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david MIEGE
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18 janvier 2014 01:59

Le gouvernement norvégien durcit sa politique d’immigration, notamment envers les réfugiés.

Dans le cadre du règlement de Dublin, les réfugiés ne peuvent demander l’asile qu’une seule fois en Europe.

Le Ministre de la Justice a introduit un nouveau règlement permettant aux autorités d’immigration d’expulser les demandeurs d’asile qui nient avoir déposé une demande dans un autres pays alors que les empreintes enregistrées dans le système informatique Eurodac prouvent le contraire.

S’il s’avère que les réfugiés ont menti, en ayant déjà cherché l’asile dans d’autres pays, ils seront expulsés. Ils seront également confrontés à des peines plus sévères en cas de retour en Norvège, une violation de leur interdiction d’entrée.

La décision est fondée sur des chiffres démontrant que près de 30 % des demandeurs d’asile avaient cherché asile dans au moins sept pays différents avant leur arrivée en Norvège.

Norvege-fr.com

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
14 janvier 2014 02:42

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Roy Beck, journaliste américain, se base sur les statistiques de la Banque Mondiale (2010) pour montrer que la volonté de lutter contre la pauvreté dans le monde passe par un développement des pays pauvres plutôt que par la migration des pauvres vers les pays riches.

Merci à Clementin-e-s Hautain-e-s, Helter Skelter et Sursopour la traduction.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
8 janvier 2014 01:10

Laurence, qui travaille entre autres sur les relations entre l’État et l’Islam en Turquie, en Afrique du nord et en Europe occidentale, pense que la donne a aujourd’hui changé. Il y a, selon lui, une « transformation de l’offre religieuse des pays d’origine et une acceptation de ce rôle par l’État français » [...]

L’influence de la religion musulmane ne peut aujourd’hui être ignorée. Le niveau d’« intervention » du Maroc dans l’Islam en France est monté crescendo ces dernières années à tel point que l’État français assume de plus en plus cet état de fait. Il y a actuellement « une transformation de l’offre religieuse des pays d’origine » [...]

 

Pour preuve, Laurence s’appuie sur des éléments concrets, notamment l’inauguration, le 27 septembre dernier, de la grande mosquée de Strasbourg en présence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur et des Cultes, et d’Ahmed Toufik, ministre marocain des Habous et des Affaires religieuses. En outre, la fédération européenne de mosquées liée à la Turquie (Ditib), ouvrira à la rentrée 2014, à Strasbourg, une « faculté libre de théologie islamique » pour former en France ses cadres religieux, ainsi qu’un lycée confessionnel. L’initiative a reçu le soutien du Diyanet, l’Autorité des affaires religieuses turques, directement rattaché au cabinet du Premier ministre.

Ces faits confortent Laurence dans ses opinions. L’influence de l’Islam est « désirable » en France. Pour le professeur, cela est dû au « double mouvement, dans les pays d’origine des migrants et dans les pays d’accueil ». [...] Le Maroc et la Turquie se sont lancés dans des initiatives pour renforcer l’Islam en Europe, particulièrement en France afin d’en faire profiter leurs immigrés. « Pour des raisons sécuritaires, culturelles et politiques, on est ainsi entré dans une nouvelle ère de concurrence», explique Laurence. Le Maroc dispose par exemple d’un « un conseil des oulémas marocains en Europe » parmi ses différentes instances.[...]

Même s’il est considéré comme un « instrument de pouvoir en politique intérieure, et comme un vecteur d’influence à l’étranger », l’Islam d’État peut aussi avoir une influence extérieure et soutenir un pouvoir politique. [...]

« 5 à 10 % de la population marocaine vit hors du pays ». D’après Laurence, ces populations sont restées invisibles aux États européens et aux États d’origine pendant longtemps, ne nécessitant pas de traitement particulier. Sauf que, le changement est intervenu lorsqu’il a été découvert que ces minorités étaient ciblées par des réseaux islamistes. Pour lui, « la découverte que des cellules d’Al Qaïda qui se développaient dans les sociétés européennes a été prise comme une gifle par les pays d’origine et par les pays d’accueil ». C’était la mauvaise surprise qui signifiait « un manque de contrôle des communautés concernées ».

« Le Maroc a été consterné de voir des Marocains d’origine impliqués dans les attentats de Madrid, d’Amsterdam et de … Casablanca », rappelle-t-il. « Des Turcs allemands ont participé à l’attentat contre l’ambassade des États-Unis à Ankara. Rabat a constaté que les Saoudiens engageaient en Europe plus d’imams marocains formés à leur manière que le royaume du Maroc. C’est ainsi qu’est apparue la nécessité de contrer les idéologies qui menaçaient les pays d’accueil, mais aussi les pays d’origine », souligne-t-il.

Cette nouvelle percée de la religion musulmane sous « l’aval » de l’État français peut être le début d’un changement profitable aux pays d’accueil et d’origine. « Cela va produire une transformation lente, inévitable, mais aussi utile et productive, de l’expérience d’un islam minoritaire en Europe », indique Laurence. « La volonté des pays d’origine d’augmenter leur contrôle sur la diaspora les pousse à augmenter leurs activités au delà de leurs frontières quantitativement mais aussi qualitativement. Cela les conduit à professionnaliser leur personnel ».

Les temps ont changé. L’Islam peut s’exporter d’une autre manière en Europe. « Il est fini le temps d’une exportation pure et simple de l’islam local vers l’Europe », selon le professeur. Les pays d’origine n’hésitent pas à employer la formule qu’ils jugent adéquate. « Les États d’origine font notamment appel à d’anciens expatriés ayant vécu en Europe et qui intègre les ministères de leurs pays d’origine avec une connaissance profonde des sociétés sécularisées européennes », indique-t-il.

Yabiladi

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
5 janvier 2014 01:38

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Mis à contribution par le Figaro Magazine

 vendredi 27 décembre pour décrédibiliser les analyses du FN, l'essayiste libéral François de Closet se veut rassurant: la France serait "un des pays d'Europe qui accueille le moins d'immigration", et la présence immigrée rapporterait annuellement "selon les études les plus sérieuses" jusqu'à 10 milliards d'euros, ou en couterait  10 maximum...le chiffre de 70 milliards d'euros de coût global avancé par Marine Le Pen serait "fantasmatique" (il provient de l'étude Laulan).


 - 2013 L'étude de l'expert comptable André Posokow pour la fondation Polémia chiffre à 84 Milliards d'euros le coût annuel de la présence immigrée en France.


- 2011 actualisation de l'étude du professeur d'économie (Dauphine/Paris II/Polytechnique)  Yves Marie Laulan : de 70 à 80 Milliards en incluant les coûts annexes hors comptes sociaux (police, justice etc.).


- 2008: Contribuables Associés publie une monographie réalisée par le spécialiste des migrations Jean-Paul Gourevitch (bio)  évaluant le coût de l'immigration à 26 Milliards (hypothèse basse).


- 2005 Etude des professeurs d'économie Jacques Bichot (Lyon III),  Gérard Lafay (Panthéon Assas Paris II) et Yves-Marie Laulan (Dauphine/Paris II/Polytechnique) pour l'Institut Géopolitique des Populations : le Pr. Bichot aboutit à une estimation "plancher" de 24 Md€ du surcoût de l'immigration pour les finances publiques en 2005. Cette estimation du "surcoût immigré" se présente ainsi : Justice : +3,61 Md€,  Police et Gendarmerie : +0,86 Md€, Enseignement primaire et secondaire : +9,42 Md€, Enseignement supérieur : +0,22 Md€, Protection sociale : +8,5 Md€, Politiques de la ville hors Etat : +0,45 Md€, Logement : +0,42 Md€, Transports en commun : +0,5 Md€ (voir l'étude PDF)


- 2004 Gérard Pince Docteur en économie du développement, à partir des chiffres de l’INSEE,  réalise une étude sur les coûts de l’immigration de ce qu’il appelle   « les pays tiers » ,  c’est à dire non-européens, qui aboutissait à un déficit annuel de 50 milliards d’euros.  


- 1998 L'économiste Christian Saint-Etienne (UDI)  choisit de se pencher sur le coût annuel d'accueil d'un immigré sans formation (santé, de logement, de scolarité, de formation, prestation familiales, etc) en l'estimant à 1 million de francs par an.


- 1990 et 1999 Les deux "rapports Milloz  de Pierre Milloz alors inspecteur général honoraire du ministère de l'Industrie (Énarque, docteur d'État en droit, diplômé de l'IEP de Paris) l'évaluent à  42 Milliards annuels.


 

- 1990, le Prix Nobel d'Economie Maurice Allais expliquait que lorsqu'un nouveau travailleur immigré entre en France, il est nécessaire de réaliser certaines infrastructures de logements, d'hôpitaux, d'écoles, de réseaux de transport, d'installations industrielles, etc.


Il estimait que ces dépenses publiques représentaient "une épargne supplémentaire égale à quatre fois le salaire annuel de ce travailleur". Et Allais de poursuivre que "si ce travailleur arrive avec sa femme et trois enfants, l'épargne nécessaire sera égale à vingt fois son salaire annuel, ce qui manifestement représente une charge très difficile à supporter". 

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
3 janvier 2014 01:28

L’ouverture du marché du travail allemand aux Bulgares et aux Roumains au 1er janvier prochain inquiète les communes allemandes.

« Nous n’arrivons pas à intégrer les migrants pauvres à la société », a indiqué dans une tribune publiée par la Frankfurter Allgemeine Zeitung le président de la fédération allemande des communes.

Il y explique que les arrivées de ressortissants en provenance de ces pays, qui ont déjà beaucoup augmenté ces dernières années, signifiaient des coûts élevés pour les villes qui les accueillent.

Les arrivées de Bulgares et de Roumains défraient régulièrement la chronique parce qu’elles sont concentrées dans certaines grandes villes parce que nombre d’Allemands y voient une fraude aux prestations sociales. Toute famille avec enfants installée en Allemagne a le droit de percevoir des allocations familiales.

Il faut « tout faire pour empêcher la fraude aux prestations sociales », martèle dans un entretien Hans-Peter Uhl du CSU bavarois et demande de suspendre le paiement des allocations familiales pendant les trois premiers mois de présence sur le territoire.

La secrétaire d’Etat chargée des Migrations, des Réfugiés et de l’Intégration, la sociale-démocrateAydan Özoguz, a mis en garde dans un communiqué contre la tentation « de dresser (la) société contre les pauvres par des jugements à l’emporte-pièce ».

24heures.ch

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
2 janvier 2014 02:00

Débat organisé par Uni t

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
31 décembre 2013 03:25

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La majorité des musulmans en Europe pense que la loi islamique de la charia devrait avoir la préséance sur les constitutions et les lois laïques de leurs pays d’accueil. Selon une nouvelle étude, le fondamentalisme islamique progresse très rapidement en Europe occidentale.

Une enquête comparative d’intégration des immigrants turcs et marocains, effectuée dans six pays occidentaux – Autriche, Belgique, France, Allemagne, Pay-Bas et Suède -a été publiée le 11 décembre dernier par le WZB Berlin Social Science Center, l’un des plus grands instituts européen de recherches en sciences sociales.

D’après cette étude, dirigée par le sociologue néerlandais Ruud Koopmans et financée par le gouvernement allemand :

  •  
    • 65% des musulmans interrogés affirment clairement que la loi islamique de la charia est plus importante à leurs yeux que les lois du pays dans lequel ils vivent.
    • 75% des personnes questionnées partagent l’avis selon lequel il n’existe qu’une seule interprétation légitime du Coran, qui devrait s’appliquer à tous les Musulmans.
    • Près de 60% des musulmans estiment que leur communauté doit revenir à ses racines islamiques.
    • 44 % des Marocains et des Turcs interrogés adhèrent à ces déclarations fondamentalistes.
    • Ces idées fondamentalistes se propagent non seulement chez les jeunes musulmans, mais également chez les plus âgés.

Les résultats de l’étude montrent que le fondamentalisme islamique est plus marqué en Autriche, où :

  •  
    • 73 % des musulmans interrogés déclarent que la charia est plus importante que les lois laïques de l’Etat,
    • 79% affirment qu’il n’y a qu’une seule interprétation correcte du coran et elle devrait s’appliquer à tous,
    • 65% pensent que les musulmans doivent revenir à leurs racines islamiques,
    • et 55% approuvent les idées énoncées ci-dessus.

 

L’auteur de l’étude affirme que les comparaisons avec d’autres études allemandes révèlent des tendances très similaires.

• Par exemple, en 2007, une étude sur les « Muslim in Deutschland » avait révélé que 47% des musulmans allemands estimaient que les lois de la charia étaient supérieures aux lois de l’Etat allemand. Dès lors, suivre les règles de sa « religion » l’emportait sur la démocratie.

Grande hostilité des musulmans envers les minorités

L’enquête montre également la grande hostilité des musulmans envers les minorités, qui sont perçues comme des menaces par le groupe religieux :

60% des Musulmans interrogés rejettent les homosexuels, et 45% déclarent que les Juifs ne sont pas dignes de confiance.

Les musulmans autrichiens semblent être les plus fondamentalistes d’Europe :

  •  
    • 60% des musulmans autrichiens rejettent les homosexuels comme amis,
    • 63% affirment que l’on ne peut pas faire confiance aux Juifs,
    • 66% sont persuadés que l’Occident essaye de détruire l’islam.

A titre de comparaison, parmi les Européens non musulmans sondés pour l’enquête dans les six pays ci-dessus :

  •  
    • 8% expriment leur méfiance envers les Juifs,
    • 10% déclarent leur aversion envers les homosexuels,
    • 21% n’aiment pas les musulmans,
    • 1.4% ne supportent ni les juifs, ni les homosexuels, ni les musulmans.


Pour Koopmans, le fondamentalisme musulman n’est pas une forme innocente d’une religiosité stricte. Alors qu’un Européen sur cinq peut être considéré comme islamophobe, le niveau de phobie contre l’Occident exprimé par les Musulmans, pour lequel il n’existe pas de terme, sinon « l’occidentalophobie » est beaucoup plus élevé : 54% des Musulmans croient que l’Occident veut détruire l’islam.

Ces résultats, dit Koopmans, contredisent clairement l’affirmation souvent entendue que le fondamentalisme religieux islamique est un phénomène marginal en Europe occidentale, comparable à l’intégrisme au sein de la majorité chrétienne. Or cette allégation est erronée, car 50% des Musulmans en Occident veulent revenir aux racines de l’islam, affirment qu’il n’y a qu’une seule interprétation du coran, applicable à tous, et que la loi islamique de la charia est supérieure aux lois laïques.

Parmi les Chrétiens en Occident, moins d’un sur vingt-cinq peut être considéré comme fondamentaliste.

L’intégrisme religieux islamique et ses corrélats : homophobie, antisémitisme et « occidentalophobie » devraient vivement inquiéter les gouvernements occidentaux et les leaders des communautés musulmanes. Evidemment, l’intégrisme religieux ne doit pas nécessairement être assimilé à l’envie de faire usage de la violence pour des motifs religieux, mais, vu son hostilité envers les minorités perçues comme des dangers, l’intégrisme religieux peut facilement nourrir le terreau de la radicalisation.

Une société libre peut être vaincue et soumise

« Les données ne sont pas suffisantes pour tirer de simples conclusions » écrit Die Welt, toutefois, les démocraties doivent se méfier de ceux qui pensent qu’une société libre peut être vaincue et soumise.

 

D’autre part, un document de travail publié par la Fondation Gustav Stresemann, basée en Allemagne – un groupe de réflexion dédié à la préservation et à la promotion de la démocratie libérale en Europe – lance un avertissement des plus inquiétants : les organisations islamiques nationales et internationales exercent de plus en plus de pression sur les politiciens occidentaux dans le but de faire criminaliser progressivement toute critique de l’islam.

La quotidien allemand « Die Welt » déclare dans un commentaire que l’étude jette de sérieux doutes sur l’optimisme angélique des « multiculturalistes » européens, pour qui les citoyens musulmans finiront par intérioriser l’état d’esprit et les valeurs des démocraties occidentales.

Le politologue scientifique Félix Strüning, auteur du document publié par la Fondation Gustav Stresemann présente dans son rapport une analyse méticuleusement détaillée des efforts entrepris par le lobbying islamiste pour réduire au silence Thilo Sarrazin – politicien socialiste, économiste et banquier allemand -, via des poursuites judiciaires, pour s’être rendu coupable d’avoir critiqué le refus des immigrants musulmans à s’intégrer dans la société allemande, ce qui, paradoxalement, est précisément ce qu’ils revendiquent.

En octobre 2009, au cours d’une interview avec un magazine culturel, basé à Berlin, Lettre International, T. Sarrazin avait déclaré :

“Un grand nombre d’Arabes et de Turcs de cette ville n’exercent aucune profession productive, à l’exception du commerce de fruits et légumes. Le nombre de naissances parmi les Arabes et les Turcs est deux fois supérieur à celui de la population allemande.

Une grande partie de ces immigrants, soit refusent de s’intégrer, soit sont incapables de le faire. La solution à ce problème serait d’arrêter l’immigration, à l’exception d’individus hautement qualifiés, et de ne plus offrir de protection sociale aux immigrants.

Les immigrants doivent faire l’effort de s’intégrer. Je n’ai pas à accepter des personnes qui ne fournissent aucun effort. Je n’ai pas à accepter des personnes qui vivent de l’assistanat, de la générosité d’un Etat, qu’ils rejettent par ailleurs.

Je n’ai pas à accepter des personnes qui ne s’occupent pas de l’éducation de leurs enfants, voilent de plus en plus leurs petites filles et refusent l’intégration. Cela s’applique à 70% des immigrants turcs et à 90% des immigrants arabes de Berlin. »

Ci-dessous, quelques extraits de   »L’Allemagne disparait*» de Thilo Sarrazin (Editions du Toucan).

Politiquement très incorrect : « Lorsque des immigrés turcs, même de la troisième génération, ne parlent pas encore vraiment allemand, on en rend responsable l’hostilité de l’environnement, qui a empêché l’intégration. Mais pourquoi, on se le demande, ces difficultés n’apparaissent-elles pas dans la quasi-totalité des autres groupes de migrants ? »

Jeunes musulmans agressifs : « De façon indéniable, le problème allemand de l’éducation est le plus souvent un problème de migrants musulmans. (…) Il existe un lien tout à fait réel entre les mauvais résultats scolaires des migrants turcs en Allemagne et les mauvais résultats du système scolaire turc à l’étude Pisa 2006. Cette mauvaise position joue un rôle notable dans le potentiel agressif de nombreux jeunes Turcs et Arabes. »

La liste des problèmes que posent certains immigrés : « La problématique particulière liée aux immigrés islamiques ne se limite pas à l’Angleterre. Dans tous les pays concernés – Angleterre, France, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Danemark ou Norvège –, on fait des constatations comparables à propos du groupe des migrants musulmans, à savoir :

– intégration au marché du travail inférieure à la moyenne,

– dépendance à l’égard des transferts sociaux supérieure à la moyenne,

– participation à l’éducation inférieure à la moyenne,

– taux de natalité supérieur à la moyenne,

– ségrégation topographique, avec tendance à créer des sociétés parallèles,

– religiosité supérieure à la moyenne, avec une tendance croissante à rejoindre les courants traditionnels ou fondamentalistes de l’islam;

– criminalité supérieure à la moyenne, depuis la « simple » criminalité violente dans la rue jusqu’à la participation à des activités terroristes. »

On ne peut plus clair : « Sur le plan économique, nous n’avons pas besoin de l’immigration musulmane en Europe. Dans tous les pays, les immigrés musulmans, compte tenu de leur faible participation à l’activité professionnelle et de leur forte consommation de prestations sociales, coûtent plus cher aux caisses de l’État qu’ils n’apportent de valeur ajoutée. Du point de vue de la culture et de la civilisation, les images de la société et les valeurs qu’ils défendent constituent une régression. »

Un mot sur la France : « La France a connu, en plusieurs vagues, des immigrations polonaise, juive, chinoise et vietnamienne. Toutes ont connu la réussite économique, se sont intégrées sans problème et ont peu à peu fusionné avec la société majoritaire sans avoir recours aux aides de l’État. Mais la France a de tout autres problèmes avec les immigrés musulmans, notamment en provenance d’Algérie. Walter Laqueur émet cette supposition : « Il doit y avoir, dans l’attitude mentale de ceux qui se sentent marginalisés, quelque chose qui leur rend plus difficile l’accès à la réussite existentielle. »

Un peu de populisme : « Une partie des Allemands – y compris de l’élite – n’a pas encore compris le problème. Dans le monde où ils vivent, logent et travaillent, les immigrés musulmans n’apparaissent que pour venir nettoyer les bureaux, ou bien comme décor exotique lors d’une visite occasionnelle à Berlin-Kreuzberg. Une partie des intellectuels et de la presse libérale semble même éprouver une joie secrète à l’idée que l’immigration musulmane sape la société allemande. »

L’Association turque de Berlin – Brandebourg (Türkischer Bund Berlin – Brandebourg, TBB) avait poursuivi T. Sarrazin pour incitation à la haine (Volksverhetzung). Toutefois, les procureurs allemands avaient rétorqué que les déclarations de T. Sarrazin étaient protégées par la liberté d’expression et clôturèrent le dossier.

Furieux, le TBB s’adressa alors au CERD (Comité pour l’élimination de la discrimination raciale). Ce Comité fut chargé de déterminer si les déclarations de T. Sarrazin violaient la convention internationale sur l’élimination de la discrimination raciale.

En février 2013, le Comité affirma que les déclarations de T. Sarrazin transgressaient la convention, car elles exprimaient des idées de supériorité raciale, niaient le respect dû aux êtres humains et stigmatisaient la population turque. Le Comité ajouta que les déclarations de T. Sarrazin incitaient à la discrimination raciale, car celles préconisaient la suspension des prestations sociales aux Turcs, à l’exception des personnes hautement qualifiées, et l’arrêt de l’immigration.

Il est important de souligner que le CERD a également critiqué l’article 130 du Code pénal allemand, (le paragraphe d’incitation à la haine Volksverhetzungsparagraf), car il protège la liberté d’expression garantie par la Constitution allemande, à condition qu’elle ne soit pas utilisée pour nuire à la paix sociale et à la sécurité publique. Et cette dernière partie gène le CERD.

Le CERD prévoit une limite légale beaucoup plus basse, au-delà de laquelle un discours peut être qualifié de discours de haine. La convention des Nations Unies ne stipule pas qu’un discours devient discours de haine s’il est susceptible de nuire à l’ordre public. Le CERD fait dès lors pression sur l’Allemagne pour qu’elle modifie sa législation, afin d’être en conformité avec la convention des Nations Unies, en supprimant de sa loi le seuil légal délimité par « discours susceptible de nuire à l’ordre public ».

Selon F. Strüning, si l’Allemagne devait accéder à cette exigence, il serait dès lors permis d’interdire toute déclaration sur l’islam ou les musulmans, ce qui signifierait une atteinte irréversible à la liberté d’expression. Même si le gouvernement allemand a jusqu’à présent refusé de ré-ouvrir l’enquête sur T. Sarrazin, F. Strüning souligne le danger que fait courir le CERD à la liberté d’expression et aux autres droits fondamentaux en Europe et aux USA, car il autorise les représentants d’états, qui ont clairement une autre compréhension des droits de l’homme, à porter des jugements au sein des Nations Unies.

« Les Nations se sentent obligées de vérifier si les lois existantes sont valables ou si elles doivent être ajustées. Traiter avec des groupes musulmans implique clairement un nouveau défi politique, car de nombreux musulmans préservent farouchement leurs valeurs culturelles et religieuses et les transmettent à l’intérieur de leurs communautés, tout en les défendant de façon virulente à l’extérieur. »

F. Strünning déplore que les Autorités politiques allemandes se plient de plus en plus aux pressions des organisations islamiques allemandes en adoptant les définitions musulmanes de l’islamophobie, lors de discours publics, créant ainsi une incertitude légale, quant à qui peut dire quoi à propos de l’islam et des musulmans en Allemagne. Par exemple, les autorités allemandes ont officiellement confirmé qu’elles surveillaient les sites internet allemands qui critiquent l’immigration musulmane et l’islamisation de l’Europe.

Et Strüning de conclure :

“Les personnes qui critiquent l’idéologie et les organisations islamiques sont constamment confrontées à des poursuites judiciaires et doivent se défendre contre les accusations de blasphème ou d’incitation à la haine. Même si elles n’aboutissement pas toujours à une condamnation, cela coûte énormément de temps et d’argent, et ces personnes voient leur réputation salie et parfois perdent leur emploi. Dès lors, même en Occident, nous assistons à l’application de facto de la loi islamique de la charia en ce qui concerne l’islam. »

« Les Allemands constatent que la « spirale du silence » en relation avec l’islam est déjà appliquée aujourd’hui. Lors d’une enquête représentative en Allemagne, la majorité des gens interrogés a admis ne pas oser critiquer l’islam et les musulmans en public »…

Rosaly : Amer constat et conclusion d’une extrême gravité. Jusqu’où ces irresponsables politiques, semeurs de haine envers leurs propres peuples, vont-ils pousser les limites de l’insupportable et nous imposer humiliation et soumission à l’idéologie islamique et à ses fidèles ; à faire de nous, dans nos propres pays, des parias réduits au silence, tout en fermant les yeux sur les associations musulmanes, écoles islamiques, mosquées, qui prêchent et enseignent la haine de la société occidentale, de la laïcité, de la démocratie, de ses valeurs fondamentales, de ses citoyens, et d’Israël.

Par leur déni obstiné de la réalité, ils deviennent complices de la propagation de l’islam, l’islam suprémaciste, conquérant, belliqueux, liberticide, avec son cortège d’actions violentes et de revendications de plus en sectaires et communautaires. Plus l’Occident se veut humaniste, altruiste, ouvert, généreux, au détriment de ses propres peuples, plus il est haï, détesté, critiqué, menacé par ceux qu’il accueille, protège et nourrit gracieusement.

Notre tolérance est aujourd’hui utilisée contre nous et l’issue ne peut être qu’une seule… soit la révolte des peuples, soit leur soumission totale à la nouvelle idéologie islamo-nazie.

Ne réalisent-ils pas qu’ils sont en train de créer le terreau propice à l’explosion de futures guerres civiles en Occident ?

Grâce à cette politique d’immigration suicidaire de l’Occident, délibérément imposée par l’UE « prix Nobel de la Paix », le spectre de conflits inter-confessionnels hante à nouveau le ciel de l’Europe.

 

 

Source : http://www.gatestoneinstitute.org/4092/europe-islamic-fundamentalism. Europe: Islamic Fundamentalism is Widespread, by Soeren Kern, traduit, adapté et commenté par Rosaly.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
30 décembre 2013 02:36

 

L’espace Schengen s’ouvre aux Emirats arabes unis. D’ici mi-janvier, les Emiratis devraient être autorisés à voyager dans l’espace Schengen sans visa. C’est du moins ce qui adviendra si le Parlement européen avalise le vote favorable de la Commission européenne intervenu il y a quelques jours.

Le règlement de 2001 sur les visas fixe la liste des pays tiers dont les ressortissants sont soumis à l’obligation de visa pour voyager dans l’espace Schengen – autrement dit la liste négative – et ceux dont les citoyens sont exemptés de cette obligation, la liste positive. Il y a quelques mois, les Emirats arabes unis avaient été ajoutés à la liste positive. Une entrée qui n’est pas intervenue sans évaluations préalables. Elles ont ciblé des critères liés notamment à l’immigration clandestine, l’ordre public, la sécurité ainsi qu’aux relations extérieures de l’Union avec les Emirats arabes unis – en particulier le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales – tout en tenant compte de la réciprocité.

Mi-janvier, les Emirats arabes unis pourraient donc devenir le premier pays arabe dont les citoyens sont exemptés de visa pour un séjour de courte durée (jusqu‘à 90 jours) dans l’espace Schengen s’il possède un passeport, que ce soit pour une visite professionnelle, touristique ou familiale. Le but est de simplifier les voyages dans l’espace Schengen, ainsi qu‘à Chypre, en Bulgarie et en Roumanie.

Le texte prévoit la réciprocité de l’exemption de visa, conformément aux accords en la matière. Tous les citoyens européens qui souhaiteront voyager dans les Emirats arabes unis n’auront plus besoin de visa.

Les échanges commerciaux entre les 28 membres de l’UE et les Émirats arabes unis a connu une augmentation de 9,7% en 2012, pour atteindre un total de 45,4 milliards d’euros.

Euronews

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
30 décembre 2013 02:32

eelv-antifrance

« Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté », écrivait Confucius.

Vite enterré, le rapport Refondation de la politique d’intégration, rendu la semaine dernière, est un événement historique considérable, puisqu’il représente la fin de l’idée même de la nation française. La suppression du terme d’« intégration » marque un tournant décisif dans l’histoire de notre pays : désormais, la France n’existe plus que comme un mot. Concrètement, elle n’existe plus : ses valeurs ne priment plus sur celles de l’étranger, ses racines doivent s’effacer devant celles de « l’autre ».

Aujourd’hui, la République a signé l’acte de décès de la France. Enfin, les masques tombent, la triste vérité éclate au grand jour : on savait que la République n’était pas la France, on voit maintenant que la République est la négation de la France.

Beaucoup seront tentés d’y voir une lubie de plus de la pseudo-élite qui dirige désormais notre pays. Mais le mal est en réalité plus profond : il s’agit de la conséquence finale du processus de destruction nationale entrepris par la République, processus qu’elle contient dans son ADN même.

Elle ne s’est pas construite positivement, mais bien en opposition par rapport aux deux principaux piliers qui ont fait la France : la monarchie et le catholicisme.

Après avoir tué la première, elle a eu raison du second par le biais de la loi de 1905. Mais elle ne peut s’arrêter là : idéologie nihiliste par essence, elle doit détruire, encore et toujours. La prochaine victime, c’est le peuple français.

Ironie de l’histoire : l’idéologie républicaine s’en était servie pour se débarrasser du christianisme. « Nos ancêtres les Gaulois » avait pour but de le chasser du territoire. « Nos ancêtres les Arabes » servira maintenant à remplacer le peuple français.

Le glissement était perceptible depuis des années. La marque la plus criante était cette substitution du mot « République » en lieu et place de celui de « France ». Les « valeurs républicaines » ou le « pacte républicain » reviennent sans cesse depuis des années.

Du Front national au Front de gauche, les hommes et femmes politiques ressassent ces termes creux, sans signification claire, y mettant chacun des notions qui leur sont propres. La République est devenue le plus grand dénominateur commun, au détriment de la France. Cette évolution du langage a préfiguré l’effacement pur et simple de la nation française, dont ce dernier rapport est une étape décisive.

« Lorsque les mots perdent leur sens, les gens perdent leur liberté », écrivait Confucius. Puisse le peuple français faire sienne cette phrase du grand philosophe chinois. Sinon, il risque de se retrouver dans une France qui n’en aura plus que le nom.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
29 décembre 2013 03:06

« Pas une seule naturalisation en 2013, sous la nouvelle loi », titrait LaLibre.be, mardi 17 décembre. « Quarante fois moins de demande de naturalisations en 2013 », ajoutait le Soir.Selon la presse belge, aucune naturalisation ne sera accordée cette année par les parlementaires belges sur les 508 dossiers introduits au 30 novembre 2013, contre 4 838 naturalisation sur un total de 18 731 l’an dernier.

La nouvelle loi sur l’acquisition de la nationalité est entrée en vigueur le 1er janvier et a profondément modifié le paysage. Hors, la première communauté de nouveaux belges, chaque année, depuis longtemps est constituée par les Marocains. Ils représentent près de 20% des ceux qui obtiennent la nationalité belge. Ils devraient donc être les premiers touchés par cette réduction drastique des naturalisations, n’eût été « l’acquisition de la nationalité ».

« Il y a deux façons d’obtenir la nationalité belge : par l’acquisition de la nationalité et par la naturalisation. La réforme a touché la première procédure, pour rendre à la seconde son rôle de voie exceptionnelle pour devenir belge », explique Jean-Michel Lafleur, directeur adjoint du centre d’études de l’ethnicité et des migrations, spécialiste de la participation politique des migrants. L’acquisition de la nationalité est une procédure administrative, tandis que la naturalisation est accordée par le parlement belge lui-même.

« C’est une évolution qui va dans le bon sens, estime Georges Dallemagne, le président de la commission des naturalisations de la Chambre belge. Ce n’est pas le rôle des parlementaires d’examiner des dizaines de milliers de demandes de naturalisation chaque année, sauf à quelques exceptions près[...] »

« La procédure administrative est un droit, si un individu rempli les critères objectifs qui lui sont demandé, l’Etat belge ne peut pas lui refuser la nationalité belge. Le parlement, comme dans l’essentiel des pays d’Europe, n’attribut la nationalité qu’à des personnalités exceptionnelles en dehors des critères officielles », comme une faveur, indique Jean-Michel Lafleur. Jusqu’en janvier 2013, la procédure administrative était si longue et si complexe, que les étrangers étaient incités à présenter plutôt leur dossier au parlement plutôt qu’à l’administration.

La nouvelle loi a revu la procédure administrative pour accueillir, désormais l’essentiel des demandes de nationalité « on devrait donc voir un report du nombre de demande de nationalité du parlement vers l’administration », conclut Jean-Michel Lafleur.
Cependant, il est probable que le nombre de nouveaux Belges baisse, car la loi a aussi durci les conditions d’acquisition de la nationalité : 5 ans de résidence plutôt que 3 et la connaissance de l’une au moins des deux langues nationales sont requis.
« La loi a ainsi rendu la décision finale beaucoup plus prévisible et plus juste car avant la marge de manœuvre des élus était telle que les décisions d’octroyer ou non la nationalité devenaient arbitraires », estime le chercheur.

L’une des conditions requises pour obtenir la nationalité par la procédure administrative reste cependant très floue. Un étranger qui demande la nationalité belge doit faire preuve de son intégration en Belgique. « La dessus, la loi est très floue. Elle dit simplement qu’un diplôme, une formation professionnelle, ou avoir travaillé 5 ans sont des preuves d’intégration. Un chômeur longue durée aura donc du mal à obtenir la nationalité », signale Jean-Michel Lafleur.

Yadibaldi

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
29 décembre 2013 00:43

Le Parti danois populaire (Dansk Folkeparti, abrégé DF), classé au centre au Danemark, mais ayant des positions fermes contre l’immigration estime qu’il y a trop d’immigrants musulmans parmi les candidats à la naturalisation. Le site musulman oumma s’en indigne.

Pas question de conférer la citoyenneté aux 422 Irakiens et Afghans qui en ont fait la demande, et peu importe s’ils remplissent toutes les conditions nécessaires pour y prétendre.

Trop musulman pour être danois, telle est la hauteur de vue, à donner le vertige ou plutôt la nausée, qui anime le parti d’extrême droite danois, xénophobe, islamophobe et populiste en diable.

A chaque contrée européenne, son parti ultra conservateur qui se fait le garant de la souveraineté nationale sous l’étendard de la détestation du multiculturalisme et de l’islam, le Danemark n’échappant pas à cette résurgence du nationalisme sur un Vieux Continent qui a pourtant payé un lourd tribut à ses déviances mortifères.

Même sur le plus petit des pays scandinaves peuvent germer les racines du mal, à l’image du Parti danois populaire (DF) qui, en l’espace de quelques années, s’y est enraciné.

Dans ce contexte, qui en rappelle d’autres, favorable à une préférence nationale qui ne fait pas de quartier, le vote de la loi bi-annuelle de citoyenneté censée accorder la nationalité danoise à près de 1 600 personnes a été parasité par l’obstruction des zélés parlementaires du DF qui, le doigt sur la couture du pantalon, s’y sont opposés au au seul motif qu’il y avait trop d’immigrants musulmans parmi les candidats à la naturalisation. […]

Vent debout contre un hémicycle réprobateur qui, à droite comme à gauche, s’est insurgé contre une «discrimination pure», le DF campe sur ses positions, déterminé à creuser un fossé infranchissable entre les bons et mauvais Danois, le rôle dévolu aux musulmans étant, au Danemark comme ailleurs, tout trouvé…

oumma

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
28 décembre 2013 02:33

 

La société « inclusive » est une nouvelle invention de la Gauche gaucho-bobo. On ne parlera plus d’assimilation ou d’intégration, termes qu’il nous faut définitivement oubliés, mais d’inclusion.

C’est en tous cas la conclusion du « rapport pour la refondation de la politique d’intégration » commandé par le gouvernement socialiste. Nos petits révolutionnaires de salon ne chantent-ils pas dans leur vieille rengaine, l’Internationale : « Du passé faisons table rase » ?

 
Rouges, roses, verts, même combat. La couleur change mais la sottise demeure. Il est vrai que pour la question des couleurs, ils en connaissent un rayon. Ne nomment-ils pas à l’envi, dans leurs associations communautaristes, « les noirs et les jaunes » ? Ou « les beurs » ? Ou « les musulmans et les juifs » ?

Comme si l’origine ethnique, la religion ou la couleur de peau avaient une quelconque importance quand on veut engendrer des Français. Il y a des Français, point ! Ceux qui veulent s’intégrer ou s’assimiler.


Mais, malheureusement, nos gaucho-bobos, croyant comme toujours à leurs vieilles lunes réformatrices qu’une meilleure intégration se fera en supprimant … l’intégration, veulent une nouvelle société où l’immigré aura les mêmes droits que l’autochtone qui, lui, devra s’adapter aux particularismes, sociaux et culturels, de tout nouvel arrivant. Sinon, attention, il y aura discrimination, voire racisme !

A côté de la culture française, les autres cultures devront être admises sur un même échelon de valeurs ; nos petits français en devenir, d’origines diverses, n’apprendront plus l’histoire de France mais une histoire réadaptée à leurs tempos. Plus question d’héritage collectif, un simple socle commun à minima, suffira.

Or pour créer un lien et faire en sorte que ces enfants deviennent des citoyens français, fiers de leur nouvelle nation, il faut d’abord leur apprendre l’histoire de France. A moins de vouloir créer des citoyens n’ayant aucun sens patriotique. Plus de Patrie, plus de Nation, plus de Pays - c’est bien-là semble-t-il tout le sens du projet - où plus rien ne devrait logiquement séparer l’étranger du Français en termes de droits, et où il est spécifié qu’il faut : « Mettre fin à l’assignation sociale par héritage »

… Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls n’a-t-il pas déjà supprimé le terme d’intégration par décret du 12 juillet 2013 en vue de la réorganisation de la gestion des flux migratoires ? Et le terme de Secrétariat général à l’immigration et à l’intégration a été remplacé par la « Direction des étrangers en France ». Nos internationalistes de tous poils en avaient rêvé … 

Que toutes les cultures puissent être intéressantes c’est incontestable, mais la culture étant l’élément fondateur d’une nation, d’une civilisation, il est dangereux de faire côtoyer en apprentissage plusieurs cultures sur un même territoire. Le multiculturalisme est un leurre car l’histoire est là pour nous le rappeler : à chaque fois qu’un peuple accueilli était suffisant en nombre, il imposait sa culture.

La société inclusive que l’on nous prépare va mettre en place une formidable pétaudière car, en voulant préserver à tous prix toutes les diversités, elle va recréer un modèle de nation tribale comme au temps des Gaulois. Quel progrès !
La spécificité de la France, contrairement à la tradition des pays anglo-saxon, a toujours été d’être assimilatrice et jusqu’à ce jour personne ne peut s’en plaindre : cela nous a évité bien des tensions communautaires et a plutôt bien marché pour l’intégration républicaine … tant que nous n’avions pas baissé la garde.

La diversité peut être enrichissante tant que le pays d’accueil garde sa culture historique, conceptrice de la Nation et si cette culture demeure coutumière et valorisante. 
« Une culture ne meurt que de sa propre faiblesse » disait André Malraux. 

A bon entendeur, salut !

Claude PICARD

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
28 décembre 2013 02:12

Alain Finkielkraut – Radio Canada

Le Québec a su conserver son identité contre l’hégémonie anglo-américaine, face au multiculturalisme, il résiste beaucoup moins bien.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
24 décembre 2013 01:05

La Ville de Chateauroux a organisé la remise des médailles de la Famille française (2/06/12)

A quelques mois des élections européennes, qu’on annonce défouloir, le Parti socialiste veut montrer qu’il ne demeure pas inerte face à la «montée des populismes». Est-il pour autant audible ? Mercredi, dans un colloque à l’Assemblée nationale mêlant chercheurs et dirigeants socialistes, le PS a voulu marquer le coup. «C’est une façon de réfléchir à ces enjeux sans faire de bons sentiments», avance le sociologue Michel Wieviorka. Une démarche «utile», a jugé Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale, en introduction :

«Parce que la tectonique politique en France et en Europe laisse présager des secousses profondes, brutales et douloureuses, si nous ne faisons rien…»

Selon ses décomptes, 27 partis, dans 18 pays européens, ont toutes les caractéristiques du populisme. Récemment ils ont recueilli des scores atteignant 15% des suffrages ou plus comme en Autriche, où ils viennent de culminer à 28%.«Pour moi, le populiste est un politique au stade primaire de son évolution. Il maîtrise le verbe, harangue, flatte, invective. Il a le talent du langage. Mais, quand vient le temps de l’action, ses mots n’ont aucune prise sur le réel, ou alors, s’il en a, c’est pour le nier, pour l’anéantir. Quand le nuage de fumée se dissipe, on voit le populiste figé, la bouche ouverte et les bras ballants», a poursuivi Bartolone. Avant d’en arriver là, tout le monde, dans le public – beaucoup de militants socialistes – et à la tribune, prend la menace au sérieux…

Ces mouvements, bien que disparates, ont une base commune. Spécialiste de l’extrême droite, etdirectrice de recherches au CNRS, Nonna Mayer n’aime pas trop le terme «populisme» : «Appelons un chat un chat, propose-t-elle. «Il s’agit de droites extrêmes, exclusionnistes» qui se basent d’abord sur le rejet des immigrés et dont le nouvel ennemi est l’islam. «On ne peut plus les ostraciser, pas les ignorer. Ni faire de surenchère non plus», plaide-t-elle…

Pour le numéro 2 du PS Guillaume Bachelay, avant toute chose, il faut «identifier la menace» : «Pour combattre efficacement un adversaire il faut le qualifier précisément. On peut avoir des habits neufs mais conserver le tissu. Ces partis voient la communauté nationale comme une citadelle assiégée, comme une totalité figée», mise en danger par la diversité, le métissage et les échanges mondiaux. L’Europe est vue comme une «instance de dépossession et d’uniformisation»…

Que faire alors pour contrer ces succès potentiels de l’extrême droite en France et en Europe ? Initiateur du colloque, le député européen PS Henri Weber a dessiné plusieurs voies. La «stigmatisation morale», bien qu’assez «inefficace» contribue tout de même à ses yeux au «cordon sanitaire autour de l’extrême droite [qui] doit être préservé et renforcé, d’autant que la tentation est forte, pour une partie de la droite française, de le faire sauter et de passer alliance». Mais il insiste surtout, comme plusieurs interlocuteurs, sur «la réfutation systématique et argumentée des propositions de l’extrême droite». Il faut «montrer que l’application, même partielle, de ce programme, de ces propositions, plongerait le pays dans le chaos et le malheur», ajoute-t-il.

Guillaume Bachelay ou Harlem Désir n’ont pas dit autre chose quand ils ont martelé que la sortie de la zone euro, préconisée par le FN, conduirait à une dévalorisation de la monnaie de 20% et à une aggravation de la dette française d’autant.

«Si, demain, nous fermons nos frontières aux apports de la mondialisation, fini les biens technologiques, les écrans plats, les smartphones, les tablettes produits à l’étranger; fini les investissements étrangers en France, ceux qui produisent de la richesse et de l’emploi ; fini la stabilité financière avec des risques démultipliés de spéculation», égrène encore Bartolone…

Libération

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
24 décembre 2013 00:51

L’essayiste : Rokhaya Diallo est l’invitée du cinq-sept de France-Inter. Elle est coauteur du « Précis à l’usage des journalistes qui veulent écrire sur les noirs, les musulmans, les asiatiques, les roms, les homos, la banlieue, les juifs, les femmes…  » sorti aux éditions le cavalier bleu.

France Inter

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
23 décembre 2013 02:52

On parle beaucoup du racisme noir blanc et cetera mais entre les minorités il y a beaucoup, beaucoup de préjugés, on le remarque tout de suite dans les cités suburbaines ou dans les grandes villes, les minorités ne s’acceptent pas toutes

A l’extérieur on dit qu’on n’est pas raciste mais c’est quand même mieux de se marier avec quelqu’un de sa communauté

les jeunes des cités suburbaines qui ont des gros préjugés sur ceux de la campagne : ils sont riches, ils sont racistes


lien direct de la vidéo sur VK : http://vk.com/video231636035_167033725
source : rts.ch

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
22 décembre 2013 02:46
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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
20 décembre 2013 02:33

 Crédit Reuters

Une étude américaine montre que les contribuables sont plus favorables aux dépenses sociales quand les prestations vont à des gens qui leur ressemblent physiquement et socialement. Aux Etats-Unis, l'Obamacare bute sur ce point, les blancs estimant qu'il s'agit d'un système pour aider les noirs.
 

Voici bientôt dix ans que les économistes Alberto Alesina et Edward Glaeser publiaient Combattre les inégalités et la pauvreté. Les États Unis face à l’Europe. Après avoir disséqués les facteurs économiques qui auraient pu être à l’origine des écarts de dépenses sociales entre les deux continents, les auteurs aboutissent à une conclusion étonnante : aucun facteur économique ne permet de justifier ces écarts. Selon eux, deux facteurs historiques en sont la source : la question des institutions et la question raciale.

« Nous avons soutenu qu’environ la moitié de l’écart euro-américain dans les dépenses sociales peut s’expliquer par des différences d’institution politiques : système électoral majoritaire contre représentation proportionnelle, fédéralisme et séparation des pouvoirs contre centralisation. En Europe, les institutions ont été en partie un legs de la puissance politique et militaire de la gauche, qui a réussi à dominer les petits pays industrialisés en temps de paix et les grands au lendemain de guerres épuisantes »

L’autre moitié de l’écart trouve sa source dans une cause moins avouable. Celle-ci repose sur l’idée de la « fragmentation raciale » : « Il existe de nombreux moyens de mesurer la diversité mais l’un deux paraît particulièrement adapté : l’indice de fragmentation. Il indique quelles sont les probabilités pour que deux individus pris au hasard dans une population appartiennent à des groupes différents sur le plan racial, ethnique ou religieux ».

Et cet indice de fragmentation diverge de façon importante entre les deux zones considérées « Historiquement, la langue, la religion, la culture, l’origine géographique ont divisé les groupes humains. Or, pratiquement sur tous ces plans, de nombreux pays européens, en particulier les petits, sont d’une remarquable homogénéité. Même aujourd’hui, en dépit de la rhétorique politique sur l’immigration, plus de 90% des habitants de ces pays sont des suédois des néerlandais ou des allemands « de souche ». Autrefois, le pourcentage était encore plus élevé ». « Les Etats Unis, en revanche, sont et ont toujours été bigarrés. Au niveau national, 75.1% des habitants se déclarent blancs, 12.3% afro américains, 3.6% asiatiques et 5.5% disent appartenir à deux races ou encore davantage »

L’importance de cette différence entre les deux continents joue un rôle majeur. En effet,l’analyse des chiffres « montre la relation fondamentale entre fragmentation raciale et dépenses sociales en pourcentage de PIB. Le lien est tout à fait frappant. La corrélation globale entre hétérogénéité et redistribution est de -66%. Dans le groupe des seize pays ou la fragmentation raciale est supérieure à 40%, le maigre pourcentage du PIB consacré aux services sociaux représente en moyenne 2.42%. Dans cette catégorie de pays, le pourcentage maximum du PIB dépensé à des fins sociales est de 7.19% (au brésil), et les États Unis se classent seconds en générosité puisqu’ils consacrent 6.96% de leur PIB aux services sociaux ».

« Le groupe des pays homogènes sur le plan racial est entièrement différent. Dix-sept pays ont des valeurs de fragmentation raciale inférieures à 10%. Dans cette catégorie, le niveau moyen des dépenses sociales est de 12.87%. Et leur niveau minimum représente 1.5 fois le niveau moyen de l’ensemble des pays ethniquement diversifiés. »

La conclusion est claire « la fragmentation raciale est le meilleur facteur prédictif des dépenses sociales ». « Les partisans de l’état providence tentent en général de prendre appui sur les différences de classe ; les clivages raciaux, religieux ou ethniques écartent de ces distinctions-là et il devient plus difficile de forger une identité de classe commune ». L’empathie est plus grande au sein même d’un groupe ethnique, culturel et religieux.« Les contribuables seront automatiquement plus favorables aux dépenses sociales quand les prestations vont à des gens qui leur ressemblent physiquement et socialement ».

La théorie développée par les deux économistes trouve un écho actuel dans la réforme des dépenses sociales aux Etats Unis, dite Obamacare. Le magazine The Economist, dans un article du 7 décembre intitulé « Pourquoi les américains sont-ils tellement en colère ? », indique :

«Considérez la crise actuelle de l’Obamacare. Oubliez les cafouillages informatiques, les sites peuvent être réparés. Le problème du Président est que les électeurs voient son plan comme un soutien aux pauvres plutôt que comme un moyen plus efficient de délivrer l’aide médicale. Ce qui met en évidence une « sale » divisionPlus concrètement, une majorité de blancs pense que cette loi va leur rendre la vie plus difficile, comme le suggère un sondage du National Journal, alors que les « non-blancs » pensent que cela va les aider. Ce qui concorde avec le grand changement des 15 dernières années: l’effondrement du soutien des conservateurs pour les politiques de redistribution »

Sur ces bases les économistes Alberto Alesina et Edward Glaeser formulaient une prédiction dans leur ouvrage datant de 2004 : «En Europe occidentale, la composition ethnique est en train de changer. L’immigration en provenance d’Afrique du Nord et d’Europe de l’Est va rendre la région moins homogène. Et l’extrême droite européenne joue déjà la carte raciste pour s’opposer aux politiques sociales. Nous prédisons qu’avec la montée de l’hétérogénéité en Europe, même la droite « respectable » va évoluer dans cette direction ».

 Le nouveau livre de Nicolas Goetzmann : Sortir l'Europe de la crise : le modèle japonais, (Atlantico éditions), 2013.

at http://www.atlantico.fr/decryptage/pourquoi-etat-providence-pourrait-bien-etre-victime-collaterale-diversite-ethnique-lecons-mediter-exemple-americain-nicolas-goet-926803.html#qsAT5913uHOSgJiY.99

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
20 décembre 2013 02:29

boulevard-voltaire-islam

Peut-on assimiler un islam par essence sectaire et dominateur, si différent des traditions européennes ?

Le programme pour la France de Léonora Miano, lauréate camerounaise du prix Femina, se veut limpide. Le temps est venu de payer la facture et de laisser la place aux anciens colonisés comme un juste retour de balancier. Du reste, si les Africains sont malheureux, c’est toujours de notre faute. La preuve ? Ils nous haïssent au point de s’empresser de débarquer chez nous.

Tout va bien, n’ayez pas peur de la mutation, vous ne mourrez pas de la disparition du monde connu, dit la donzelle dont la candeur n’a d’équivalent que la machination de ceux moins francs qui mettent en œuvre l’agenda de la rétro-colonisation.

Jusqu’à quel point peut-on accepter d’être minoritaire en France ? À partir de quel seuil une population submergée, humiliée, traitée de raciste et d’infâme prend les armes contre ses envahisseurs ?

L’islam est la première religion de France par le nombre de pratiquants. Les 15 % de musulmans forment l’avant-garde d’une Reconquista qui ne dit pas son nom, dans les esprits autant que dans les salles de prière, voulue et entretenue par des élites acceptantes et repentantes. Angélisme exterminateur ou félonie, la France est le maillon faible occidental de l’entreprise d’africanisation et de reconquête musulmane.

Qui pourra croire qu’il n’y a pas une cohérence entre les prises d’otages crapuleuses de Français et la déstabilisation visant à former un Sahelistan sous l’égide d’Al-Qaïda et de l’AQMI, entre le climat insurrectionnel des banlieues et la réislamisation des populations d’origine africaine, entre les nocences des petites brutes et des caïds et la djihad en faveur du voile et de la burka, entre la campagne de victimisation islamophobe et la frappe financière déployée par le Qatar, jusqu’au soutien par les pétromonarchies des salafistes et des Frères musulmans ?

Les offensives au Mali, au Tchad, en Centrafrique, au Niger se font dans la zone d’influence française, suite à l’implosion tribale de la Libye provoquée par Sarkozy et son ange noir Lévy, suivi du retour de la charia. Hollande en chef de guerre nous fait songer au Guy Mollet égaré entre tiers-mondisme et jusqu’au-boutisme.

L’avancée du mahométisme en Côte d’Ivoire, au Sénégal, au Nigeria, au Soudan montre la puissance irrésistible de cette poussée. Les États-Unis et nos voisins européens sont imprudents de faire confiance à la France pour l’endiguer. La menace est telle que l’Angola, jaloux de ses succès à l’autre bout du continent, interdit l’islam et qu’Erdoğan va prêcher le multiculturalisme auprès des Turcs d’Allemagne et des Balkans.

Les trois questions que les médias ne poseront pas :

>> Peut-on assimiler un islam par essence sectaire et dominateur, si différent des traditions européennes ?

>> Peut-il s’accepter en religion minoritaire alors qu’il n’en a jamais été ainsi ailleurs ?

>> Sachant qu’une société implose à un seuil de 30 % de culture minoritaire et que nos sensibles représentent déjà un quart de la jeunesse française (60 % en Île-de-France), à quand la guerre civile ?

sourcelink

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
18 décembre 2013 09:43

Hebergeur d'image

L’ensemble de rapports commandés par le premier ministre en vue de refonder les politiques d’intégration méritent qu’on en débatte. Cinq volets en tout, souvent pilotés par des hauts fonctionnaires ou des membres de la société civile, qui citent parfois des auteurs universalistes, mais assez souvent des sociologues militants aux Indigènes de la République. Un mouvement clairement en guerre contre le modèle républicain. [...]

Décidément féru d’anglais, le rapport propose aussi de créer un délit de « harcèlement racial » et non raciste. Quitte à laisser penser que les races existent et donc à réactiver les catégories racistes au lieu de les déconstruire.

Pour être clair, ce rapport s’inscrit dans la ligne idéologique du droit à la différence plutôt qu’à l’indifférence, de la diversité plutôt que l’égalité, dans la ligne multiculturalisme plutôt que républicaineIl se résume beaucoup à louer sur tous les tons les différences culturelles. Ce qui ne coûte pas cher, reste au mieux incantatoire et favorise au pire plutôt ce qui divise que ce qui rassemble. [...]

Le rapport « mobilité », piloté par Fabrice Dhume et Khalid Hamdani, est peut-être le plus intéressant, et en même temps celui qui sème la tempête en proposant de supprimer les lois sur les signes religieux, dont le voile, en la qualifiant de « discriminatoire ».

Ce qui condamne d’autres aspects plus intéressants du rapport. Comme une autre proposition, plus compréhensible, visant à permettre aux mères voilées d’accompagner les sorties scolaires. Ou encore la dénonciation, très juste, d’une orientation scolaire très inégale, qui cible et freine les enfants d’immigrés. Des constats justes gâchés par la démagogie contre la laïcité. [...]

Jean-François Copé est de mauvaise foi quand il feint d’attribuer à la gauche le monopole de la tentation électoraliste et communautariste, alors que ce n’est pas la ligne du gouvernement que Nicolas Sarkozy en a été le champion toutes catégories. Son Commissaire à la diversité, Yazid Sabeg, produisait des rapports ayant la même tonalité. [...]

Huffington Post

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
18 décembre 2013 02:11

Les naturalisations en Europe... La France en tête !

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
18 décembre 2013 01:09

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Lu sur le site de Matignon :

"Les personnalités qualifiées qui ont présidé ces groupes de travail ont remis leurs relevés de conclusion au Premier ministre, qui salue la grande qualité de ces travaux et remercie l’ensemble des personnes qui y ont contribué. Leurs préconisations serviront de base au travail que le gouvernement engage désormais, pour définir les grands axes de la nouvelle politique d’intégration de notre pays, qui sera annoncée d’ici la fin de l’année.

Lire notre article "Refondation de la politique d’intégration"

 

Le fichier à télécharger contient les rapports : "Faire société commune", "Habitat", "Protection sociale", "Connaissance reconnaissance", "Mobilités sociales"."

 

(Télécharger le rapport sur le site de Matignon)

 

Europe1 qualifie le rapport de "choc" et relève les énormités suivantes :

 

"L'abandon du terme "intégration". C'est l'une des principales préconisations du rapport. Ce rapport préconise aussi la "reconnaissance de toutes les langues de manière identique". "La France doit assumer la dimension arabo-orientale de son identité", expliquent les experts qui recommandent également de "valoriser l'enseignement de l'arabe" et de "proposer l'enseignement dès le collège d'une langue africaine". Autre mesure phare de ce rapport, le voile à l'école. Le sujet pourrait revenir sur la table en 2014 puisquece rapport préconise tout simplement l'abandon de l'interdiction du voile pour les élèves.


Un "nouveau Panthéon" et des nouvelles rues. Autres modifications souhaitées par les auteurs du rapport, un "nouveau Panthéon". "L'histoire enseignée se réfère à des figures incarnées qui demeurent très largement des 'grands hommes' blancs et hétérosexuels. 

 Il y a donc un enjeu fort à faire évoluer le 'panthéon' des figures censées incarner les grands mouvements, les époques et les dynamiques plurielles de la société". Dans toute cette série de mesures, on retiendra également la création de "nouvelles rues et places de villes et de villages" en écho avec cette histoire des migrations."

Cette volonté d'institutionnaliser le remplacement de population et de dynamiter notre identité millénaire  n'étonnera pas nos lecteurs, ils savent que Jean-Marc Ayrault fit voter  en tant que maire de Nantes (2009) une subvention de 200 000 euros pour la mosquée des islamistes de l'UOIF.

 

Observatoire de l'islamisation. 13 décembre 2013.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
16 décembre 2013 21:42

Aymeric Chauprade évoque le «choc des civilisations» et le rôle de l’UE dans «l’islamisation de l’Europe».

C’est donc terrible à dire, mais je pense que si le monde musulman rattrapait l’Occident en puissance, nous connaîtrions un enfer bien pire que celui que nos expéditions guerrières font subir épisodiquement aux peuples musulmans.

Le choc des civilisations, il y a ceux qui en font un fonds de commerce, ceux qui le redoutent, sans oublier ceux qui le suscitent. Où vous situez-vous dans cette béchamel ?

Dans aucun de ces camps. Je suis un réaliste. La réalité historique s’impose à moi, c’est tout et je n’ai pas à la refaire à mon goût. Et l’histoire dans la longue durée, c’est le choc des civilisations et des peuples. Comment nier d’ailleurs le choc multiséculaire entre l’Occident et l’islam ? Bien évidemment, ce choc est à nuancer par le jeu des nations, lesquelles ont pu faire des choix contradictoires. […]

Les prétendus printemps arabes ne se sont pas faits pour installer la démocratie occidentale. Ils sont l’expression de la réislamisation du monde arabe. Cette révolte va des Frères musulmans à Al-Qaïda, de l’expression politique à l’expression terroriste.

Or, nous serons obligés d’en tenir compte, dans les années à venir, d’autant plus que la démographie sera largement à l’avantage de la rive sud de la Méditerranée. Malheureusement, parce que l’Européen est un oublieux de l’histoire, il laisse progressivement l’islam se rapprocher de lui en matière de capacités militaires. […]

En imposant le modèle du multiculturalisme au détriment de l’assimilation, l’Union européenne se révèle être la meilleure alliée de l’islamisation. C’est la raison pour laquelle il est impossible de combattre l’islamisation de l’Europe si l’on ne libère pas celle-ci de l’Union européenne.

Ce serait une terrible revanche de l’histoire. Je ne le souhaite pas, mais ce n’est pas pour autant que je soutiens des guerres inutiles dans le monde musulman. […]

Bvoltaire

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
16 décembre 2013 02:00

Fatima_sur_le_voile

Au début de la semaine, Fatima Houda-Pépin affirmait que ce sont les intégristes musulmans qui ont instrumentalisé le voile comme un symbole religieux. Suite à cette déclaration, Richard Martineau a écrit qu’il ne comprenait pas sa position sur la Charte de la laïcité. 

S'il y a une chose que l’on ne peut reprocher à Mme Houda-Pépin, c’est de manquer de cohérence dans le combat qu’elle mène contre la charia depuis la fin des années 1980. Pour comprendre sa position actuelle, il faut rappeler deux faits : elle est liée par la discipline de son parti, et elle est musulmane. Fatima a toujours dit 'non' à l'islam politique, à ce projet promu par les intrégristes et qui consiste à implanter la loi islamique, petit à petit.

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Pour elle, le voile n’est pas un symbole religieux, c'est un petit tissu de charia

Oh, et aux partisans de la Charte qui lui reprochent de demeurer au sein du Parti libéral, je réponds : pensez-y deux minutes, si ce Parti venait à prendre le pouvoir, vous serez certainement rassurés de la savoir active au sein du gouvernement, ne serait-ce que pour freiner les élans certifiés-halal d'un dhimmi pro-tchador comme Philippe Couillard. 

Fatima_maroc

Biographie

Née à Meknès (Maroc), le 26 décembre 1951, fille de Meziane Houda, agriculteur, et de Rquia Belhaj, commerçante.

Obtint un baccalauréat en commerce au Lycée Al Khansa de Casablanca (Maroc) en 1972, un baccalauréat en science politique à l'Université Laval en 1976, une maîtrise en relations internationales à l'Université d'Ottawa en 1977 et une maîtrise en bibliothéconomie-sciences de l'information à l'Université McGill en 1981. Compléta une scolarité de doctorat en politique internationale à l'Université de Montréal en 1982. (http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/houda-pepin-fatima-61/biographie.html)

 

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Son père décéda alors qu'elle était toute petite; sa mère prit la direction d'un commerce. «Elle fut mon modèle.» [La Presse, Nouvelles générales, dimanche 12 avril 1992, p. B3.]
Elle fit des études bilingues (français et arabe) à l'école publique à Casablanca; et étudia l'islam à l'école coranique.

Elle avait 24 ans lorsqu'elle arriva au Québec, munie d'une bourse d'études, et accompagnée d'un Québécois rencontré au Maroc.
Ici, elle obtint un baccalauréat en science politique à l'université Laval, une maîtrise en sciences de l'information à l'université McGill, une maîtrise en relations internationales à l'université d'Ottawa et un doctorat en relations internationales à l'université de Montréal.

Fatima_centre

Basé à Montréal, ce Centre comptait 260 membres en 1992, et disposait alors d'un budget annuel d'environ 120 000$, provenant surtout de fonds gouvernementaux. «Initialement, on faisait des activités de sensibilisation pour combler un besoin d'information sur le Maghreb et les Maghrébins.» ["Les barons ethniques", Richard Hétu & Suzanne Colpron, La Presse, samedi 6 mars 1993, p. A6]

En tant que présidente de ce Centre, Fatima reçut la visite de nombreuses femmes québécoises qui souhaitaient épouser des hommes musulmans, et de nombreuses musulmanes vivant à Montréal qui se plaignaient de vivre sous la charia plutôt que sous les lois québécoises. C'est ainsi qu'elle commença à militer contre les avancées de la charia au Québec. Depuis lors, elle a pris position chaque fois que l'intégrisme islamique s'est pointé la barbe.

On l'a entendue à plusieurs occasions : après la fatwa de l'ayatollah Khomeini contre Salman Rushdie en 1989 ; lors de l'émergence électorale du Front islamique du salut en Algérie en 1990 ; pendant la Première guerre du Golfe ; quand on a appris que l'École musulmane de Montréal imposait le hijab à des enseignantes non-musulmanes ; et lorsque Québec a commissioné une recherche sur un Conseil de la charia établi à Montréal en 1994.

En 2005, Fatima a réussi l'exploit de rallier tous les députés de l'Assemblée nationale du Québec en faveur d'une motion contre l'instauration de tribunaux régis par la charia.

FATIMA_ANTI_CHARIA


Depuis le début des années 1990, Fatima combat courageusement des organisations islamistes telles que le Conseil musulman de Montréal qui tentent de profiter des protections offertes aux minorités par le Canada et le Québec pour faire avancer la charia et promouvoir le symbole par excellence de l'islamisme: le voile.

Merci, Fatima!

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
15 décembre 2013 01:16
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Un des sujets fondamentaux est donc la question de la langue arabe
au regard de notre histoire commune de colonisation et de décolonisation. La France devrait assumer la dimension « arabe-orientale » de son identité. Il faudrait donc valoriser l’enseignement de l’arabe, assuré par l’Education Nationale au même titre que les autres langues en l’introduisant dans les meilleures écoles et lycées sur tout le territoire français

Rapport Connaissance et reconnaissance page 36
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Il pourrait aussi être proposé l’enseignement dès le collège d’une langue africaine, par exemple le bambara ou le dioula ou le lingala ou même le swahil. Il est essentiel de rappeler que les langues de France sont : la variété dialectale de l’arabe (arabe maghrébin), le berbère, le yiddish, l’arménien occidental, le judéo-espagnol et le romani. 
Rapport Connaissance et reconnaissance page 36

Le rapport décomposé en cinq volets est à télécharger sur gouvernement.fr (identité des rédacteurs en bas de notre article).
Rappel. Publié le 15 octobre sur Défrancisation : Le gouvernement ne veut plus entendre parler d’« intégration » ou d’« assimilation »

Le rapport conseille également l’apprentissage d’une langue africaine à l’école et d’autoriser le voile dans les établissements scolaires.

 

Thierry Tuot remet son rapport à Jean-Marc Ayrault

Comment évoluer vers ce «Nous inclusif et solidaire» mis en avant dans les cinq volets de ce rapport ?

«L’enjeu de la politique à mener, écrivent les experts de façon fort tortueuse, réside dans le fait de se doter d’un “projet de société” inscrivant la France dans un processus reconnaissant l’atout que représentent sa diversité culturelle et les apports multiples dont  elle veut être le creuset et dans un processus de réduction des inégalités sociales et de solidarité nationale envers les catégories sociales les plus précaires, les plus victimes de la mondialisation économique.» À coup de «vivre ensemble égalitaire», de «changement de paradigme», de «production de possibles», tout est mis en place pour «faire de l’en commun». [1]


(…) Entre leurs mains, les ministres auront un rapport en cinq volets, qui stigmatise «cette injonction à l’intégration». «On veut changer la manière d’aborder l’intégration, explique-t-on à Matignon. On s’oriente vers une politique fortement ancrée sur l’égalité des droits et la lutte contre les discriminations». (…)

«Refonder notre politique d’intégration suppose de répondre à l’attente des personnes immigrées et de leurs descendants: être considéré comme n’importe quel Français», était-il précisé dans la lettre de mission des «personnalités qualifiées» choisies pour présider les groupes de travail. «Une telle démarche ne peut réussir qu’à la condition d’admettre que la richesse de l’héritage légué par les migrants au fil des âges fait partie de l’identité française.» (…)

«Symboliquement, l’abandon du terme [intégration] peut constituer un signal fort pour celles et ceux qui sont soumis à cette injonction au quotidien et à tort», analysent les experts missionnés par le gouvernement. Mais le «changement de mot» n’est pas suffisant: il doit «s’accompagner d’une transformation du sens de l’action et de l’intervention publique qui soit visible», exhorte le rapport. Il s’agira donc, désormais, de «faire France en reconnaissant la richesse des identités multiples». (…)

Autorisation du voile à l’école, création d’un «délit de harcèlement racial» et d’une «Cour des comptes de l’égalité», ces propositions détonantes vont-elles être reprises par le gouvernement? Le premier ministre, en tout cas, «salue la grande qualité» de ces travaux. [2]

 

Source : Le Figaro, 1 et 2

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
12 décembre 2013 02:55

Qui a peur de Malika Sorel-Sutter ? Les médias, assurément, qui lui ménagent un temps de parole inversement proportionnel à l’intérêt grandissant que les Français portent aux problèmes liés à notre immigration, majoritairement musulmane.

Elle était invitée au « Grand Soir 3 », le 27 novembre, suite aux rebondissements judiciaires dans l’affaire de la crèche Baby Loup.

Que cette femme remarquable – qui fut membre du Haut Conseil à l’intégration – ait été conviée à venir s’exprimer sur une grande chaîne publique en dit long sur le malaise qu’engendre, dans notre société, le voile islamique sous toutes ses formes.

Créé en 1989 par Michel Rocard, le Haut Conseil à l’intégration a été dissous par François Hollande. Et comme la nature a horreur du vide, on s’est empressé de le remplacer par un Observatoire de la laïcité. Conseiller ou observer, that is the question !

Exit, donc, Malika Sorel-Sutter, celle-là même qui rappelle que « la loi de 1905 sur la laïcité n’a pas été rédigée pour les musulmans ». Et de citer l’islamologue Abdelwahab Meddeb, entendu, en novembre 2009, devant la Commission parlementaire sur la burqa :

Il n’y a pas de différence de nature ni de structure mais de degré et d’intensité entre burqa et hijâb, lequel est rien qu’en lui-même une atteinte au principe de l’égalité et de la dignité partagées entre les sexes.

Malika Sorel-Sutter rappelle également que le voile existait déjà dans les sociétés pré-islamiques. Le Conseil de l’Europe n’a-t-il pas conclu que cet attribut n’est pas une nécessité de l’islam ?

Exprimant ensuite son inquiétude à propos de certaines affirmations selon lesquelles « toutes les langues se valent », elle met en garde contre un rapport qui mijoterait sur le bureau du Premier ministre. Interrompue par son interviewer, Malika Sorel-Sutter n’a malheureusement pas eu le temps d’en dire plus.

Ne suffit-il pas que l’on enseigne neuf langues — et cultures — d’origine dans les écoles primaires de la République dans le cadre d’accords bilatéraux qui s’appuient sur une directive européenne du 25 juillet 1977 visant la scolarisation des enfants de travailleurs migrants ? Est-ce bien raisonnable à l’heure où tant d’enfants scolarisés sont aux prises avec des difficultés d’écriture, de lecture et de compréhension du français ?

Malika Sorel-Sutter ne cesse, depuis des années, de dénoncer l’intrusion massive et destructrice, par le biais d’une immigration sans intégration, d’une culture radicalement opposée à la nôtre…

Boulevard Voltaire

Revoir :

Malika Sorel dénonce le projet de communautarisation de la France par Hollande (vidéo)

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
11 décembre 2013 02:40

Voici le résumé d’un texte fort : l’intervention de Jean Violette sur antiracisme et immigration
à l’université du Club de l’Horloge des 23 et 24 novembre 2013, consacrée au « Cosmopolitisme,
idéologie dominante mondiale ». Le texte s’ouvre par l’étude pertinente de l’opposition entre
antiracisme identitaire (qui respecte la diversité des peuples) et antiracisme égalitaire
 (qui veut imposerle magma mondial par la coercition).

(…)

-L’antiracisme différentialiste est en phase avec le XXIe siècle : il tire les conséquences d’un monde divers où les Européens, de plus en plus minoritaires, ne peuvent plus prétendre incarner le « one best way » de l’humanité et encore moins l’imposer.

-L’antiracisme égalitaire est un résidu des lubies du XIXe siècle et un ethnocentrisme camouflé. L’antiracisme égalitaire n’est qu’une nouvelle version de la prétention occidentale – précisément anglo-saxonne – à incarner le stade suprême du développement humain.

(…) 

-L’antiracisme identitaire reste une valeur ayant un contenu universel : le respect de l’identité, de la culture et de la souveraineté de chaque peuple.

-L’antiracisme égalitaire n’est pas une valeur mais une idéologie, c’est-à-dire un discours à finalité politique. C’est l’idéologie de ceux qui veulent soumettre le monde à leur diktat et à leurs intérêts.

(…) Polémia

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
10 décembre 2013 02:57

Immigration : les préfets contraint de loger les Roms avec nos impôts

 

PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation) – La logique de nos gouvernants est décidément imparable !
En août 2012, Manuel Valls impose les démantèlements de camps insalubres des Roms. Mais il impose également « un diagnostic social » l’obligation de proposer des « solutions d’hébergement et d’insertion aux populations concernées. »

 

Si l’on traduit ces formules de novlangue, cela donne : chaque Rom expulsé de sa caravane jugée insalubre sera logé aux frais de l’Etat, donc à vos frais à l’hôtel ou dans un logement social. Et si les préfets ne leur trouvent pas rapidement une solution ? Ils paieront 75 € par jour et par personne d’astreinte. Le préfet du Rhône a ainsi été condamné pour ne pas avoir tout de suite relogé quelques familles Roms il y a quelques jours.

C’est le serpent qui se mord la queue :

Les campements Roms sont tous jugés insalubres et le gouvernement a deux solutions : soit il verse 75 € par jour et par personne aux Roms, soit il leur fournit l’hôtel… dans tous les cas, les populations Roms vivant en France touchent un joli pactole. Qu’on ne s’étonne donc pas du trou abyssal de nos finances…

A ce propos après une hausse très importante des prélèvements obligatoires entre 2012 et 2013, le collègue de Manuel Valls, le ministre de l’Economie Pierre Moscovici, a annoncé hier une nouvelle hausse de ces prélèvements en 2014, de 6 milliards d’euros, pour l’instant…

Crédit photo : DR.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
9 décembre 2013 02:53

[...] Au terme d’une enquête de plusieurs mois, la police a pu arrêter récemment un chef de réseau (appelons-le Simon), son adjoint  et une dizaine de faux pères ayant à leur actif la bagatelle de deux cents enfants. Voilà qui devrait leur valoir une mention dans le livre Guiness des records s’il ne s’agissait en réalité d’une escroquerie pour obtenir des titres de séjour et quelques avantages sociaux. En fait, tout ce petit monde avait mis au point un système de reconnaissances  frauduleuses  de paternité à but migratoire.

Le mécanisme, assez simple, au fond, mais qui nécessite une bonne connaissance des failles de notre système juridique et un peu de culot, fonctionnait de la manière suivante : Simon, ressortissant d’un pays africain anglophone, rangé de la petite délinquance, dispose d’un portefeuille de mâles originaires eux-aussi du continent noir et ayant acquis la nationalité française. A l’autre bout de la chaine, on trouve des candidates au séjour en France, mères célibataires, femmes sur le point d’accoucher, prostituées… Ces femmes désemparées contactent Simon car son savoir-faire est de notoriété publique, l’information circule par le bouche à oreille.

Le talent de Simon, c’est moyennant une bonne commission -  la mise en relation. Il constitue un tandem ou un couple formé d’un faux père et d’une femme sans papiers qui se rendent ensemble dans une mairie en région. La femme prend à sa charge les frais de déplacement et de séjour de son accompagnateur. Ils se présentent ensuite au service de l’état-civil dans n’importe quelle mairie (pour ces déclarations survenant de manière tardive et rétroactive, il n’est pas nécessaire de se rendre à la mairie de la commune où a eu lieu l’accouchement), et ils amènent avec eux l’enfant censé être le leur. En tout cas, l’homme affirme en être le père.

Cette reconnaissance de complaisance permet à la femme de devenir  officiellement la mère d’un enfant né de père français (et, le plus souvent, en France) ; par voie de conséquence, la manne des prestations sociales commence, sans discernement, à se déverser : CMU, aide sociale, allocations familiales et de parent isolé (car, en réalité, le couple de circonstance ne s’engage pas dans une véritable communauté de vie), etc.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, la reconnaissance d’un enfant peut donc se faire par voie de déclaration, dans n’importe quelle commune (ou même dans un consulat de France à l’étranger) sur simple présentation des pièces d’identité. [...]

Cette fraude à but migratoire se pratique sans doute depuis pas mal de temps et se révèle difficile à détecter : en France,  les services de l’état-civil ne sont pas inter-connectés, sauf  entre mairies d’arrondissement, et les officiers d’état-civil ne disposent pas des outils juridiques appropriés. Même si la démarche du couple paraît suspecte, il n’est guère possible de s’y opposer.

D’ailleurs, la loi a été élaborée à une époque où la pression migratoire n’était pas ce qu’elle est devenue et de toute façon, l’administration française n’est pas habitée par la culture du dépôt de plainte ; les employés des services publics et des organismes sociaux répugnent à se faire les auxiliaires des « flics » ; ce qu’on appelle dans le jargon administratif « l’identito-vigilance » fait cruellement défaut. 

On observe, par exemple,  dans certaines  caisses de sécurité sociale des comportements analogues qui offrent des brèches ou entr’ouvrent des portes pour les arnaqueurs de tout  poil… D’où la complexité de la tâche à laquelle se trouve confrontée la police qui s’efforce de faire son travail dans des circonstances difficiles et qui mériterait d’être davantage soutenue par des administrations parfois trop bienveillantes, voire franchement laxistes. [...]

Atlantico

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
9 décembre 2013 02:06

Les Musulmans installés en Belgique sont considérés comme étant une menace pour la «culture et les usages» du pays par 40% des Flamands, d’après une étude réalisée par le Moniteur flamand de Migration et d’Intégration, selon laquelle 47% des personnes interrogées pensent que les immigrés «viennent profiter de notre sécurité sociale».

L’étude nous apprend aussi que moins de trois Flamands sur dix affirment discuter avec des personnes étrangères au moins une fois par mois, 45% ont manifesté leur volonté de vouloir vivre dans un quartier habité uniquement par des Belges de souche, et 38% préfèrent habiter un quartier composé de «plus de personnes d’origine belge qu’étrangère».

Si la moitié des Flamands estiment que la présence de plusieurs cultures est un enrichissement pour la société, près de 50% de personnes interrogées préfèrent fréquenter le moins possible des personnes d’origine étrangère, précise l’étude révélée par le quotidien De Morgen.

Seule une minorité des Flamands interrogés affirme côtoyer régulièrement des personnes d’origine étrangère, et 51% de Flamands déclarent n’avoir aucun contact avec les personnes étrangères habitant leur quartier. […]

Jozef De Witte, directeur du Centre pour l’égalité des chances et la lutte contre le racisme cité par le quotidien belge « Le Vif », estime que le constat dressé par cette enquête révèle en fait l’échec de la politique de migration et d’intégration en Flandre.

bladi

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
7 décembre 2013 02:54

C’est le député UMP du Loiret Claude de Ganay qui a levé le lièvre : le projet de loi de Cécile Duflot (photo) pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (Alur) permettra aux immigrés clandestins non européens d’obtenir une attestation d’élection de domicile permettant de faire valoir le droit opposable au logement.

À l’origine de ce qui constitue, selon le député, « une bombe économique et sociale » aux« conséquences dramatiques sur l’engorgement des demandes de logements sociaux », un amendement « adopté en catimini », le 14 octobre, au Sénat, sur proposition de l’écologiste Aline Archimbaud, élargissant les possibilités de domiciliation aux droits civils (dont le droit au logement), alors que le texte de Cécile Duflot prévoyait de le limiter aux droits communs (aide juridictionnelle, etc.).

Valeurs Actuelles

A relire : L’hébergement d’urgence : un tsunami socio économique assuré. 58% des hébergés sont étrangers hors UE Màj

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L’hébergement d’urgence : un tsunami socio économique assuré. 58% des hébergés sont étrangers hors UE en 2012 pour un coût de 800 millions d'euros sachant qu'en IDF 80% des relogés sont étrangers. Avec cette nouvelle loi Duflot la population étrangère qui seront bénéficiaires du droit au logement social va doubler, le coût aussi.

La France, sur endettée avec un taux d’imposition les plus hauts du monde et 6 millions de chômeurs, vient de garantir -en plus des soins gratuits- l’accès au logement pour tous les étrangers même clandestins. Je ne parlerais pas de la volonté de naturalisation et de donner le droit de vote du gouvernement.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
7 décembre 2013 02:24

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Directrice de recherche à l'Institut national d'études démographiques, Michèle Tribalat a consacré ses deux derniers ouvrages à contrer la désinformation sur la question migratoire en France.

Dans son livre "Assimilation, la fin du modèle français" (édition du Toucan, septembre 2013) elle revient sur un article type du quotidien Le Monde cherchant à minimiser les chiffres pour ne pas donner raison au FN, page 54 :

"La France connaîtrait une période de faible intensité migratoire par rapport à ce qu'elle a connu après la Deuxième Guerre mondiale. En gros, depuis la suspension du recrutement des travailleurs, l'immigration serait restée très modérée et n'aurait, en tout cas, rien à voir avec ce que l'on a pu observer pendant les Trente Glorieuses. Un article du Monde du 4 décembre 2009 annonçait même une stabilisation de l'immigration étrangère en France (1).

Sur quoi se fondait donc Le Monde pour asséner un tel constat? Sur l'évolution du nombre d'immigrés entre 1982 et 2006 qui avait gagné un million de personnes (soit un accroissement de 25%) ce qui, pour Le Monde, reflétait une stabilisation, alors que, dans le même article, il classait la Tunisie dans les pays où l'immigration était en baisse avec un recul de 0,5% entre 1982 et 1999! Car lorsqu'on entrait un peu dans le détail et regardait les histogrammes par pays d'origine produits par Le Monde, on constatait que la dernière année était 1999, alors que les données de 2006 étaient déjà établies.

 

Cette présentation très partiale, marquée par l'amateurisme, conduisait le lecteur confiant à croire que nous étions effectivement dans une période de basse intensité des flux migratoires. Le Monde n'a probablement pas concocté ce récit en étant tout à fait conscient de ce qu'il faisait. Il a été victime de lui-même, de son envie de minimiser un phénomène dont il pense qu'il prend trop d'importance dans l'opinion publique, et des assurances allant dans le même sens qu'il a reçues de personnes censées en savoir un peu plus long que lui.

Pourtant, même un lecteur attentif n'avait pas besoin d'être très versé dans la statistique pour détecter les incohérences de cet article. Mais l'intelligence a du mal à se mettre en route lorsque des contrevérités sont proférées avec la plus belle assurance et avec l'aval d'experts reconnus.

L'idée selon laquelle l'immigration étrangère est faible et sans commune mesure avec la vague migratoire de l'après-guerre est donc devenue un lieu commun, une vérité dont il faut convaincre l'opinion publique. La France serait sortie de l'histoire migratoire, comme l'affirme un récent rapport du ministère de l'Intérieur"

(1) Anne Chemin, "Le nouveau visage de la France, terre d'immigration", Le Monde, 4 décembre 2009

 En complément:

Michele-Tribalat-commission-parlementaire-droit-nationalité.jpg

Audition de Michèle Tribalat, le 19 janvier 2011, par la commission parlementaire « droit à la nationalité »:

A partir de la 37e minute, une belle séquence où, au-delà des explications peu rassurantes de Michèle Tribalat, Manuel Valls semble prendre conscience de toutes les conséquences que ces projections induisent :

Ce qui est frappant dans cette étude, (…) c’est le fait (…) qu’un certain nombre de ces villes seront très largement dominées par des citoyens d’origine étrangère subsaharienne et maghrébine et à confession musulmane.(40:30) Manuel Valls.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
7 décembre 2013 02:00

557113-social-immigration-roms

Selon la commissaire européenne Viviane Reding, Bruxelles met beaucoup d’argent sur la table pour aider à l’intégration des Roms, que les Etats n’utilisent pas. Qu’en est-il vraiment ?

 

Après plusieurs jours de fièvre politico-médiatique, l’emballement autour des Roms de France est retombé. Mais les problèmes de fond demeurent, notamment ceux de la politique d’intégration. En pleine polémique avec Manuel Valls, Viviane Reding, commissaire européenne à la Justice, avait pointé le peu d’entrain de la France à utiliser l’argent communautaire à disposition.

 

Selon Reding, Bruxelles mettrait 50 milliards d’euros sur la table pour l’intégration des populations roms partout en Europe… pour rien. Les fonds ne seraient tout simplement pas dépensés. «Je me demande pourquoi»s’était interrogée la commissaire luxembourgeoise.

 

Comme souvent, les choses sont un peu plus compliquées. Les 50 milliards d’euros dont parle Viviane Reding ne sont évidemment pas tous destinés aux Roms. La somme correspond au montant annuel total des fonds structurels versés par l’Union à tous les pays membres (soit 347 milliards d’euros sur la période 2007-2013). La France en perçoit une part loin d’être négligeable, mais dont l’utilisation n’est pas optimale. Éclairage.

 

Combien reçoit la France ?

Le budget européen 2007-2013 prévoyait plus de 23 milliards d’euros pour la France sur la période, répartis sur trois programmes : le Fonds social européen (FSE), le Fonds européen de développement régional (Feder) et le Fonds de cohésion.

Parmi ces fonds, seule une minorité peut effectivement financer des programmes d’aide aux Roms, au titre de l’inclusion sociale et de la lutte contre les discriminations. Le FSE a ainsi alloué 1,669 milliard d’euros entre 2007 et 2013 à cet objectif.

 

Comptabiliser précisément ce qui a été alloué aux Roms n’est pas aisé, la France ne pratiquant pas de statistiques ethniques. Il faut donc se contenter d’un recensement par mots-clés effectué sur le site des bénéficiaires du FSE par la commission européenne.

Bilan : depuis 2007, 53 projets d’insertion dirigés vers les gens du voyage ou vivant en campements (donc pas uniquement des Roms) ont été cofinancés par le FSE, un engagement total de… 4 millions d’euros sur une enveloppe globale de 1,669 milliard.

Plus inquiétant, selon la commission, uniquement 900 millions d’euros de dépenses avaient été déclarés par la France en juillet 2013. Autrement dit : il reste de la marge pour utiliser les fonds du FSE.


On peut supposer que la même faiblesse touche le Feder, qui a mobilisé 10 milliards d’euros pour la France entre 2007 et 2013. Lui aussi permet de lever des fonds pour des projets pouvant toucher les Roms, au titre – notamment – du logement pour les communautés marginalisées.

Pour cet objectif, 15,8 millions d’euros ont été alloués à douze régions françaises sur la période. Ces sommes, si elles ne vont pas intégralement aux Roms, permettent néanmoins de financer des projets ambitieux, tel que le village d’insertion d’Orly, qui a reçu une subvention du Feder de 250 000 euros.


Et ailleurs en Europe ?

La sous-utilisation des fonds européens n’est pas une spécialité française. «En Roumanie, la programmation Feder 2007-2013 n’a été consommée qu’à hauteur de 10 %, et 10 % à 20 % des crédits consommés, selon les programmes, font l’objet de sanctions pour irrégularité pour un montant d’environ 800 millions d’euros, explique un rapport interministériel de mai 2013.

 

Dans ces conditions, les programmes d’inclusion des populations Roms connaissent des difficultés de mise en oeuvre.» Mêmes faiblesses en Hongrie, où 40% des fonds sont dépensés, ou encore en Bulgarie (20%). Une précision tout de même : cet argent n’est pas perdu. Il retourne dans les caisses de Bruxelles, au titre de la règle du «dégagement d’office».

L’argent pour les Roms ne manque pourtant pas. Tous fonds mêlés, l’Union a mis sur la table 26,5 milliards d’euros au titre de l’inclusion sociale, entre 2007 et 2013. Le FSE a explicitement alloué 172 millions d’euros aux Roms, alors que le Feder prévoyait 16,8 milliards d’euros pour les infrastructures sociales.

 

Pourquoi ça ne marche pas ?

Dans un récent rapport parlementaire, les députés Karamanli (PS) et Quentin (UMP) reconnaissent que «les ressources ne manquent pas», mais qu’il existe des «problèmes de planification et de programmation ainsi que des lourdeurs administratives».

Autre obstacle : «Les réticences au niveau local.» Le sénateur Michel Billout (PS), qui a mené une mission d’information sur le sujet il y a quelques mois, développe : «Les dossiers de fonds européens sont complexes et lourds à monter. Sur le projet de village d’insertion d’Orly, les services du conseil général du Val-de-Marne avaient dû mobiliser six personnes pendant six mois pour monter le dossier

Le nécessaire co-financement des projets par les autorités locales – au moins un quart de l’investissement doit être mis sur la table par ce biais – est une autre limite. «C’est parfois encore trop, notamment pour certaines collectivités, qui sont exsangues financièrement.» 

Troisième problème : «Le temps nécessaire pour que les fonds soient débloqués.» Pour Michel Billout, «certaines organisations ne peuvent se permettre d’avancer l’argent, sous peine de se mettre en faillite. En France, les associations expliquent qu’elles ne font jamais appel aux fonds européens, ça serait suicidaire».

Dans le rapport interministériel de mai dernier, plusieurs propositions sont mises sur la table. «Si les crédits européens sont peu fréquemment appelés, c’est que les décisions et les financements des opérations sont le plus souvent envisagés au niveau départemental sans relais du niveau régional. Le dispositif régional permettra de neutraliser cet écueil et d’apporter une meilleure dynamique, avec un effet d’entraînement potentiel pour les élus.» 

Une idée reprise et développée par Michel Billout, qui propose de relayer les actions européennes par «des appels d’offres régionaux». Marietta Karamanli, députée socialiste de la Sarthe, met aussi la pression sur Bruxelles, dont elle fustige les «exigences bureaucratiques»«Il ne suffit pas, comme le fait Viviane Reding, de décréter que l’Europe donne de l’argent. Il faut des dispositifs d’évaluation.»

 
Source : Le Figaro

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
6 décembre 2013 22:16

Le code de déontologie commun à la police et à la gendarmerie entrera en vigueur le 1er janvier, en même temps que l’immatriculation sur leur uniforme, a annoncé vendredi le ministère de l’Intérieur.

« Discrétion, probité, discernement, impartialité »: le nouveau code de déontologie des forces de l’ordre, chantier de Manuel Valls pour les rapprocher de la population, qui préconise le vouvoiement et encadre les contrôles d’identité, sera effectif au 1er janvier en même temps que l’immatriculation sur leurs uniformes. La police et la gendarmerie « seront désormais dotées, à compter du 1er janvier 2014, d’un code de déontologie commun » – une première – « inscrit dans le Code de la sécurité intérieure » paru vendredi au Journal officiel, a annoncé l’Intérieur dans un communiqué.

Il entrera en fonction en même temps que le numéro d’identification qui sera apposé sur l’uniforme des policiers et des gendarmes…

Un chapitre entier du code est « consacré aux relations entre le service public et les citoyens ». « Pour la première fois, le texte encadre juridiquement les palpations de sécurité conduites à l’occasion de contrôles d’identité », insiste la place Beauvau à propos de ce sujet très sensible. Les contrôles sont souvent mal ressentis par les intéressés, en particulier s’ils sont effectués « au faciès » comme le reprochent parfois associations et partis de gauche.

Le texte, consulté par l’AFP, compte 33 articles. Il rappelle les principes de « probité », d’ »obéissance » et du « droit de réserve » auxquels sont soumis  policiers et gendarmes placés sous l’autorité de l’Intérieur. Il stipule que le « contrôle d’identité (…) ne se fonde sur aucune caractéristique physique ou aucun signe distinctif pour déterminer les personnes à contrôler sauf s’il dispose d’un signalement précis motivant le contrôle ». La « palpation de sécurité » est « réservée aux cas » pour lesquels policiers et gendarmes la considèrent « nécessaire à la garantie de (leur) sécurité » ou « celle d’autrui ». Elle doit être « pratiquée à l’abri du regard du public » chaque fois que c’est possible…

TF1

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Immigration
6 décembre 2013 01:53

Une centaine de rennes ont été abattus suivant le rite halal. Une première dans ce pays scandinave.

En coopération avec le Conseil islamique de Norvège, une organisation regroupant de nombreux musulmans vivant dans le royaume nordique, Vilteksperten, un abattoir spécialisé dans la viande sauvage, a abattu 105 rennes selon le rite halal.

Les musulmans de Norvège devraient constituer la majorité de la nouvelle clientèle attendue, mais la viande de renne pourrait aussi être servie dans des restaurants haut de gamme à Dubaï.

Ouest-France - Merci Elzear

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