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david MIEGE
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1 juin 2019 20:27

En France, les étrangers en situation irrégulière, les demandeurs d’asile, les réfugiés ou les titulaires d’une carte de séjour ont le droit à une aide médicale au même titre que les Français. Ces aides permettent une prise en charge financière ou un remboursement des frais de soins sous certaines conditions de ressources et de résidence.

[…]

L’Aide médicale d’État (AME)

Qu’est-ce que c’est ? L’AME permet de bénéficier de soins médicaux gratuits sans en avancer les frais. D’après la loi, aucun médecin en France ne peut refuser de recevoir des patients bénéficiaires de l’AME, mais des cas de refus ont déjà été observés. Si un professionnel de santé refuse de vous recevoir parce-que vous êtes bénéficiaire de l’AME, il peut faire l’objet d’un signalement.

[…]

Qui y a droit ? Les migrants en situation irrégulière peuvent bénéficier de l’AME, néanmoins ils doivent remplir deux conditions : ne pas avoir gagné plus de 800 euros par mois lors des 12 mois précédents la demande (pour une personne seule) et justifier d’une résidence fixe en France depuis trois mois minimum. Les mineurs et les personnes en situation de reconduite à la frontière dans un centre de rétention administrative (CRA) bénéficient quant à eux de l’AME sans aucune condition.

[…]

Couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C)

Qu’est-ce que c’est ? Lorsque la situation d’un migrant se régularise, celui-ci a le droit d’accéder à l’assurance maladie de la « Sécurité sociale ». La CMU-C fait office de mutuelle et permet de bénéficier d’une protection santé gratuite en complément de l’Assurance maladie. La CMU-C donne droit à une prise en charge médicale gratuite sans avancer les frais médicaux. De même que pour l’AME, légalement aucun médecin ne peut refuser de recevoir des patients bénéficiaires de la CMU-C.

[…]

Qui y a droit ? La CMU-C est attribuée aux personnes en situation régulière qui résident en France depuis plus de trois mois. Pour les demandeurs d’asile et les réfugiés, la durée de résidence en France peut être moindre. Dans tous les cas, seuls peuvent en bénéficier des personnes qui n’ont pas gagné plus de 800 euros par mois durant les 12 mois précédents la demande (pour une personne seule).

[…]

Les permanences d’accès aux soins de santé (PASS)

Qu’est-ce que c’est ? À Paris et partout en France, il existe des centres de santé, appelés PASS, situés dans les hôpitaux publics et destinés aux personnes sans aucune couverture de santé.

Qui y a droit ? Les bénéficiaires des PASS sont des Français ou des étrangers. Les migrants en situation irrégulière y ont aussi accès. Les PASS reçoivent également des personnes qui sont censé bénéficier d’une couverture santé, comme l’AME ou la CMU, mais dont le dossier est bloqué, en cours de renouvellement et qui pour des raisons diverses ont du mal à accéder au système classique.

[…]

Info Migrants

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science Immigration
28 février 2019 14:29

*On recherche des donneurs originaires d’Afrique et du Proche-Orient
*De nombreux migrants ne supportent pas le sang européen
*Des recherches sont en cours sur les particularités du sang dans les différentes ethnies


Elizabeth Y. de Mettmann [Rhénanie-du-Nord-Westphalie] appelle publiquement à l’aide. Son fils a une maladie du sang qui met sa vie en danger. Seul un don de cellules souches peut l’aider. Mais le sang européen provoque souvent chez les migrants et réfugiés d’Afrique ou des pays arabes une réaction de rejet avec de graves conséquences pour la santé pouvant aller jusqu’à la mort.

Le docteur Thomas Zeiler […] a lancé pour cette raison un projet de recherches de concert avec les hôpitaux universitaires de Düsseldorf et de Essen, ainsi qu’avec l’association Caritas. Il porte le nom de « Blustar.NRW » [NRW : initiales allemandes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie]. Sont recherchés des donneurs de sang et de cellules souches venant des pays africains, mais aussi du Proche et du Moyen-Orient, ainsi que de Turquie.

C’est justement avec des patients qui ont immigré ces dernières années qu’on rencontre des difficultés au niveau des soins. Dans le même temps, grâce à ce projet subventionné par l’Union européenne, les recherches doivent être poursuivies sur les propriétés différentes du sang et des cellules souches dans les différentes ethnies.

[…]

WDR

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
16 février 2019 19:54

Olivier Crenn, président de l’association Demain Verte et maraîcher bio a communiqué hier soir les résultats des dépistages de présence de glyphosate dans les urines effectués le 29 janvier à Laveyron (Drôme).

Ces 25 dépistages, les premiers du genre en Auvergne-Rhône-Alpes, s’inscrivent dans une démarche plus globale démarrée dans l’Ariège par des faucheurs volontaires.

« Le but, c’est de démontrer grâce à ces prélèvements qui ont lieu sous la surveillance d’un huissier qu’il y a une contamination généralisée de la population », déclarait fin janvier le militant.

Hier soir, une fois les résultats connus, il confirmait. « Le taux le plus élevé est 35 fois supérieur à la norme de glyphosate acceptée pour l’eau potable qui est de 0,1 nanogramme par litre. En ce qui me concerne, mon taux est de 0.23, soit deux fois et demi quasiment la norme acceptée.

Je veux comprendre comment c’est possible alors que je suis maraîcher bio et que je ne mange quasiment que ce que je cultive. Quant aux autres personnes qui se sont fait dépister, elles se sentent concernées par ce sujet et ce sont des personnes militantes qui font déjà attention à la qualité de leur nourriture. Cela pose une véritable question de santé publique. »

Vers un dépôt de plainte

Selon lui, plus de 400 dépistages ont déjà eu lieu dans toute la France et vont tous dans le même sens.

D’autres dépistages sont en cours, ou en projet. « Nous sommes en train de nous organiser. Un comité a été créé dans l’Isère, d’autres vont l’être à Montélimar, Romans, en s’appuyant sur le Mouvement des coquelicots. Par ailleurs, on veut aller faire une campagne de dépistage dans la biovallée, vers Crest, Die… Nous sommes en contact avec eux et ils semblent partants. »

La prochaine étape pour les personnes qui ont été dépistées sera le dépôt de plainte. « Nous allons prochainement saisir le procureur de la République de Valence, mais il y a de fortes chances, comme cela a été le cas ailleurs, pour qu’il se déclare incompétent et renvoie nos plaintes devant le pôle de santé publique du parquet de Paris. »

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
22 juin 2016 01:57

Les effets dramatiques de la pollution sur la santése confirment une fois de plus. La pollution de l'air due aux particules fines est responsable de 48 000 décès chaque année en France, dont plus de 34 000 seraient évitables, selon une étude rendue publique ce mardi.

 

Le poids sanitaire («fardeau») de cette pollution liée aux activités humaines (transports, industrie, chauffage avec des énergies fossiles comme le fuel, agriculture...) correspond à 9% de la mortalité en France continentale, selon l'étude d'impact de Santé Publique France, qui regroupe depuis début mai l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), l'Institut de veille sanitaire (InVS) et l'Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (Eprus). 

«Le fardeau de la pollution de l'air se situe au troisième rang derrière celui du tabac (78 000 morts) et de l'alcool (49 000 morts)», souligne le Pr François Bourdillon, directeur général de cet organisme public. L'étude française confirme notamment l'étude européenne Cafe (Clean air for Europe, soit Air pur en Europe, en français) de 2000 qui estimait à plus de 40 000 le nombre de décès liés à la pollution en France.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
31 mai 2016 01:19

Les chercheurs de l’étude, publiée sur le site Internal Medicine, JAMA, montrent clairement la relation entre religion et espérance de vie. « Les résultats indiquent que l’expérience religieuse est un facteur puissant,» explique le Dr Tyler J. Manderville, chercheur de l’ Université Harvard.

Pour les besoins de la recherche, Manderville et ses collègues ont recueilli des données, pendant 16 ans, sur 74.000 participants âgés de 30 à 55 ans. Les participants devaient dire combien de fois ils participaient à un service religieux dans une église catholique ou protestante. Au cours de l’étude, 13.573 patients sont morts, dont 2721 de maladies cardiaques et 4479 de cancer.

L’analyse a révélé que ceux qui ont assisté à des prières en public plus d’une fois par semaine avaient un risque réduit de décès par de 33% par rapport à ceux qui ne se rendent jamais à des prières communes. Les femmes qui ont participé à une prière publique sur une base hebdomadaire avaient un risque réduit de mourir de 26%, tandis que ceux qui ont participé à des services moins d’une fois par semaine avaient un risque réduit de 13%.

Les chercheurs ont inclus dans l’enquête un certain nombre de facteurs à risque comme l’hypertension, le diabète, la consommation d’alcool ou de tabac, l’état matrimonial ou encore le niveau d’éducation.

En outre, les résultats ont montré que participer à des cérémonies religieuses plus d’une fois par semaine réduit le risque d’arrêt cardiaque de 27% et de cancer de 21%.

Les prières et cérémonies religieuses donnent des messages d’espoir et de foi, ce qui augmente le niveau d’optimisme et contribue à réduire les taux de dépression – qui peut affecter à la fois le niveau de santé et le taux de mortalité. ...

Par Déborah Coen – JSSNews

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
10 novembre 2015 01:59

source CULTURE - Une équipe d'archéologues australiens à Chypre a découvert un théâtre datant du IIIe siècle avant J.C, la plus ancienne structure de la sorte jamais mise au jour sur l'île méditerranéenne, selon le département des antiquités.

"L'équipe australienne a découvert le plus vieux théâtre de Chypre: une structure utilisé pour (...) des spectacles pendant plus de six siècles et demi, de 300 avant J.C. jusqu'à sa destruction durant le tremblement de terre de l'an 365", a déclaré le Département des antiquités dans un communiqué publié vendredi 6 novembre.

Les fouilles ont été conduites par la Mission archéologique australienne de l'université de Sydney sur le site du théâtre gréco-romain de Nea Paphos (sud-ouest), classé au patrimoine mondial de l'Unesco. Les recherches ont révélé l'existence d'une route pavée romaine large d'environ 8 mètres, qui constituait la principale voie pour accéder au théâtre, a précisé le Département des antiquités.

La ville sacrée d'Aphrodite

"L'existence de cette route confirme aussi que (...) Nea Paphos a été construite selon une architecture hellénistique typique. La découverte de nombreux fragments de colonnes de granit sur l'emplacement du théâtre confirme l'importance de cette route pavée", explique le communiqué.

"Les colonnes en granit (provenant) de Troade (nord-ouest de la Turquie) sont connues parmi les colonnades méditerranéennes. En tant que capitale de Chypre à l'époque, il n'est donc pas surprenant que Nea Paphos ait été ornée de cette architecture romaine". Nea Paphos, la ville sacrée d'Aphrodite, se trouve sur le site archéologique de Paphos, qui abrite de nombreux vestiges de l'antiquité grecque, dont de célèbres mosaïques.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
31 octobre 2015 00:50

Une start up née au Tessin l’année dernière fabrique des machines capables d’extraire de l’eau potable de l’air que nous respirons, à un coût énergétique réduit. Une idée qui pourrait changer le monde et qui est déjà exportée sur plusieurs continents.

Le manque d’eau est une urgence planétaire, qui devrait s’accroître de manière alarmante dans un proche avenir. Selon les Nations Unies, 748 millions de personnes sont aujourd’hui privées d’accès à l’eau potable et 2,5 milliards n’ont pas d’installations sanitaires.

Le droit à l’eau

Reconnu comme découlant du droit à la vie affirmé par la Déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, le droit à l’eau et à l’assainissement a été déclaré droit fondamental par une résolution historique de l’Assemblée générale de l’ONU le 28 juillet 2010.

Selon l’ONU, 8 millions de personnes meurent chaque année de maladies dues à l’insécurité de leur approvisionnement en eau. Parmi elles, 1,5 million sont des enfants de moins de cinq ans. A ces chiffres, il faut encore ajouter 2,2 millions de décès dus à la contamination de l’eau.

L’OMS estime à 40 litres par jour la quantité minimale d’eau nécessaire pour satisfaire aux besoins vitaux. Dans les pays riches, la consommation moyenne par habitant est de 300 litres (425 aux Etats-Unis, 316 en Suisse), tandis que dans un pays pauvre comme Madagascar, elle est à peine de 10 litres.

Le Rapport 2015 sur le développement mondial de l’eau met en garde sur la réduction rapide des réserves mondiales d’eau. Aujourd’hui déjà, 20% des nappes phréatiques sont surexploitées et d’ici 15 ans, la Terre risque de devoir affronter une baisse de 40% de ses réserves d’eau douce.

Pour éviter les risques majeurs, l’ONU préconise de réduire d’urgence l’utilisation d’eau du secteur agricole, responsable de 70% de la consommation totale, et de l’industrie, dont la demande en eau devrait augmenter de 400% d’ici 2050.

Quant au coût de l’eau potable en bouteilles, il ne cesse d’augmenter, ce qui n’empêche pas ce marché de croître de plus de 10% par an. De 117 milliards de dollars en 2013, il est prévu qu’il atteigne 195 milliards en 2030.

Eau pure tirée de l’air

Parmi les inventions qui se sont succédées pour dessaler l’eau de mer ou pour purifier l’eau usée, la réponse qui pourrait résoudre le problème vient de Suisse. La Societé de l’Eau Aérienne Suisse (SEAS), une start-up basée à Riva San Vitale au Tessin, a mis au point un système révolutionnaire, baptisé AWA (Air to Water to Air) MODULA. Le principe: condenser en eau l’humidité présente dans l’air.

Le système permettrait de fournir de l’eau à peu près partout dans le monde. Soit de l’eau potable très pure, grâce aux systèmes de filtration, soit de l’eau semi potable pour l’usage agricole, soit encore de l’eau distillée pour l’usage alimentaire, pharmaceutique ou hospitalier.

Le fonctionnement est en apparence très simple:

«Pensez au frigidaire de grand-mère, quand il fallait le dégivrer. On retirait la prise, la glace fondait et il commençait à ‘pleuvoir’ dans le frigo», a expliqué fin août Rinaldo Bravo, directeur de SEAS, en présentant le système au pavillon suisse de l’expo de Milan 2015. «Eh bien, nous faisons la même chose. Nous maintenons la température à 2 degrés quel que soit le temps qu’il fait à l’extérieur et l’eau que nous récoltons est filtrée, puis enrichie en minéraux. Et le froid comme le chaud que nous utilisons pour ce processus est réutilisé, pour le chauffage ou pour la réfrigération».

L’eau sur la Terre

Le volume total des eaux terrestres est d’environ 1,4 milliard de km3.

Sur cette masse, 2,5% seulement, soit 35 millions de km3, est de l’eau douce.

De ce volume, 68,9% sont contenus dans les glaces et les neiges éternelles des montagnes et des pôles, et 30% sont formés d’eaux souterraines.

Au total, seuls 105 000 km3 d’eau douce forment l’ensemble des lacs et des cours d’eau du monde.

Le total de l’eau douce disponible pour les êtres vivants (hommes compris) en surface et dans les nappes est d’environ 20 ‘000 km3. C’est à peine 1% de l’eau douce et seulement 0,01% de toute l’eau de la planète.

Peu d’impact sur l’environnement

Les machines, qui permettent de produire de 2500 à 10 000 litres d’eau par jour chacune, sont respectueuses de l’environnement dans la mesure où le processus d’extraction de l’eau produit également de la chaleur et du froid, directement utilisables.

«La technologie garantit un impact sur l’environnement bas, voir nul. A la différence de l’osmose inverse, utilisée pour dessaler ou épurer l’eau, celle de SEAS ne laisse pas d’impuretés dans l’écosystème local et offre une source illimitée et inépuisable d’eau potable», explique Anna Magrini, professeur à l’Université de Pavie, qui a collaboré à la réalisation du projet, lequel prévoit aussi l’étude d’un système de fourniture d’énergie à partir de sources alternatives.

Une solution qui devrait permettre de réduire encore l’impact environnemental et d’amortir très rapidement le coût de ces machines grosses comme un container, et dont le prix varie de 200 000 à 500 000 euros.

Coopération italo-suisse

Cette innovation est le fruit du travail d’un groupe d’entrepreneurs, de scientifiques et de techniciens, qui compte pour l’heure 16 membres (40% de Suisse et 60% d’Italiens). Jusqu’ici, ils ont déjà exporté leurs machines au Mexique, au Pérou, dans les îles de Trinidad et Tobago, en Afrique du Sud, au Liban et dans les Émirats Arabes Unis.

Qui sont les acheteurs? «Pour l’instant, seulement des privés, des hôtels, des sièges d’entreprises, des villages… Mais nous sommes en contact avec les gouvernements de quelques pays, comme les Émirats, Trinidad et Tobago et avec des États fédéraux, comme le Tabasco, au Mexique. Partout, nous rencontrons un fort intérêt» se réjouit Rinaldo Bravo.

Les organisations internationales et les ONG qui aident les réfugiés fuyant les zones de guerre sont également attentives aux développements du projet de la SEAS. «Nous avons reçu une de leurs machines en prêt, et nous allons l’apporter dans un camp de réfugiés au Liban. Elle permettrait de résoudre le problème de l’approvisionnement en eau potable, ainsi que de chauffer et de refroidir les tentes et les structures», explique la baronne Angela Van Wright Von Berger, secrétaire de Unakids, une organisation d’aide aux enfants dans différentes zones de conflit du monde.

Michele Novaga

Traduction de l’italien: Marc-André Miserez, swissinfo.ch

Photo: La nouvelle technologie pourrait être utilisée pour l’irrigation des cultures dans les zones arides.

source: http://www.swissinfo.ch/fre/societe/expo-milano-2015_-e8-svizzero-il-brevetto-che-trasforma-l-27aria-in-acqua-potabile/41646632#.Vix14-DWgD0.facebook

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
28 octobre 2015 02:51
La Nasa observe un système solaire en train de se désintégrer

La Nasa a observé la destruction d’un système solaire à quelques 570 années lumières de la terre. Une mine d’information, et une première, pour les scientifiques, car selon eux, c’est le scénario probable de la mort de notre planète.

Cette découverte a été faite grâce au télescope Kepler sur un système solaire en réduction, dans la constellation de la Vierge. Les scientifiques du programme K2 étaient intrigués par une étoile baptisée WD1145+017, grande comme Cérès.

En y regardant de plus près, ils ont assistés en direct à la désintégration d'une planète tellurique, donc semblable à la Terre, grande comme le Texas. Cette petite planète rocheuse était irrésistiblement aspirée par l’étoile, elle-même en train de mourir. Précision qui a son importance, cette étoile est une naine blanche, c'est à dire qu'il s'agit d'un soleil effondré sur lui-même et séparé de ses couches supérieures. Un état auquel est promis notre soleil.

Des étoiles cannibales

Sous l’effet ce cette aspiration, la petite planète était en train de se désagréger petit à petit. Les astronomes ont ainsi observé que toutes les quatre à cinq heures environ, des morceaux entiers de la planète se détachaient et étaient projetés dans un mouvement de spirale à plus de 836 000 km en orbite de l'étoile. A chaque détachement, l’étoile perdait au moins 40% de sa luminosité. Autant de données qui ont confortés les scientifiques dans la théorie selon laquelle les étoiles naines cannibalisent des restes de planète.

« Nous pouvons voir comment notre propre système solaire pourrait se désassembler dans le futur» s’est enthousiasmé dans la revue Nature, Andrew Vanderburg, professeur à l'Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics et cheville ouvrière de toutes ces observations.

Le sort de la terre

Et de fait, dans cinq milliards d'années, notre Soleil devrait se transformer d’abord en géante rouge. Les planètes environnantes seront désintégrées, Mercure, Vénus et la Terre carbonisées. Ensuite, le soleil éjectera dans l'espace ses couches supérieures dans un violent sursaut et il se transformera, à son tour, en naine blanche. Et à partir de là, la terre devrait être littéralement happée.

 

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
24 octobre 2015 00:38

Hurricane_Wilma_21_oct_2005_1625Z

Depuis l’ « atterrissage » de l’ouragan Wilma en 2005, il s’est passé neuf années sans qu’aucun phénomène de ce type ait eu lieu sur les côtes américaines.

Les météorologues appellent ça une « sécheresse » d’ouragans … Il faut dire qu’ils puisent dans leur vocabulaire professionnel pour qualifier ce qu’ils observent et ils ont raison car ainsi ils savent à peu près de quoi ils parlent.

Et ce phénomène de sécheresse particulièrement longue n’était pas arrivé depuis 177 ans ! Parallèlement la fréquence de phénomènes météorologiques violents comme les tornades a également diminué au cours des dix dernières années.

Il n’en a pas fallu plus pour que des fonctionnaires de la NASA (Goddard Institute à New-York) fassent mouliner des ordinateurs pour expliquer cet étrange situation complètement inattendue puisque le réchauffement climatique global d’origine humaine prévoit au contraire une fréquence de plus en plus élevée de phénomènes météorologiques comme des ouragans de plus en plus violents.

Les simulations numériques minutieusement réalisées ont exclu tous les ouragans de catégorie inférieure à 3 (échelle de Saffir-Simpson) c’est-à-dire que les ouragans Ike (2008), Irene (2011) et Sandy (2012) n’ont pas été pris en considération. Le modèle développé (encore une fois les prédictions n’engagent que les ordinateurs) pour prédire l’arrivée sur le sol d’ouragans a abouti à ceci :

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Du bleu foncé au rouge : ouragans de catégorie de 1 à 5 sur l’échelle de Saffir-Simpson. En pointillé la courbe correspondant à un événement de probabilité nulle. L’échelle est logarithmique (drought = sécheresse qu’on peut traduire par absence). Ce graphique se lit ainsi : la probabilité pour qu’il n’y ait pas d’ouragans de catégorie 3 (en vert) pendant une période de 10 années consécutives serait de 500 ans et d’ouragans de catégorie 4 pendant une même période de 10 années serait de 40 ans.

Si on considère les dates mentionnées dans cet article, 177 ans avant le début de cette présente période de « sécheresse » d’ouragans il se trouve que l’on se retrouve en 1829 (2015 – 9 – 177). Retranchons encore 9 années et on arrive à l’année 1820 c’est-à-dire très exactement à la fin du deuxième cycle solaire très déficitaire du petit âge glaciaire qui sévit au début du XIXe siècle et appellé le minimum de Dalton.

Or le dernier cycle d’activité solaire (24e) qui se termine en ce moment (ne figure pas dans l’illustration ci-dessous) est à peu près comparable en nombre de taches et en intensité aux deux cycles qui induisirent ce petit âge glaciaire.

Sunspot_Numbers - copie

Je cite la conclusion de l’article paru dans Geophysical Resarch Letters : « A hurricane climate shift protecting the U.S. during active years, even while ravaging nearby Caribbean nations, would require creativity to formulate. We conclude instead that the admittedly unusual 9 year U.S. Cat3+ landfall drought is a matter of luck » et en français : il faudrait de la créativité pour expliquer que le changement climatique protège les côtes américaines des ouragans durant les saisons actives (comprenez pendant la saison des ouragans) alors qu’ils ravagent les nations des Caraïbes.

Nous concluons plutôt que cette période inhabituelle de 9 années sans atterrissage d’ouragans de catégorie supérieure à 3 relève de la chance.

C’est écrit noir sur blanc, vérifiez par vous-même, l’article est en libre accès. Il est tout de même incroyable que les auteurs de cet article n’aient même pas eu l’idée d’établir une relation avec la faiblesse du cycle solaire 24 alors qu’ils sont fonctionnaires de la NASA et payés pour étudier l’activité solaire, le climat, la météorologie et accessoirement le taux de natalité des petits hommes verts.

Il y a là matière à émettre de sérieux doutes quant à la valeur scientifique des nombreux travaux émanant des divers secteurs de la NASA car à l’évidence les auteurs manquent de sens critique et, comme ils l’avouent explicitement, de créativité … Cependant cet article apporte une magnifique preuve du refroidissement climatique en cours, mais chutt ! il ne faut surtout pas en parler.

Source : DOI: 10.1002/2015GL063652 . Illustration (NOAA) ouragan Wilma touchant la péninsule du Yucatan (catégorie 5). Il passera quelques jours plus tard sur la Floride.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
23 octobre 2015 01:40

yannpole

Sans nier qu’il y a un réchauffement climatique, pourquoi les climato-sceptiques doutent-ils de son origine humaine et de son caractère inéluctable à long terme ?

Les Gaz à Effet de Serre (GES) recouvrent : la vapeur d’eau (H2O), le dioxyde de carbone (CO2), le méthane (CH4), le protoxyde d’azote (N2O), l’ozone (O3) et les hydrocarbures halogénés, genre CFC des réfrigérateurs d’autrefois, HCFC-22 des frigos industriels modernes, etc.
Ce sont eux qui produisent les variations de températures dans les étés et les hivers produits par le degré d’inclinaison de la terre (23°27′)

La vapeur d’eau représente 72% des GES (dont 17% stockés dans les nuages), mais comme elle fait partie d’un cycle et retombe en pluie au bout de quelques jours,le GIEC ne la prend pas en compte dans ses calculs.

C’est une erreur, car avec le réchauffement l’évaporation est plus forte et le volume d’eau dans l’atmosphère augmente (d’où plus de pluies) avec un impact non négligeable sur l’effet de serre.

Le CO2 représente plus de 27% des GES, les autres gaz comptent pour moins de 1% et parmi eux, l’ozone est utile si elle arrive en haute altitude. C’est pourquoi tous les efforts ont porté à juste titre sur la réduction du CO2 dont la proportion dans l’atmosphère a été multipliée par 2,42 depuis cent ans.
C’est le seul gaz dont le volume peut être (un peu) maîtrisé par l’Homme.

Notons au passage que personne n’explique jamais pourquoi un litre de carburant brûlé dans un moteur produit plus d’un kilo de CO2 : 2,5 fois plus dans le cas de l’essence qui est de l’octane, 2,6 fois plus dans le cas du gazole, qui est du kérozène ou hexadécane.

Seulement le gazole a un meilleur rendement énergétique que l’essence, et il  faut 25% de plus d’essence que de gazole pour parcourir 100 km, ce que tous les conducteurs savent.
Donc un moteur à essence produit au final entre 20 et 25% de plus de CO2 qu’un moteur à gazole.

1 kg de carburant, 2,5 kg de gaz = génération spontanée ???

La différence vient de l’absorption d’air lors du passage dans le moteur : dans CO2 dont une molécule pèse 44 grammes, il y a C, le carbone 1 molécule de 12 g + O2, 2 molécules d’oxygène de 16g = 32 g.
Finalement, dans une tonne de CO2, à peine moins des trois-quarts sont de l’oxygène, un gaz excellent, et à peine plus d’un quart sont du carbone dont les plantes se nourrissent !
Ce qui explique pourquoi dans les temps géologiques où le taux de CO2 dans l’atmosphère était plus élevé qu’aujourd’hui sans aucune intervention humaine, la terre était globalement plus chaude et la nature plus riche que maintenant.

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
23 octobre 2015 01:27

Imaginez. Il pleut. Marine Le Pen est invité par Jean-Jacques Bourdin et dit, devant des millions d’auditeurs, « il pleut ce matin. » Il n’en fallait pas plus pour les élus EELV de publier un communiqué de presse affirmant: « c’est faux, il fait beau. »

C’est exactement ce qu’il s’est passé aujourd’hui au parlement européen. On peut détester le FN comme c’est mon cas, mais admettre que des fois, comme aujourd’hui sur ce sujet, ils ont raison !

La Commission européenne a autorisé, en juillet dernier, la commercialisation d’un insecticide, dangereux pour les abeilles – encore un. Interdit aux Etats-Unis, le Sulfoxaflor produit par Dow Agrosciences est désormais autorisé en UE, où les normes sont d’ordinaire plus draconiennes.

L’histoire aurait dû susciter le barnum habituel : communiqués indignés des Verts, suivis par la gauche, puis de la droite qui soutient que le pesticide est inoffensif avant que la Commission ne mette tout le monde d’accord en suspendant l’autorisation pour lancer une nouvelle étude.

Mais rien ne s’est passé comme prévu. Aussi dangereux soit-il pour les abeilles, le sulfoxaflor n’a pas –encore- déchaîné les passions. Mardi 13 octobre, la remise en question de son autorisation n’a même pas été votée par la commission Environnement du Parlement européen, d’ordinaire à la pointe sur ces sujets.

La raison en est simple : la question est apparue sous forme d’un amendement déposé par une députée européenne Front national. Sylvie Goddyn, élue du Nord-Pas-de-Calais, a vu sa proposition rejetée par 31 voix contre (droite, gauche et EELV), 18 pour et 6 abstentions.

L’Europe va aller loin comme ça… C’est sûr !

Par Lola Perez – JSSNews

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
21 octobre 2015 00:19
Une nouvelle recherche a démontré qu'il est possible de "fermer" (shutdown) certaines zones du cerveau, en utilisant la stimulation magnétique trans-crânienne, de façon à "réduire" les croyances religieuses/spirituelles et à atténuer les préjugés/opinions critiques

Une nouvelle recherche a démontré qu'il est possible de "fermer" (shutdown) certaines zones du cerveau, en utilisant la stimulation magnétique trans-crânienne, de façon à "réduire" les croyances religieuses/spirituelles et à atténuer les préjugés/opinions critiques

L'étude tente de démontrer les mécanismes cérébraux par lesquels le cerveau humain répond à une menace ou à un problème. Il a été démontré qu'en perturbant la zone du cerveau qui permet de détecter et de répondre aux menaces, la réaction s'avère moins négative, moins réactive et moins idéologique.

 

Dans le contexte de l'étude, les participants devaient penser à la mort (la menace) pour solliciter leurs croyances spirituelles (la réponse). L'autre mise en contexte amenait les participants à exprimer leurs sentiments face à un immigrant qui critique leur pays.

 

Les résultats, publiés dans la revue Social Cognitive and Affective Neuroscience, révèlent que les personnes dont la région du cerveau a été ciblée, temporairement fermée, ont "diminué" de 32,8% leurs croyances en Dieu/anges/ciel. Elles étaient à 28,5% plus positives à l'égard des critiques d'un immigrant.

 

Source:
http://www.york.ac.uk/news-and-events/news/2015/research/psychologist-brian-magnetic/

 

"Un état totalitaire vraiment efficace serait celui dans lequel le pouvoir exécutif des chefs politiques et de leur armée de directeurs contrôle une population d'esclaves qui n'ont pas à être contraints parce qu'ils aiment leur servitude."

Aldous Huxley, lors d'un discours à l'université de Californie


Des expériences psychologiques menées par des laboratoires militaires et universitaires se déroulent depuis plusieurs décennies pour étudier comment rendre dociles les individus récalcitrants, comment briser la volonté, comment causer la dépersonnalisation et comment contrôler les masses par des procédés psycho-technologiques
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2014/05/des-experiences-psychologiques-menees.html

 

Autre source sur RT

 

Article lu ici

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
15 octobre 2015 00:22
UE: Les habitats naturels dans un état critique, de nombreuses espèces menacées

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L'examen à mi-parcours de la stratégie en faveur de la biodiversité à horizon 2020 fait apparaître des progrès, mais disparates selon les États membres de l'Union européenne.

« Plus des trois quarts des habitats naturels importants dans l'Union sont actuellement dans un état non satisfaisant, et de nombreuses espèces sont menacées d'extinction », indique la Commission européenne dans un communiqué du 2 octobre. 

En matière de biodiversité, les progrès sont disparates selon les États membres.

19 % des surfaces agricoles avec un contrat biodiversité

En cause : une législation parfois mal appliquée et une nécessaire intégration dans les politiques agricoles et forestières, notamment par le biais des déclinaisons nationales de la politique agricole commune. Selon le premier bilan, 19,1% de la superficie agricole est lié à des contrats de gestion de la biodiversité et des paysages avec de très grandes disparités entre les États et les régions.

Parmi les sujets majeurs pour Bruxelles : le rétablissement des habitats naturels, la création d'une infrastructure verte, les espèces exotiques envahissantes pour lesquels un règlement est entré en vigueur et des travaux sont en cours pour établir une liste des espèces envahissantes préoccupantes d'ici au début 2016.

L'objectif de l'UE est d'enrayer la perte de biodiversité et la dégradation des services écosystémiques, d'assurer leur rétablissement d'ici à 2020 et de contribuer à la prévention de la perte de biodiversité au niveau mondial. Elle vise également à assurer les engagements pris dans le cadre de la convention sur la diversité biologique et à contribuer au nouveau programme mondial de développement durable à l'horizon 2030.

Lu ici

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
12 octobre 2015 01:15
Encore des infos sur l'escroquerie "surnaturelle" du GIEC

Lire aussi et surtout par là avant d'aller voir au-dessous (pour rappel récent)

Publié par wikistrike.com 

Comment le GIEC a organisé un gigantesque transfert d'argent de tous les citoyens vers quelques bénéficiaires... 

À l'aube de la Conférence internationale sur le climat de Paris (COP21), les déclarations alarmistes se succèdent à un rythme effréné, entretenu par la colossale machine de propagande de l'ONU. Rien ne nous est épargné, ni la sècheresse et les feux de forêts en Californie, ni le dernier ouragan traversant l'Asie. Tout événement météorologique pouvant inquiéter un tant soit peu le public est immédiatement relié au changement climatique anthropique. 

 


Commentaire : Ah oui, à propos de la sécheresse californienne... :Selon la NOAA, la sécheresse en Californie n'est pas due au « réchauffement climatique » 


...

Cette déclaration n'émeut pas notre vice-président qui poursuit : « Si on continue le train de développement actuel sans rien modifier, nous arriverons probablement à +4 ou + 5° de plus et ce sera catastrophique pour bien des populations ». De nouveau, il semble ignorer (?) que de nombreuses publications scientifiques récentes revoient à la baisse l'impact du réchauffement dû au doublement de la quantité de CO2 atmosphérique. Le Pr Jean Jouzel, également vice-président du GIEC, affirmait récemment que le réchauffement observé de la Terre était de l'ordre de 0,01°C par an ! D'ici 2100, la Terre verrait sa température augmenter de 0,85°C si rien ne changeait. On est loin, très loin, des +2°C politiques et des +4 à +5°C extravagants issus des modélisations les plus folles. 

La non-fiabilité des modèles climatiques a été clairement dénoncée par Hans von Storch, l'un des plus éminents climatologues allemands, qui n'hésite pas à déclarer : « Les modèles climatiques sont faux à plus de 98% ! » Et pourtant, ce sont les résultats erronés de ces modèles non fiables qui servent de base de travail aux décideurs politiques. 

 


Commentaire : A voir l'état de la science moderne et l'état de corruption généralisé des esprits, est-ce vraiment étonnant ? : 

Corruption de la science : la falsification des évaluations par les pairs 
Corruption de la science : collusions entre chercheurs et industriels 
Corruption de la science : John Ioannidis dénonce l'inutilité de nombreux travaux scientifiques 


Le coupable est, évidemment, le CO2 émis par l'homme, et uniquement celui-là. Rappelons qu'il n'y a aucune preuve scientifique de l'influence du CO2 sur la température du globe. Au contraire, toutes les études indiquent que, durant les 400.000 dernières années, la variation de la concentration en CO2 atmosphérique a toujours suivi les fluctuations de la température, jamais l'inverse. 

Tandis que la quantité de CO2 émise par l'homme ne cesse de croître depuis l'ère industrielle, un refroidissement climatique important a été observé de 1942 à 1975, menant certains à prédire l'imminence d'un nouvel Âge Glaciaire. Depuis presque 19 ans, la température moyenne de la Terre n'a pas augmenté d'un iota. Durant cette période, 1/3 du CO2 produit par l'homme a été émis dans l'atmosphère. Si le CO2 avait un effet quelconque sur la température, nous l'aurions déjà observé, non ? 
 


Commentaire : Tremblons face au méchant CO2 ! : 

Propagande climatique : Pauvre CO2 ! 
Réguler le CO2 est une pure absurdité selon un physicien allemand 
Petite fabrique d'un rechauffement climatique 


Toutes les prédictions effectuées par les climatologues modélisateurs se sont toujours révélées erronées. Toutes, sans exception ! 

Le nombre et la violence des ouragans a diminué au lieu d'augmenter, les glaces en Antarctique ne cessent de croître depuis près de 30 ans, la banquise arctique qui devait disparaître depuis 2008 est toujours là et elle récupère admirablement, la vitesse de montée des océans a fortement diminué, les ours polaires qui étaient en voie de disparition ont vu leur population multipliée par 7 depuis 1970 et la planète a verdi de 21%, en partie grâce à la croissance du taux de CO2 atmosphérique. 

Au contraire des affirmations du Pr van Ypersele : « Dès 1° de plus, la production de céréales comme le blé ou le riz est menacée », de nombreuses études effectuées en champ et sous serre montrent que le blé et le riz prospèrent lorsque le taux de CO2 dans l'atmosphère et la température augmentent (jusqu'à 600 ppmv et +3°C) ! Signalons qu'il existe aussi de multiples variétés de blé et de riz résistantes à ce type de stress. 

Quant aux énergies renouvelables, prônées par le vice-président du GIEC, elles ne sont pas compétitives avec les énergies fossiles et nucléaires. Sans les gigantesques subventions étatiques payées par les contribuables, ces énergies intermittentes au coût exorbitant n'auraient jamais vu le jour.

Pourtant, il s'obstine à recommander ces solutions inopérantes qui, non seulement appauvrissent la population (plus d'un million d'Allemands sont incapables de payer leurs factures énergétiques) mais risquent de renvoyer à la pauvreté un nombre croissant de nos frères humains.

Le scandale du transfert des taxes des pauvres vers les plus nantis, qui peuvent se payer des panneaux solaires et des Tesla S, des compagnies électriques qui s'enrichissent grâce aux certificats verts, et des banques qui prennent au passage leur obole, n'a que trop duré. Le GIEC a organisé, avec la complicité de certains politiques, un gigantesque transfert d'argent de tous les citoyens vers quelques heureux bénéficiaires. C'est une honte éthique... Le pire est que cela a été orchestré par des partis de gauche. 

Qu'il est triste que la climatologie, cette jeune et belle science, soit ainsi dévoyée à des visées politiciennes et au dogmatisme idéologique. 

 

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Les commmentaire sont de fr.sott

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CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
10 octobre 2015 01:15
Suisse: le plus vieux réacteur nucléaire en activité criblé de trous

Environ 1000 trous d'un diamètre moyen d'un demi-centimètre perceraient la paroi de la cuve du réaction de la plus vieille centrale nucléaire du monde encore en activité, Beznau I, dans le canton d'Argovie.

Selon le Tages Anzeiger les problèmes dans la centrale nucléaire de Beznau I sont bien plus importants que prévu. La centrale, arrêtée en mars pour travaux, doit redémarrer en février 2016.

Le journal alémanique affirme que les défauts touchent la cave de pression du réacteur, un endroit extrêmement sensible puisqu'il est censé prévenir une diffusion de la radioactivité.

Plus vieux réacteur nucléaire commercial

Le réacteur 1 de Beznau date de 1969. Il s'agit du plus vieux réacteur commercial encore en service. Le 2e réacteur a lui été mis en service en 1971. Il est également en révision depuis mi-août pour une durée de quatre mois.

 

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23 septembre 2015 02:01

 

Voilà une enquête qui risque de déranger les industriels. Selon l'association Générations Futures, certaines salades vendues en France contiennent des pesticides interdits dans le territoire et suspectés d'être des pertubateurs endocriniens. Sur 31 échantillons de salades* achetées dans des supermarchés de l'Oise et de la Somme (Picardie) entre le 28 mai et le 21 juillet 2015, l'enquête Exppert 5 menée par l'association révèle :

- qu'elles contiennent en moyenne presque 4 résidus de pesticides chacune

- que 80,65% contiennent au moins un résidu de pesticide

- que 67,74% contiennent au moins un résidu de pesticide pertubateurs endocriniens

- que 5 échantillons (16%) contiennent 1 ou plusieurs substances actives interdites (2 échantillons soit 6,45%)

- que 3 échantillons (9,67%) contiennent des substances interdites d’usage sur salade en France. Un de ces 3 échantillons contenait même 2 substances interdites d’usage sur salade en France (mandipropamid et imidaclopride).

...

"De plus, la présence de pesticides interdits en Europe ou sur la culture de la salade dans plus de 16% des échantillons testés est inacceptable. Là encore, nous attendons une action forte du Gouvernement qui doit faire rapidement cesser cette situation, sur cette culture et sur toutes les autres."

Qu'est-ce qu'un perturbateur endocrinien ?

C'est une substance naturelle ou artificielle qui peut perturber le fonctionnement du système endocrinien et entraîner des effets potentiels nocifs pour l'individu et ses descendants (cancers hormonaux-dépendants (prostate, testicule, sein), obésité, diabète, diminution de la fertilité, puberté précoce chez les filles, problèmes cardiovasculaires...). Les foetus, enfants et femmes enceintes sont les plus vulnérables face à ces dangers.

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A savoir : les salades sont sujettes à un suivi spécifique par les autorités sanitaires parce qu'elles font parties des légumes dans lesquels sont retrouvés le plus de résidus de pesticides. En 2013, le plan de surveillance de la DGCCRF indiquait la présence de résidus de pesticides dans près de 58% des échantillons de salades testés. Et d'après l'EFSA (autorité européenne de sécurité des aliments) 36% des laitues peuvent contenir plusieurs résidus (2 à 13), dont certains soupçonnés d'être des pertubateurs endocriniens.

*1 salade provenait d'Espagne, 1 d'Italie et 29 de France.

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19 septembre 2015 02:37
Syrie: Pillage archéologique à échelle "industrielle" s'alarme l'Unesco

L'Unesco s'est alarmée mercredi que les sites archéologiques syriens occupés par l'organisation de l'État islamique soient pillés à une échelle "industrielle".

L’organisation de l'État islamique (EI) ne fait pas que détruire les sites archéologiques syriens, elle se livre également à un véritable pillage, s'est alarmée, mercredi 16 septembre, la directrice générale de l'Unesco, Irina Bokova, soulignant la nécessité de lutter contre le trafic d'objets d'art qui sert à financer le jihadisme.

Des images satellites et l'afflux d'objets antiques observé sur les marchés clandestins témoignent d'un "pillage à l'échelle industrielle" en Syrie, via des "milliers de fouilles archéologiques illégales", a déclaré Irina Bokova, lors d'une conférence sur le sujet à Sofia.

"Limiter le trafic d'objets d'art est en ce moment la priorité numéro un", d'autant qu'il "sert au financement des extrémistes", a souligné la directrice générale de l'Unesco, qui a appelé les pays de l'Union européenne, en particulier, à "consolider leur législation pour arrêter ce trafic".

Parallèlement aux destructions à caractère idéologique de sites antiques, l'EI se livre à un important trafic d'objets anciens, excavés de façon sauvage dans ce pays au très riche patrimoine antique.

Des images satellite de l'ONU avaient attesté le 1er septembre de la destruction par les jihadistes du temple de Bel, joyau de la cité antique de Palmyre en Syrie, un "crime intolérable contre la civilisation" selon l'Unesco.

Avec AFP

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18 septembre 2015 00:38

©https://twitter.com/Limportant_fr/status/642765308080582656

 

©https://twitter.com/Limportant_fr/status/642765308080582656

Quand on parle du mot « abeille » dans la presse, depuis quelques années, c’est toujours pour dénoncer la chute de leur population et les effets néfastes que cela entraîne sur l’agriculture.

En un an, les apiculteurs américains ont perdu environ 42 pour cent de leurs colonies, une quantité phénoménale dans un système agricole qui lutte déjà pour répondre à la demande. Avec des activités d’abeilles ayant un impact sur l’économie américaine d’environ 15 milliards de dollars par an, les scientifiques et les politiciens ont commencé à réfléchir. Avec la sécheresse en Californie menaçant des vergers d’amandiers (principale source de nourriture des abeilles locales) et la tendance croissante à l’utilisation des plantes clonées qui fournissent très peu de nutrition pour les abeilles et l’utilisation continue de pesticides puissants, les Etats-Unis et le reste de l’occident sont comme au bord du précipice.

Israël, de son côté, a prévu tout depuis plusieurs années.

« Nous comprenons le danger, nous comprenons toutes les implications que cela a sur la qualité de la nourriture», explique Yuval Lin, propriétaire de Bee Farm Lin à Kfar Bilou dans le centre d’Israël.

Il y a quinze ans, Israël a été rapidement urbanisé au détriment de la diversité des arbres et des plantes qui fournissaient aux abeilles la nourriture nécessaire pour produire du miel de qualité. Dans l’espoir de minimiser les dommages potentiels, ils ont approché le KKL pour acquérir des plantes productrices de nectar qui pourraient soutenir les populations d’abeilles à travers le pays.

Ainsi, grâce aux apiculteurs visionnaires et à l’aide du KKL, « la population d’abeille en Israël est en excellente santé » explique Lin. « Nous avons planté des eucalyptus et diverses espèces qui fleurissent toute l’année afin de fournir aux abeilles de quoi se nourrir comme besoin. » 

Avec près de 500 apiculteurs pour environ 100.000 ruches, la communauté de l’apiculture israélienne est petite. A Kfar Bilou seulement, il y a trois apiculteurs, et ils ont travaillé ensemble pour encourager les résidents à planter des espèces productrices de nectar.

Aujourd’hui, le programme stratégique israélien attire l’attention internationale. Le KKL a même produit un guide gratuit pour les apiculteurs et les agriculteurs israéliens, avec des photos et de brèves descriptions des centaines d’espèces qui aident les abeilles. En raison des demandes des agriculteurs du monde entier, ce guide sera bientôt traduit en anglais. Dernièrement, l’Inde a même demandé à Israël son secours dans ce domaine.

Par Jérémyah Albert – JSSNews

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17 septembre 2015 01:54
La NASA confirme le refroidissement climatique à l'insu de son plein gré...

Depuis l' « atterrissage » de l'ouragan Wilma en 2005, il s'est passé neuf années sans qu'aucun phénomène de ce type ait eu lieu sur les côtes américaines. Les météorologues appellent ça une « sécheresse » d'ouragans ... Il faut dire qu'ils puisent dans leur vocabulaire professionnel pour qualifier ce qu'ils observent et ils ont raison car ainsi ils savent à peu près de quoi ils parlent. Et ce phénomène de sécheresse particulièrement longue n'était pas arrivé depuis 177 ans !

Parallèlement la fréquence de phénomènes météorologiques violents comme les tornades a également diminué au cours des dix dernières années. Il n'en a pas fallu plus pour que des fonctionnaires de la NASA (Goddard Institute à New-York) fassent mouliner des ordinateurs pour expliquer cet étrange situation complètement inattendue puisque le réchauffement climatique global d'origine humaine prévoit au contraire une fréquence de plus en plus élevée de phénomènes météorologiques comme des ouragans de plus en plus violents. 



Les simulations numériques minutieusement réalisées ont exclu tous les ouragans de catégorie inférieure à 3 (échelle de Saffir-Simpson) c'est-à-dire que les ouragans Ike (2008), Irene (2011) et Sandy (2012) n'ont pas été pris en considération. Le modèle développé (encore une fois les prédictions n'engagent que les ordinateurs) pour prédire l'arrivée sur le sol d'ouragans a abouti à ceci : 

 

 

Image
© NOAA
Du bleu foncé au rouge : ouragans de catégorie de 1 à 5 sur l'échelle de Saffir-Simpson. En pointillé la courbe correspondant à un événement de probabilité nulle. L'échelle est logarithmique (drought = sécheresse qu'on peut traduire par absence). Ce graphique se lit ainsi : la probabilité pour qu'il n'y ait pas d'ouragans de catégorie 3 (en vert) pendant une période de 10 années consécutives serait de 500 ans et d'ouragans de catégorie 4 pendant une même période de 10 années serait de 40 ans. 

Si on considère les dates mentionnées dans cet article, 177 ans avant le début de cette présente période de « sécheresse » d'ouragans il se trouve que l'on se retrouve en 1829 (2015 - 9 - 177). Retranchons encore 9 années et on arrive à l'année 1820 c'est-à-dire très exactement à la fin du deuxième cycle solaire très déficitaire du petit âge glaciaire qui sévit au début du XIXe siècle et appellé le minimum de Dalton. Or le dernier cycle d'activité solaire (24e) qui se termine en ce moment (ne figure pas dans l'illustration ci-dessous) est à peu près comparable en nombre de taches et en intensité aux deux cycles qui induisirent ce petit âge glaciaire. 

 

 

 

 

Image
© NOAA
Je cite la conclusion de l'article paru dans Geophysical Resarch Letters : « A hurricane climate shift protecting the U.S. during active years, even while ravaging nearby Caribbean nations, would require creativity to formulate. We conclude instead that the admittedly unusual 9 year U.S. Cat3+ landfall drought is a matter of luck » et en français : il faudrait de la créativité pour expliquer que le changement climatique protège les côtes américaines des ouragans durant les saisons actives (comprenez pendant la saison des ouragans) alors qu'ils ravagent les nations des Caraïbes. Nous concluons plutôt que cette période inhabituelle de 9 années sans atterrissage d'ouragans de catégorie supérieure à 3 relève de la chance. 

C'est écrit noir sur blanc, vérifiez par vous-même, l'article est en libre accès. Il est tout de même incroyable que les auteurs de cet article n'aient même pas eu l'idée d'établir une relation avec la faiblesse du cycle solaire 24 alors qu'ils sont fonctionnaires de la NASA et payés pour étudier l'activité solaire, le climat, la météorologie et accessoirement le taux de natalité des petits hommes verts. Il y a là matière à émettre de sérieux doutes quant à la valeur scientifique des nombreux travaux émanant des divers secteurs de la NASA car à l'évidence les auteurs manquent de sens critique et, comme ils l'avouent explicitement, de créativité ... Cependant cet article apporte une magnifique preuve du refroidissement climatique en cours, mais chutt ! il ne faut surtout pas en parler. 

Source : DOI: 10.1002/2015GL063652 . Illustration (NOAA) ouragan Wilma touchant la péninsule du Yucatan (catégorie 5). Il passera quelques jours plus tard sur la Floride.

 

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16 septembre 2015 00:57
Une algue trouvée dans les étangs comme remède à la cécité ?

La biotechnologie au service des humains

Attention, on en est au stade de la recherche mais cette transplantation dans la rétine "pourrait un jour rendre la vue aux aveugles".
Retrosense, une entreprise basée au Michigan, espère transplanter une protéine sensible à la lumière d'un type spécifique d'algue dans les yeux des aveugles, pour restaurer leur vue.

L'algue appelée Chlamydomonas reinhardtii, est un organisme simple à une seule cellule.

Jusqu'ici, RetroSense a testé cette thérapie génique sur des espèces non humaines, montrant un retour de la vision après le traitement,
La société va bientôt commencer les essais cliniques chez l'homme: le processus de transplantation a été approuvé par la Food and Drug Administration des États-Unis. Le recrutement de 15 patients atteints de rétinite pigmentaire, a lieu pour cet essai clinique.

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12 septembre 2015 01:03
Kerstin Langenberger Photography

Kerstin Langenberger Photography

Attention: Le nombre d'individus d'ours blancs est toujours en augmentation...

 

La photographe allemande Kerstin Langenberger, qui tient le site "Arctic Dreams"a publié fin août sur son compte Facebook cette photo prise dans l'archipel norvégien de Svalbard, à la limite entre l’océan Arctique et l’océan Atlantique : un ours polaire beaucoup trop maigre, dont la silhouette a déjà été partagée 35.000 fois sur le réseau social.

"Pour les touristes et les photographes de la faune sauvage, Svalbard est un endroit privilégie pour croiser des ours polaires", explique la photographe. "Et d'ordinaire, oui, on les croise : magnifiques, photogéniques, en train de jouer ou de chasser... A première vue, ils restent la population d'ours polaires la plus accessible et la plus protégée du monde". 

"Oui, j’ai vu des ours en bonne santé. Mais j’ai aussi vu des ours morts ou affamés. Des ours polaires qui marchent le long de la côte, à la recherche de nourriture, qui essayent de chasser des rennes ou mangent des œufs d’oiseau, de la mousse et des algues. [...] Bien des fois les ours étaient horriblement maigres, et c'était toujours des femelles. Un squelette ambulant, blessée à la patte avant, probablement dans la tentative désespérée de chasser un morse."

La photographe explique avoir observé la fonte des glaces de ses propres yeux. "Les étés deviennent agréables (et chauds) comme jamais. Je vois les glaciers se disloquer, reculer de dizaines voire de centaines de mètres chaque année. Je vois des pans entiers de glace disparaître à une vitesse record", alerte-t-elle.

 

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11 septembre 2015 21:01

Il s'est battu, il a vaincu... Paul François, agriculteur français intoxiqué par Monsanto


La cour d'appel de Lyon confirme ce jeudi la responsabilité du groupe américain Monsanto dans l'intoxication d'un agriculteur français.

Une première en France: la cour d'appel de Lyon a confirmé qu'un herbicide de Monsanto était responsable de l'intoxication d'un agriculteur français, Paul François. Le groupe américain devra donc bien l'indemniser "entièrement".

"La décision est très surprenante eu égard aux inexactitudes et aux erreurs qui émaillent la thèse de Paul François. Mais ça n'est qu'une étape et la discussion va se poursuivre, le combat va se poursuivre", a réagi l'avocat de Monsanto, Me Jean-Daniel Bretzner, laissant entendre que le géant américain des semences et de l'agrochimie formera "vraisemblablement" un pourvoi en cassation. L'agriculteur charentais s'est félicité que "le pot de terre (ait gagné) contre le pot de fer". "Ouf, les firmes ne sont pas au-dessus des lois", a réagi Paul François, le céréalier, devant la presse au cabinet de son avocat parisien Me François Laforgue.

Monsanto déjà reconnu "responsable" en première instance

L'agriculteur, Paul François, un céréalier charentais partiellement handicapé et qui souffre d'importantes séquelles, devait pour sa part tenir une conférence de presse au cabinet de son avocat à Paris en début d'après-midi. Sa vie a basculé le 27 avril 2004 alors qu'il vérifie une cuve ayant contenu du Lasso, "un herbicide pour le maïs que j'utilisais depuis au moins 15 ans" et qu'il inhale des vapeurs toxiques, a-t-il récemment raconté.

Monsanto était-il au courant ?

Pris de malaise, il a juste le temps d'expliquer ce qui vient de se produire à son épouse avant de finir aux urgences, crachant du sang: "Tout ce qui est arrivé après, je ne m'en souviens pas". Après cinq semaines d'arrêt, il reprend son travail mais souffre d'importants problèmes d'élocution, d'absences, de maux de tête violents. Fin novembre, il s'effondre sur le carrelage de sa maison, où ses filles le découvriront inconscient.

S'ensuit une longue période d'hospitalisation durant laquelle les médecins craindront plus d'une fois pour sa vie, sans jamais faire le lien avec l'herbicide de Monsanto. "D'examen en examen, de coma en coma, on a fini par trouver une importante défaillance au niveau cérébral. Là, ma famille a commencé à faire son enquête sur le Lasso", à ses frais, explique l'agriculteur. Il faudra attendre mai 2005 pour identifier le coupable: le monochlorobenzène, solvant répertorié comme hautement toxique et entrant à 50% dans la composition de l'herbicide.

La lutte contre la maladie cède la place au combat juridique. D'abord, pour faire reconnaître sa rechute comme maladie professionnelle, officialisée en 2010. Puis contre la firme Monsanto, dont il est convaincu qu'elle connaissait les dangers du Lasso bien avant son interdiction en France, en novembre 2007. Cet herbicide avait en effet été jugé dangereux et retiré du marché au Canada dès 1985 et depuis 1992 en Belgique et au Royaume-Uni.

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10 septembre 2015 20:02
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9 septembre 2015 21:44
10 ans qu'un puits d'hydrocarbure brisé déverse son pétrole dans le golfe du Mexique !

Voilà plus d'une décennie qu'un puits brisé en 2004 fuit en permanence, déversant  du pétrole dans le golfe du Mexique. 

Selon l'agence Associated Press, la compagnie Taylor Energy, exploitant, responsable, et coupable, semble enfin le reconnaître. 

Dernièrement, elle a accepté de faire un don de 300.000 $ à un consortium en Louisiane pour acheter des navires de surveillance ainsi que 100 000 $ à un Fonds de recherche sur les effets écologiques de cette catastrophe  à long terme dans le Golfe. 

Pourtant le déversement pourrait encore se poursuivre pendant une centaine d'années.

Situé à environ 50 kilomètres des côtes, l'ancien site de Taylor Energy a été renversé et recouvert par un glissement de terrain lors de l'ouragan Ivan en 2004. 

«Nous sommes heureux d'avoir trouvé un terrain d'entente. L'accord établit enfin un équilibre entre le droit public à l'information et les garanties adéquates de l'aide technologique exclusive de la société Taylor Energy" a déclaré Will Pecue, le PDG du pollueur (menteur), dans un communiqué de presse envoyé par courriel. 

Toutefois, selon la "Waterkeeper Alliance", l'affaire est toujours en cours:

"Nous sommes très heureux de l'avancement des négociations avec Taylor, et nous sommes parvenus à un accord qui n'a pas encore été finalisé, il n'existe aucun accord définitif de règlement entre les parties à ce moment". 

Le 31 Mars 2015 une photo aérienne montrait encore des traces d'hydrocarbures à la dérive sur le site de l'ancienne plate-forme pétrolière de T.E dans le golfe du Mexique, au large de la côte de la Louisiane. 

En 10 ans la société T.E a vendu tous ses actifs à l'étranger. En Avril 2015 elle n'employait qu'une seule personne à temps plein, chargée de gérer le déversement.

Entre temps, l'agence Associated Press a mené sa propre enquête et a trouvé une sous-déclaration massive dans le volume déclaré de la marée noire, montrant que les montants réels étaient environ 20 fois plus élevés que les chiffres avancés.

Cela signifie que les gallons de pétrole brut déversés en mer ne se comptent plus en centaines de milliers mais en millions de gallons US.

 

Nature Alerte

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7 septembre 2015 02:37
D'ici 2050, 99% des oiseaux marins auront avalé du plastique

La majorité des oiseaux marins à travers le monde a déjà ingurgité du plastique, mais d'ici 2050 quelque 99% des albatros, manchots, mouettes et autres volatiles des mers seront touchés par cette pollution, rapporte une étude publiée lundi.

Les chercheurs ont passé en revue des études réalisées entre 1962 et 2012 sur 135 espèces d'oiseaux marins. En comparaison, une étude datant du début des années 1960 montrait qu'à cette époque moins de 5% des oiseaux marins étaient concernés. 

La pollution au plastique, qui selon les scientifiques atteint en certains endroits le taux record de 580.000 morceaux de plastique par km2, représente un danger pour les oiseaux qui confondent leur surface colorée avec des aliments. Les oiseaux peuvent développer des maladies ou mourir s'ils ingèrent trop de plastique. 

Les chercheurs "prévoient une augmentation de l'ingurgitation de plastique par les oiseaux marins, qui touchera 99% de toutes les espèces d'ici 2050", selon les Comptes rendus de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS). 

Résultats frappants
"Une gestion efficace des déchets peut réduire cette menace", notent toutefois les auteurs. "Pour la première fois, nous disposons d'une prévision globale montrant à quelle échelle la pollution au plastique peut avoir des répercutions sur les espèces marines - et les résultats sont frappants", a estimé Chris Wilcox, chercheur à l'Agence nationale australienne pour la science (CSIRO). 

"Les estimations, basées sur des observations historiques, montrent qu'environ 90% des oiseaux marins ont déjà avalé du plastique. C'est énorme et cela montre l'omniprésence de la pollution au plastique", a-t-il ajouté. 

Depuis la commercialisation du plastique dans les années 1950, la production a doublé tous les 11 ans, rappelle l'étude. "Toutefois, entre 2015 et 2026, la quantité totale de plastique produite sera équivalente à tout ce qui a déjà été fabriqué" depuis le début de la production de plastique, ajoutent les chercheurs. 

L'océan Austral le plus menacé
La menace "est géographiquement étendue, généralisée et augmente rapidement" estiment-ils, précisant que les zones les plus à risques se situent "aux limites de l'océan Austral, dans la mer de Tasman entre l'Australie et la Nouvelle-Zélande", en raison de la forte pollution au plastique et de la grande diversité d'oiseaux marins dans ce secteur.

 

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7 septembre 2015 02:15
18 millions d’hectares de forêts perdus en 2014

18 millions d’hectares de forêts perdus en 2014

 

La déforestation de la planète continue

Le recul de la couverture forestière dans le monde, en 2014, correspond à deux fois la superficie du Portugal, ou encore à celle du Cambodge ou de la Syrie, soit plus de 18 millions d’hectares (ou 180 000 km2), selon les données de l’université du Maryland, aux Etats-Unis, et de Google, publiées mercredi 2 septembre par la plate-forme Global Forest Watch.

Cette diminution des forêts (définies comme un couvert végétal d’au moins 5 mètres de haut), qui représentent un tiers de la surface émergée de la planète, ne cesse de s’amplifier.L’année 2014 se révèle être, à l’exception de 2012, la plus mauvaise depuis le début du XXIe siècle. A chaque minute, ce sont quelque 2 400 arbres qui sont coupés. Et plus de la moitié des hectares de forêts perdus le sont dans les pays tropicaux.

De nouvelles zones de recul apparaissent, comme dans le bassin du Mékong, principalement au Cambodge, en Afrique de l’Ouest (Sierra Leone, Liberia, Guinée…), à Madagascar, dans la région du Gran Chaco, en Amérique du Sud, plus particulièrement au Paraguay. « Cette nouvelle analyse indique une poussée vraiment alarmante de la perte de forêts dans des zones auparavant négligées », estime Nigel Sizer, directeur international du programme des forêts au World Resources Institute (WRI). 

Soixante-deux pour cent de la perte de couverture arborée en 2014 se sont faits, en zone tropicale, dans des pays autres que le Brésil et l’Indonésie, les deux pays les plus touchés historiquement par la déforestation ; contre 47 % en 2001.

« Dans beaucoup de ces pays, l’accélération de la déforestation est due aux productions de plus en plus importantes de caoutchouc, de soja, d’huile de palme et de bœuf, analyse Nigel Sizer. 

Pour ralentir cette perte de forêts, nous devons améliorer la gouvernance forestière pour empêcher les défrichements illégaux, planifier de façon plus équilibrée l’utilisation des terres et les demandes des grands importateurs, pour arriver à une production de produits de base durable. »

Sous la pression des besoins agricoles

Ce scénario d’une forêt qui recule sous la pression des besoins agricoles se répète aussi bien en Asie qu’en Amérique latine ou en Afrique. Au Cambodge, par exemple, qui est le pays dans le monde où la perte de la couverture arborée a augmenté le plus rapidement depuis 2001, ce sont les plantations de caoutchouc qui sont les principales responsables. Une étude (avril 2015) de chercheurs danois, allemands et américains établit une « forte corrélation » entre la déforestation dans la région du Mékong, au Cambodge surtout, et l’augmentation des prix du caoutchouc au niveau mondial.

Au Paraguay, ce sont les cultures du soja et l’élevage de bovins qui détruisent des forêts dont la biodiversité est très importante. Madagascar doit sa perte de plus de 318 000 hectares, environ 2 % de sa superficie forestière totale dans la seule année 2014, aux activités minières et à l’exploitation de bois précieux, comme le bois de rose ou le palissandre. Quant à la production d’huile de palme, elle continue de ravager les forêts d’Afrique de l’Ouest et du bassin du Congo.

Ces données publiées par le Global Forest Watch sont réactualisées tous les huit jours grâce à une surveillance des satellites du programme Landsat développé par la NASA, permettant une résolution à 30 mètres près. Elles seront au centre des discussions du 14e Congrès forestier mondial qui se tient à Durban, en Afrique du Sud, du 7 au 11 septembre.

A quelques semaines de la conférence des Nations unies sur le climat, la COP21, qui s’ouvrira à la fin de novembre à Paris, ces nouveaux éléments assombrissent un tableau déjà bien noir. La maîtrise des forêts est un élément indispensable pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. 

La déforestation serait ainsi responsable de quelque 20 % des émissions de gaz à effet de serre. Enfin, l’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture rappelle que 60 % des populations indigènes dépendent presque entièrement des forêts, que 300 millions de personnes vivent dans ou aux alentours des forêts et que plus de 1,6 milliard de personnes dépendent d’elles pour vivre.

 

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6 septembre 2015 21:25
Catastrophe - Kazakhstan: 60 000 antilopes décédées en 4 jours

60.000 antilopes ont été retrouvées mortes au mois de juin au Kazakhstan. Un véritable mystère pour les chercheurs qui tentent de trouver des explications.

60.000 antilopes saïga avaient été retrouvées mortes en juin dernier au Kazakhstan. Il n'avait pas fallu plus de quatre jours pour que ces animaux périssent. Un véritable mystère pour les scientifiques qui étaient restés sans réponse devant cette découverte, rapportée par le site d'information Live Science.

Les antilopes saïga, de la taille d'un chien, font partie des espèces en danger et sont classées comme tel par l'Union internationale pour la conservation de la nature. Elles vivent principalement dans les steppes du Kazakhstan et sont présentes dans une moindre mesure en Russie et en Mongolie. En 2014, on dénombrait 257.000 antilopes dans le monde, contre un million en 1993.

"L'étendue de cette mortalité, et sa rapidité (...) cela n'a pas été observé pour d'autres espèces", a indiqué à Live Science Steffen Zuther, chercheur en géo-écologie. "C'est du jamais vu", a-t-il ajouté. 

L'explication tient peut-être à la présence de certaines bactéries. Selon Live News, les bactéries de type Pasteurella et Clostridium auraient causé des saignements dans les organes des antilopes. Mais la Pasteurella est sans danger, sauf si le système immunitaire de l'animal est affaibli.

Les bactéries ont clairement joué un rôle dans la mort des saïgas, estime Steffen Zuther, cité par Live Science. Mais savoir comment ces microbes normalement inoffensifs peuvent avoir causé ce phénomène est toujours un mystère.

Une des hypothèses selon les chercheurs serait de considérer l'environnement dans lequel évoluent les animaux. Un hiver exceptionnellement froid, suivi d'un printemps très humide, accompagné d'une végétation abondante et d'une eau stagnante a pu répandre les bactéries plus facilement dans l'environnement. 

Selon eux, il est également possible que la mort des animaux soit une réponse inévitable à des variations naturelles dans l'environnement.

Ce n'est pas la première fois que le phénomène mortel se produit. En mai dernier, 120.000 antilopes avaient été retrouvées mortes au Kazakhstan. En 1988, 400.000 antilopes de cette espèce avaient disparu dans les mêmes conditions.

 

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3 septembre 2015 03:23
 
Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a récemment fait voter un projet de loi à l’Assemblée nationale, consacré au droit des étrangers. Il prévoit notamment la possibilité de venir se faire soigner en France même si le traitement existe dans son pays d’origine mais qu’il est trop cher, et de se faire accompagner par ses deux parents pour les mineurs. Le député des Bouches-du-Rhône Dominique Tian redoute un « appel d’air » pour l’immigration.
 

Pour rappel, l’AME bénéficie chaque année à 270 000 immigrés clandestins, pour un coût global de plus d’un milliard d’euros.

Dans les débats à l’Assemblée nationale, que vous pouvez lire ci-dessous (ou télécharger en cliquant ici), le député des Bouches-du-Rhône Dominique Tian redoute que l’assouplissement des conditions d’obtention de l’AME constitue un « effet d’aubaine » pour l’immigration.

L’AME, jusqu’ici accordée en principe uniquement si le traitement requis n’est pas dispensé dans le pays d’origine, pourra désormais l’être également s’il est disponible mais trop onéreux pour le malade. (Notons qu’en pratique, l’AME était jusqu’à présent également accordée pour cette deuxième raison ; mais l’inscription dans la loi consolide cette pratique jusqu’ici effectuée à la marge de la loi.)

Par ailleurs, Dominique Tian redoute que l’autorisation aux deux parents d’un enfant malade de l’accompagner en France s’il est bénéficiaire de l’AME ne crée un appel d’air supplémentaire.

On ne suivra pas le député, en revanche, dans sa demande que soit procédé, pour tous les patients, à un contrôle d’identité dans les hôpitaux.

Comme nous l’avions démontré dans notre article « Les risques totalitaires d’une carte Vitale biométrique », l’État-Providence, à plus forte raison s’il se donne une vocation universelle, invite par nature les abus de toute sorte, dont l’AME n’est qu’un exemple.

La solution ne réside donc pas dans la mise de l’ensemble de la population sous liberté surveillée, mais dans une redéfinition — et une restriction — du champ d’application de l’État, notamment en matière de santé.

Contribuables Associés 

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3 septembre 2015 02:27

Le bassin du Tarim, dans la province chinoise du Xinjiang, est l’une des régions les plus sèches de la planète. Du moins à sa surface. Sous le bassin, les chercheurs chinois viennent de découvrir un gigantesque océan souterrain.

 

Au total, la quantité d’eau salée pourrait atteindre dix fois le volume des cinq Grands Lacs américains réunis. ” C’est une quantité d’eau terrifiante“, déclarait le professeur en charge de l’étude Li Yan au South China Morning Post. ” Personne n’avait jamais imaginé qu’il puisse y en avoir autant sous le sable. Nous allons devoir revoir notre définition du désert.”

UN COLOSSAL PUITS DE CARBONE

Les scientifiques ont pris conscience de l’existence d’un phénomène anormal dans le bassin du Tarim pendant leur travaux de recherche sur le réchauffement climatique. Ils se sont aperçus que du dioxyde de carbone disparaissait dans le bassin sans qu’aucune raison n’explique cette anomalie.

Le bassin est en fait un colossal “puits de carbone”, c’est à dire une zone de la planète qui participe à limiter le réchauffement climatique. Habituellement, ces zones sont des forêts ou des océans. En mesurant des échantillons de dioxyde de carbone dans plus de 200 emplacements à travers le désert, les scientifiques ont été capables d’estimer la quantité d’eau infiltrée dans le bassin.

” Notre estimation est pessimiste. Le volume d’eau pourrait être encore bien plus impressionnant“, a précisé Li Yan. Il est également probable qu’il y ait de nombreux autres océans souterrains dans le monde, selon le professeur. Il y aurait en effet mille milliards de tonnes de carbone “manquantes” dans le monde.

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2 septembre 2015 12:42
Pour la première fois, trois ouragans de catégorie 4 détectés en même temps dans l'océan Pacifique

Pour la première fois dans l'histoire, trois ouragans de catégorie 4 ont été détectés en même temps dans l'océan Pacifique. 

Samedi et dimanche derniers, Kilo (à gauche), Ignacio (au centre), et Jimena (à droite) étaient parfaitement alignés dans l'océan Pacifique. Samedi, le satellite Terra de la NASA a capturé un trio d'ouragans, tous de catégorie quatre, nommés Kilo, Ignacio et Jimena, ils ont été enregistrés alors qu'ils traversent actuellement le Pacifique (central et oriental). 

Les ouragans de catégorie quatre sont au deuxième niveau le plus haut sur l'échelle des vents de Saffir-Simpson, indiquant que la vitesse des vents y oscille entre 209 et 251 kilomètres par heure. Les vents maximums de l'ouragan Kilo ont été mesurées à près de 220 kilomètres par heure, et ils devraient rester forts jusqu'à jeudi. 


Les vitesses de pointe de vent de l'ouragan Ignacio étaient similaires à Kilo, mais elles devraient se dissiper d'ici mardi. L'ouragan Jimena est un peu moins intense, et le "National Hurricane Center" a prédit qu'il cesserait dés lundi. Tous les trois ont été e
nregistrés entre 800 et 3000 kilomètres au large des côtes d'Hawaï dimanche. 

 

 

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29 août 2015 02:57
La Californie sombre encore plus vite que les scientifiques l'avaient imaginé
Certaines zones du Golden State sombrent de plus de 2 pouces par mois, révèlent les images. Bien que le phénomène d'enfoncement, appelé subsidence, a longtemps été un problème en Californie, le taux s'accélère à cause de l'extrême sécheresse qui oblige l'État à puiser l’eau du sous-sol à un rythme croissant, voire record. Et comme l'eau souterraine ne se renouvelle plus, il se crée alors un vide sous les pieds des Californiens.
 
Mark Cowin, directeur du Département des ressources en eau de la Californie, a déclaré dans un communiqué que le secteur est en train de sombrer encore plus rapidement et que des infrastructures sont sérieusement menaçées: des ponts qui s’écroulent, des barrages qui craquent, des pipelines qui se démantibulent, des édifices qui se fissurent.

 

 

Devin Galloway, un scientifique du US Geological Survey, affirme que même si les producteurs agricoles cessaient de pomper l’eau souterraine immédiatement, les dommages déjà faits aux aquifères drainés sont tels que le phénomène de l’enlisement se poursuivra pendant des décennies.
 
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25 août 2015 01:31
Le réchauffement climatique menacerait particulièrement les forêts boréales

Des chercheurs sonnent à nouveau l'alarme: le réchauffement climatique menacerait tout particulièrement les forêts boréales, ces vastes étendues de résineux, de peupliers et de bouleaux qui recouvrent une bonne partie du nord canadien, jusqu'à la taïga du Grand Nord.

Dans une étude publiée jeudi dans un numéro spécial «Forêts» de la revue Science, ces chercheurs soulignent que les températures devraient augmenter davantage et plus rapidement en zone boréale que partout ailleurs sur la planète, et que l'on s'approche du point de non-retour.

Or, ces températures plus élevées devraient apporter en zone boréale du temps plus sec, des maladies et insectes jusque-là inexistants, et des incendies de forêts dans cette vaste «ceinture verte» qui recouvre une bonne partie du nord de la planète, en dessous de l'Arctique.

Les trois chercheurs - du Québec, de Finlande et d'Autriche - rappellent que ces forêts boréales ne peuvent «migrer» assez rapidement vers le nord pour échapper à une hausse aussi rapide des températures.

De plus, les vieilles forêts boréales qui seraient détruites ne devraient pas pouvoir se renouveler dans ces nouvelles conditions, ce qui laisserait une ceinture verte beaucoup plus morcelée.

 

Source © La Presse Canadienne

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24 août 2015 01:32
E-cigarette: en janvier, 15 fois plus nocive; en août, 95% moins nocive que la cigarette classique !

La e-cigarette est jugée dans une nouvelle étude comme 95% moins novice que la cigarette classique.  Mais dans une étude datant de janvier 2015, cette même e-cigarette était jugée 15 fois plus nocice que la classique. Alors qui croire dans ce foutoir d'études ?

N'écartez pas de l'esprit que les cigarettiers eux-mêmes se cachent derrière ce genre d'études contradictoires à lire ci-dessous.

L'étude de janvier: 

Des chercheurs ont découvert que la vapeur des e-cigarettes contenait une substance cancérogène à des taux bien plus importants que les cigarettes classiques.

Vapoter serait bien pire que de fumer. Dans une étude publiée le 22 janvier dans The New England Journal of Medicine, des chercheurs mettent en garde contre les cigarettes électroniques : la vapeur inhalée serait cinq à quinze fois plus cancérogèneque la fumée de cigarette classique. En effet, en vapotant, vous aspirez une importante quantité de formaldéhyde, classé depuis 2004 comme "une substance cancérogène avérée pour l'homme" par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ).

Cette substance est également contenue dans les cigarettes classiques, mais on pensait jusqu'à présent que les e-cigarettes en étaient exemptées puisqu'aucune combustion ne venait libérer les substances chimiques toxiques. Sauf que les agents chimiques contenus dans l'e-liquide des cigarettes électroniques forment, en réaction avec l'oxygène chauffé au maximum (5 volts), du formaldéhyde. Et pas qu'un peu.

Les conditions des mesures critiquées 

Ainsi, inhaler trois millilitres d'e-liquide revient à absorber 14 milligrammes de formaldéhyde. Comme si vous aviez fumé cinq paquets de cigarettes. "Une nouvelle preuve que les cigarettes électroniques ne sont pas inoffensives", appuie David Peyton, professeur de chimie à l'université de Portland qui a participé aux recherches.

De son côté, l'industrie de l'e-cigarette a contesté les résultats de l'étude, soulignant que les mesures ont été prises dans des conditions irréalistes. Sur la National Public Radio, Gregory Conley, de l'American Vaping Association, explique que, "si vous appuyez sur le bouton d'une e-cigarette pendant cent secondes, vous pourriez potentiellement produire cent fois plus de formaldéhyde que vous n'en absorberiez avec une cigarette. Mais personne ne vapoterait dans ces conditions, parce qu'en une seconde cela provoquerait une gêne dans les poumons".

Vapoter ainsi, c'est comme faire trop cuire un steak : "Je peux mettre un steak sur le grill pendant dix-huit heures et ce steak sera plein de substances cancérogènes. Mais ce steak sera devenu un filtre à charbon, personne ne voudra le manger." Même constat pour Peter Hajek, directeur de la division sur le tabagisme à la faculté de médecine et dentisterie de Londres, cité par l'AFP : "Quand les fumeurs de cigarettes électroniques surchauffent le liquide, cela produit un goût âcre désagréable, ce qu'ils évitent de faire." Ne vous enflammez donc pas outre mesure pour l'e-cigarette.

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L'étude du mois d'août :

Les autorités sanitaires britanniques recommandent l'usage de la vapoteuse pour arrêter de fumer. En France, la position officielle est plus floue.

 

La cigarette électronique, ou e-cigarette, est environ 95% moins nocive que le tabac et son usage devrait être encouragé auprès des fumeurs désirant arrêter, selon une étude réalisée par un organisme dépendant des autorités sanitaires de Grande-Bretagne.

«Les cigarettes électroniques ne sont pas totalement dénuées de risques mais quand on les compare au tabac, les résultats montrent qu'elles ne comportent qu'une fraction de nocivité», a déclaré le professeur Kevin Fenton, de l'organisme Public Health England, auteur de cette enquête rendue publique mercredi.

La plupart des composants chimiques responsables des maladies associées au tabac sont absents des cigarettes électroniques et la meilleure estimation actuelle est que l'e-cigarette est environ 95% moins nocive que la cigarette classique, selon cette étude. L'inhalation passive des émanations de la cigarette électronique serait aussi moins néfaste pour la santé humaine que le tabagisme passif.

Tolérée en France

Cette étude financée par des fonds publics va à l'encontre des conclusions d'un rapport de l'Organisation mondiale de la Santé datant d'août 2014. Ce rapport de l'OMS préconisait un encadrement strict de l'usage de la cigarette électronique, notamment l'interdiction de son utilisation en milieu fermé et de sa vente aux mineurs. En France, la Haute Autorité de santé qui édicte les recommandations de bonne pratique pour les médecins s'est positionnée pour une tolérance à l'e-cigarette dans le cadre d'un sevrage, sans aller jusqu'à une recommandation explicite.

Selon l'étude de Public Health England, la cigarette électronique pourrait au contraire être un moyen peu onéreux de réduire la consommation de tabac dans les milieux défavorisés où la proportion de fumeurs reste élevée. «Les résultats montrent de manière systématique que l'e-cigarette est un outil supplémentaire pour arrêter de fumer et de mon point de vue, les fumeurs devraient essayer de vapoter et ceux qui vapotent devraient cesser complètement de fumer», explique le professeur Ann McNeil, qui a contribué à l'étude. Ce rapport rejette en outre le lien établi entre une utilisation de la cigarette électronique durant l'adolescence et une consommation de tabac à l'âge adulte.

Quasiment l'intégralité des 2,6 millions d'adultes utilisateurs de la cigarette électronique en Grande-Bretagne sont d'actuels ou d'anciens fumeurs qui s'en servent comme un moyen pour arrêter de fumer et seuls 2% des jeunes Britanniques sont des utilisateurs réguliers de l'e-cigarette, selon cette étude.

 

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23 août 2015 02:26
 Pierres des fondations d'un mur de fortification. Source: Le Temps

Pierres des fondations d'un mur de fortification. Source: Le Temps

Une importante cité grecque engloutie, remontant au 3ème millénaire avant JC, a été trouvée en Argolide dans le Péloponnèse.

La découverte a été faite par l'
Ephorate of Underwater Antiquities et l'Université de Genève sous l'égide de l'Ecole Suisse d'Archéologie.

Les recherches ont commencé en 2014 près de la grotte de Franchthi avec la mission 
Terra Submersa et le bateau solaire "Planet Solar". L'équipe recherchait des traces d'activités humaines préhistoriques à l'est du Golfe Argolique.


Cette année, les recherches ont commencé le 13 juillet et se sont concentrées sur la plage de Lambayanna, où l'équipe a localisé l'implantation préhistorique.

La cité, située à une profondeur de 1 à 3m, recouvre une surface de 12000m². Elle devait être fortifiée et située en bord de mer.  
Les archéologues ont trouvé des fondations de bâtiments rectangulaires et circulaires, ainsi que des rues pavées, caractéristiques de l’âge du bronze grec.

 

 

 

 

Imagerie tridimensionnelle des fondation d'un mur, se terminant par une construction en fer à cheval. Source: zougla.gr


De plus, ils ont repéré des parties des fortifications de la cité et au moins trois fondations en forme de fer à cheval rattachées aux murs (probablement des restes de tours).

Ils ont aussi trouvé de nombreux outils en pierre, des lames en obsidienne et d'autres artéfacts.

De futures recherches à Lambayanna devraient permettre d'apporter un nouvel éclairage sur la densité du réseau d'établissements côtiers de la même époque dans le golfe de Nauplie.
Cela devait aussi aider à mieux comprendre le mode d'occupation, les échanges et les activités maritimes dans la préhistoire.

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13 août 2015 01:24
De nouveaux astéroïdes s'approchent de la Terre

Les astronomes ont découvert une famille d'astéroïdes géocroiseurs - c'est-à-dire qui évoluent à proximité de la Terre - potentiellement dangereux, "expulsés" de leur orbite suite à une collision de leur ancêtre géant, l'astéroïde Euphrosyne, avec un autre objet cosmique il y a environ 700 millions d'années. 


Grâce au télescope WISE, les chercheurs ont découvert une famille d'objets géocroiseurs potentiellement dangereux, "expulsés" de leur orbite initiale suite à une collision de leur ancêtre géant — l'astéroïde Euphrosyne — avec un autre objet du système solaire, rapporte la NASA. 

"Les objets de cette famille sont en faible résonance avec l'orbite de Saturne, et cette interaction les déplace finalement sur des orbites qui croisent celle de la Terre. Ce sont justement les astéroïdes les plus grands de la famille d'Euphrosyne qui se dirigent vers la Terre", a déclaré Joseph Masiero du Jet Propulsion Laboratory de la NASA (USA).Le déplacement de l'astéroïde Euphrosyne par # WISE lors de la journée du 17/05/2010
 
http://t.co/rmcYhxTLGg pic.twitter.com/Fpgwx3q04w 

 

Masiero et ses collègues du projet NEOWISE ont découvert cette famille d'astéroïdes inhabituels et ont trouvé leur ancêtre à l'aide du télescope infrarouge WISE et des données qu'il a recueillies au cours de la recherche de géocroiseurs ternes et indistincts depuis son "réveil" en 2013. 

Les scientifiques soulignent que la plupart des astéroïdes et presque toutes les planètes tournent sur des orbites situées à l'intérieur de l'écliptique ou ne déviant pas considérablement de son plan (la surface imaginaire formée par la rotation de la Terre autour du Soleil). Seul Pluton, les comètes et certains objets à la périphérie lointaine du système solaire dérogent à cette règle. Il est beaucoup plus difficile de trouver de tels objets et de dévoiler leurs vicissitudes, expliquent les astronomes. 

Les planétologues de la NASA ont réussi à compléter cette liste d'objets déviants lors de la surveillance de l'espace au-dessus et sous la principale ceinture d'astéroïdes — l'espace entre les orbites de Mars et de Jupiter, occupé presque par tous les astéroïdes connus. 

Dans ce vide, WISE a découvert plusieurs astéroïdes "expulsés" tournant sur des orbites inclinées de manière inhabituelle à proximité de la Terre. En calculant leur trajectoire, les astronomes ont conclu qu'ils appartenaient à la famille d'Euphrosyne. 

Cette famille représente un groupe de près de 1 500 astéroïdes, apparus suite à une collision d'un gros astéroïde d'un diamètre de 260 kilomètres avec un autre corps céleste il y a environ 700 millions d'années. 

Les astéroïdes de cette famille se rapprochent de Saturne dans le point le plus éloigné de leur orbite, et les interactions gravitationnelles avec la planète géante, comme le montrent les calculs de Masiero et de ses collègues, les "expulsent" souvent sur de nouvelles orbites proches de la Terre. 

Les chercheurs soulignent que ces corps célestes ne représentent pas une grande menace pour la Terre, cependant, dans le vide au-dessus et au-dessous du plan de l'écliptique, peuvent se cacher d'autres astéroïdes sombres et invisibles dans le spectre optique, dont la recherche, le catalogage et l'évaluation en termes du danger sont les objectifs principaux du projet NEOWISE, concluent les astronomes.

 

 

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