémoire» ; nous affirmons seulement que la mémoire ne formera le citoyen qu'à condition de l'inspirer et de le libérer, en lui proposant le terreau vivant d'une action positive et généreuse.

Plutôt que de séquestrer l'élève dans l'obscurité des fautes et des blessures passées, que ne lui propose-t-on des épopées nationales, des modèles, des figures de courage, d'unité et de résistance, dans lesquels il pourra puiser des valeurs incarnées? Les jeunes générations ont droit, aujourd'hui, à se fondre dans une histoire de France qu'ils pourront enfin connaître et admirer.

Or, loin d'évoquer les plus belles pages de notre histoire, le CSP entend une nouvelle fois enfermer l'élève dans le culte de la culpabilité et de la haine de soi. Le fait n'est pas nouveau: il y a bien longtemps que l'enseignement de l'histoire se fourvoie chez nous dans un travail de sape et d'auto-flagellation prodigieusement masochiste. Avec la réforme du collège, un nouveau cap est franchi. Ne cherchez plus la crise de la France: elle est là, dans ce retournement de soi contre soi.

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7 mars 2015 04:24
Langues étrangères à l'école : le cheval de Troie du communautarisme ?

C'est une note confidentielle remise aux services du Premier ministre au cours de l'année 2013 que s'est récemment procuré le JDD. Un document de 17 pages consacré à un dispositif ancien : les enseignements de langue et culture d'origine (Elco). Mais un document qui souligne que ces cours seraient « susceptibles de renforcer les références communautaires ».

En effet, l'application d'une directive européenne de 1977 stipule que « les États membres doivent prendre les mesures appropriées en vue de promouvoir, en coordination avec l'enseignement normal, un enseignement de la langue maternelle et de la culture du pays d'origine en faveur des enfants ». Initialement, ces cours étaient délivrés pour les enfants des travailleurs immigrants provisoires au sein de l'Union européenne, dans la perspective d'un retour dans leur pays d'origine.


Des enseignants formés et rémunérés

Les enseignants sont formés et rémunérés par des États partenaires : l'Algérie, la Croatie, l'Espagne, l'Italie, le Maroc, le Portugal, la Serbie, la Tunisie et la Turquie. L'académie où sont délivrés les cours se réserve le droit de contrôler leur contenu. Ces cours d'une heure et demi à trois heures sont optionnels, et sont dispensés après l'école, généralement le mercredi après-midi. Le programme Elco concerne aujourd'hui un peu moins de 100 000 élèves pour la plupart français, 57 000 apprennent l'arabe, au moins 16 000 apprennent le turc. D'après le HCI, le nombre de ces élèves n'a progressé que de 16% en cinq ans...


Catéchisme islamique ?

Toujours selon le rapport du HCI, ces cours seraient « susceptibles de renforcer les références communautaires ». Certains interlocuteurs considèrent même qu'ils couvriraient des enseignements de
« catéchismes islamiques ». Les auteurs du rapport attirent notre attention sur le manuel proposé par le ministère de l'Éducation turc qui comporte des chapitres pouvant motiver un repli identitaire :
« Le chapitre V de cet ouvrage intitulé Foi, islam et morale insiste sur l'importance de croire en Allah et sur la nécessaire acquisition par les élèves d'une bonne connaissance de la vie du prophète dont l'importance doit être mise en valeur ».

Considéré comme trop intransigeant et alarmant sur la question du communautarisme, le HCI a été dissous sur décision du précédent Premier ministre de François Hollande, Jean-Marc Ayrault. L'Observatoire de la laïcité a repris ses prérogatives en avril 2013.

vu sur : http://www.aleteia.org/fr/education/article/langues-etrangeres-le-communautarisme-sous-couverture-5775201472086016

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4 mars 2015 02:50
L’islam enseigné à l’école laïque

Le JDD fait écho à une étude du Haut Conseil à l’Intégration, sur les Elco : les enseignements de langue et culture d’origine, qui concernent aujourd’hui plus de 92.000 élèves, en progression de 16% sur les cinq dernières années. Il s’agit surtout de l’enseignement de l’arabe : plus de 57.000 élèves, suivi loin derrière par le turc : 16.500.

La particularité de ces enseignements est qu’ils sont dispensés par des ressortissants étrangers, sous l’autorité de l’académie, mais payés par les ambassades.

Extrait :

« Susceptibles de renforcer les références communautaires, les Elco peuvent conduire au communautarisme. Certains interlocuteurs craignent même que les Elco deviennent des ‘catéchismes islamiques’ », écrivent les rapporteurs. Les auteurs se sont en effet étonnés du contenu du guide de l'enseignant édité en 2010 par le ministère de l'Éducation turc et en usage auprès de certains enseignants de langue et culture d'origine.

"Ainsi le chapitre V de cet ouvrage intitulé "Foi, islam et morale" insiste sur l'importance de croire en Allah, un des principes de la foi, et sur la nécessaire acquisition par les élèves d'une bonne connaissance de la vie du prophète Mahomet dont l'importance doit être mise en valeur. » Assez loin de la laïcité, française ou turque.

On remarquera la contradiction flagrante entre la mention de la « laïcité turque » et le fait que l’ouvrage islamiste dont on parle est édité par le gouvernement turc…

C’est là qu’on voit à quel point nos journalistes (et nos politiciens, etc.) refusent de voir la réalité. Une étude dénonce un livre du gouvernement turc qui sous couvert d’apprendre la langue turque est un catéchisme islamique, et l’on commente que c’est assez loin de la laïcité turque…

Ils n’accepteront donc jamais de considérer l’islam tel qu’il est. L’islam ne peut pas faire la distinction entre l’enseignement de la langue et l’enseignement de la religion. Pour un musulman il n’y a pas de langue laïque. Jusqu’à quand les journalistes vont-ils accepter et répercuter ce mensonge absurde d’un islam républicain ?

vu sur : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2015/03/02/l-islam-enseigne-a-l-ecole-laique-5570121.html

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4 février 2015 03:25

Près de Tourcoing, la première école privée musulmane de la région projette d’ouvrir ses portes en septembre. L’association Al-Fitra, porteuse du projet, n’a pas encore franchi toutes les étapes administratives indispensables à sa concrétisation. Mais sans attendre les avis favorables de la mairie, de l’inspection académique, de la préfecture et du procureur, elle organisait samedi sa première réunion publique d’information, suivie par une centaine de personnes. 

L’école Al-Fitra (« nature saine ») prévoit d’accueillir jusqu’à 110 élèves, du CP au CM2. Ses locaux, voisins de la mosquée, sont mis à disposition par l’Association musulmane d’Halluin, propriétaire, « mais avec une entrée distincte », pointe le président de l’association, Farid Aouragh.

Cinq enseignant(e)s doivent être recruté(e)s pour y dispenser des cours de français, mathématiques, sciences… « Notre base sera le socle commun, programme de l’Éducation nationale », assure la future directrice, Céline Benfyala. Mais l’association mise sur le trilinguisme (accent sur le français, anglais renforcé et arabe en option), ainsi que sur l’enseignement religieux en option (1 h 30 par semaine) pour remplir ses salles de classe. [...]

Source

 

vu sur : http://www.fdesouche.com/559527-halluin-59-ecole-privee-musulmane-ouvrir-en-septembre

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2 février 2015 02:32

Bourrage de crâne

Le conseil régional a annoncé hier une enveloppe de 815 millions d’euros destinée notamment à l’enseignement des valeurs civiques dans les lycées et les centres de formation d’apprentis (CFA).

Source : Direct Matin

L’Ile-de-France veut plus de citoyenneté à l’école. Le conseil régional a annoncé hier une enveloppe de 815 millions d’euros destinée notamment à l’enseignement des valeurs civiques dans les lycées et les centres de formation d’apprentis (CFA).

Des enseignants et des intervenants formés organiseront des ateliers afin de sensibiliser les jeunes aux valeurs républicaines. Une démarche qui vise à « faire vivre un esprit de rassemblement », selon le président PS de la région, Jean-Paul Huchon. Le plan doit aussi permettre de renforcer le sentiment d’accompagnement pour les élèves, notamment pour les aider à trouver un emploi.

 

Publié par Rédaction le 30/01/15
vu sur : http://www.observatoiredesgaspillages.com/2015/ile-de-france-815-millions-deuros-pour-inculquer-les-valeurs-civiques-aux-lyceens-et-apprentis/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ObservatoireDesSubventi
ons+%28Observatoire+des+subventions%29

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
21 décembre 2014 03:17
 
  
Sans crainte du ridicule et comme s’il n’y avait rien de plus urgent, François Hollande a« inauguré » lundi un musée, sept années (!) après son ouverture.


Il faut dire qu’il ne s’agit pas de n’importe quel musée, mais du « musée de l’immigration ».
 Cet organisme a été créé par Jacques Chirac et Nicolas Sárközy durant les années 2000 avec une claire volonté antifrançaise, pour justifier le remplacement des Français de souche sur leur propre terre.
Depuis cet été, c’est d’ailleurs Benjamin Stora qui en préside le « conseil d’orientation ».
 Le projet est d’autant plus clair qu’il est inscrit dans les statuts : il ne s’agit pas de raconter ce qui a été ou ce qui est, mais de « faire évoluer les regards et les mentalités sur l’immigration ».

Le pouvoir ne se cache pas de vouloir manipuler, endoctriner, laver le cerveau de la population. Le« musée » – "centre de rééducation" serait un terme plus convenable – devient d’ailleurs l’un des passages obligés des petits écoliers français en visite à Paris, entre un tour au mémorial de la Shoah et une exposition sur l’esclavage...


Le musée ne vit d’ailleurs que pour cela : en 2009, seules 20 % des entrées ont été payées, signe de l’échec total du concept.
 La grande majorité des visiteurs sont des élèves, conduits par ces professeurs qui constitueront le dernier wagon d’électeurs du Parti socialiste.

Haine de la France et des Français, communautarisme, échec et gouffre financier : les lieux semblent un résumé du hollandisme ; à tel point que le musée a été qualifié par un historien – du système – de « musée fantôme à la dérive ». 

Une définition qui va parfaitement à François Hollande, président fantôme à la dérive…

 

vu sur : http://by-jipp.blogspot.fr/2014/12/musee-de-limmigration-hollande-le.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+blogspot/ojiPR+(Ma+France)

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
15 décembre 2014 01:25

LivreHG5e3L’un de mes enfants est en 5°. En réunion de parents d’élève, le professeur d’histoire et de géographie nous présente le programme de 5°, « …le programme d’Histoire commence avec l’Islam et se termine avec Louis XIV. »

Hésitant à réagir à cet énoncé surprenant, peut-être exprimé avec un peu de provocation, je regarde les autres parents, qui restent attentifs à la suite des propos de Monsieur le Professeur. Je note sagement sur mon carnet « Lire le sommaire du manuel d’Histoire ».

Puis il me revient en mémoire une émission écoutée sur Radio Courtoisie, dans laquelle un animateur se désolait… des programmes de l’Education nationale pour les cours d’Histoire au collège et au lycée. J’avais attribué les propos consternés de l’animateur au compte du positionnement très à droite de cette radio. Vers quelle surprise j’allais, le lendemain, en demandant à mon fils son manuel d’histoire. Ces pages sauront mieux que tout propos illustrer le problème, le gros problème des cours d’histoire dispensés aux élèves de 5°, cela à l’aide de deux exemples.

Livrehistoire5e

Le premier est le ruban de la Deuxième de Couverture du manuel (cf. page en lien), sous le titre « Histoire des Arts » : le Ruban commence en 622 avec la Mosquée de Médine et… se poursuit avec la Grande Mosquée des Omeyades à Damas, puis vers Mosquée de Cordoue, puis le Reliquaire de Sainte-Foy de Conques, puis l’Art Roman puis l’Art Gothique et la Mosquée de Djenné, puis le château de Versailles, etc.

LivreHistoireGeo5e1Le deuxième exemple est constitué des deux textes historiques proposés aux élèves, au Premier Chapitre intitulé « Les débuts de l’Islam », page 10 et 11, l’un tiré de « l’Histoire des conquêtes musulmanes, 9e siècle. » d’après Al-Baladhuri, et l’autre de « Histoire des prophètes et des rois » de Al-Tabari. Nous pouvons lire dans le premier, dont le titre est « Des conquérants musulmans bien accueillis » :  » …

Nous préférons de beaucoup votre domination et votre justice à l’état d’oppression et de tyrannie dans lesquels nous vivions sous l’autorité byzantine… ». Dans le second, dont le titre est « La capitulation de Jérusalem » nous pouvons lire par exemple: « …Et personne d’entre eux n’aura la moindre vexation à craindre… »

LivreHG5e2

 Les deux seuls extraits historiques décrivent des musulmans conquérants et tolérants et bienvenus. Bah! En 5e, c’est bien connu, l’esprit critique des collégiens, avec recul et discernement, saura faire la part des choses !

Après cette lecture, j’ai enfin compris la consternation de l’animateur de Radio Courtoisie, dont j’ai oublié le nom, il voudra bien m’excuser, et je le salue car il aura participé à alerter au moins l’un de ses auditeurs, tel le père d’un enfant scolarisé en 5° dans un collège de la République Française en 2014.

Résistons à cet envahissement progressif des thèses musulmanes, et prévenons nos enfants !

Christine Poisson

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8 décembre 2014 01:34

Anas-Emmanuel Faour est arrivé à Mariette début septembre pour y enseigner l’arabe. Le 25, trois jours après avoir été inspecté, il recevait une lettre du rectorat notifiant son licenciement. Soutenu par ses collègues, il s’interroge sur la rapidité de cette décision.

 Domicilié à Courbevoie, dans les Hauts-de-Seine, Anas-Emmanuel Faour a commencé à donner des cours trois fois par semaine aux lycéens de Mariette (Langue vivante 3 arabe en seconde et première) à la rentrée. Les premières heures d’enseignement en France de cet ancien professeur de sciences de la terre en Syrie : « J’ai décroché ma licence, il me reste mon mémoire de master à valider. J’étais fier d’avoir obtenu ce poste, même si c’était loin de chez moi ; et ravi de rencontrer des élèves motivés et des collègues que j’apprécie ».

Mais le 22 septembre, alors qu’il est encore en période d’essai, il est inspecté. Quelques jours plus tard, il reçoit une lettre du rectorat lui notifiant son licenciement, datée du 25….

Dans son premier rapport, l’inspecteur reprochait à l’enseignant de donner « un cours magistral », « de ne mettre en place aucun dialogue de classe » ou encore de n’envoyer aucun élève au tableau.

Source

 

vu sur : http://www.fdesouche.com/542051-leducation-nationale-est-tres-exigeante-sur-la-qualite-de-lenseignement-de-la-langue-arabe

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5 décembre 2014 01:40
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3 décembre 2014 02:02

Le Conseil supérieur des programmes (CSP) veut en finir avec contrôles, notes et moyennes et propose une évaluation scolaire « bienveillante »…

Comment faire pour qu’elle ne soit plus cet instrument de tri au service d’un système élitiste, mais le moyen de faire progresser tous les élèves sans les casser ? C’est une petite révolution que propose le Conseil supérieur des programmes (CSP) en réponse au chantier ouvert par le ministère de l’éducation.

Dans le document remis jeudi 27 novembre par le CSP à la ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, et que Le Monde a pu consulter, ce sont tous nos repères en matière d’évaluation qui se trouvent chamboulés : fini l’inflation des contrôles, la profusion de notes et de moyennes. Fini, aussi, le diplôme national du brevet tel qu’on le connaît aujourd’hui, avec sa semaine d’épreuves au mois de juin.

Les coefficients seraient aussi rejetés au motif qu’aucune matière ne serait supérieure à une autre. [...]

Le Monde

 

vu sur : http://www.fdesouche.com/541395-suppression-controles-notes-moyennes-vers-evaluation-scolaire-bienveillante

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28 novembre 2014 01:36

Face à l'essor du groupe Etat islamique (ci-dessus, la photo d'un militant), un document du rectorat de Poitiers cible notamment l'«habillement musulman» comme signe de radicalisation religieuse.

Un circulaire du rectorat de l'académie de Poitiers (Vienne) suscite un certain émoi. Elle a pour but d'aider les enseignants à détecter les élèves en phase de radicalisation religieuse, mais ne vise que l'islam et repose sur un certain nombre de clichés et de généralités, selon Mediapart, qui a rendu public ce document.

Intitulé «Prévention de la radicalisation en milieu scolaire», il invite les enseignants à prendre en compte plusieurs critères dont la «barbe longue non taillée (moustache rasée)», des «cheveux rasés», un «habillement musulman», le «refus du tatouage», une «perte de poids liée à des jeûnes fréquents».
Sont mentionnés également dans ce texte au format Powerpoint (destiné par exemple à être projeté en public sur un écran) des comportements de type «repli identitaire», «exposition sélective aux médias», «rhétorique politique» concernant notamment la Palestine, la Tchétchénie, l'Irak. La circulaire invite aussi à surveiller ceux qui s'intéressent de près à l'histoire des débuts de l'islam.

Najat Vallaud-Belkacem parle d'un problème de forme, pas de fond

Selon Mediapart, la note aurait été rédigée par l'équipe mobile de sécurité (EMS) de l'académie. Les EMS ont été créées en 2009 dans le cadre d'un plan de sécurisation des milieux scolaires. Elles sont composées de personnels de l' et de spécialistes de la sécurité, souvent d'anciens policiers et gendarmes.

La secrétaire académique du syndicat Snes-FSU, Magali Espinasse, a dénoncé, sur  Bleu Poitou, une «caricature grossière» et des «simplifications outrancières». «On signale des traits physiques qui pourraient permettre de reconnaître des personnes dangereuses, des attitudes, ou même des propos (...).
C'est du racisme pur et dur», a déploré la responsable syndicale. Pour le secrétaire départemental du syndicat Unsa, Jean-François Roland, «les termes employés sont maladroits». «Ce n'est pas vraiment le vocabulaire qu'emploie habituellement l'Education nationale. Je pense qu'il a manqué une relecture avant diffusion», a-t-il déclaré sur cette même radio.

Le rectorat de Poitiers a confirmé la diffusion de la circulaire, mais n'a pas souhaité faire d'autre commentaire. Interrogée dimanche sur France 3, la ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a évoqué un document «sans doute perfectible, c'est incontestable» et «une démarche isolée».
«Peut-être que les mots ne sont pas parfaits, et nous allons en effet améliorer les choses», a-t-elle ajouté, tout en soulignant que la lecture seule de ce texte ne suffit pas, puisqu'il est normalement «accompagné d'explications orales». Elle insiste enfin sur le fait que, «sur le fond, la démarche doit se poursuivre, mais elle peut s'améliorer sur les mots utilisés».

LeParisien.fr 

 

vu sur : http://www.leparisien.fr/societe/radicalisation-religieuse-une-circulaire-du-rectorat-de-poitiers-pose-probleme-24-11-2014-4318007.php#xtor=EREC-109----2954573@1

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
25 novembre 2014 02:15
éducation nationale najat vallaud belkacem rené le honzec



L’impétueuse Najat Vallaud-Belkacem, bombardée ministre de l’Éducation nationale pour services rendus, se lance à corps perdu dans cette tâche des plus simples : comment renflouer le mammouth qui a adopté le Titanic comme modèle ?
 
Tout le monde admet des problèmes divers de l’EN, depuis l’inénarrable « manque de moyens » des syndicats aux réformes les plus folles concoctées par des officines.

Elle tombe sur un beau cas de figure, la Seine-Saint-Denis, qui bénéficie d’une démographie galopante et d’une population particulière qui cumule des records. 

 
Pour environ 1,5 millions d’habitants, 450 000 étrangers légaux et 150 000 illégaux (wiki), des problèmes de pauvreté, de chômage, etc.
 Et de gros problèmes d’échec scolaire.
 2000 élèves nouveaux chaque rentrée.
 Entre autre, suite à un manque criant d’enseignants et de remplaçants. 
Structurée par les règnes syndicaux, l’EN a mis au point des techniques sophistiquées d’évitement : plus on est ancien, moins on a de classes à problèmes qui sont refilées aux p’tits jeunes sans expérience (laquelle expérience fait que l’ancien n’en veut plus, de ces classes).

La compétente Najabilla va rajouter une couche de précarité : comme les jeunes enseignants rechignent à visiter cette belle contrée, elle crée une brigade internationale (je plaisante, cela nous rappelle des heures sombres de notre histoire) de 500 « volontaires » recrutés parmi les ratés des autres concours d’Académie mais « qui ont le niveau ». 

Mon billet et d’autres auteurs de Contrepoints avaient rendu compte du scandale des notations minables que les jurys étaient obligés d’abaisser bien en-dessous de la moyenne, tout simplement pour pouvoir atteindre les quotas.

Ce sont donc les recalés de ces sous-notations qui vont attaquer la mise à niveau de la Seine-Saint-Denis. 

Najabilla a tout compris, encore une fois les socialistes vont faire la preuve de leurs incapacités à régenté le fleuron de la pensée socialiste militante, ce vivier qui leur fournit tant d’électeurs et d’élus barbus, comme en 81.

source

 

vu sur : http://by-jipp.blogspot.fr/2014/11/najat-au-secours-de-la-seine-saint-denis.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+blogspot/ojiPR+(Ma+France)

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
14 novembre 2014 02:35

Depuis la crise de 2008, la finance au sens large ne bénéficie pas d’une image très reluisante. François Hollande l’avait dit lors de la campagne présidentielle : « l’ennemi c’est la finance ».

Face à ce constat, d’autres moyens financiers se développent : c’est le cas de la finance islamique qui se veut plus éthique que la finance traditionnelle.

A Paris, l’université Dauphine propose un master de finance islamique depuis quelques années. Il n’en existe que deux de ce genre en France. Reportage de Tangi Kerhoas et Myriam Zehar.

 

vu sur : http://www.fdesouche.com/536261-master-en-finance-islamique-luniversite-paris-dauphine-video

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
12 novembre 2014 02:11
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05/11/2014 – PARIS (NOVOpress)
Le collectif Mamans Toutes Egales, le CCIF ainsi qu’Edwy Plenel se mobilisent actuellement pour tenter d’imposer la présence de femmes voilées lors des sorties scolaires.


Leur slogan : “Interdite de sortie. Islamophobie. Stop. Egalité des droits”. 

Une réunion d’information est d’ailleurs organisée le mercredi 5 novembre 2014 à Montreuil.

Sous couvert de lutter contre l’islamophobie, le collectif Mamans Toutes Egales cherche surtout à imposer l’islam dans l’enceinte scolaire.
 
Voici leurs revendications :

Nous en parlions, il y a peu, la ministre de l’éducation Najat Vallaud-Belkacem a réaffirmé sa volonté de n’exclure aucun parent de la vie scolaire en déclarant au sujet des mamans voilées accompagnatrices « l’acceptation de leur présence aux sorties scolaires doit être la règle et le refus de l’exception ».

 Or, force est de constater en cette rentrée 2014 que de nombreux directeurs et enseignants d’école persistent délibérément à enfreindre l’avis rendu par le Conseil d’État en décembre dernier, qui rappelons le, représente la plus haute instance de juridiction administrative.
Ce dernier précisant ainsi que le parent dans son rôle d’accompagnateur reste un simple usager du service public et n’est donc pas soumis à l’obligation de neutralité religieuse.

Dans leur volonté de bannir coûte que coûte tous signes distinctifs et de pousser les parents “non conformes” à l’effacement de soi, ces agents publics, responsables de l’éducation de nos enfants, sont de fait dans une démarche de prosélytisme puisqu’ils tentent d’imposer une vision dévoyée de la laïcité au détriment même de la loi.

 
source

 

vu sur : http://by-jipp.blogspot.fr/2014/11/sorties-scolaires-nos-enfants-seront.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+blogspot/ojiPR+(Ma+France)

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
10 novembre 2014 02:13

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Chaque langue évolue, mais de nombreux symptômes du français écrit et parlé manifestent de plus en plus un appauvrissement dans le vocabulaire quotidien et la grammaire courante.

Certaines expressions malheureuses se répandent à vitesse grand V dans le public. Par exemple, Manuel Valls à l’assemblée nationale : « les dispositions que j’ai PRIS ». Quand les participes passés perdent leur genre, c’est qu’on ne distingue plus entre féminin et masculin : signe des temps ? A l’inverse, les auxiliaires ne sont pas correctement identifiés. Ainsi, on entend dire :« elle s’est FAITE contrôler .»

A la télé, les couacs habituels, comme « La situation n’est pas PRÊTE de changer », confusion fréquente entre « pas près de » et« pas prêt à ».
Essayez de trouver un journaliste Tv ou radio qui ne répète pas deux fois par phrase : « effectivement » !
D’autres expressions ont colonisé les conversations, surtout dans le domaine relationnel et commercial : « pas de souci ! ».
L’infirmière, l’hôtesse d’accueil, l’employé de bureau, la vendeuse :… pas de souci ! Au lieu de dire : on a eu un problème, ou une difficulté, on répète mécaniquement : « on a eu un souci ! ».

 

On va dire que…

 

Puis il y a l’épidémie des « on va dire ». A tout bout de champ, l’expression apparaît dans tous les types de phrases, et cela depuis 6 ou 7 ans. On ne se risque pas à énoncer quelque chose de fiable, l’affirmation franche n’est plus de mise, alors : on va dire que….Tout serait donc devenu relatif et conventionnel ? Le relativisme s’insinue.

Autre expression envahissante et fatigante : « voilà »… On ne se sent pas sûr, il suffit de dire « voilà » pour se croire démonstratif et offrir une évidence. Beaucoup l’utilisent à la place d’un mot qui leur fait soudain défaut, du genre « elle m’a dit que voilà…elle continue ». Normalement, voilà indique ce qui vient d’être dit. Si on veut annoncer ce qui va se dire, ce serait plutôt : « voici ».

 

Vouâlla !

 

Ecoutez les sportifs présenter leur exploit : les « voilà » prolifèrent. Vouâlla !

Autre expression hyper utilisée et assez laide : « du coup ». A tous les détours de phrase, à la place de « de ce fait » ou « en vertu de quoi » ou encore « par conséquent », on retrouve « du coup »… Raccourci qui violente quelque peu l’esprit : quel est donc le « coup » mental qui force à admettre immédiatement ce que l’autre affirme ?

 

Des expressions quasi automatiques et popularisées qui appauvrissent les nuances et l’élégance de la francophonie.

 

Ces simplifications contagieuses du langage nous conduisent-elles vers des échanges de plus en plus stéréotypés et utilitaires ? Le nombre de mots usuel du vocabulaire quotidien des jeunes générations va-t-il continuer de se réduire à vue d’œil ?

  

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Abbé Alain René Arbez pour Dreuz.info.

 

vu sur : http://www.dreuz.info/2014/11/la-langue-francaise-senlaidit/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Education
8 novembre 2014 14:50

ABCD Gender

Peur ou ignorance ? Des parents s'opposant à ce que leur enfant visionne le film Pride se sont heurtés à un mur... de silence.

Direction de l'établissement, APEL, Direction diocésaine... Silence général. Le film Pride, Queer palm à Cannes en 2014, a été projeté le 14 octobre dernier aux élèves de Terminale du lycée privé Saint-Joseph de Bruz (35).

Les parents ont été informés le 7 octobre de cette sortie dite pédagogique et obligatoire, organisée par les professeurs d’anglais (voir mot du lycée, remis aux élèves). Le film figurera dans la liste des sujets présentés à l’épreuve orale du Bac en anglais.

Un des élèves, majeur, a prévenu ses parents de la séance et a lui-même déclaré qu’il ne souhaitait pas y aller. Les parents ont contacté le lycée: le standard a refusé de leur passer la direction. On les a transférés sur le conseiller d’éducation. Ils lui ont expliqué très tranquillement le contenu du film et lui ont dit que leur fils n’irait pas à cette sortie. Le conseiller leur a dit n’être que dans la position de transmettre et qu’il les rappellerait, concédant qu’un arrangement serait possible pour leur fils.

Les parents ne souhaitaient pas seulement demander une dispense mais également expliquer le pourquoi de leur démarche : le film, sorti seulement le 26 septembre en salle, ne pouvait être à caractère obligatoire pour le Bac. De plus, ils se sont interrogés sur le fait qu’un film dont le producteur a déclaré en faire le fer de lance du mouvement LGBT et qui a reçu la « Queer palm » puisse être projeté dans un établissement catholique, à la hussarde concernant les délais et sans concertation.

Finalement, l’établissement (l’équipe administrative) a accepté que leur fils n’aille pas voir le film. Mais le fils, majeur, a dû se justifier au conseiller d’éducation. Le directeur adjoint est venu l’informer de sa dispense dans la cour, devant ses camarades. Ces derniers, intrigués, lui ont posé des questions. Il a expliqué posément sa position. À la suite de ces échanges, certains de ses camarades sont allés voir sur internet ce que signifiait le terme « queer ». Ils ont été quelque peu ébranlés.

Les parents  ont essayé de contacter à plusieurs reprises la présidente de l’APEL de l’établissement. Plusieurs messages ont été déposés et sont restés sans réponse. Lire la suite sur Vigi Gender 

sources: VIGI GENDER
vu sur : http://www.aleteia.org/fr/education/article/film-lgbt-pour-des-eleves-dun-etablissement-prive-le-silence-troublant-de-lenseignement-catholique-5888506706526208?utm_campaign=NL_fr&utm_source=topnews_newsletter&utm_medium=mail&utm_content=NL_fr-08/11/2014

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