• : Presse Internationale : Géopolitique Religions Immigration Emploi Economie Géostratégie---International Press Review --- Обзор международной прессы
  • Contact

suivez-nous aussi sur :

Rechercher

 

 

 

david MIEGE
EN VENTE CHEZ VOTRE LIBRAIRE PRÉFÉRÉ. PLUS DE 200 DESSINS SULFUREUX

 

 

13 août 2015 01:18
L’Europe autorise les OGM : la France n’a pas la possibilité de s’y opposer

 

L’Europe autorise les OGM, aucun pays n’est en mesure de pouvoir préserver sa population de cette décision compte tenu du marché de libre échange économique. Les différentes politiques nationales sont donc bien ignorées par Bruxelles : emballez c’est pesé !

 

L’Europe a donc décidé d’autoriser l’importation et la commercialisation de 19 organismes génétiquement modifiés (OGM). Une décision qui s’affranchit des diverses volontés nationales exprimées sur le sujet. Car les États membres ne se sont pas encore mis d’accord sur une proposition de réforme leur permettant d’interdire ces fameux OGM sur leur territoire. Ils ont été pris de vitesse par Bruxelles

Cette autorisation s’impose. Aucun recours légal pour la France ou d’autres pays, pour s’y opposer. Ces OGM sont pourtant directement destinés à l’alimentation animale et humaine : soja, maïs et colza. Onze d’entre eux viennent de chez Monsanto.

La mesure s’est accélérée « car les États ne parvenaient pas à trouver un compromis ». Mais comment aurait-il pu en être autrement ? L’Europe est bel et bien une machine à créer du désaccord. Il n’est déjà pas facile de trouver un accord à deux, alors quand on rapporte l’équation aux 28 pays dans la Communauté Européenne… pas d’accord possible à 28. C’est mathématique, plus le nombre de variables est élevé, plus les possibilités de parvenir à un accord sont faibles.

La Commission impose donc de force à tous les pays son autorisation qui prend application immédiatement pour une durée de dix ans. C’est une victoire pour les multinationales et une défaite cuisante de la démocratie, une de plus.

Que faire alors des états membres qui s’opposent aux OGM ?

L’Europe laisse de faux espoirs aux pays « anti-OGM » qui ont la possibilité de restreindre ou d’interdire ces biens sur leur territoire. » Très bien » me direz-vous ? Seulement voilà : l’Union Européenne étant une zone de libre circulation des biens, ces OGM pourront facilement se retrouver dans nos assiettes sans que l’on puisse vérifier quoi que se soit.

Les USA trouvent que la Commission Européenne ne va pas assez loin ! Ils estiment que ces produits sont sans risque, au regard de l’avis des scientifiques de l’Union européenne (!) Le lobbying forcené qui gravite autour des institutions n’est évidemment pas au centre des débats. Les multinationales du « transgènique » applaudissent la décision.

Pas moins de 40 demandes d’OGM supplémentaires attendent de recevoir l’autorisation à l’importation pour la commercialisation dans l’UE pour l’alimentation animale et humaine.

Au delà de l’organisme modifié lui-même (et sa toxicité ou non), c’est tout le débat de fond sur les techniques de productions industrielles polluantes s’y rattachant qui passe à la trappe.

Source: Mieux Vivre autrement

Publié dans INFOS en Europe

 

source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
10 août 2015 02:47
Des mouches OGM bientôt disséminées en Espagne ?

 Oxitec veut lâcher jusqu'à 5000 mouches transgéniques par semaine près de Tarragone. 

La société britannique Oxitec prévoit de lâcher des mouches de l'olive GM en Espagne. Ces insectes sont génétiquement modifiés de façon à ce que les descendants femelles meurent au stade de larve alors que leurs congénères mâles survivent. Les mouches Oxitec sont porteuses d'ADN synthétique combinant l'ADN d'organismes marins, de bactéries, de virus et d'autres insectes.

L'essai doit avoir lieu dans un terrain proche de Tarragone, d'une superficie de 1000 m2 et recouvert d'un filet. Une large coalition d'organisations environnementales et agricoles émanant principalement du bassin méditerranéen (France, Grèce, Italie, Portugal et Espagne) exige à présent que la dissémination de ces mouches GM soit complètement interdite. 

Sa crainte : que les mouches échappent à la zone de test et soient à l'origine d'une propagation incontrôlée. Les mouches de l'olive sont considérées comme une espèce qui se propage rapidement lorsque l'habitat lui est favorable. Au fil du temps, les mouches GM pourraient coloniser toute la région méditerranéenne.

Cette technologie peut potentiellement mettre en danger la biodiversité et l'avenir de la production d'olives dans le bassin méditerranéen, écrit la coalition des organisations environnementales et agricoles. C'est pourquoi il est important que ces organismes ne soient pas disséminés. 

Il n'est pas encore clair à ce jour si l'essai a été autorisé par les autorités espagnoles. Si oui, ce serait la première dissémination d'animaux génétiquement modifiés dans l'UE. Une première demande d'Oxitec visant à lâcher des mouches transgéniques en Espagne a été retirée en 2013 encore, après des protestations publiques. La récente demande d'Oxitec a été déposée en mars 2015, mais elle n'est apparue dans le registre public de l'UE qu'en juillet. Le début des essais était prévu pour juillet 2015. 

Les mouches de l'olive peuvent causer des dommages économiques importants aux producteurs d'olives. Actuellement, elles sont combattues à l'aide d'insecticides ou de moyens biologiques.

Pour les producteurs d'olives biologiques, l'impact économique des essais sur le terrain pourrait être désastreux. En cas de propagation incontrôlée, leurs produits pourraient être contaminés par des larves transgéniques et devenir impropres à la vente sous label bio.

 

Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
5 août 2015 02:19
Le Salvador bannit le Roundup de Monsanto et connaît des récoltes records

Le Salvador a tourné le dos aux grandes multinationales semencières et aux phytosanitaires pour favoriser la culture de graines locales. Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité.

 

En septembre 2013, le Salvador votait l’interdiction de 53 produits phytosanitaires à usage agricole. Parmi eux, ce grand pays producteur de café, coton, maïs et canne à sucre retirait du marché le Roundup (glyphosate), désherbant vedette de Monsanto, récemment classé “cancérogène probable” par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

 

Pour protéger le patrimoine semencier salvadorien et assurer la production agricole, le gouvernement de l’ancien président Mauricio Funes lançait en 2011 le Plan pour l’agriculture familiale (FAP). À destination de quelque 400 000 familles d’exploitants, ce plan visait à revaloriser les semences locales et émanciper les petits producteurs des industriels des biotechnologies et de leurs OGM.

 

En crise, le système agricole était majoritairement dépendant des semences hybrides commercialisées par Monsanto, Pioneer et consort. Avant la mise en œuvre du FAP, 75 % du maïs et 85 % des haricots étaient importés selon le site d’information The Seattle Globalist.

 

Et les plantes cultivées sur le territoire étaient majoritairement issues de graines OGM stériles, non adaptées auxterritoires et à leurs particularités, forçant le recours aux intrants chimiques. Réaffirmant sa souveraineté alimentaire, le gouvernement a donc décidé de rompre avec les industries semencières internationales pour favoriser les graines locales.

 

L’État a alors investit plus de 18 millions de dollars afin de livrer 400 000 exploitants en maïs H-29, développé par le Centre national de la technologie agricole et forestière (CENTA). Le maïs présente l’avantage d’être une variété locale, mieux adaptée aux terres salvadoriennes et plus résistantes à la sécheresse.

 

Selon le site Natural Society, l’agriculture du Salvador serait en pleine expansion. Le pays aurait connu des récoltes records depuis qu’il a banni certains phytosanitaires.
Si le Salvador s’est détourné des grands groupes internationaux spécialisés dans les biotechnologies, des questions demeurent quant à la pérennité du Plan agricole du pays. Car le maïs H-29, bien que produit localement, est une variété hybride. Il a beau être mieux adapté au territoire du Salvador et nécessiter l’usage de moins d’intrant, il n’en est pas moins stérile.

 

Auteur : Manon Laplace

Bio à la Une

 

SOURCE

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
1 août 2015 02:02

Une équipe de chercheurs a découvert en Afrique des traces de changement du champ magnétique terrestre dans des minéraux datés du 12e au 16e siècles.

 

Ces derniers temps, les scientifiques ont constaté l'affaiblissement du champ magnétique de la Terre. Les dernières données de l’équipe dirigée par le géophysicien John Tarduno, suggèrent que la région du noyau de la Terre au-dessous de l'Afrique du sud peut jouer un rôle particulier dans le processus d’inversion des pôles magnétiques de la Terre.

M.Tarduno et son équipe ont réussi à obtenir des données précises sur l'intensité et la direction du champ magnétique, données qui ont été enregistrées et stockées dans des minéraux au moment où ils se sont formés grâce à des éléments tels que la magnétite.

 

Les chercheurs ont obtenu leurs données grâce aux connaissances des traditions sud-africaines de l’Age du fer. L’archéologue Thomas Huffman, un membre de l'équipe de recherches, a expliqué la tradition de la purification rituelle de villages dans les communautés agricoles du pays: pour nettoyer le village, des huttes et des silos à grains étaient brulés. Les sols d'argile ont brûlé plusieurs fois, atteignant une température de plus de 1.000 C°, c’est assez chaud pour effacer l'information magnétique stockée dans la magnétite et créer un nouvel enregistrement de l'intensité du champ magnétique et de sa direction au moment de l'incendie.

 

M.Tarduno et son équipe ont constaté une forte baisse de 30% de l'intensité du champ magnétique de 1225 à 1550 AD. Les savants supposent que l'intensité du champ dans la région reste actuellement baissière, bien que moins rapide. Il est également possible que cette région puisse devenir un déclencheur de l’inversion des pôles magnétiques.

L’intensité du champ magnétique de la Terre a diminué de 16% depuis 1840. Cela a provoqué des spéculations sur le fait que la planète serait dans les premiers stades d'une inversion des pôles. Cependant, M.Tarduno souligne que les nouvelles données ne peuvent pas être utilisées pour conclure définitivement que le champ magnétique actuel est entré dans une inversion.



Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/sci_tech/20150729/1017285776.html#ixzz3hJCkficf

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
31 juillet 2015 02:43
Action contre l’abattage halal : rencontre avec des éleveurs à Strasbourg

Valérie, responsable Résistance républicaine Bas-Rhin
SOURCE

 

Ce matin, la radio me réveille avec une info : « Les éleveurs bloquent le Pont de l’Europe, à Strasbourg». « Hoppla geiss ! » me dis-je tout de go, un léger shoot d’adrénaline venant désembrumer mon cerveau encore ensommeillé. « Voilà où je vais aller distribuer la lettre de Résistance Républicaine à l’intention des éleveurs de la filière bovine ».

Me voici donc partie, munie d’une pile de photocopies, le poitrail orné d’un auto-collant « NON AU HALAL » et une provision d’autres stickers dans ma besace.

Au Pont de l’Europe, qui enjambe le Rhin en direction de l’Allemagne, le blocage est toujours en place. Quelques dizaines de camions et tracteurs font barrage, les voitures passent au compte goutte.

Un grand feu flambe. La police est là. Les agriculteurs – je suis frappée par le nombre de jeunes - m’indiquent leurs copains éleveurs.

Ainsi, à une vingtaine d’entre eux, j’ai pu expliquer, après leur avoir exprimé notre soutien, la démarche de Résistance Républicaine : informer sur notre combat contre un mode d’abattage sauvage, dangereux et scandaleux, qui pénalise la filière bovine en amenant une partie des consommateurs à se détourner des viandes autres que le porc, et inviter les éleveurs à défendre un étiquetage «abattage avec étourdissement préalable ».

L’accueil a été très amical, la discussion animée, la lettre de Christine largement distribuée, les auto-collants sont partis comme des petits pains, direction les pare-brise des camions. « C’est bien que des gens s’occupent enfin de ce problème », a dit l’un d’eux. « On va nous traiter de racistes », a rétorqué un autre - comme quoi la rééducation pro-islam fait son œuvre jusqu’au fond de nos terroirs…

Nonobstant cela, le moment a été sympathique et chaleureux, et le site de RR pourrait avoir gagné quelques nouveaux lecteurs.

Valérie, responsable Résistance républicaine Bas-Rhin

SOURCE

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
26 juillet 2015 01:25
L'Europe autorise l'empoisonnement à base d'OGM de Monsanto

'Union européenne a donné le feu vert à la commercialisation de 19 OGM, dont 11 de l'américain Monsanto. Une réforme prévoit que chaque Etat membre pourra individuellement les bannir.

Tapis rouge pour Monsanto. L'Union européenne a autorisé vendredi l'importation et la commercialisation de 19 OGM, deux jours après avoir proposé aux Etats membres une réforme leur permettant d'interdire leur utilisation sur leur territoire. 

Onze produits de la multinationale américaine Monsanto (soja, maïs, colza et coton) figurent au nombre des OGM autorisés, a précisé la Commission européenne dans un communiqué. Les huit autres sont des produits de la firme américaine Dupont et des groupes allemands Bayer et BASF. Dix-sept de ces OGM sont destinés à l'alimentation animale et humaine, deux sont des fleurs coupées. 

Pas de majorité pour ou contre

 
 

Ces autorisations "étaient en suspens", car les Etats membres ne sont pas parvenus à constituer une majorité pour ou contre leur commercialisation. L'autorisation est immédiate et vaut pour dix ans. 

Si les gouvernements européens approuvent la réforme présentée mercredi, ils pourront interdire l'utilisation des OGM sur leur territoire. Dans le cas contraire, les règles applicables seront celles qui ont conduit la Commission européenne à autoriser la commercialisation des OGM ne présentant aucun risque pour la santé animale et humaine dans l'ensemble de l'UE, solution réclamée par les grands groupes. 

Greenpeace a accusé le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, "de ne pas avoir l'intention de rapprocher l'Europe des citoyens, comme il l'a promis, et d'agir en faveur des intérêts des Etats-Unide Monsanto". 


Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
25 juillet 2015 03:12
Un navire de croisière à l'arrêt pollue autant qu'un million de voitures !

Selon une étude de la fédération France nature environnement (FNE), les paquebots de croisière sont un fléau pour la qualité de l'air, y compris lorsqu'ils sont à quai.

 

Même à l'arrêt, les navires de croisière ne s'arrêtent jamais. L'association France nature environnement (FNE) a mesuré qu'un paquebot à l'arrêt polluait autant qu'un million de voitures, en termes d'émission de particules fines et de dioxyde d'azote. Lundi 20 juillet, l'ONG a démarré une action de sensibilisation dans le port de Marseille pour alerter sur la pollution de l'air générée par les bateaux restés à quai. 

Chaque jour, des dizaines de navires de croisière transportant des miliers de passagers stationnent dans la cité phocéenne le temps d'une escale, ou avant embarquement. Problème : même à quai, les moteurs des navires continuent de tourner pour alimenter en électricité les cuisines, les restaurants, les salles de loisirs ou l'air conditionné… "Hier, c'est un paquebot pouvant embarquer 6 000 passagers et 2 000 membres d'équipage qui stationnait au port, décrit au Parisien Adrien Brunetti, chargé de mission santé au sein de FNE. L'équivalent d'un village de 8 000 habitants."

Le nature du carburant en cause

L'ONG allemande Nabu, chargée de mesurer les émissions de particules fines de ces navires, a démontré que plus de 60 000 particules extrafines par centimètre cube ont été mesurées près du terminal croisière de Marseille, contre 3 000 particules par centimètre cube au parc du Pharo, près du Vieux-Port, qui sert de référence.

Cette différence s'explique par la nature du carburant utilisé par les navires de croisière : "Le fioul lourd des navires est très polluant et possède une teneur en soufre plus de 3 500 fois supérieure à celle du diesel des voitures", indique Adrien Brunetti. Son impact sur le santé est majeur. Il peut à long terme engendrer des maladies respiratoires, des décès prématurés ou des cancers des poumons. Selon le site Consoglobe, les croisières émettent aussi de nombreux déchets rejetés directement dans l'océan, comme les eaux usées. 

France nature environnement souhaite qu'une zone de contrôle des émissions de soufre en Méditerranée soit mise en place, comme c'est déjà le cas en mer Baltique, dans la mer du Nord ou dans la Manche. Les gestionnaires du port de Marseille ont prévu d'installer, d'ici la fin d'année, un dispositif d'alimentation électrique qui éviterait de faire tourner les moteurs.

 

Lu ici

SOURCE

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
21 juillet 2015 02:58

Un chercheur américain affirme que la société Monsanto était au courant du caractère cancérigène de son herbicide phare, le Roundup, depuis 1981 et qu'elle en a caché le danger

De nouvelles révélations pourraient venir écorner l'image du géant Monsanto, déjà aux prises avec de nombreux scandales.

En mars dernier, l'OMS a établi que le glyphosate, composant principal du désherbant RoundUp, était possiblement cancérigène. Cette décision avait rapidement été contestée par Monsanto, qui estime que les preuves étaient "insuffisantes"

Quelques mois plus tard, en juin, la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a annoncé son intention d'interdire la vente du glyphosate en libre service. Là encore, Monsanto s'est indigné, se plaignant qu'aucune "raison légitime ne vienne justifier cette décision". 

Sur le même sujet : Roundup : beaucoup de bruit pour rien ?

Pourtant, l'entreprise pourrait connaître depuis de nombreuses années du risque de cancer lié à son désherbant.

Anthony Samsel, un chercheur américain issu du prestigieux Massachussets Institute of Technology de Cambridge, affirme avoir trouvé la preuve que la société Monsanto connaissait depuis 1981 les risques cancérigènes du glyphosate et en aurait caché l'existence. 

Quelles sont les éléments de preuve ?

Le chercheur se serait procuré l'ensemble des travaux scientifiques réalisés par Monsanto entre 1970 et 1983 pour faire homologuer le RoundUp au près des autorités sanitaires. Toutes les recherches ont été commandées par l'entreprise à des laboratoires indépendants.

Parmi les milliers de pages, une étude constate que l'exposition prolongée de rats au glyphosate provoque des cancers (adénomes et carcinomes) de l'hypophyse (une glande du cerveau) des seins des femelles et des testicules des mâles. 

D'après Anthony Samsel, Monsanto n'aurait jamais publié ces résultats mais les aurait remplacé par d'autres, antérieurs et sans lien direct. Par ailleurs, ces recherches n'ont jamais été publiées dans quelque revue scientifique que ce soit, ni transmises à l'EPA (l'agence américaine de protection de l'environnement).

Dans les recherches initiales, le risque de cancer aurait été clairement établi chez des rats exposés au glyphosate pendant 26 mois. Or, l'entreprise n'aurait publié que les résultats obtenus sur des rats exposés au glyphosate seulement 3 mois.

Enfin, l'ensemble des travaux aurait été classé "secret de fabrication", ce qui en garantissait la confidentialité. 

Le glyphosate mis en cause à de nombreuses reprises

Anthony Samsel n'en est pas à ses premières recherches sur le glyphosate. Au mois de mars, avec sa consoeur Stephanie Seneff, il avait déjà publié dans la revue scientifique Entropy un article détaillant le résultat de leurs recherches sur les effets secondaires du glyphosate.

Les deux chercheurs affirment que la substance chimique pourrait être la cause de l'augmentation des cas d'autisme, de stérilité, d'obésité, de diabète, de maladies cardiaques et de la maladie d'Alzheimer dans le monde. Son absorption par l'organisme entraînerait en effet un dérèglement de nombreuses molécules et hormones, empêchant le corps de fonctionner normalement. 

Par ailleurs, une étude publiée en mars 2015 dans le journal de la société états-unienne de microbiologie affirme que le glyphosate causerait une résistance aux antibiotiques. Son absorption pourrait diminuer l'efficacité des traitements prescrits aux patients souffrant de maladies parfois graves.

En novembre 2013, une étude publiée dans la revue interdisciplinaire de toxicologie établissait quant à elle le lien entre le glyphosate et l'intolérance au gluten, dont souffrent plus de 500 000 personnes en France aujourd'hui.

Malgré ces multiples études, Monsanto campe sur ses positions : "Tous les usages désignés du glyphosate sont sans danger pour la santé humaine et cela est confirmé par une des bases de données les plus importantes jamais compilée au monde sur la santé humaine pour un produit agricole", indique l'entreprise sur son site internet.

 

SOURCE

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
11 juillet 2015 01:28
Nous en parlions, la nouvelle est aujourd'hui relayée à l'échelle planétaire.

Nous en parlions, la nouvelle est aujourd'hui relayée à l'échelle planétaire.

La fissure de la croûte terrestre aux alentours de la ville américaine de Los Angeles s'avère plus profonde qu'on ne le pensait, et pourrait provoquer un séisme très puissant. 

Cette conclusion a été faite par le géologue de l'Université de Californie à Santa Barbara, Jim Boles, et diffusée par la station radio KPCC

Lors de sa recherche, le scientifique a constaté une fuite importante d'hélium de la faille Newport-Inglewood, longue de 45 km et passant par le territoire du grand Los Angeles. "Cela indique que la faille est plus profonde qu'on le pensait jusqu'à présent", souligne Boles. 

Le scientifique a réussi à effectuer une analyse chimique de l'hélium provenant de la fissure. Selon le chercheur, ce dernier contient des additifs spéciaux qui témoignent de l'existence d'une "anomalie particulière" aux environs de la deuxième plus grande mégapole américaine.

Boles prédit qu'au cours des 30 prochaines années, Los Angeles devra faire face à un séisme de magnitude 7. Jusqu'ici, les chercheurs prédisaient un scénario moins catastrophique — un tremblement de terre avec une magnitude de 4,7. 

 

 
"La faille Newport-Inglewood s'est formée il y a 30 millions d'années. La fuite active d'hélium qui provient par cette fissure des profondeurs de notre planète, témoigne de la forte activité du manteau terrestre dans cette région", affirme Boles.

 

Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
26 juin 2015 02:49

Publié par wikistrike.com

Greenpeace révèle que le nucléaire français est en faillite

Contrairement aux idées reçues, le secteur du nucléaire est aujourd’hui en situation de quasi faillite économique. Les récents rebondissement autour de la situation désatreuse d’Areva ne doivent pas faire illusion. Il ne s’agit pas d’un acteur mal géré ou en crise passagère : c’est toute une industrie qui se trouve aujourd’hui dans l’impasse. C’est ce que démontre une nouvelle étude publiée par Greenpeace. Les chiffres sont accablants.

Le nucléaire n’a plus d’avenir

Areva cumule plus de 7 milliards de pertes. EDF doit faire face à un endettement intenable : plus de 34 milliards d’euros. Et il lui faut trouver 110 milliards d’euros pour prolonger son parc de centrales vieillissantes. Pas dans ses moyens, tout simplement.

Situation d’autant plus compliquée qu’il n’y a pas de relai à l’international, à l’inverse de ce que nous vend l’énergéticien français pour donner l’illusion d’une stratégie commerciale. D’une part, le marché mondial du nucléaire se rétracte, d’autre part, l’équipe de France y fait bien pâle figure : elle n’a exporté que 2% des réacteurs en fonctionnement hors de nos frontières. Et ce n’est pas le fiasco des EPR, où s’accumule retards, surcoûts et failles de sûreté, qui risque de changer la donne.

Ailleurs, les renouvelables prennent la relève

Au contraire, l’investissement dans les énergies renouvelables (ENR) est en plein boum. Mais ailleurs, pas chez nous. En développant les ENR trois fois moins vite que nos voisins européens, nous restons dangereusement en retard sur la transition énergétique amorcée – voire bien avancée – dans de nombreux autres grands pays industrialisés. En effet, plus de 22% de l’électricité mondiale est produite par les ENR, quand le nucléaire n’en représente que 10%. Et les investissements dans les renouvelables sont 15 fois plus importants que dans le nucléaire.

Centrale nuclŽaire de Cruas-Meysse
© Micha Patault / Greenpeace

Pourquoi ce blocage dans l’hexagone ? Parce que le secteur du nucléaire français, où s’entremêlent intérêts politiques et économiques, agit comme un verrou puissant sur la promotion des énergies renouvelables. En réalité, le nucléaire se rêve encore comme une énergie du futur : il ne laissera pas sa place facilement.

Un gaspillage coûteux pour les Français

Il y a pourtant urgence à agir rapidement pour opérer une bifurcation vers des énergies économiquement compétitives. Car toute la gabegie que représente un secteur moribond, artificiellement soutenu par l’Etat pour des raisons qui n’ont plus rien à voir avec l’intérêt général, ce sont les contribuables et les consommateurs qui les payent, soit à l’achat, soit par leurs impôts. Car aujourd’hui, les coûts de production de l’énerie nucléaire ne cessent d’augmenter et la dynamique n’est pas prête de s’inverser. Alors que partout les ENR font preuve de leur efficacité et se révèle riches d’emplois nouveaux à pourvoir, s’arcbouter sur une énergie chère en plus d’être dangereuse relève donc aujourd’hui de l’inconséquence sociale et politique.

Une question de volonté politique

Car tout est question de volonté politique dans cette affaire. L’Etat possède majoritairement les énergéticiens français. C’est lui qui leur donne leurs prérogatives, imprime leur feuille de route. C’est donc à lui de réorienter la filière vers le démantèlement des centrales et la promotion des ENR s’il souhaite éviter un naufrage industriel.

Site NuclŽaire de Bugey

Cela tombe bien, François Hollande s’est engagé à réduire la part du nucléaire à 50% dans le mix électrique français. C’est d’ailleurs ce que prévoit la loi sur la transition énergétique. Reste à la mettre en oeuvre concrètement. Alors que la COP21 se profile à la fin de l’année, François Hollande doit donc prendre ses responsabilités et ne pas laisser le lobby nucléaire nous faire croire que l’atome serait une solution face au réchauffement climatique. Ce serait une catastrophe pour le pays : écologique certes, mais également économique et sociale.

Faire pression

Ainsi, pour nous aider à maintenir la pression sur les décideurs politiques, n’hésitez pas à partagernotre décryptage des mythes économiques du nucléaire autour de vous, par mail ou sur les réseaux sociaux.

Afin d’éviter des choix aveugles à l’avenir, il est temps de rétablir la vérité des faits.

 

Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
26 juin 2015 01:50
Bruxelles autorise 19 OGM d'un seul coup

Le 24 avril 2015, la Commission européenne a autorisé l’importation de 19 plantes génétiquement modifiées (PGM) [1]. Cette décision a été prise suite à l’absence de majorité qualifiée lors des votes des États membres. L’autorisation a été délivrée deux jours après que la Commission ait proposé aux États membres un outil supplémentaire pour interdire nationalement l’importation d’OGM [2]. Une décision qui constitue un signal politique pour les entreprises de biotechnologie, les États-Unis et les États membres de l’Union européenne. 
 

MISE A JOUR - En février 2015, des organisations professionnelles étasuniennes exigeaient de la Commission une autorisation de ces OGM.

 

Deux jours. Voilà le temps que la Commission européenne aura laissé passer entre la proposition faite aux États membres pour interdire nationalement l’importation d’OGM et l’autorisation formelle de 19 d’entre eux. Deux jours pour signifier aux États membres que la Commission européenne souhaite maintenant reprendre la main sur les autorisations.

Les 19 PGM autorisées à l’importation

Les PGM concernées par la décision d’autorisation délivrée ce 24 avril 2015 avaient tous passé le stade de vote des États membres. Mais aucune majorité qualifiée n’ayant été obtenue, conformément aux règles de comitologie, la Commission européenne avait hérité de la décision finale à prendre.

Dans le détail, il s’agit de dix nouvelles autorisations d’importation à destination de l’alimentation humaine et animale [3], de deux nouvelles autorisations pour l’importation seule (des œillets) [4] et de sept renouvellements d’autorisation pour l’alimentation humaine et animale [5].

Par cette décision, la Commission européenne met donc un terme à 17 mois sans décision d’autorisation, la dernière décision remontant à novembre 2013 pour l’importation de dix OGM [6]. Dans le paquet des autorisations données se trouve celle de renouvellement d’autorisation du maïs Nk603.

Il faut ici rappeler que ce maïs fait, depuis 2012, l’objet d’une controverse scientifique quant aux impacts sanitaires sur le long terme liés à sa consommation suite à l’article de G.-E. Séralini [7].

Une controverse qui avait amené la Commission européenne à mettre en place une étude sur les effets à long terme d’OGM [8]. En décidant d’autoriser ce maïs, la Commission européenne fait donc le pari que cette étude conclura à l’absence d’impacts…

La décision d’aujourd’hui porte donc à 70 le nombre d’OGM autorisés à l’importation dans l’Union européenne, dont une majorité pour l’alimentation humaine et animale.

44 OGM restent en attente d’une décision finale, soit parce qu’ils attendent d’être évalués par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (AESA), soit parce qu’ils doivent être soumis au vote des États membres.

Un louvoiement difficile à suivre

Comment comprendre le calendrier de la Commission européenne alors même qu’elle vient d’initier un travail législatif avec les États membres sur les importations d’OGM justement ? 
D’une part, le groupe de lobby des entreprises de biotechnologies EuropaBio et d’autres avaient, en octobre 2014, déposé une plainte auprès de la médiatrice européenne, pour dénoncer les délais de traitement de plusieurs demandes d’autorisation d’OGM
 [9].

Cette plainte n’avait aucun enjeu judiciaire, la médiatrice pouvant au mieux rappeler la Commission européenne à ses obligations. Mais elle constituait un signal clair que les entreprises ne souhaitaient plus que l’Union européenne maintienne ce qu’elles considéraient être un moratoire de facto, à savoir plusieurs mois sans décision du fait de travaux législatifs en cours.
D’autre part, la Commission européenne est engagée dans une négociation sur un partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement
 [10] avec les États-Unis.

Par cette décision, la Commission européenne fait donc le choix d’envoyer un signal au gouvernement étasunien et aux entreprises qui l’avaient clairement demandé pas plus tard qu’en février 2015 (cf. encadré ci-dessous) : l’Union européenne ne fermera plus son marché aux importations d’OGM.

 Car les entreprises se sont régulièrement plaintes de l’absence de synchronisation entre les autorisations étasuniennes et les autorisations européennes. Avec 19 autorisations d’un coup, la Commission européenne compense de manière non négligeable ce « retard ».

Quand les producteurs de soja étasuniens menacent la Commission européenne

 

Le 12 février 2015, treize organisations étasunienne adressaient un courrier au chef de la Direction Générale de la Santé des Consommateurs (DG Sanco), le Commissaire Vytenis Andriukaitis [11] [12]. Objectif : demander à la Commission européenne « d’approuver treize demandes d’autorisation d’importation sans délai ».

Ces treize demandes (pas précisément listées dans le courrier) sont toutes dépendantes d’une décision finale de la Commission européenne, après avoir passé les étapes de vote des États membres (Comité Permanent de la Chaîne alimentaire et Comité d’appel).
Pour argumenter leur demande, les organisations étasuniennes rappellent que l’Union européenne est dépendante d’importations en protéines pour son alimentation animale et qu’une non décision d’autorisation pourrait provoquer une « désorganisation de l’approvisionnement essentiel des stocks alimentaires nécessaires aux industries européennes d’élevage de bétail, de volaille et alimentaires ».

Et elles soulignent que « toute désorganisation du commerce induira des coûts, notamment pour les consommateurs européens ». 
Pour conclure, elles rappellent que l’OMC requiert de ses membres que des décisions sur des demandes d’autorisation d’OGM soient prises selon un calendrier précis.

Une menace à peine cachée d’une seconde plainte à l’OMC ? Enfin, elles précisent au Commissaire que « le respect par l’Union européenne de ses obligations commerciales existantes est nécessaire pour permettre le succès des négociations en cours sur le partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) ».

 

Un signal que constate d’ailleurs l’eurodéputé José Bové qui considère que « le Président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker se couche devant le lobby des entreprises transgéniques. Il se moque des consommateurs européens qui depuis le début sont opposés aux plantes transgéniques. Il fait une concession majeure pour faciliter la signature de l’accord de libre-échange avec les USA, les OGM en étant une des pommes de discorde » [13].

Comment la CE veut-elle revoir les procédures d’autorisation ? En reprenant la main !

Pour ce qui concerne l’alimentation humaine et animale, la Commission européenne a donc aujourd’hui finalisé les demandes d’autorisation dépendantes de sa seule décision. Et ce, alors qu’elle était plutôt attendue sur un autre dossier, cette fois pour la culture, celui du maïs TC1507.

La Commission européenne ayant fait adopter par les États membres en janvier 2015 une nouvelle procédure d’interdiction nationale de mise en culture d’OGM [14], tout le monde s’attendait à ce que sa première décision d’autorisation concerne ce maïs plutôt que les OGM destinés à l’importation. Dans un premier temps, la Commission contente donc les entreprises de biotechnologie, avec les importations, sans mécontenter les États membres ni surtout leur population, en n’autorisant pas une nouvelle PGM à la culture.

Suite à sa prise de fonction comme Président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker annonçait en 2014 que la Commission allait revoir les procédures d’autorisation des OGM et le 22 avril, elle présentait un nouvel outil pour interdire nationalement les importations d’OGM.

 Mais en guise de révision des procédures, la Commission européenne pourrait bien avoir décidé de changer de politique. Si la Commission Barroso attendait la fin des discussions sur des textes législatifs (comme sa proposition d’interdiction sur la culture) pour décider ensuite des autorisations, la Commission Juncker affiche clairement qu’elle n’attendra pas : deux jours après sa proposition, elle autorise les PGM en attente.

C’est donc une reprise voire une accélération du calendrier de traitement des demandes qui est mise en œuvre. On en vient presque à douter de la sincérité de la proposition d’avant-hier...

 

Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
19 juin 2015 12:40

http://i.imgur.com/XH7rx7i.pngQue doit-on faire avec la nourriture que transportent les camions où on trouve des « migrants » ? Chaque jour, la police découvre des clandestins dans des camions à destination de l’Angleterre. Ils profitent du moindre arrêt ou ralentissement pour forcer les portes et se glisser au milieu de la marchandise. Parfois, selon la durée du voyage, ils sont obligés de se soulager dedans également. Certains prennent place en Espagne !

Les acteurs de l’industrie alimentaire viennent de se rencontrer Theresa May (équivalent du Ministre de l’Intérieur) pour exprimer leur inquiétude sur ce phénomène grandissant. En effet, chaque mois près de 3 millions d’Euros de nourriture fraiche doit être détruite. Une fois qu’on trouve des clandestins au milieu de la marchandise, celle-ci est classée comme contaminée et tout le chargement finit à la poubelle. Selon les règles sanitaires en vigueur, il suffit de trouver une seule personne dans le véhicule pour devoir tout jeter .

Cette perte sèche se reflète directement sur le prix des produits alimentaires sur le rayon. C’est donc le consommateur qui finit par payer les dégâts.

Certaines compagnies de transport ont changé de route pour éviter Calais et d’autres se sont complètement retiré de ce marché. Par contre, de nombreux petits transporteurs n’ont pas le choix. Ils doivent continuer à tout prix. ..

Opération teafortwo

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
18 juin 2015 02:44

Publié par wikistrike.com sur 16 Juin 2015, 07:15am

Catégories : #Ecologie - conso - biodiversité - énergie

Pendant des siècles, les paysans ont utilisé leurs propres semences, créant une biodiversité extraordinaire. Aujourd'hui, cette richesse est mise en danger par la rapacité de quelques multinationales. Leur arme ? Les droits de propriété intellectuelle. Face à cette menace, les paysans exigent que les semences restent ce qu'elles ont toujours été : des biens communs. 



« Ils sont en train de s'emparer de toutes les plantes qui existent sur la planète ! » Guy Kastler ne cache pas son indignation ni son inquiétude. « Ils », ce sont les industriels semenciers. Monsanto, Pioneer, Syngenta. Une poignée de multinationales qui contrôle aujourd'hui le marché de la semence... et l'avenir de notre agriculture. « Ils nous imposent des lois qui interdisent les semences que les paysans reproduisent dans leurs champs, pour les remplacer par quelques génies (Gènes ?) synthétiques marqués du sceau de leur propriété intellectuelle », explique-t-il. 

Syndicaliste aguerri et membre fondateur du 
Réseau semences paysannes, il défend les droits des paysans, et notamment celui de cultiver, de ressemer et d'échanger des semences. Une pratique millénaire remise en cause depuis près de cinquante ans par l'essor des droits de propriété intellectuelle (DPI). 

Créés à l'origine pour empêcher la contrefaçon et protéger les inventeurs industriels, comme pour les droits d'auteur, ces DPI ont peu à peu investi le monde agricole. Avec un argument, réitéré en 1998 
par une directive européenne : « La recherche et le développement exigent une somme considérable d'investissements à haut risque que seule une protection juridique efficace peut permettre de rentabiliser. » A coups de brevets et de certificats d'obtention végétale, les semenciers ont ainsi pu s'approprier des variétés prélevées dans les champs des paysans. Et réclamer ensuite des royalties. C'est une aberration, selon Ananda Guillet, de l'association Kokopelli : « Les semences, comme n'importe quel être vivant, n'appartiennent à personne et à tout le monde en même temps, il ne peut y avoir de droit de propriété ! » 

 

 

© Inconnu
A force de sélection, les paysans ont créé de nombreuses variétés de maïs, chacune adaptée à un terroir
Les industriels peuvent breveter ce qui existe déjà 

Un accaparement qui s'accélère aujourd'hui via un nouveau type de brevet « sur les caractères natifs ». Jusqu'ici, seules des variétés nouvelles pouvaient faire l'objet d'un titre de propriété. Désormais, « les industriels peuvent breveter ce qui existe déjà », résume Guy Kastler. 

En 2013, tel Christophe Colomb découvrant l'Amérique, la compagnie Syngenta « trouve » un poivron jamaïcain résistant à un parasite, la mouche blanche. En laboratoire, grâce au marquage moléculaire, les chercheurs parviennent à identifier la séquence génétique qui permet à la plante de survivre aux attaques de l'insecte... et la brevettent. Problème, nombre de paysans cultivent déjà des poivrons résistants. « Ça paraît un peu hurluberlu, mais Syngenta pourrait aujourd'hui aller les voir et leur demander de payer des droits de licence », explique Emilie Lapprand, juriste pour le Réseau Semences paysannes. « Ils disent, "cette plante résiste à tel insecte, j'ai trouvé la séquence génétique qui lui permet de faire ça, toutes les plantes qui résistent à cet insecte m'appartiennent donc" », résume Guy Kastler. 

« Toutes les semences devraient être libres de droit et reproductibles », martèle Ananda Guillet. L'association Kokopelli commercialise depuis près de vingt ans des semences pour des jardiniers, sans se soucier d'éventuels droits de propriété. « On est un peu anarchiste, on refuse toute règlementation, même si on demande que les OGM soient interdits. » Pour Ananda Guillet, les semences, comme les logiciels libres, doivent relever du domaine public et être accessibles à tous. 

 

© Inconnu
Pour lutter contre l’érosion de la biodiversité, des paysans créent des conservatoires d’anciennes variétés, comme ici sur la ferme du Roc, dans le Lot-et-Garonne
Une revendication qui laisse sceptique Guy Kastler. « Tout le monde crie liberté, liberté ! Mais le marché libre, c'est la dictature des entreprises, et sans règles et sans barrières, pas de souveraineté alimentaire. » A l'inverse de Kokopelli, le Réseau Semences paysannes revendique ainsi des droits des agriculteurs sur leurs semences. « Dans le monde vivant, les semences libres, ça n'existe pas », dit M. Kastler. « Aucune plante cultivée n'existe sans co-évolution avec un groupe humain, dans la nature, si tu laisses une plante libre, elle redevient sauvage. » 

« Le patrimoine commun de l'humanité est devenu le patrimoine commun des semenciers » 

Si les semences ne sont pas libres, pourraient-elles au moins être communes ? Depuis les années 1980, elles sont reconnues, en tant que « ressources phytogénétiques », comme patrimoine commun de l'humanité. Un statut censé les rendre inappropriables. Problème, dans les faits, il donne « accès à ces ressources aux firmes pharmaceutiques et semencières (des pays riches), sans que ces dernières soient tenues, d'une quelconque manière, de redistribuer une partie des bénéfices qu'elles pourraient en tirer », dit 
Frédéric Thomas, chercheur à l'Inra. 

L'argument du « ce qui est à toi est à moi » a joué en faveur des multinationales, dont les moyens dépassent largement ceux des petits paysans. « Le patrimoine commun de l'humanité est devenu le patrimoine commun des semenciers », conclut Guy Kastler. 

En 2001, le Traité international sur les ressources pour l'alimentation et l'agriculture (
Tirpaa) reconnaît enfin aux agriculteurs et aux communautés autochtones le droit de « protéger leurs connaissances traditionnelles, participer aux décisions nationales concernant les ressources et de conserver, ressemer et échanger leurs semences. » Charge à chaque État de faire respecter ces nouvelles règles... qui sont bien souvent reléguées au placard. 

Faire des semences un bien commun 

Plutôt que de patrimoine commun, les défenseurs des droits paysans préfèrent parler de « commons » ou de biens communs. « Un bien commun est un bien considéré comme un bienfait par tous, et auquel chacun devrait avoir accès », 
explique l'économiste Laurent Cordonnier. Comme l'eau ou la santé, les semences pourraient relever de cette définition. 

Échanger des savoir-faire, se répartir ou mutualiser certaines activités, participer à des programmes de recherche, conserver ou sélectionner de nouvelles variétés adaptées localement... Pour bon nombre de paysans, s'organiser collectivement pour gérer les semences est devenu une nécessité. Cette gouvernance des communs prend souvent la forme de "Maisons des semences". 

© Inconnu
Pour gérer collectivement leurs stocks de graines, les paysans s’organisent en Maison de la semence. Une idée importée du Brésil, et qui se développe en France, comme ici dans le Périgord
Au début des années 2000, Bertrand Lassaigne, paysan périgourdin, se rend au Brésil, en quête de variétés de maïs. Là-bas, il découvre les Casas de sementes criollas, où les paysans échangent et conservent leurs graines. Il rapporte l'idée dans ses bagages et l'essaime en France. "Le terme désigne une organisation collective de gestion des semences paysannes", précise Remy Lebrun, d'Agrobio Perigord. Au sein d'une de ces maisons, l'association organise la préservation et la multiplication de variétés de maïs. Chaque année, de petites quantités de semences sont confiées à des agriculteurs. Ces derniers les sèment, les récoltent et en restituent une partie à la Maison. 

Pour nombre de mouvements paysans, la seule manière de les préserver d'une privatisation dangereuse pour l'humanité, c'est d'en confier la gestion aux communautés rurales elles-mêmes. Un ensemble de règles décidées collectivement, aussi appelées droits d'usage, permettrait de réguler l'accès à ces ressources. Qui gère le stock de graines, quelles sont les conditions d'échange, que faire contre les plantes invasives... Ainsi, même si les semences n'appartiennent à personne, impossible de les utiliser sans respecter un certain nombre de pratiques, définies par la communauté qui les a conservées. Elle seule pourrait décider si ses semences sont libres ou non. 

S'il était réellement appliqué, le Tirpaa serait un premier pas timide vers cette notion de commons. Mais les mouvements de paysans et de jardiniers n'ont heureusement pas attendu les pouvoirs publics. Depuis près de vingt ans, ils s'organisent, hors du cadre légal, pour troquer, multiplier et essaimer leurs semences. Et ainsi libérer la biodiversité.

 

Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
3 juin 2015 02:10
Déforestation : 170 millions d’hectares pourraient disparaitre d’ici 2030, selon le WWF

Un nouveau rapport publié par le WWF estime à 170 millions d’hectares la portion de forêt qui disparaitra de la surface de la planète d’ici 2030, si rien n’est fait jusque-là.

Le développement des activités humaines engendre des dommages considérables sur les écosystèmes. Malheureusement, cette tendance ne va pas en s’arrangeant. C’est ce que suggère un rapport publié récemment par le WWF qui estime à 170 millions d’hectares la portion de forêt qui disparaitra de la surface de la planète d’ici 2030. Une estimation particulièrement préoccupante.

Imaginez une forêt s’étendant à travers l’Allemagne, la France, l’Espagne et le Portugal détruite en seulement 20 ans“, explique dans un communiqué Rod Taylor pour rendre compte de l’ampleur du phénomène. Pour en arriver là, le directeur du programme des forêts de WWF a mené avec ses collègues une étude approfondie sur la déforestation à travers le monde en se basant sur les tendances passées.

80% de la perte des forêts concentrés sur 11 régions sensibles

Les résultats de l’enquête mettent en évidence 11 zones les plus critiques, concentrant à elles seules 80% de la perte des forêts. Parmi ces régions, dix sont tropicales.

Celles-ci se situent notamment en Amazonie, à Bornéo, le bassin du Congo, et à Sumatra. Les zones sensibles sont également l’habitat d’un certain nombre d’espèces menacées, comme les tigres et les orangs-outans.

Actuellement, les principales causes de la déforestation sont l’expansion de l’agriculture et les élevages de bétail qui remplacent peu à peu les forêts naturelles. Mais l’exploitation minière, la collecte de bois de chauffage, l’exploitation non durable des forêts et les barrages hydroélectriques sont également des facteurs importants qui menacent les arbres de la planète.

Un effort collectif pour réagir

Selon le WWF, des décisions collectives sont de mise pour contrer ce phénomène. L’arrêt de la déforestation et de la dégradation des forêts “ne se produira pas par accident. Cela nécessitera un énorme effort collectif ainsi que des changements de politiques de la part des gouvernement et de l’industrie”, indique le rapport.

Le document a été publié à l’occasion du Sommet des paysages tropicaux qui se déroule à Jakarta en Indonésie. Rod Taylor a quant à lui, appelé à la collaboration afin que des mesures soient prises à travers le monde pour limiter les activités menaçant les forêts.

GS maxisciences

SOURCE

Le développement des activités humaines engendre des dommages considérables sur les écosystèmes. Malheureusement, cette tendance ne va pas en s’arrangeant. C’est ce que suggère un rapport publié récemment par le WWF qui estime à 170 millions d’hectares la portion de forêt qui disparaitra de la surface de la planète d’ici 2030. Une estimation particulièrement préoccupante.

Imaginez une forêt s’étendant à travers l’Allemagne, la France, l’Espagne et le Portugal détruite en seulement 20 ans“, explique dans un communiqué Rod Taylor pour rendre compte de l’ampleur du phénomène. Pour en arriver là, le directeur du programme des forêts de WWF a mené avec ses collègues une étude approfondie sur la déforestation à travers le monde en se basant sur les tendances passées.

80% de la perte des forêts concentrés sur 11 régions sensibles

Les résultats de l’enquête mettent en évidence 11 zones les plus critiques, concentrant à elles seules 80% de la perte des forêts. Parmi ces régions, dix sont tropicales.

Celles-ci se situent notamment en Amazonie, à Bornéo, le bassin du Congo, et à Sumatra. Les zones sensibles sont également l’habitat d’un certain nombre d’espèces menacées, comme les tigres et les orangs-outans.

Actuellement, les principales causes de la déforestation sont l’expansion de l’agriculture et les élevages de bétail qui remplacent peu à peu les forêts naturelles. Mais l’exploitation minière, la collecte de bois de chauffage, l’exploitation non durable des forêts et les barrages hydroélectriques sont également des facteurs importants qui menacent les arbres de la planète.

Un effort collectif pour réagir

Selon le WWF, des décisions collectives sont de mise pour contrer ce phénomène. L’arrêt de la déforestation et de la dégradation des forêts “ne se produira pas par accident. Cela nécessitera un énorme effort collectif ainsi que des changements de politiques de la part des gouvernement et de l’industrie”, indique le rapport.

Le document a été publié à l’occasion du Sommet des paysages tropicaux qui se déroule à Jakarta en Indonésie. Rod Taylor a quant à lui, appelé à la collaboration afin que des mesures soient prises à travers le monde pour limiter les activités menaçant les forêts.

GS maxisciences

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
27 mai 2015 00:27
La grippe française a tué davantage que l'Ébola africain !
La grippe française a tué davantage que l'Ébola africain !

( une "vieille française". Espèce en voie d'extinction, inscrite au patrimoine du bidule)

En seulement Deux chiffres la preuve qu'on nous prend pour des CONS !


Chiffre n° 1 :


La grippe hivernale a fait 18.300 morts, un record en France !
L'Institut de veille sanitaire (InVS) a dressé un bilan définitif de l'épidémie de grippe : 18.300 décès en France. Il s'agit du chiffre le plus élevé depuis la mise en place du système d'évaluation de la surmortalité hivernale, c'est-à-dire depuis l'hiver 2006-2007.


Source le JDD du 23/05/2015

Chiffre n° 2 :


Le nombre des morts dues à l'épidémie de fièvre hémorragique Ebola en Afrique de l'Ouest s'élève à 7 373 sur un total de 19 031 cas enregistrés dans les trois pays les plus touchés, selon le dernier bilan actualisé samedi 20 décembre de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Source le Monde du 21/12/2014

------- et tout à coup, je pense à ça :



moins de retraites à Payer en France ! Illico-presto !

....les salariés seront plus que jamais incités à prendre leur retraite à 67 ans, faute de quoi la décote sera douloureuse et pérenne.

Ceux qui liquideront leur retraite avant 67 ans subiront, selon le journal, des abattements dits «viagers», c'est-à-dire s'appliquant de manière définitive: 22% s'ils partent à 62 ans, 17% à 63 ans, 12% à 64 ans, 8% à 65 ans, 4% à 66 ans.

Ces mesures s'appliqueront à partir de la génération née en 1957.... Source
-------
20000 cas de décès majoritairement des plus de 65 ans dans un pays comme la France qui détient le.......Laboratoire Pasteur ????????
De qui se moque-t-on ?

Ce n'est pas un complot c'est, dans le meilleur des cas, de l'incompétence hissée au rang d'art !


En voie de disparition pour cause de paupérisation, malnutrition et manque de soins : le peuple français !

SOURCE

Publié par wendy à 09:54

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
12 mai 2015 01:59

 

Dr Matthew Watson de l’Université de Bristol au Royaume-Uni a déclaré aux médias récemment qu’il est “terrifié” par la plupart des projets de géo-ingénierie actuellement en travaux pour contrecarrer le changement climatique d’origine humaine, un phénomène utilisé comme une excuse pour les programmes de modifications artificielles météorologiques par beaucoup dans la science courante et présente ainsi ” une menace pour l’humanité. ‘

 

Dr. Watson a récemment déclaré au journal Daily Mail online ceci:

“… terrifié, parce que le potentiel pour un faux pas est considérable.”

Il travaille sur un projet de manipulation météorologique qui s’élève à 2.8 millions de $ et dit qu’il a si peur.Le projet permettra d’injecter des particules de soufre dans l’atmosphère de la Terre avec l’objectif déclaré de bloquer les rayons du soleil qui atteignent la Terre, sous prétexte d’empêcher la terre de devenir trop chaude. Le projet est appelé SPICE et docteur Watson mène l’étude.

Watson a déjà connu des revers, puisqu’un plan pour libérer un énorme ballon dans l’air pour libérer les particules de soufre avait été détruit sur des litiges en matière de brevets. Il dit que des millions ont déjà été dépensés sur la recherche bien que les scientifiques soient ‘ loin, à des décennies ‘ d’où ils veulent être etaucune étude connue sur les ramifications sinistres possibles de pulvérisation d’aérosol n’a été sortie au public.

Dr Watson a déclaré que le jour viendra où l’utilisation de ces technologies ne peut être évitée.

” Nous nageons, nous nous noyons dans dans l’ignorance. Cela me terrifie. Mais rien faire ne constitue pas une option. (…)”

 

Beaucoup se méfient aussi sur le fait que des particules d’aérosols soient nécessaires

“L’aérosol stratosphérique pour la géoingénierie est un terme générique pour les programmes de modification climatiques mondiaux en cours conduits par des puissances majeures dans le monde entier.” Les Aérosols “sont simplement un terme pour désigner une particule microscopique qui est en suspension dans l’air. Un premier objectif déclaré des programmes de géoingénierie est de fournir ” une protection solaire ” pour ralentir ” l’emballement du changement climatique “en vaporisant des dizaines de millions de tonnes de nano particules de métal hautement toxiques (un nanomètre est 1/1,000,000,000 d’un mètre) dans l’atmosphère par les avions à réaction.”

 

SOURCE

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
4 mai 2015 03:29

Un chercheur américain a découvert un moyen de remplacer les pesticides agricoles par des champignons naturels. Il ambitionne de révolutionner le secteur.

Remplacer les pesticides par des champignons! Telle est l'idée de Paul Stamets, un biologiste américain spécialiste reconnu de mycologie - l'étude des champignons, en termes profanes. Le brevet qu'il a déposé à ce sujet en 2006 est passé relativement inaperçu. Il pourrait néanmoins révolutionner l'agriculture mondiale, aux dépends des tentaculaires multinationales du secteur.

Paul Stamets. Une épine dans le pied du géant Monsanto depuis plus d'une décennie. Réapparue le mois dernier dans divers médias collaboratifs ou contestataires, sa découverte centrale est relative aux champignons entomopathogènes -parasitant les insectes. Par une opération biologique complexe, le chercheur en fait de redoutables tueurs d'insectes. Un test sur les fourmis lui a permis de constater l'efficacité de ce bio-pesticide, les cobayes se trouvant «momifiés» par le champignon. Le brevet qu'a déposé Stamets en 2006 couvre plus de 200.000 espèces et permettrait donc de lutter naturellement contre les parasites agricoles.

« Une technologie dérangeante »

Une fourmi « dévorée » par le champignon

« Cela pourrait réorganiser totalement l'industrie des pesticides dans le monde », s'exclame le Docteur en science du très sérieux National college of natural medicine de Portland. Soucieux de la santé des sols, il se réjouit de cette possibilité de décontamination des milieux polluées par les pesticides traditionnels, tels le célèbre Roundup de Monsanto. La diffusion de sa technologie provoquerait la mutation de toute l'industrie des pesticides.

Mais tout le monde ne l'entend pas de cette oreille. Le chercheur évoque, du propre aveu des cadres du secteur, « la technologie la plus dérangeante [...] jamais rencontré ». Dérangeante, cette révolution écologique le serait surtout financièrement, remettant en cause de juteux bénéfices. Ogre de l'activité, Monsanto génèrait en 2012 un chiffre d'affaire de 13,5 milliards de dollars par an.

 

Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
1 mai 2015 18:26
Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
1 mai 2015 01:21

Le fracking ou méthode d'extraction du gaz de schiste par fracturation hydraulique serait responsable de la hausse de l'activité sismique aux Etats-Unis, principalement en Oklahoma mais aussi au Texas, au Kansas, au Colorado, au Nouveau-Mexique et en Ohio, écrit le site Opinza.com.

Selon Mark Petersen, chef du United States Geological Survey (USGS), « ces séismes induits se produisent à un rythme beaucoup plus soutenu qu'auparavant et représentent un risque important pour la population qui vivent à proximité ».

En Oklahoma, les tremblements de terre d'une magnitude supérieure à 3 sur l'échelle de Richter ont augmenté ces dernières années. Toutes les zones où une hausse de l'activité sismique a été enregistrée sont proches de puits d'injection profonde de fluides ou de lieux où sont développés des procédés industriels susceptibles d'induire les tremblements de terre, explique Petersen.

Selon l'étude de l'USGS, l'injection d'eaux résiduelles augmente la pression des pores souterrains, ce qui peut provoquer des failles dans les alentours qui induisent des tremblements de terre.

La technique controversée du «fracking» est une méthode qui consiste à extraire le gaz de schiste et / ou le pétrole de schiste situé à grande profondeur en créant des fissures millimétriques dans la roche où le gaz est piégé.

L'apogée de la fracturation hydraulique résulte du boom énergétique des États-Unis dont la production d'énergie a sensiblement augmenté ces dernières années grâce à cette technique qui permet d'accéder à des poches de pétrole et de gaz qu'il était impossible d'atteindre auparavant.

Des groupes d'activistes écologiques ont à plusieurs reprises mis en garde contre les risques que comporte le fracking. Aux États-Unis, certains États comme New York ont par ailleurs interdit l'utilisation de cette méthode sur leur territoire. Toutefois, l'industrie défend le potentiel qu'offre cette technique afin d'aboutir à l'indépendance énergétique du pays.

Mark Petersen rejoint l'avis d'autres experts au sujets des risques pour l'environnement du fracking. En février dernier, Jeremy Grantham, co-fondateur du fonds d'investissement OGM, avait déclaré que le fracking était directement en cause dans l'envolée du nombre de séismes recensés dans ces régions aux États-Unis.

Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
28 avril 2015 18:24
Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
18 avril 2015 01:37
’avalanche des lois dites sociétales
’avalanche des lois dites sociétales

Misant sur notre ingénuité, de bons esprits voudraient nous convaincre que le parti socialiste ne représente plus la gauche. Les salles de rédaction, les professionnels de la communication, les arrières boutiques du pouvoir médiatique, bref tous les revendeurs du prêt-à-penser parlent et écrivent comme si la libéralisation économique de la France était en marche, et comme si nos budgets déficitaires relevaient de la rigueur ou de l’austérité.

Le seul débat permis sur ce point consiste d’ailleurs à disserter sur la différence entre deux concepts que personne, pourtant, n’a jamais définis de manière vraiment convaincante.

Quand peut-on parler de « rigueur » ?

Quand doit-on parler « d’austérité » ?

On sait ne plus vraiment. Mais la seule chose que l’on peut dire avec certitude est qu’aucun de ces deux mots ne s’applique à ce que font les gouvernements de l’Hexagone qui en savent que multiplier les faux droits et additionner les taxations.

Nous ignorons donc, en fait, à deux ans du scrutin présidentiel, son résultat.

Mais tout le monde fait semblant de le tenir pour acquis s’agissant de l’élimination de la gauche : certains pensent même que son candidat ne figurerait pas au second tour, comme en 2002.

Ceci explique peut-être la frénésie avec laquelle ses ministres s’emploient à légiférer dans un sens que « les républicains » auront beaucoup de mal à rectifier. Autre calcul en effet, la droite, ou ce qui en tient lieu reste très mal à l’aise pour revenir sur les mesures prises par la gauche, notamment parce que parmi ses dirigeants nombreux sont ceux qui partagent, craignent de contredire ou tout simplement approuvent les « avancées » de cette gauche que l’on peut considérer comme systématiquement « transgressive ». (1)

Première salve : dans la nuit du 12 au 13 mars, l’Assemblée nationale a adopté, en première lecture, une proposition de loi destinée à aggraver encore la déconstruction de notre société, par 436 voix contre 34.

Ceci donne la mesure du rapport des forces, entre le parti de la vie et le parti de la mort au sein de notre classe politique. À noter en revanche que le 9 mars, cinq responsables religieux – les représentants du christianisme, Mgr Philippe Barbarin, cardinal-archevêque de Lyon, le pasteur François Clavairoly, président de la Fédération protestante de France, Mgr Emmanuel Adamakis, président de l’assemblée des évêques orthodoxes de France, du judaïsme Haïm Korsia grand rabbin de France et le président de l’Union des mosquées de France Mohammed Moussaoui ­‑ avaient lancé un appel commun contre « la tentation de donner la mort, sans l’avouer, en abusant de la sédation » en rappelant que « l’interdit de tuer doit être préservé ».

Deux lois d’origine gouvernementale sont passées, sinon inaperçues en mars et avril – car elles ont reçu un large écho médiatique – mais finalement de façon presque consensuelle. Les mobilisations et protestations se sont sans doute exprimées au sein de l’assemblée nationale. mais ni celle-ci ni encore moins dans un second temps le sénat n’ont laissé, ne laissent, ni ne laisseront, autre chose transcription symbolique des opinions courageuses, mais minoritaires d’une poignée de représentants de la « minorité judéo-chrétienne ». Citons notamment MM. Xavier Breton, Nicolas Dhuicq, Hervé Mariton, Yannick Moreau et Jean-Frédéric Poisson.

Saluons aussi l’observation d’un praticien, le Dr Bertrand Galichon, urgentiste à l’hôpital Lariboisière, qui craint que « l’on passe d’une logique d’accompagnement de fin de vie – celle de la loi de 2005 – à une logique de gestion de la mort. C’est une rupture. » une de plus.Remarquons aussi les courageuses réserves exprimées par Luc Ferry.

La législation sur la fin de vie se rapproche de plus en plus de l’euthanasie. Le mot n’est plus prononcé mais la chose entre dans les esprits, plus efficacement encore de façon hypocrite, en étouffant les voix dérangeantes.

Le 18 février 2012, le candidat Hollande donnait le ton : il n’est pas favorable, assure-t-il, à l’euthanasie, mais au « droit de mourir dans la dignité ». (2)

À noter une fois de plus que le catholicisme a été gommé des comités d’éthique. Le point à retenir est que le « droit de mourir » a été transformé en « droit de liquider ». On en est même arrivé à parler de légiférer en faveur d’un « droit au suicide », médicalement assisté bien sûr et remboursé par la sécurité sociale sans doute.

Mais c’est encore plus le fourre-tout indécent de la loi « Touraine » qui devrait donner à réfléchir.

Cet amas bureaucratique de mesures, isolément chacune lourdes de sens, n’est guère combattu, là aussi, que par des parlementaires isolés, par une poignée d’intellectuels et par des intérêts sectoriels.

Il est salué par Le Monde qui en liste les avancées avec gourmandise.

Le tiers payant généralisé était promis par le candidat Hollande « les Français ne paieront plus chez le médecin. » Cela heurte encore, certes, les derniers représentants de la médecine libérale. Mais il s’agit bien d’un projet global de transgression, dont les salles dites « de shoot » ne représentent qu’une face émergée de l’iceberg. Il faut voir en regard l’intransigeance et l’intolérance des pourfendeurs du tabac.

Mars : loi sur la fin de vie. Avril : loi sur la santé.

Que nous réserve le joli mois de mai, qu’on appelait autrefois le mois de Marie ?

> Jean-Gilles Malliarakis anime un blog.

Apostilles :

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
10 avril 2015 17:30

Le mensonge dans lequel nous vivons (“The Lie We Live“) est un court-métrage écrit et réalisé par Spencer Cathcartqui donne son regard sur le monde actuel.

Vu sur : http://www.wikistrike.com/2015/04/le-mensonge-dans-lequel-nous-vivons-une-video-qui-fait-le-tour-du-monde.html

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
4 avril 2015 01:58

Ce documentaire de National Geographic se penche sur les expériences secrètes de la CIA menées pendant la guerre froide. Il se concentre principalement sur le contrôle de l’esprit et les techniques de lavage de cerveau qui s’y rattachent: hypnose, thérapie par électrochocs et par les drogues. Projet MK-ULTRA – Recherche sur la torture psychologique menée par la CIA au Québec

 

Plusieurs autres vidéos sur ce lien:

https://www.youtube.com/playlist?list=PLOspXEraIAercj8Vxrd5YKicRovq6sh7i

 

 

Source : http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
1 avril 2015 03:10
Futures coupes budgétaires de la Sécurité sociale des Français au bénéfice des clandestins

Les prestations familiales sont dans le viseur du gouvernement. Le projet de budget de la Sécurité Sociale pour 2015 prévoit en effet une série de mesures drastiques afin de parvenir à une économie de 700 millions d’euros pour la branche famille et 3,2 milliards pour la branche maladie.

Baisse des aides de garde à l’enfant, partage du congé parental, baisse de la prime à la naissance, réduction de la majoration pour âge, restriction des dépenses de santé, contrôle des prescriptions, développement de la chirurgie ambulatoire pour réduire la durée de séjour des patients… Voilà ce que nous prépare Marisol Touraine et le gouvernement socialiste pour l’année à venir.

J’ai eu beau fouiller et lire un grand nombre d’article, je n’ai absolument rien trouvé concernant l’Aide Médical d’État.

Pour ceux qui se demanderaient de quoi il s’agit, l’AME est un dispositif permettant aux étrangers en situation irrégulière de bénéficier d’un accès aux soins. Elle vous donne droit à la prise en charge à 100 % des soins médicaux et d’hospitalisation en cas de maladie ou de maternité dans la limite des tarifs de la sécurité sociale, sans avoir à avancer les frais.

Comprenez par là tous les soins (à l’exception des cures thermales et de l’aide à la procréation). Vous qui vous faites rembourser 10€ sur votre paire de lunette, soyez heureux car celles des clandestins sont prises en charge à 100% ! Pas besoin de complémentaire santé ! Vous qui n’avez pas les moyens de faire soigner vos dents, dites-vous que les personnes en situation irrégulière se font poser de belles couronnes en émail aux frais de la princesse.


En savoir plus sur http://lagauchematuer.fr/2015/03/30/futures-coupes-budgetaires-de-la-securite-sociale-des-francais-au-benefice-des-clandestins/#e00IDl17FukAvxDQ.99

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
29 mars 2015 01:36
Des traces de substances chimiques retrouvées dans presque 90% des rivières françaises

Les polluants sont partout. C’est le triste constat dressé par Commissariat général au développement durable (CGDD) qui constate des traces de substances chimiques dans près de 9 points de mesure sur 10 des cours d’eau et nappes phréatiques françaises.

Si 89% des cours d’eau sont pollués, près de 5% d’entre eux dépassent même les normes autorisés sur les pesticides, constate le CGDD.

Les plus fortes concentrations se situent dans les régions céréalières et viticoles, dans le Bassin parisien, les Pays de la Loire, le Sud-Ouest et le couloir du Rhône.

Et ce n’est pas tout, car les eaux souterraines sont également polluées à 71%, toutes les régions étant concernées à l’exception de la Corse.

Source

vu sur : http://www.wikistrike.com/2015/03/des-traces-de-substances-chimiques-retrouvees-dans-presque-90-des-rivieres-francaises.html

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
28 mars 2015 03:12
LA LOI SANTÉ: UN TEXTE DU 20È SIÈCLE POUR UN…

Les débats sur la loi santé mettent une fois de plus en avant la rupture profonde entre une classe politique coupée des réalités contemporaines et les enjeux de plus en plus urgents d’une véritable innovation dans les politiques publiques – innovation savamment boudée par les décideurs publics.

Une loi obsolète et étatisante

Il suffit de lire la foisonnante loi santé pour comprendre qu’il s’agit d’un texte obsolète, conçu par une technocratie à la dérive dont les réflexes les plus inadaptés sont à l’oeuvre: comitologie interminable, échafaudages incompréhensibles et purement théoriques, prise de contrôle par l’Etat de tout ce qui lui échappe. Le paradoxe de notre époque est d’avoir un Etat au bord de la faillite, incapable de contrôler ses dépenses, mais qui se considère comme indispensable à la maîtrise de celles-ci.

Qu’on en juge par soi-même:

– dès l’article 1, la loi pose que la politique de santé relève de la responsabilité de l’Etat. L’Etat responsable de la santé des Français? L’affirmation mériterait d’être longuement discutée;

– l’article 12 crée les « services territoriaux de proximité » qui organisent les soins de proximité et les parcours de santé, avec de fortes incitations financières de l’Etat;

– l’article 26 met en place le « service public hospitalier », qui peut englober l’hospitalisation privée, à condition que celle-ci se plie aux règles du jeu du public. Si on ne peut pas encore parler de nationalisation de fait des hôpitaux privés, on peut en revanche y voir une satellisation qui privera les établissements privés de toute forme d’autonomie;

– l’article 27 crée les « groupements hospitaliers de territoire » qui permettent de coordonner des politiques locales;

– l’article 40 invente le « plan national de gestion du risque » qui s’impose aux organismes de sécurité sociale.

On voit comment la santé devient peu à peu un appendice de l’Etat, à un moment où les dépenses publiques dépassent les 55% de PIB, un sommet historique. Manifestement, ces cimes ne découragent pas la technostructure qui entoure la ministre de la Santé, et celle-ci ne trouve nul motif à modérer les ardeurs de ses conseillers. On imagine sans peine le délice que certains énarques ont connu en rédigeant nuit et jour un texte qui étatise déraisonnablement. Certains ou certaines seraient mieux inspirés de passer leur samedi soir en boîte de nuit plutôt qu’au bureau!

Dans la pratique, Marisol Touraine endosse une logique du siècle passé: tout problème de service au citoyen appelle une réponse complexe dont le fondement consiste à développer la sphère de l’Etat.

L’Etat est pourtant la source de nombreux maux en santé

En posant de façon implicite l’idée que l’étatisation de la santé garantit une amélioration du service rendu au citoyen et une maîtrise des dépenses, Marisol Touraine comment pourtant une double erreur.

Premièrement, et à en juger notamment par les innombrables grèves qui immobilisent les hôpitaux, l’Etat a clairement démontré son incapacité à gérer efficacement le service public hospitalier. Entre les petits hôpitaux déficitaires qui sont maintenus en vie à bout de bras et l’opacité budgétaire des grands hôpitaux, on voit mal comment un nouveau saut dans l’étatisation, et comment l’annexion de fait de la médecine de ville, pourrait améliorer un tant soit peu la situation financière de notre système. Dans la pratique, la loi permettra à quelques fonctionnaires de pratiquer des coupes sombres dans les budgets sans la moindre réflexion sur l’efficience de ces décisions. Comme la sphère de décision de ces fonctionnaires va s’élargir, l’effet de leurs décisions sera encore plus éloigné d’eux qu’aujourd’hui. La loi ne diminuera pas les dépenses, elle fonctionnarisera un peu plus la santé.

Deuxièmement, l’Etat s’est jusqu’ici montré totalement incapable de protéger les citoyens et les patients. Au contraire, il leur a largement nui. Le scandale du Mediator en est le meilleur exemple: plusieurs centaines de patients sont morts à cause d’un médicament remboursé par la sécurité sociale. Personne, dans le système de santé français, ne s’est jamais interrogé sur la responsabilité de la technostructure dans ce laissez-faire collectif. On pourrait probablement dire la même chose de l’explosion du cancer du sein due aux pilules contraceptives – scandale sanitaire passé sous silence.

La loi Touraine lutte contre le 21è siècle

Fondée sur une logique obsolète, la loi Touraine ne se contente pas de reprendre les méthodes éculées de l’énarchie finissante, elle est aussi bien décidée à lutter contre tout progrès. Les dispositions sur l’open data santé en constituent la meilleure illustration. La loi Touraine prévoit en effet la mise en place d’un grand fichier sur les données de santé. Mais, comme d’habitude, elle en réserve l’accès aux organismes publics. Ainsi, si un acteur privé souhaite avoir accès aux données, il devra néanmoins passer par l’intermédiation d’un laboratoire public pour espérer voir sa demande satisfaite.

La technostructure étatique réitère ici sa volonté de conserver le monopole des données publiques et de lutter pied à pied contre une révolution numérique qui l’obligerait à trop de remises en cause.

Pourtant, les dispositions de la charte sur le droit à l’oubli en matière de risque aggravé de santé viennent de prouver une fois de plus que l’accès privé aux statistiques publiques de santé a un double effet direct: il améliore le pouvoir d’achat des assurés en tarifant mieux le risque qui leur est facturé, il permet de mieux maîtriser les dépenses publiques en évaluant de façon plus précise le coût des prises en charge.

Le bon sens, pour Marisol Touraine, serait d’inverser sa loi: de diminuer le poids de l’Etat et de rendre aux citoyens la responsabilité de leur propre santé. Malheureusement, dans l’agonie collective que nous subissons, la technostructure qui rédige des lois incompréhensibles est bien décidée à défendre becs et ongles son gagne-pain.

vu sur : http://www.eric-verhaeghe.fr/la-loi-sante-un-texte-du-20e-siecle-pour-un-sujet-du-21e-siecle/

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
27 mars 2015 02:10
AVANT DE VOUS TUER TOTALEMENT, ILS PRÉLÈVERONT DES PIÈCES DÉTACHÉES!

Nous vivons vraiment très dangereusement! Après les 543 tueurs de l’Assemblée nationale qui viennent de voter une loi autorisant la sédation profonde pour mieux vous tuer , l’amendement mettant vos données médicales en libre service pour qui voudra bien les utiliser… Ces assassins, que nous rémunérons grassement, en les appelant parlementaires, vont encore frapper avec le prélèvement d’organe préalable en état de mort céphalique! Et pas un seul ne s’élève contre…

La mort céphalique est déclarée quand est constatée une perte irréversible de la capacité de conscience associée à la perte irréversible de toutes les fonctions cérébro-troculaires, incluant la capacité de respirer. A savoir que certains facteurs peuventinduire en erreur et inciter à diagnostiquer la mort crébrale dont une intoxication, des désordres métaboliques, certaines maladies neuro-musculaire, des bloquants neuro-musculaire et la sédation… celle qui sera utilisée pour vous euthanasier. Vous avez compris ‘l’astuce », enfin, le crime avec préméditation qui va être légalisé?

Et qui dit dons d’organes dit trafics…

Et oui! Le recyclage est très tendance. Et comme d’entre nous 40% s’y refuse, on va nous y obliger! Vous avez pensé état totalitaire?

Et si on commençait par recycler tous ces vendus-traitres-amoraux en les renvoyant à la base! Aucune inquiétude pour leur train de vie, sans vous en aviser et à l’unisson, outre ce qu’ils ont mis à « gauche’… Les élus viennent de se voter un an de très confortables émoluments en cas de « licenciement ».(NDLR)

________________________

Un amendement inséré dans la loi Santé de Marisol Touraine vise à faciliter le prélèvement d’organes sur une personne décédée. s’il est adopté par le Parlement, il renforcera le principe du consentement présumé, levant l’obligation faite aux médecins de consulter la famille du défunt qui sera simplement «informée des prélèvements envisagés et de la finalité de ces prélèvements».

Le prélèvement d’organes pourrait devenir plus systématique lorsque le défunt n’a pas exprimé de refus de son vivant. Un amendement dans ce sens, intégré au projet de loi Santé défendu par la ministre Marisol Touraine, a été adopté dans la nuit du 19 au 20 mars par la commission des Affaires sociales à l’Assemblée.

Il renforce le consentement présumé au don d’organes pour lutter contre le manque de greffons disponibles. Cette mesure, si elle est adoptée, lèverait l’obligation faite aux médecin de consulter la famille qui peut opposer un refus.

Cet amendement, présenté par les députés Jean-Louis Touraine et Michèle Delaunay, est soutenu par le gouvernement. Il prévoit qu’à partir de 2018 les proches de personnes décédées ne seront plus consultés, mais seulement «informés des prélèvements envisagés et de la finalité de ces prélèvements».

La loi actuelle prévoit déjà le consentement présumé au don d’organes, c’est-à-dire que le prélèvement peut être pratiqué dès lors que la personne décédée n’a pas fait connaître son refus de son vivant. Refus qui peut aujourd’hui être exprimé par tout moyen, l’inscription sur un registre national des refus, mais également par le biais des proches, systématiquement interrogés sur une éventuelle opposition au don d’organes exprimée de son vivant par le défunt (si son nom ne figure pas dans le registre national).

Mais, pour Jean-Pierre Scotti, président de la Fondation Greffe de vie qui milite pour une modification de la loi actuelle, il est très difficile pour des proches «dans la douleur» de répondre oui en l’espace de quelques instants. Ils ont tendance par précaution à refuser le prélèvement, «quitte à le regretter par la suite», selon lui.

Un taux de refus en augmentation

Le taux de refus de prélèvement est passé de 9,6% en 1990 à 33,7% en 2012, voire à près de 40% si on s’en tient aux greffons utilisables, alors même que, selon un sondage réalisé en 2013 par Opinion Way, seuls 21% des Français seraient hostiles aux dons d’organes. Seulement 100 000 personnes se sont inscrites à ce jour dans le registre national des refus.

Or, selon la Fondation Greffe de vie, 19 000 personnes sont aujourd’hui en attente d’une greffe en France. Un nombre qui augmente beaucoup plus vite que celui des greffons disponibles. «1% de refus équivaut à 100 greffons» relève la Fondation qui estime qu’en réduisant le taux de refus, «on pourrait éviter que 500 à 700 personnes meurent chaque année par manque de greffons».

Pour Yvanie Caillé, la directrice de l’association de malades et greffés du rein Renaloo, court-circuiter l’avis des familles «n’est pas forcément la mesure la plus efficace et la plus souhaitable» pour augmenter les dons d’organes. «Je crains des réactions délétères des familles qui risquent de se sentir agressées par l’application stricto sensu de ce texte», relève-t-elle, en soulignant l’importance d’un «dialogue» entre les parents et les équipes de coordination, comme c’est le cas en Espagne où le taux de refus atteint seulement 15%.

C’est en «accompagnant les familles plutôt qu’en leur extorquant un consentement» qu’on réussira, estime-t-elle, à faire augmenter les dons d’organes. Mais elle préconise également d’autres mesures comme le développement des prélèvements sur des donneurs vivants -possibles notamment pour un organe comme le rein- et sur des donneurs décédés après un arrêt cardiaque.

Source

vu sur : http://www.delitdimages.org/avant-de-vous-tuer-totalement-ils-preleveront-des-pieces-detachees/

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
27 mars 2015 02:08
Pourquoi la conférence climat 2015 est une escroquerie
Pourquoi la conférence climat 2015 est une escroquerie

Philippe de Larminat démontre que le réchauffement est très directement lié (corrélé) à l'activité solaire, alors que le GIEC n'attribuait à celle-ci qu'un rôle marginal ou nul dans le réchauffement.

Lorsque les médecins commencèrent à soupçonner le tabac de favoriser l’apparition du cancer des poumons, les grands cigarettiers avaient beau jeu de mettre en avant tel ou tel qui, en bonne santé passé 80 ans, avait fumé deux paquets de cigarettes par jour depuis son adolescence.


Le mode d’action du tabac n’était pas connu et il était très difficile à mettre en évidence.
Mais quand des médecins, au début des années cinquante, utilisèrent les statistiques pour comparer des populations (des cohortes) de fumeurs (plus ou moins « gros » fumeurs) et de non-fumeurs, la réponse fut immédiate : le tabac jouait un rôle majeur et indiscutable dans l’apparition de la maladie.
Quel rapport avec le climat, me demanderez-vous ?
J’y viens.
Jusqu’à l’année dernière, les modélisations du GIEC étaient contestées par des chercheurs qui leur opposaient leurs propres modélisations.
Il était impossible au non-spécialiste de savoir qui croire.
Il y avait nécessairement au moins une des deux thèses qui était fausse, voire les deux.
Bien sûr, les révélations à propos de courriers internes au GIEC faisant état de choses cachées affaiblissaient la thèse du GIEC, de même que l’intervention des États dans la rédaction du « Rapport aux décideurs ».
Bien sûr, l’extraordinaire qualité des interventions de Vincent Courtillot, sa modération, poussaient à lui faire confiance lorsqu’il affirmait qu’il n’était nul besoin de faire intervenir l’activité humaine pour expliquer le réchauffement rapide du globe durant les trente dernières années du siècle dernier.

Lire aussi : Conférence Climat Paris 2015 : offrons des vacances à M. Hulot

Bien sûr, enfin, le fait que les modèles du GIEC n’avaient absolument pas prévu l’arrêt du réchauffement des dix-sept dernières années, et qu’il fallait faire appel aux couches profondes de l’océan pour affirmer que le réchauffement continuait, mais « en cachette », laissait planer un sérieux doute.
Pourtant, on restait thèse contre thèse, modèle contre modèle.
Quand Philippe de Larminat (Changement climatique) publie son travail, c’est comme lorsque les médecins utilisèrent les statistiques pour mesurer l’impact du tabac : une révolution.
On n’est plus modèle contre modèle : on sait, maintenant, que l’activité humaine n’est pas en cause dans le réchauffement.

Philippe de Larminat démontre que le réchauffement est très directement lié (corrélé) à l’activité solaire, alors que le GIEC n’attribuait à celle-ci qu’un rôle marginal ou nul dans le réchauffement.

Ce que démontre Philippe de Larminat, c’est que Vincent Courtillot avait raison, depuis longtemps. La conférence climat 2015 est donc une escroquerie.

Ce qui n’empêche pas d’envisager la transition énergétique pour d’autres raisons.

vu sur : http://by-jipp.blogspot.fr/2015/03/pourquoi-la-conference-climat-2015-est.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+blogspot/ojiPR+(Ma+France)

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
22 mars 2015 15:47

Source de la pollution, les mines de charbon allemandex, en particulier Garzweiler

D'où vient la pollution parisienne qui fragilise votre santé, en particulier celle des femmes enceintes, des jeunes enfants et des personnes âgées ?

En y regardant de plus près, la pollution est allemande. Cf la carte ci-dessus. Les responsables: les mines de charbon du nord-ouest de l'Allemagne, hyper polluantes. En 2013, après sa sortie du nucléaire décidée par Angela Merkel, le pays se tourne vers d'autres productions énergétiques, ainsi née une mine de lignite géante à ciel ouvert de 48km² à Garzweiler 2, soit la taille de la ville de Lyon. Celle-ci semble bien être la première en cause dans le phénomène désastreux de pollution qui a envahi Paris depuis plusieurs jours à la "défaveur" d'un vent de nord-est qui pousse le crottin d'outre-Rhin vers la France, en passant par la Belgique.

Un danger remplace l'autre

En Allemagne, la fin du nucléaire et les besoins en énergie ne riment pas forcément avec l’idée d’environnement et de développement des énergies renouvelables. En témoigne ce reportage de l’AFP (lire ici) qui raconte comment le producteur d’électricité RWE agrandit une gigantesque mine de lignite dans la Ruhr, obligeant les habitants à déménager.

Ainsi, il est important que France, Allemagne, et l'ensemble des pays de l'ouest européen s'entendent pour éviter ce genre de pollution en y mettant un peu plus que d'ordinaire de l'entrain pour développer les énergies renouvelables. Sortir du nucléaire dangereux est une évidence, mais si cela l'est pour engendrer un autre danger pour les populations, cela ne servait à rien.

Avec l'apparition de cette mine hors-norme à ciel ouvert qui crache leurs fumées en direction de la France et de Paris, ce que nous ne voyons plus de la capitale et ressentons dans nos poumons se reproduira.

A noter que ce nuage venu d'Allemagne fait de Paris la ville la plus polluée au monde par habitant, devant la Chine !

L'Allemagne et son impunité

Pendant que Bruxelles dort profondément, ce sont les organismes les plus fragiles qui trinquent. A poursuivre dans cette voie, nous pouvons que craindre le pire pour les années à venir. Les paroles doivent cesser, il faut agir. Hélas, l'Allemagne qui a sous domination l'Europe entière semble saloper celui-ci en toute impunité.

Des solutions pour Paris ?

En cas de pic de pollution à Paris, plusieurs actions simples peuvent être envisagées.

La première: Faire comme au Danemark, prélévé directement les abonnements des transports en commun sur les salaires, ainsi les transports deviendraient accessibles à tous et à moindre frais. Ceci pousserait également les franciliens à les prendre les jours de grande pouasse. Mieux, pour les habituer, cela diviserait au moins par trois le coût mensuel quand pour les autres qui ne voudraient pas les prendre, ce prélèvement s'apparenterait à une taxe. Il faut assumer. Pour que cela fonctionne, il faut également que le réseau francilien gagne en qualité et bien sûr, il y aurait des dérogations. Cette proposition simple

Ghisham Doyle pour WikiStrike

vu sur : http://www.wikistrike.com/2015/03/la-nouvelle-mine-de-lignite-allemande-de-48km-responsable-de-la-pollution-parisienne.html

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
20 mars 2015 02:22

1 euro symbolique. Voilà ce qui est demandé à chaque patient à l'issue d'une consultation chez le médecin, "afin de préserver notre système de santé" comme le prévoyait son introduction en 2005. Mais comme les patients n'auront bientôt plus à avancer les frais, comment prélever cet euro ? L'Assurance Maladie a peut-être une idée...

Une option envisageable

L’extension du tiers-payant (la dispense d’avance de frais) ayant été annoncée, malgré la bronca des médecins, le gouvernement se demande comment il va récupérer cet euro ! Et pourquoi pas en le prélevant directement sur votre compte bancaire ? C’est du moins le scénario envisagé par la secrétaire d'État chargée de la Lutte contre l'exclusion, comme le rapporte Le Figaro. Il suffirait que les patients donnent leurs coordonnées bancaires à l’Assurance maladie, et le tour est joué !

Soucieuse de ne pas jeter de l'huile sur le feu, la ministre de la Santé Marisol Touraine cherche à calmer le jeu : "L'option de prélèvement des franchises n'a pas encore été arrêtée", précise son entourage.

Une participation forfaire demandée à tous

Actuellement, à chaque fois que vous allez chez le médecin, la Sécu rembourse une partie des frais (70% en moyenne), la Mutuelle, si vous en avez une, les 30% restants. Reste à votre charge une sorte d’euro symbolique, en guise de participation forfaitaire.

Elle s'applique pour toutes les consultations ou actes réalisés par un médecin, mais également sur les examens radiologiques et les analyses de biologie médicale. Le montant total de la participation forfaitaire est plafonné à 50 euros par an et par personne. Actuellement, elle est déduite automatiquement du montant des remboursements.

Par exemple, pour une consultation chez un généraliste : la consultation, qui coute 23 euros, est remboursée à 70%, soit 16,10 euros. C'est à ce montant que l'on soustrait la participation forfaitaire de 1 euro. Le montant remboursé par l'Assurance Maladie sera donc de 15,10 euros.

vu sur : http://www.economiematin.fr/news-l-assurance-maladie-pourrait-prelever-1-euro-sur-le-compte-bancaire-de-chaque-patient

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
19 mars 2015 01:48
Pesticides : contamination généralisée des eaux de surfaces

Le Commissariat Général au Développement Durable (CGDD) vient de fournir les dernières données[1] sur la présence de pesticides dans les eaux....et les nouvelles ne sont pas bonnes !

Les données du CGDD sont des données 2012 qui viennent d'être traitées et publiées en ligne sur le site du MEDDE. Les résultats ont de quoi inquiéter et montre une contamination généralisée :

- Il y a des pesticides dans 89% des points de mesures en eau de surface. Dans 26% des points de mesures c'est même 20 pesticides et plus que l'on retrouve, dans + de 51% des points plus de 11 pesticides différents ! Au niveau des cours d'eau, 602 pesticides différents ont été identifiés.

- Les 2 molécules les plus quantifiées dans les cours d'eau sont le glyphosate et son principal métabolite l'AMPA

- Il y a des pesticides dans 71% des points de mesures en eau souterraine. L'atrazine et ses métabolites restent en tête des molécules retrouvées...mais l'AMPA fait son entrée dans le top 15 des molécules retrouvées.

- Dans les cours d'eau les normes DCE pour les pesticides sont dépassées dans 5% des cas, dans les nappes phréatiques elles le sont dans 19% des cas.

« Les pesticides sont présents dans quasiment toutes les analyses réalisées dans les masses d'eau de surface et dans les 3 quarts de celle réalisées dans les nappes : cela montre une contamination généralisée de l'environnement aquatique par ces molécules dangereuses. » déclare François Veillerette, porte parole deGénérations Futures.

« Le glyphosate (la principale matière active d'herbicide au monde, un perturbateur endocrinien[2]) et son principal métabolite l'AMPA sont maintenant les principaux pesticides retrouvés dans les eaux de surface devant les métabolites de l'atrazine, autre perturbateur endocrinien. Nous sommes donc très inquiets quant aux conséquences sanitaires à long terme de la présence de ces molécules dans les eaux qu'on pourra ensuite retrouver dans les eaux distribuées. » ajoute t'il.

Notes :

[1] Le 9 mars 2015 : http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/lessentiel/s/pesticides-eaux.html?tx_ttnews[tt_news]=10945&tx_ttnews[catdomaine]=1108&cHash=e76a3d2213576e5fbab226ea387516e2

[2] François Veillerette et Marine Jobert ont publié le 12 mars dernier le livre : »Perturbateurs endocriniens, la menace invisible' Ed Buchet Chastel voir :http://www.perturbateurs-endocriniens.fr/

Source

vu sur : http://www.wikistrike.com/2015/03/pesticides-contamination-generalisee-des-eaux-de-surfaces.html

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
16 mars 2015 02:50
Sécurité sociale : la suppression des franchises médicales pour les bénéficaires de l’ACS va coûter 250 millions par an
Sécurité sociale : la suppression des franchises médicales pour les bénéficaires de l’ACS va coûter 250 millions par an

Depuis l’annonce, en septembre 2013, de la généralisation de l’avance de frais chez les médecins, le gouvernement réfléchit à la manière de récupérer malgré tout la partie de la consultation qui doit être payée directement par le patient.

À savoir la franchise d‘un euro par consultation. [...] «Pour sécuriser ce recouvrement, il est proposé d’introduire dans le projet de loi relatif à la santé, dont le Sénat débattra d’ici à quelques semaines, le principe d’un paiement par prélèvement bancaire après autorisation de l’assuré, et de conditionner le bénéfice du tiers payant à cette autorisation de prélèvement», a-t-elle indiqué devant les sénateurs, jeudi matin.

[...]

À plus court terme, le ministère de la Santé a dû trouver une parade pour résoudre le problème de la récupération de la franchise auprès des bénéficiaires de l’Aide à la complémentaire santé (ACS).Ces patients pauvres bénéficieront du tiers payant théoriquement dès le mois de juillet. Le gouvernement a donc décidé de tout simplement… supprimer la franchise pour les ACS. [...]

Source

[...] Le Parlement a, certes, voté en décembre la fin des franchises pour ceux qui perçoivent l’aide à la complémentaire santé (ACS), un geste qui va coûter 250 millions en année pleine. « Mais si on supprimait toutes les franchises pour généraliser le tiers payant, cela coûterait 800 millions d’euros », prévient la FMF. [...]

Source

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
6 mars 2015 18:30
Médecins du Monde impose la fusion de l’AME et la CMU, les français paieront pour les immigrés

Médecins du Monde (MdM) a appelé mardi 25 février les parlementaires à modifier le projet de loi santé. L’association fondée par Bernard Kouchner quitte son rôle de mission humanitaire pour s’auto-proclamer agent intervenant politique.

Et quelle mission puisqu’elle consiste à apporter des soins à une population clandestine donc hors-la-loi avec l’argent des contribuables déjà taxés à l’envi. Ainsi les nécessiteux de la terre entière viendraient légalement bénéficier des aides faites aux indigents nationaux grâce à cette fusion AME/CMU.

Seuls les actifs, en somme, porteraient la charge très lourde de la sécurité sociale, non seulement pour les précaires, mais aussi pour les “sans-papiers” toujours plus nombreux sur notre sol. L’AME étant déjà une aberration et une incitation à l’immigration. L’idée de la fusionner avec la CMU a pour but d’abroger le droit d’entrée ou franchise.

– Tiers payant obligatoire et salles de shoot

L’association félicite de sa hauteur certaines dispositions prises par le gouvernement pour la santé comme la généralisation du tiers payant (dispense d’avance de frais) ou l’expérimentation de salles de shoot, destinées à réduire les risques liés à la consommation de drogue selon elle.

Pour Médecin du Monde donc, c’est comme sur le net tout est gratuit et tout de suite, sauf que dans la réalité des gens travaillent pour pouvoir payer à d’autres.

Quant aux conséquences néfastes de la drogue, au lieu d’en faire l’apologie, de favoriser sa consommation, il semble plus subtil d’apporter des solutions de soin et des mesures pénales plus dissuasives. Les salles de shoot vont être des lieux de rassemblement pour toxicomanes et le quartier hôte en souffrira quand des centres thérapeutiques pourront apporter une seconde chance à la jeune personne qui s’est laissée piégée et le remettre dans les rails de la vie socio-professionnelle.

La prison en retrouvant son rôle dissuasif ferait reculer quelques vocations de trafiquants ou à défaut pourrait les éloigner de la vie civile.


En savoir plus sur http://lagauchematuer.fr/2015/03/03/medecins-du-monde-impose-la-fusion-de-lame-et-la-cmu-les-francais-paieront-pour-les-immigres/#ppeUP5GMVZfdlhhh.99

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
5 mars 2015 02:39
Réseau d’arnaque aux faux malades : les sans-papiers régularisés grâce à cette magouille

Les français ne veulent plus de l’entrée sur notre territoire de nouveaux immigrés. Et malgré les dires de nos bonnes consciences médiatiques la cote d’alerte a été atteinte il y a de cela plus de 35 ans. Les français rejettent toute cette nouvelle misère de l’hémisphère sud, ils sont 69% à ne plus supporter l’arrivée massives de sous-socialisées et sur-subventionnées.

Seulement la démocratie d’opinion mais surtout la volonté du peuple sont balayées par nos élites mondialisées, celles-ci par la force importent plus de 400 000 nouveaux immigrés par an. Nos gouvernants pour faire passer la pilule à des concitoyens toujours plus contestataires mais surtout allergique à une invasion étrangère, ont déniché la solution miracle pour que nos tiers-mondistes aient des titres de séjours réguliers pour la France.

L’immigré malade.

Pensant secourir la veuve et l’orphelin de l’étranger au détriment de l’autochtone, nos gouvernants permettent à des malades du monde entier sans le sou de venir sur notre sol afin d’y être soigné de maladies plus que coûteuses.

« L’article L 313-11-11° du CESEDA (code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile) prévoit la possibilité pour l’étranger dont l’état de santé nécessite une prise en charge médicale de solliciter une carte de séjour temporaire portant la mention “vie privée et familiale”.

La délivrance de cette carte de séjour temporaire est conditionnée d’une part par la justification des conséquences d’une exceptionnelle gravité que le défaut de prise en charge médicale pourrait entraîner et d’autre part par l’absence de la possibilité pour l’étranger de bénéficier d’un traitement approprié dans son pays d’origine.

Concernant la deuxième condition, avant les deux décisions du 7 avril 2010, le Conseil d’Etat refusait la prise en compte de la question du coût des traitements dans le pays d’origine pour apprécier leur accessibilité.

Dorénavant le Conseil d’Etat estime que l’absence de modes de prise en charge adaptés et les circonstances exceptionnelles tirées des particularités de la situation personnelle de l’étranger doivent être pris en compte.

Ces deux décisions favorables aux étrangers malades sollicitant leur admission au séjour permettront désormais de faire valoir notamment que si les soins nécessaires existent dans leur pays d’origine, ils ne leur sont pas accessibles en raison notamment du coût de traitement. » CE 7 avril 2010 n° 316625 et CE 7 avril 2010 n° 301640

Une nouvelle brèche où s’engouffrent des dizaines de milliers de clandestins. Ces derniers utilisent leur maladie plus ou moins grave avec l’assurance d’être régularisés et de séjourner au moins 10 ans en France. De toute façon même sans la carte de séjour, l’expulsion est une exception, puisqu’on en compte moins de 20 000 par an dont la moitié sont des Roms.

Seulement quand il y a une brèche, il y a des passeurs, des mafias, du banditisme et forcément de la fraude. Ainsi, plusieurs milliers de clandestins avec l’aide de passeurs utilisent de faux malades afin de recevoir de vrais papiers.

L’Etat n’y voyant pour la plupart du temps que du feu, et même si les policiers pour stopper cette délinquance font un formidable travail.

Alors nos amis progressistes me demanderont ce que moi si j’étais législateur je ferai. Il est évident qu’une personne étrangère n’ayant pas les moyens de la prise en charge de sa santé, ne peut rester en France. D’abord pour des raisons de coûts plus qu’évidents, les français n’ont pas par leurs impôts devenus spoliateurs financés les problèmes médicaux de l’ensemble de la planète.

Souvent je débats avec des lecteurs de gauche, et à chaque je leurs dis « Pourquoi la France doit accepter, ce que les autres ne veulent pas ? ». Les américains ont des assurances privées qu’ils paient chères, si celles-ci ne couvrent pas une maladie en question, ceux-ci l’ont dans l’os.

Nous avons la chance d’être si nous cotisons couvert par une assurance publique même s’il y a beaucoup à dire sur elle, le législateur a permis à ceux qui ne cotisent pas d’en bénéficier, ce qui est une erreur, pourquoi diable devons-nous mettre en péril un acquis du gouvernement provisoire pour des étrangers arrivés hier sur le sol français ?

Nous n’avons pas à le faire, et nous devons obliger nos gouvernants à le cesser. Ce n’est pas de la générosité d’importer des dizaines de milliers de malades, ça s’appelle un suicide.


En savoir plus sur http://lagauchematuer.fr/2015/03/03/reseau-darnaque-aux-faux-malades-les-sans-papiers-regularises-grace-a-cette-magouille/#xZdyJP3rq0EZRi0F.99

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science
3 mars 2015 03:35
Santé : ces coupes dans les budgets des hôpitaux qui vont faire mal

Marisol Touraine a présenté, à huis clos, les 3 milliards d’économies prévues. Quelque 860 millions proviennent de la “maîtrise de la masse salariale”, soit l’équivalent de 22.000 postes.

En pleine épidémie de grippe, cela ferait désordre. En visite aux urgences de l’hôpital La Pitié Salpêtrière à Paris vendredi 27 février, Manuel Valls et Marisol Touraine se sont auto-congratulés d’avoir réagi “avec détermination” et “au bon moment” face au pic de la maladie.

En revanche, le Premier ministre et la ministre de la Santé n’ont pas dit mot sur les économies prévues dans les budgets des hôpitaux d’ici à 2017.

Depuis quelques semaines, le gouvernement dispose pourtant du plan détaillé des 10 milliards d’économies sur les dépenses de santé annoncé il y a presqu’un an.

Facture détaillée

Le 2 février, lors d’une réunion à huit clos avenue Duquesne, Marisol Touraine a présenté les efforts demandés aux hôpitaux à quelques hauts fonctionnaires. D’après un document du ministère de la Santé, que Challenges Soir s’est procuré, la facture s’élève au bas mot à 3 milliards sur 3 ans.

La mutualisation des achats des hôpitaux et l’obtention de meilleurs tarifs auprès des fournisseurs doivent dégager 1,2 milliard. Les baisses de prix des médicaments et des dispositifs médicaux les plus coûteux rapporteraient 350 millions et les synergies liées aux rapprochements entre hôpitaux voisins quelque 450 millions.

Plus sensible, le développement de la chirurgie dite “ambulatoire”, sans nuit à l’hôpital, doit générer 400 millions et la réduction des durées d’hospitalisation 600 millions. Le ministère affiche un objectif ambitieux de 57% d’opérations effectuées en ambulatoire en 2017, contre 43 % aujourd’hui, et estime à 15.000 le nombre de “réhospitalisations” qui pourraient être évitées.

“Le sujet est explosif, confie un connaisseur du dossier, puisque ces gains reposent majoritairement sur la réduction des dépenses de personnel”.

Le ministère de la Santé table sur une “maîtrise de la masse salariale” de l’ordre de 860 millions soit l’équivalent de 22.000 postes et 2% des effectifs de la fonction publique hospitalière.

Médecins surveillés

Les médecins des hôpitaux seront mis à contribution sur d’autres postes budgétaires. Comme leurs collègues libéraux, ils devront prescrire de plus en plus de médicaments génériques et limiter les examens redondants. Les enjeux ne sont pas minces. L’amélioration de la pertinence des soins doit permettre d’économiser 3,1 milliards sur l’ensemble des dépenses de santé et la montée en puissance des génériques et biosimilaires 1,3 milliard. Le reste des efforts concerne les établissements médico-sociaux (500 millions), les baisses de prix des médicaments (1,6 milliard) et les gains sur les dispositifs médicaux et prothèses (250 millions). Autant de mesures délicates à annoncer au lendemain de la plus forte grippe à l’œuvre depuis 5 ans.

Contacté, le cabinet de Marisol Touraine n’a pas souhaité répondre aux questions de “Challenges”.

Challenges.fr

vu sur : http://fortune.fdesouche.com/376065-sante-ces-coupes-dans-les-budgets-des-hopitaux-qui-vont-faire-mal#more-376065

Repost0
CITOYENS ET FRANCAIS - dans Santé - Science